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Vieux 27/07/2015, 21h40
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Manga L'été est là! Analyse de la saison animée 2015


Il y’a du beau monde cet été avec quelques suites dont certaines presque devenues coutumières (l’été est la saison de diffusion habituelle de Kaleid liner prisma Ilya depuis 3 ans) mais aussi de très bonnes nouvelles séries, dont une très attendue par ses fans.
En italique, les séries du printemps qui continuent cette saison.


Catégorie “excellent”

1/ Durarara X2 ten 18/20
2 Monster musume no irou nichijou 18/20
3/ Nagato Yuki-chan no Shoushitsu 18/20
4/ Gate : Jieitai Kanochi nite, Kaku Tatakaeri 18/20

Catégorie “très bon”

5/ Ore monogatari 16/20
6/ Shokugeki no Soma/Food wars 16/20
7/ Arslan senki 16/20
8/ Overlord 16/20
9.Ushio to Tora 16/20
10/ Ranpo kitan Game of Laplace 16/20
11/ Gakkou Gurashi! 16/20
12/ Charlotte 16/20
13/ Sore ga seiyuu 16/20
14/ Hetalia the world twinkle16/20
15/ Kyoukai no Rinne 16/20
16/ Gangsta 16/20


Catégorie “bon”

17/ Saint Seiya : soul of Gold 14/20
18/ Shimoneta to Iu Gainen ga Sonzai Shinai Taikutsu na Sekai 14/20
19/ Prison school 14/20
20/ Fatekaleid liner Prisma Illya 2wei Herz 14/20
21/ God eater 14/20
22/ Himouto! Umaru-chan 14/20
23/ Rokka no Yushaa 14/20
24/ Working!!! 14/20
25/ Denpa Kyoushi – He is an ultimate teacher 14/20
26/The iDOLM@STER Cinderella Girls 2nd Season 14/20
27/ Kurayami Santa 14/20
28/ Okusama ga Seitokaichou! 14/20
29/ Wakako-zake 14/20
30/ Miss Monochrome 2 13/20

Catégorie “sympa”

31/ Chaos dragon 12/20
32/ Ninja slayer from animation 12/20

Catégorie “moyen”

Rien



Mais comment font ils? Durarara est encore une fois le meilleur anime de la saison!


Catégorie “excellent”

1/ Durarara !! x2 ten


Episodes vus : 4/ 13



Je voulais placer en tête de ce top une nouvelle série mais force est de constater que cette deuxième partie de deuxième saison est si géniale qu’elle s’impose une nouvelle fois comme le top de la saison.

Suite directe de ce qui a été diffusé ce printemps. Après ce bon début, on suit les nouveaux personnages, dont une belle motarde liée aux russes de la série et une haute figure de la pègre. On retrouve également le frère de l’alliée barge d’Izaya et on en apprend plus qu’on aurait voulu savoir sur le triangle amoureux de fous furieux dont il est composé.

Pour ceux qui n’ont pas encore vu la saison 1, le début de la saison 2 (Durarara !! x2 shou), ni le génial Baccano !, foncez rattraper votre retard.
Je vais tâcher de pas vous spoiler cette série à la narration assez unique.
Dans le quartier d’Ikebukuro, à Tokyo, les destins se croisent et s’entrecroisent, pour le meilleur et pour le pire. Les gangs des couleurs font la loi et le mystérieux groupe des dollars commence à faire parler de lui.
Un mystérieux motard inarrêtable parcourt ses rues, un maître chanteur agile fomente des complots pour le malheur des gens et pour tromper son ennui, un usurier ultra violent à la force herculéenne fait régner sa justice caractérielle, des Russes tentent de vendre leurs sushis garantis sans viande humaine et une tueuse armée d’une épée fait des ravages dans la ville…
Ça c’était pour la saison 1.

Cette série a vraiment tout pour plaire : superbe réalisation, galerie de personnages divers et attachants, réalisation dynamique, narration originale à base de chassés croisés et de flashbacks, musique jazzy et parfois sombre appuyant parfaitement le propos…
Un mélange de vie quotidienne, d’humour, de complots à portées diverses, de fantastique et d’action réjouissant, frôlant encore une fois la perfection !


