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Vieux 16/07/2016, 17h19
Fletcher Arrowsmith Fletcher Arrowsmith est déconnecté
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-Généalogiste Sénile--Gardien du Temple-
 
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Fletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermind
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Posté par Slobo
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Superman Action Comics 959 (DC ; Scénariste Dan Jurgens ; Artist Tyler Kirkham).

Pitch :
Superman et Lex font face à Doomsday. Alors que Jonathan s'inquiète, Clark lui se met bêtement en danger et il est clair qu'il est loin d'être Superman. Clark dit a superman qu'il lui a demander de rester a distance. Qu'il l'a mit à distance. Superman lui ne semble pas savoir de quoi il parle.
Avis :
Kirkham n'est pas Zircher, et l'encrage me semble plus ou moins gras (Peut-être dû à la couleur informatique) d'une planche a l'autre. Néanmoins sont Lex, son superman et son Doomsday sont puissant.
Coté scénariste, Jurgens fait du bon travail montrant la gravité et l'inquiétude autant coté superman et Jonathan que coté superman. Il continue a se servir de Mr Oz, de manière assez curieuse mais à l'utiliser. La fin est impressionnante. A suivre.
Je suis sous le charme de cette série. Avec même s'il semble face a un ennemi très, un superman plus convaincant que le New52. Le problème est qui utiliser après Doomsday pour avoir un superman en difficulté, surtout si Luthor reste du bon coté ? Après peut être action comics deviendra la série de Luthor.
Luthor ne sera jamais du bon côté.
Numéro frustrant dans la mesure où il n'apporte pas grand chose de plus que le précédent. Jurgens a intérêt à passer le seconde car là on fait du sur place et cela devient guerre passionnant. Lois chouine et n'avoue toujours pas à Jon la vérité sur le dénouement de premier combat avec doomsday. Sup se bastonne comme il faut, sans solution, Lex fait du Lex mais cela ne va pas plus loin, Mr Oz ne sert à rien ici et Clark reste un mystère ..... comme dans le #958 en fait.
Tyler Kirkman c'est horrible. Avec du fill in comme cela et une telle narration pas sûr que ce titre Superman soit sur le bon chemin. Je reste pantois devant de tel accident de parcours de la part de DC.
sinon eat a snickers to battle Doomsday

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Posté par Slobo
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Wonder Woman 2 (DC ; Scénariste Greg Rucka ; Artist Nicolas Scott)

Pitch :
Les origines de diana sur Thermiscara juste avant l'arrivé de Steve, et en parallèle on suis aussi ce dernier.
Avis :
Sous Rucka on sent Diana et Steve plus lié que jamais dans le New52. Ici steve n'est pas dans son avions a tirer sur d'autre, mais dans un transporteur de troupe. Ce qui fait que d'autre hommes sont tombé avec lui (Allez savoir si d'autre que lui survive ?)
J'ai beaucoup aimé le destin croisé. Rucka decide de laisser assez mystérieux si Diana a eux ou non des aventures amoureuse avec des amazones. Et insuffle assez bien son envie de partir. Ici elle n'est ni détester comme sur d'autre passé, ni porté au nu comme la fille unique de la reine. La surprise viendra du serpent qui réussit à la mordre.
Est-ce a prendre comme un symbole à la Adam & Eve ?
Moi qui était peut enchanté par le passage entre passé et présent en ressort convaincu.
Faut reconnaitre a césar ce qui est a césar et dire que c'est pour beaucoup grâce à Miss Scott.
Quid de la version NEW 52 de Azzarello et Johns à propos de Diana et Steve ? A voir mais il y a de forte chance que Rucka nous prépare sa vision des origines et tant pis pour les autres.
Néanmoins sur ce numéro, première partie de Year One, pas beaucoup de reproche à faire. Rucka joue parfaitement avec le destin croisé de ces deux principaux protagonistes, et n'hésite pas à rendre les choses assez claires quand à la sexualité des Amazones. Oserais je signaler qu'il est à deux doigt de suggérer que l'esprit de camaraderie de Steve va plus loin que des poignées de mains entre deux potes ? Le scénariste introduit également une forme de fatalité ou plutôt de destin dans le personnage de Diana (les étoiles, l'arbre, les oracles, le serpent). Il semble essayer de faire un mélange intéressant entre mythe et religion.
Nicola Slott assure, comme prévu. Je ne connais pas la teneur des indications de Rucka au niveau du scénario mais graphiquement les enchainements Diana/Steve sont fort opportun et accompagnent à merveille le récit.
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