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Vieux 12/01/2017, 20h09
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MARVEL

Catégorie « Excellent »

Sam Wilson : Captain America 17

Genre : Que faire des super-héros non américains, voire extraterrestres ?

Le nouveau faucon, américain d’origine mexicaine entré illégalement aux USA et soutien actif des immigrants clandestins est très échaudé d’être rentré dans le collimateur d’une belle experte très conservatrice qui ressemble curieusement à la fille de Von Strücker, mais je peux me tromper.

Aidé de l’ancien vengeur et new warrior Rage, il déboule sur le campus de la plus célèbre (et libérale) des universités new-yorkaises, ou la professeure expose ses idées, pour lui expliquer sa façon de penser.

En ce mois où Trump prend ses fonctions et où on apprend ses liens supposés avec Poutine, ce titre Captain America continue à nous décrire une Amérique profondément divisée et un Captain America, devenu à son tour mentor d’un nouveau faucon, plus idéologiquement libéral que jamais.

Avec des dialogues passionnants et loin d’être caricaturaux sur un sujet complexe, deux combats bien menés et un cliffhanger qui promet beaucoup, ce numéro a en plus le bon goût de relancer l’intrigue de fond avec les Americops.
Le tout avec un Paul Renaud très inspiré aux dessins.
Quel pied.

Scénario : 16/20
Dialogues : 17/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 17/20



Steve Rogers : Captain America 8 et 9

Genre : Un monde qui se referme

Spencer utilise le titre Steve Rogers pour préparer le futur crossover Marvel qui va très certainement être une petite bombe.
Après les évènements de Civil war II, très bien exploités dans ce titre, Captain Marvel a triomphé et l’Amérique semble à la recherche de plus de sécurité.
Une invasion future des chitauris, popularisés par les films Avengers, est repérée par le SWORD, chargé de contrer les menaces extraterrestres contre la Terre.

La nouvelle Quasar fait enfin montre de ses extraordinaires capacités mais suffira elle contre une armée ?
Pendant ce temps, Maria Hill, la directrice du SHIELD, doit répondre de ses actes durant le crossover Assault on Pleasant Hill, durant lequel elle a enfermé des prisonniers en manipulant leur volonté et leurs souvenirs.
Bien loin de rendre les armes, elle joue la carte du pragmatisme et utilise la demande de la population de plus de sécurité pour faire une offre en or à ses juges, qui ressemble beaucoup à du chantage…

Deux numéros toujours aussi épiques d’un des meilleurs titres Marvel qui continuent également à nous faire découvrir les origines secrètes de Captain America qui a rarement été aussi en cours auprès des autorités qu’en ce moment.
Ne pas spoiler ce titre, c’est rendre service au lecteur tant c’est bien écrit et intelligent, faisant écho à l’actualité réelle des USA.
Petit bémol sur les dessinateurs, parfois peu enthousiasmants.

Scénario : 17/20
Dialogues : 17/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 17/20



Catégorie « Très bon »

Doctor Strange/Punisher : magic bullets 2

Genre : Bonne surprise

Le doc et Pupu affrontent une famille Fusilli (oui, comme les pâtes) déchaînée et amatrice de pitoyables jeux de mots.
Mais que faire contre un sorcier efficace et de puissants démons quand on a juste des balles et quelques objets magiques peu puissants ?

Ce deuxième numéro d’un des crossovers les plus improbables qui soient continue à ravir le lecteur amateur de récits bien construits, funs et surprenants, malgré des dessins souvent basiques.
On est surpris par la qualité des dialogues qui nous offre successivement les pensées des protagonistes sous la forme d’un War journal du Punisher, d’autant plus que les héros ont des saillies intelligentes (le Punisher, sur la nature de ce qui fait un monstre) ou mêmes drôles (l’utilisation des objets magiques par un personnage dépourvu d’imagination).
Il est également très agréable de voir un Frank plus en difficulté que d’habitude et donc plus humain, loin de la caricature qu’en ont fait certains scénaristes.
Si ça reste aussi bon tout du long des quatre numéros, on va se régaler.

Scénario : 15/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 13/20
Note finale : 15/20



Carnage 15

Genre : Le réveil

Dernière ligne droite pour Carny, qui réveille un Mal particulièrement terrible sur Terre.
Quelle sera la fin de la série ?