Le vrai titre de la série : La vie à Ikebukuro vaut bien le New York de Marvel saison 2, 2ème partie
Si vous aimez : la saison 1, la première partie de la saison 2, Baccano !, les anime à la narration superbe, Bakemonogatari, j’en passe et des meilleurs.
Note, pour l’instant : 18/20

Taux de moe : 20% Un style plutôt réaliste mais on trouve du moe, comme pour les sœurs d’Izaya par exemple.
Taux de harem : 0% Réaliste, on a dit ! Ceci dit, un des antagonistes a toujours une cour d’admiratrices autour de lui.

2/ Monster musume no irou nichijou (=“La vie quotidienne avec des filles monstres”)

Episodes vus : 3/ 12



Dans un futur proche, au Japon, le gouvernement vient de révéler l’existence jusque-là cachée de peuples humanoïdes aussi divers que des kemonomimi (filles à oreilles de chat, de chien), des lamies (femmes serpents de la mythologie grecque, dont les indiens ont un équivalent, les nagas), des centaures et autres harpies.

Un accord officiel est passé entre gouvernements qui permet les échanges culturels entre humains et monstres. Ainsi, la violence et les relations sexuelles entre espèces sont prohibées sous peine de renvoi du contrevenant. Les monstres les plus humanoïdes connaissent une intégration facile dans le monde des humains, certains devenant des idoles façon AKB48 mais il n’en est pas de même pour les autres.
C’est le cas de Miia, jeune lamie placée dans une famille qui la rejette. Sous l’impulsion de l’impayable fonctionnaire mademoiselle Smith, elle va être placée chez notre héros, un jeune homme sérieux et chevaleresque, qui va avoir fort à faire au contact de sa nouvelle locataire, qui est tombée amoureuse de lui et entend bien tout faire pour finir dans sa couche.
Ce n’est que le début de ses ennuis, mademoiselle Smith profitant de sa spacieuse maison propice à l’accueil des bruyantes et imposantes créatures aux besoins très spécifiques (notamment une piscine pour la sirène Merune Loreleï) pour installer chez lui les femmes monstres qui suscitent le rejet des humains.

Cette série est un bijou. Parfaite adaptation d’un réjouissant et souvent drôle manga non publié chez nous mais disponible aux USA où il connaît le succès depuis des années, MonMusu (son petit nom abrégé) surprend par la qualité de la réflexion menée par l’auteur, qui utilise son manga pour divertir mais aussi proposer une intéressante réflexion sur notre rapport à la différence, la question du racisme et de la xénophobie étant souvent présente dans la série.
Le choix des seiyuus est parfait (mention spéciale pour celle de mademoiselle Smith, la troll de service) et le character design améliore celui parfois un peu amateur du manga d’origine.
Si les anime harems ne vous font pas fuir, voici le plus original d’entre eux.

Le vrai titre de la série : Meetic c’est mythique !
Si vous aimez : To Love ru, Rosario to vampire, Kore wa zombie desu ka ?, les harems, la réflexion sociétale légère et bien menée
Note au final: 18/20

Taux de moe : 70% Les plus prudes se détourneront avec profit de cette série, qui est censurée de manière très discrète
Taux de harem : 100% Plus harem que ça, c’est dur.

3/ Nagato Yuki-chan no Shoushitsu (= « La disparition de Nagato Yuki »)

Episodes vus : 16/16



Fin des aventures de Yuki et sa bande commencées au printemps. Vu le nombre de références à la série dont ce spin off est issu et notamment à la controversée saison 2 de la série principale et au superbe film La disparition de Suzumiya Haruhi, il est souhaitable de réviser un peu ses classiques, la fin de la série y faisant directement référence.

Un spin off qui est au niveau du phénomène de 2006, malgré son character design décevant, tout le reste étant digne d’éloge, seiyuus on fire, tranche de vie de haute volée, humour qui fait mouche et clins d’œil aux fans de la grande époque.
L’émotion est également au rendez-vous au travers de l’avant dernier arc, surprenant et moment fort de cette série. La bande-son est un bonheur et la réalisation est prenante et inventive, très immersive.
Renouvelez votre foi envers la Déesse !

Le vrai titre de la série : La mélancolie de Suzumiya Haruhi 2015
Si vous aimez : les romans et séries TV d’origine, les tranche de vie dynamiques et poétiques.
Note, pour l’instant : 18/20

Taux de moe : 50% Beaucoup de moe autour de Yuki et Mikuru notamment
Taux de harem : 30% Triangle amoureux…très original.

