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Vieux 20/06/2016, 23h21
Fletcher Arrowsmith Fletcher Arrowsmith est déconnecté
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-Généalogiste Sénile--Gardien du Temple-
 
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Fletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super Pépette
De 1 à 14
(pas envie d'écrire plus ce soir)

Annaud Jean Jacques - Coup de tête (France - 1979)
J'ai du mal avec Annaud, qui fait des films grand spectacle, tournés vers le public (ce que je respecte) mais je ne me retrouve pas dans son cinéma. Pourtant ce film sur le foot avec ce voyou de Patrick Deware qui montre encore ce que ce sport - spectacle peut apporter en mieux ou en mal à une communauté me parle. C'est assez méchant et en avant Guingamp.

Antonioni Michelangelo - Blow-up (Angleterre - Italie - USA - 1966
Qui a photographié quoi et parties de jambes en l'air avec Jane Birkin et Gillian Hills. David Hemmings est génial dans le rôle du photographe, mystérieux avec peu d'expression et comment ne pas fondre devant Vanessa Redgrave. Antonioni a de l'audace dans sa réalisation.

Ardolino Emile - Dirty Dancing (USA - 1987)
C'est nul peut être ; pour midinette, surement ; Jennifer Grey joue mal et est peu aguichante : exact. Oui mais voilà j'ai fait plusieurs année de danse quand j'étais adolescent. Et donc ce film (j'ai même reproduit la chorégraphie finale lors d'un gala) représente beaucoup pour celui que je fus. Footloose également (mais il me semble l'avoir écarté). La BO est une des premières que je me suis procuré, avec des vieux tubes qui ont bien vieilli. Les films de danse ou comédies musicales sont une première récurrence dans les films retenus

Assayas Olivier - L'eau froide (France - 1994)
Le premier d'Assayas. Le premier que j'ai vu dans le cadre de la série Tous les garçons et les filles de leur âge d'Arte et le choc Virginie Ledoyen. Film sur l'adolescence ou la fin de cette dernière, je reviens très souvent à ce thème (comics, BD FB, Manga et surtout dans la littérature). Assayas m'a souvent ennuyé par la suite mais là, surement à cause du format il a touché juste, de suite.

Audiard Jacques - Un héros très discret (France - 1996)
Un Audiard avant 2000 (d'où sa raison d'être dans cette liste). Vu à sa sortie et immédiatement j'ai eu une connexion avec ce cinéaste que je n'ai cessé de suivre depuis. Le casting vaut le détour : Mathieu Kassovitz, Albert Dupontel, Anouk Grinbergt, Sandrine Kiberlain, Jean-Louis Trintignant pour un scénario qui aborde la résistance de manière intéressante.

Barberian Alain - La cité de la peur (France - 1994)
Vu deux ou trois fois à l'époque car j'étais lycéen et en grève. Je ne connaissais pas l'humour Canal plus car pas canal à la maison. Ce film fut une révélation. J'ai suivi ce que Chabat (surtout) a fait par la suite. Et puis je ne me renie pas, je me marre à chaque fois comme le gros rouge qui tache.

Bertolucci Bernardo - Le dernier empereur (Royaume-Uni - Italie - France- Chine - 1987
1900 m'avait impressionné (surtout la structure en 2 films) mais l'histoire de Puyi, dernier empereur de Chine est fascinante. C'est la découverte des films fresques, des histoires vrais, des destins hors du commun. Voir la cité interdite à l'époque ce fut énorme. Et puis les musiques du films sont fabuleuses (Cong Su, Ryuichi Sakamoto, David Byrne).

Besson Luc - Le grand bleu (France ) 1998
Film d'une génération que je n'ai pas vu à sa sortie mais je me suis rattrapé ensuite VHS. Oui un Luc Besson et pas son meilleur. Mais il fallait bien commencer quelque part et Besson m'a amené à découvrir d'autre cinéastes. Les séquences sous l'eau sont quand même impressionnantes et je me suis endormi, lycéen, un nombre de fois incalculable à l'internat avec la musique de Eric Serra sur les oreilles, planqué dans le noir. Là encore j'ai conscience que ce n'est pas un grand film (pléonasme) mais il a accompagné mon parcours et ma jeunesse (qui a du se faire).

Biglow Kathryn - Strange Days (USA - 1995)
On en a parlé plus bas (ou plus haut). La BO est une de celle que j'écoute le plus (pour Deep Forest au départ). Le scénario est très malin car il surfait pourtant sur la célébration de l'an 2000 thème éculé avant même l'évènement. Le cinéma de Biglow est efficace et spectaculaire. Une première femme.

Blake Edwards - Victor Victoria (Royaume-Uni - USA - 1982)
Choisir un Blake Edwards ... Ce film sur la dualité, l'identité sexuelle et la réussite est portée par la très belle Julie Andrews. Tout les quiproquos sont drôles tout en étant grave. Une réussite. Un film d'actualité.

Blier Bertrand - Tenue de soirée (France - 1986)
Blier, un cinéaste qui me parle. Voir Michel Blanc se faire prendre par Gérard Depardieu, en délaissant Miou Miou, il n'y avait que Blier pour le faire. J'aime cette époque de Blier où son cinéma est très inventif alors que le reste de la production française classique est à la traine. Et puis il y a Michel Blanc, acteur sous estimé, surement le plus fin et intéressant de la bande du splendide.

Bogdanovitch Peter - La dernière séance (USA - 1971)
C'est simple. Je lis le nouvel Hollywood et je vois ensuite la dernière séance. Grosse claque. La description de l'amérique profonde à la fin des années 50 par deux jeunes (dont Jeff Bridges) qui découvrent la vie m'a passionnée. Un film pour comprendre l'amérique mais aussi le cinéma américain des années 70.

Boorman John - L'Exorciste 2 : L'Hérétique (USA - 1977)
Je ne sais pas pourquoi mais chaque fois que je pense à un film de Boorman, c'est l'Exorciste 2 qui me vient à l'esprit. Je dois être possédé. Pourtant Délivrance ou Excalibur, Le Point de non-retour voire la La Forêt d'émeraude sont meilleurs mais comme j'ai pu trembler à la vu de ce film. Le nuage des sauterelles et Linda Blair ont fait le reste. Ah et puis j'avais enlevé l'exorciste de Friedkin ....

Boyle Danny - Trainspotting (Royaume-Uni - 1996
Un film trash. What else. indémodable comme la BO.
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“Our dreams make us large.” Jack Kirby

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Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 20/06/2016 à 23h57.
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