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le paradoxe est que Hellblazer est né dans le giron de l'univers DC, mais la réalité de la fin des années 80 était toute autre, et un petit coin de séries occultes et "matures" c'est vite fait préfigurant vertigo.
le problème n'est pas que DC Comics fassent une on going dans leur new 52, c'est qu'ils arrêtent la série emblématique, et façonnent ce qui de toute façon va être une version tout public et édulcorée. pas la même cible du tout.
ne pas lire Hellblazer n'est pas le problème, c'est comprendre ce que ça représente dans le monde de la bédé de genre étasunienne, des carrières américaines que ça a lancé, de la place prise en 25 ans.
comme le dit le picard ça sent le cramé pour vertigo, après wildstorm un deuxième label, pour moi ô combien plus important, est en train de mourir, d'une mort à la Emma Bovary.
les ventes c'est un faux problème, ça fait quinze ans que ça vend que dalle Hellblazer.
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