4/ Gate : Jieitai Kanochi nite, Kaku Tatakaeri (= « La porte: Ici ont combattu les forces d’autodéfense japonaises »)

Episodes vus : 4/ 24



De nos jours, au Japon, une gigantesque porte apparait au Coeur d’Akiba à Tokyo et déverse une troupe de chevaliers et de dragons montés qui débutent un carnage.
Rapidement, les forces de l’ordre s’organisent pour protéger la population et forces japonaises d’autodéfense (FJA) annihilent l’opposition, un de leurs membres présents sur les lieux avant tous les autres devenant un héros après avoir sauvé de nombreux civils.

Il est très vite décidé d’envoyer des troupes armées explorer le monde au-delà de la porte, le Japon, avec le soutien des Etats-Unis, lançant une expédition militaire nombreuse pour ce faire, tandis que la Chine grince des dents. C’est un véritable royaume d’heroic fantasy qui les attend et les FJA, plus habituées à venir au secours des populations qu’à combattre vont pouvoir déployer leur savoir-faire martial au vu du comité d’accueil qui les attend.
Nous suivons notre héros, bombardé responsable d’un corps expéditionnaire chargé de récolter des informations sur ce nouveau monde. Suite à, une confrontation avec un dragon rouge destructeur, il va être amené à veiller sur des réfugiés, créant un efficace premier contact très fructueux tandis que les calculs politiques pour la possession de cette riche nouvelle contrée font rage sur terre.

Voilà une des nouvelles séries les plus réjouissantes de cette nouvelle saison. Avec sa description réaliste des FJA, méconnues chez nous, un royaume (en fait un empire) crédible tout comme les réactions des grands dirigeants mondiaux, Gate se joue habilement des codes surexploités de l’heroic fantasy, jouant dans la même cour que le mémorable Outbreak company mais évoquant aussi d’autres séries récentes du même acabit. Avec son héros otaku sympathique et ses archétypes bien décrits, cet anime nous promet le meilleur. Espérons que ce sera aussi mémorable que ce que nous en attendons.

Le vrai titre de la série : Outbreak company 2015
Si vous aimez : Outbreak company, Hataraku maou~sama!, No game no life, les rencontres du 3ème type
Note au final: 18/20

Taux de moe : 30% Une gothic lolita, une magicienne super zen, une belle elfe...
Taux de harem : 40% L'opening suggère un carré amoureux. Nous verrons.

Catégorie “Très bon”


5/ Ore monogatari (= “Mon histoire”)

Episodes vus : 16/ 24



Ce très bon shoujo continue à nous faire rire et à nous amuser grâce à son trio principal, extrêmement attachant et humain.
Le fait qu’il évite les drames et la complexité en fait une série très reposante qui fait un bien fou.

Takéo le géant est un protagoniste de shoujo romantique particulièrement inoubliable et original, très drôle.

Le vrai titre de la série : Mon incroyable fiancé ( )
Si vous aimez : les belles histoires, les personnages bien brossés, les séries « feel good »
Note, pour l’instant : 16/20

Taux de moe : 30% L’héroïne est cruche et moe.
Taux de harem : 0% Nichts


6/ Shokugeki no Soma/Food wars (= « Les défis de Soma/Food wars »)

Episodes vus : 16/ 24



Soma continue à semer la zizanie parmi les meilleurs apprentis cuisiniers du Japon, aidé par son inventivité et sa fougue, agaçant beaucoup par sa morgue mais convaincant la majorité par sa gentillesse et sa solidité morale.

Cet anime continue à être passionnant et à renouveler le genre du shonen nekketsu en nous faisant saliver avec des recettes toutes plus appétissantes les unes que les autres.
Une série à regarder le ventre plein ou à l’apéritif !

Le vrai titre de la série : Mister Ajikko (« le petit chef ») 2015
Si vous aimez : les anime culinaires, les recettes originales, les duels, le fan service sexy.
Note, pour l’instant : 16/20

Taux de moe : 70% Les personnages ont des orgasmes gustatifs et sont alors nus façon anatomie Barbie. Pas mal de vêtements moulants et un personnage masculin tout le temps aux ¾ nu.
Taux de harem : 60% C’est du harem déguisé, les héroïnes étant toutes plus ou moins amoureuses du héros sans que rien ne soit officialisé.