Hommage aux vieux films de la Hammer (surtout pour les chasseurs) et à l’univers d’HP Lovecraft (pour la menace), ce numéro très intense et poisseux de Carnage, riche en évènements marquants, annonce un final intense dans les derniers numéros.

Scénario : 15/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 15/20



Deadpool 24

Genre : Deadpool à la rescousse

Fin de ce très bon arc dans lequel un virus mortel s’est répandu et menace la famille de l’agent Preston, obligeant Deadpool à faire appel à un de ses contacts très spéciaux.

Et ça fait du bien de finir encore une fois un numéro au niveau du run précédent et des premiers numéros de celui-ci !
Au prochain numéro, fin de la saga 2099 du personnage.

Scénario : 15/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 15/20



Catégorie « Bon »

RIEN

Catégorie « Sympa »

The totally awesome Hulk 14

Genre : Space Jam 2

Fin des aventures en tandem de Chulk et d’un (apparemment) célèbre basketteur.
Et heureusement, car on s’ennuie pas mal à la lecture de ce numéro gentillet qui semble avoir été écrit pour les plus jeunes.
Le conflit entre Amadeus et sa sœur aurait pu être intéressant s’il n’avait pas été aussi caricatural.
Espérons que le scénariste va se reprendre car ce titre avec Cho en Hulk est clairement le plus décevant qu’il ait écrit en utilisant le jeune génie.

Scénario : 12/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 12/20



Catégorie « Moyen »

RIEN

Catégorie « Mauvais »

RIEN

Catégorie « Très mauvais »

Civil war II n°8

Genre : gros ratage

Vu les évènements du 7, il était impossible de redresser la barre sans faire tâche.
Bendis fait mieux : il abîme le navire sur les récifs !

Suite à un duel entre ces deux crétins de Captain Marvel et Iron man, méconnaissables de stupidité (on croirait la version super-héroïque de Clinton vs Trump à ce point de caricature), ça se passe mal pour Tony (mais à quel point, on ne sait pas trop, c’est vague) et surtout Ulysses nous refait une crise sévère de visions anarchiques, annonçant au travers de superbes planches le futur de l’univers Marvel, ce qui est sûrement le point le plus intéressant de ce piteux numéro.
Quand soudain, par une incroyable facilité de scénario, il disparait de l’intrigue et de la Terre !
Comme ça, tranquille, un Deus ex machina stupide et on passe à autre chose.
La fin du numéro est très confuse et annonce vaguement ce qui va se passer dans les prochains mois.

A ce point de ratage, on hésite entre le rire nerveux et la consternation.
Malgré un numéro 5 qui avait su relever le niveau général, Civil war II est un des crossovers les plus navrants de ces dernières années, bien plus que Siège, par exemple.
C’est inutilement et mal déstructuré, prétentieux, long et inutile.
Heureusement que certaines séries ont sur tirer leur parti de ce fiasco, comme les titres Captain America.

Espérons que l’épilogue, Civil war II aftermath, remontera enfin le niveau. Ça devrait pas être trop dur.

Scénario : 05/20
Dialogues : 10/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 06/20



IMAGE

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »

I hate Fairyland TPB 2

Genre : Suite pas prévue ?

Après la fin inattendue du numéro 5, Gertrude se retrouve dans ce qui est la pire position possible pour elle. Skootie Young se débarrasse vite de ce nouveau statu quo qui le limite, comme si il avait été dépassé par le succès des 5 premiers numéros et n’avait pas planifié de suite, se retrouvant devant le fait accompli.
Vu la nature très bizarre du pays de Fairyland, cela n’est pas du tout illogique et les gags comme les bonnes trouvailles continuent à affluer tout au long de ces numéros 6 à 10, avec un Gertrude toujours aussi impulsive, méchante et stupide.
On relève de nombreux moments de bravoure mais c’est le passage façon Street Fighter dessiné par le très bon Jeffrey « Chamba » Cruz du studio Udon qui dépote sévèrement.

Une suite est tout à fait possible vu le numéro 10 et j’en serai car cette série est une bonne tranche de fun.

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 16/20

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