7/ Arslan senki (« Chroniques d’Arslan »)

Episodes vus : 15/ 25



Arslan et ses fidèles compagnons ont désormais sécurisé des appuis tactiques parmi les forteresses de l’empire de Pars et font alliance avec le frère du prétendant au trône du royaume voisin, très inspiré de l’Inde des maharadjas.

Aidé par une réalisation de qualité à l’animation très correcte, une bande-son prenante et épique et un scénario mené au bon rythme, cette série de fantasy à bas niveau magique est toujours aussi réjouissante avec ses complots politiques et ses batailles rangées en 3D de bonne facture, bien intégrée à l’animation traditionnelle. Pour l’instant, cette version écrase les OAV des années 80.
Le séduisant stratège Narsus, aux plans redoutables pour ses ennemis, est la raison principale de regarder cet anime.

Le vrai titre de la série : Arslan senki 2015
Si vous aimez : la fantasy à bas niveau magique, les voyages initiatiques, les OAV d’origine, la mangaka d’origine
Note, pour l’instant : 16/20

Taux de moe : 20% La tenue sexy de la prêtresse archère
Taux de harem : 0% Rien

8/ Overlord

Episodes vus : 3/13



Dans un futur assez proche, Yggdrasil, un MMORPG jadis populaire ferme ses portes. Membre fondateur d’une guilde d’aventuriers composée uniquement de joueurs possédant des avatars de monstres ou de démons, un Japonais un peu no life jouant une puissante liche au pseudonyme de Momonga jouit de ses derniers instants dans ce monde virtuel qu’il a tant aimé au sein d’une guilde désertée dont il est devenu le seul et unique membre.
Par un phénomène mystérieux, il se retrouve coincé dans ce monde et incapable de se déconnecter, adoptant sans le vouloir la voix et certains traits psychologiques de son personnage tandis que les serviteurs PNJ démoniaques qui le servent sont devenus bien vivants. Ou plutôt, n'est-ce pas lui qui est devenu un PNJ ? Et est-il vraiment le dernier joueur d’Yggdrasil ?
A la tête de cette cohorte de puissants personnages, il entreprend de fortifier les abords de sa forteresse dont le cadre géographique a bien changé. Un massacre d’humains ayant lieu près de chez lui, il décide de mener l’enquête.

Après le précurseur Hack./sign, Sword art online qui a relancé le genre et Log Horizon qui l’a poussé dans ces derniers retranchements, voici encore un nouvel anime au sujet de joueurs coincé dans un MMORPG.
Overlord joue encore plus la carte du mystère, son protagoniste ne contrôlant pas tous ses mouvements ou réactions. Avec son aspect imposant et inquiétant, ses troupes démoniaques curieusement attachantes entre la succube folle amoureuse ou le démon de glace qui rêve de devenir oncle, Overlord se démarque des autres anime du genre, proposant pour l’instant le pont de vue d’un chef suprême d’une armée maléfique dont les calculs pour fidéliser ses troupes semblent l’éloigner peu à peu du genre humain.

Cet anime est une des très bonnes surprises de la saison car il sait cultiver le mystère et fidéliser le spectateur. Gros potentiel malgré le sujet surexploité.

Le vrai titre de la série : Log horizon, evil edition
Si vous aimez : Sword art online, Log horizon, les MMORPG, les scénarios ambitieux.
Note au final : 16/20

Taux de moe : 30% Albedo, la succube au décolleté plongeant
Taux de harem : 30% Triangle amoureux concret

9/ Ushio to Tora (= « Ushio et Tora »)

Episodes vus : 4/26



Qui a déjà vu le manga ou les OAV qui en ont été tirées dans les années 90, celles-ci ayant été éditées à l’époque chez Tonkam ? pas moi en tout cas, mais j’ai toujours entendu parler en bien d’Ushio to Tora, ce qui m’a enjoint à sauter le pas.

Ushio est un fils de prêtre petit, jovial, sportif et passionné par les beaux-arts alors que les clubs sportifs du lycée aimeraient lui mettre le grappin dessus. Il est ami avec les plus belles filles de l’établissement, ce qui provoque la jalousie de ses camarades.

Un soir qu’il est seul, il pénètre le bâtiment isolé au fond de sa cour afin de le nettoyer. Il y découvre un énorme démon humanoïde aux allures de tigre, Tora (= « tigre » en japonais) transpercé et figé à un mur par la mythique lance d’un de ses ancêtres, dont l’histoire lui a été racontée par son père.
Forcé par les circonstances, il libère le démon et s’empare de la lance. Tora a été vaincu voilà 500 ans par un samouraï devenu chasseur de démon, la lance magique conférant le pouvoir de vaincre les esprits à son possesseur, condamné à devenir le gardien des humains contre les yokaï, fantômes et autres esprits.
Une étrange collaboration s’établit peu à peu entre Ushio et Tora, ce dernier ayant juré de manger le descendant de son vainqueur mais étant tenu à distance par sa lance. Or, la libération de Tora a attiré en ville tous les esprits maléfiques du Japon et ils vont avoir fort affaire, Tora devant en plus rattraper ses 500 ans de retard et découvrant que le monde des humains a bien changé…

Si Tora n’est pas la source d’inspiration principale de Blanka de Street Fighter II, je mange mon chapeau ! Il est en est physiquement très proche, l’a précédé historiquement (le manga ayant débuté deux ans avant) et en plus son attaque spéciale est de produire de l’électricité comme une anguille (ou Pikachu, son lointain bâtard)!

Ushio to Tora est du bon shonen fantastique à l’ancienne, réalisé en grande partie avec un rendu proche de ce qu’il aurait pu être s’il avait été réalisé dans les années 90 (aplats façon encre de Chine, design typique de l’époque…). Vu les bestioles qu’ils affrontent, on est souvent à la limite des anime de fantastique/horreur de cette époque (Ninja scroll…) mais la relation bouffonne et unique de nos deux protagonistes allège heureusement les scénarios très horreur psychologique de la série proches par exemple d’un Vampire princess Miyu.

Les quatre premiers épisodes sont assez indépendants et posent très bien le décor mais je suis curieux de savoir si un antagoniste majeur va servir de fil rouge. Et cet anime a le deuxième opening le plus cool de la saison!!!

Une saison 2 a déjà été annoncée.


Le vrai titre de la série : Ushio to Tora 2015
Si vous aimez : les anime shonen et fantastique horreur des années 90 (Ninja scroll, la cité interdite…), les relations fusionnelles, les démons tsundere
Note au final : 16/20

Taux de moe : 0% Pour l’instant, nul
Taux de harem : 20% Triangle amoureux suggéré

10/ Rampo Kitan : Game of Laplace

Episodes vus : 4/ ?



Un collégien très androgyne se réveille près d’un cadavre réarrange en un macabre fauteuil humain. Loin d’être effrayé alors qu’il est le principal suspect de ce meurtre, il se passionne pour l’enquête et envisage de devenir le second du détective surdoué qui assiste la police japonaise.

Ce titre policier très intéressant aux allures de pièce de théâtre et à l’aspect graphique proche du sombre Mouryo no hako fait également penser du point de vue de la mise en scène aux deux anime tirées du visual novel ef a tale of the two.

C’est sombre et intriguant, il y’a de l’humour noir (les séquences d’autopsie façon théâtre de Guignol !) et la série semble se composer de mini enquêtes inspirées des œuvres d’Edogawa Ranpo, défunt et célèbre romancier japonais.
A l’épisode 4, ce sont déjà deux cas qui se sont succédés.

Un anime très réussi pour qui aime les ambiances policières

Le vrai titre de la série : Edogawa Ranpo the animation
Si vous aimez : ef : a tale of memories, ef : a tale of melodies, Mouryo no Hako
Note au final : 16/20

Taux de moe : 0% Pour l’instant, nul
Taux de harem : 20% Quelques allusions yaoï


11/ Gakkou Gurashi! (=La vie scolaire ! »)

Episodes vus : 3/ 13



Takeya Yuki est une élève de lycée très gamine qui adore sa classe malgré ses mauvaises notes et se réjouit d’appartenir au très étrange club de vie à l’école dirigé par la gentille prof Megumi Sakura et comportant beaucoup de personnalités hautes en couleur dont l’une ne se départ jamais d’une pelle !
Tout le lycée l’adore mais pourquoi y’a il une tombe creusée dans le potager situé au sommet de l’établissement ? Pourquoi son turbulent et adorable chiot est il autorisé à rester avec elle ?

Cet anime possède un épisode 1 très marquant car très surprenant. Le mieux est de ne pas trop en dire et de conserver la surprise de ce qui se passe dans cet anime jouant avec les codes du moe et rendant honneur à son sujet.
Si vous n’êtes pas allergique à son aspect mignon too much, foncez.
Enorme potentiel pour cet anime qui marche sur les pas d’illustres ancêtres comme Higurashi no naku koro ni ou Puella magi Madoka magica.

Le vrai titre de la série : Le club de survie des cinq
Si vous aimez : Mahou shoujo Madoka Magica, Higurashi no naku koro ni, Yuuki yuuna wa yuusha de aru
Note, pour l’instant : 16/20

Taux de moe : 50% C’est bourré de moe…mais est ce tout ?
Taux de harem : 0% Que dalle

12/ Charlotte

Episodes vus : 3/ 13



Notre protagoniste est très sûr de lui. Il y’a de quoi : il est beau, intelligent et surtout il possède un don paranormal qui lui facilite grandement la vie et lui permet de tricher aux examens : il peut se projeter un court instant dans la tête de quelqu’un d’autre et lui faire faire ce qu’il veut.
Grâce à son don, il intègre un lycée prestigieux et se prépare une petite vie peinarde, sauvant opportunément la plus belle fille de l’école d’un accident qu’il a volontairement crée dans ce but.
Seulement…des élèves d’un autre lycée viennent lui pourrir son trip en lui expliquant que ses pouvoirs disparaitront à la fin de son adolsecence. Pire, ils font de lui un potentiel cobaye pour les scientifiques du gouvernement qui recherchent activement les gens comme lui.
Forcé d’intégrer leur établissement, sorte d’académie ayant pour but de protéger les êtres à super pouvoir (certains n’en ayant que le potentiel), il deveint membre de fait du conseil des élèves et a pour nouvelle mission de rechercher et protéger les gens comme lui, ce qui ne l’enchante guère…

Cette série est la reformation des responsables de l’excellent Angel beats. On y retrouve la même équipe notamment à l’opening, le plus magnifique de la saison.
Pour le reste, on reconnait tout de suite la patte du studio Key, avec ses personnages très moe, son univers qui peut paraître enfantin de prime abord mais qui est souvent dur.
L’humour omniprésent (les dons des personanges sont imparfaits et on a par exemple un Flash incapable d’arrêter sa course folle !) et l’humanité typique du studio qui s’en dégage en font une des meilleures séries de la saison, haut la main. Reste à voir comment ça va se conclure mais j’ai carrément confiance, yanat vu tous les anime tirées des œuvres de Key, parmi les plus émouvantes jamais crées.

Le vrai titre de la série : Moe X men
Si vous aimez : les X men, les œuvres du studio Key et surtout Angel Beats, Toaru majutsu no Index
Note, pour l’instant : 16/20

Taux de moe : 50% Comme d’hab avec Key, du moe partout
Taux de harem : 0% Rien pour l’instant

13/ Sore ga seiyuu (=« Une vie de comédien de doublage »)

Episodes vus : 3/ 14



Cette série suit trois jeunes seiyuus qui peinent à percer dans le métier et n’ont que de petits rôles.
Un jour une opportunité se présente et elles se voient offrir d’animer un show radio lié à l’anime qu’elles doublent qui sera diffusé sur internet.

Sore ga seiyuu est, à l’instar de Shirobako, une série qui nous montre les coulisses de l’industrie et des facettes parfois étonantes du Japon.
Techniquement honnête, elle vaut aussi pour les apparitions de seiyuus connus en guest star dans chaque épisode, qui se prennent au jeu avec complicité dans leur propre rôle !
Chaque ending est légèrement différent, les filles chantant en discutant comme si elles animaient leur show radio, reprenant à chaque fois un opening connu d’anime.

Sore ga seiyuu est un anime euphorisant.

Le vrai titre de la série : La vie secrète des seiyuus
Si vous aimez : Shirobako, Koe de oshigoto !the animation , Animation runner Kuromi et tous ces très bons anime qui parlent des coulisses de l’industrie mais aussi, bien sûr, les seiyuus japonais
Note, pour l’instant : 16/20

Taux de moe : 40% Moe powaaa, y compris dans les couleurs pastel
Taux de harem : 0% Rien pour l’instant

14/ Hetalia the world twinkle


Episodes vus : 4/ 15



Incroyable, le succès d’Hetalia ! ça fait depuis 2008, par-là, que ce petit anime qui a vite été diffusé sur le net pour cause de frictions entre états asiatiques (en l’espèce le Japon et la Corée) fait son bonhomme de chemin avec toujours ses épisodes courts (en moyenne, 4 minutes), ses pays anthropomorphiques et son trio de pays des forces de l’axe de la Seconde guerre Mondiale (Allemagne, Italie, Japon) emmenés par le héros titre, Hetalia, mélange entre les mots « Italia » et « Hetare » (terme d’argot qui désigne en Japonais un personnage mignon et/ou comique, instable, qui s’inquiète des choses les plus bénignes).

Autour d’eux, les pays du G8 dont les anciens alliés (parmi lesquelles un « France » caricatural en latin lover fat cultivé et prétentieux) gravitent et nous suivons des épisodes de l’Histoire mondiale et des conflits passés à la sauce Hetalia.
La force de la série, outre son humour et sa bonne humeur communicative, est la qualité des recherches historiques faites en amont, évoquant des petits « pays » comme la principauté de Sealand, la fusion un temps envisagée entre la France et le Royaume-Uni contre l’Allemagne, les relations conflictuelles des états baltes et de la Russie…
C’est juste impressionnant et on apprend plein de choses

Les épisodes sont courts et offrent peu de fils conducteurs mais cette série mérite le coup d’œil si vous aimer apprendre en vous divertissant. La série joue aussi avec les stéréotypes nationaux et les préjugés. Il faut voir comment la France est vue par le Japon…

Il n’est pas nécessaire d’avoir vu les 3 saisons précédentes pour l’apprécier.

Le vrai titre de la série : Hetalia saison 4
Si vous aimez : Les trois saisons précédentes, l’Histoire et la géographie mondiale, apprendre en s’amusant
Note, pour l’instant : 16/20

Taux de moe : 40% Les aventures de bishonen spécial pour fujoshis.
Taux de harem : 20% Légères allusions yaoï par moments

15/ Kyoukai no Rinne (=«Rinne de l’au-delà»)

Episodes vus : 16/ 24



La série continue son bonhomme de chemin tranquillement. Du pur Takahashi : tranche de vie, humour, mythologie et satire de la société.
Toujours très bon.

Le vrai titre de la série : Inuyasha 2015
Si vous aimez : les œuvres de Takahashi, particulièrement Urusei yatsura (Lamu) et Inuyasha
Note, pour l’instant : 16/20

Taux de moe : 10% La mascotte chat est mignonne dans le genre bizarre
Taux de harem : 30% Triangle amoureux autour de l’héroïne

16/ Gangsta

Episodes vus : 4/ 12



Dans une ville imaginaire, Ergastulum, qui semble située en Italie, Alex, une prostituée battue par le chef de gang pour qui elle travaille se rapproche d’un mystérieux duo de mercenaires hommes à tout faire dont la seule existence permet à la police de maintenir un semblant d’ordre.
Worick est un gigolo hableur qui sert de contact avec les clients et la police, travaillant également pour un chef mafieux.
Nicolas est un surhomme asiatique taciturne qui fait des ravages avec son katana mais qui est sourd. Il communique avec la plupart des gens à l’aide du langage des signes, étant capable de parler avec difficulté.

Alex pénètre leur monde dangereux et leurs secrets, gagnant leur confiance dans une athmosphère de massacres liés au contrôle des territoires.

Gangsta est presque du tranche de vie d’une ville pourrie, vu au travers des moins pourris de ses membres, ceux-ci n’étant pas des enfants de chœur. Ergastulum est un endroit sordide qui abrite la lie de l’humanité, la violence étant omniprésente, notamment du fait des Twilight, les surhommes sus évoqués. Heureusement la série reste très humaine, avec pas mal d’humour qui éclaircit ce sombre tableau.
Belle animation et réalisation.


Le vrai titre de la série : Gungrave 2015 ?
Si vous aimez : Les histoires de mafias comme Gungrave, qui semble plus sombre et grave, Jormungand
Note, pour l’instant : 16/20

Taux de moe : 30% Les fans d’hommes musclés et torses nus devraient apprécier
Taux de harem : 0% Rien pour l’instant



Catégorie “Bon”

17/ Saint Seiya : soul of Gold

Episodes vus : 8/ 13



Saint Seiya soul of gold s’améliore tranquillement au fil des episodes, faisant honneur aux différents chevaliers d’or présentés. Les combats sont bien plus rapides que ceux de la série d’origine et on y perd en tension (bon on y perd en tout en fait) mais cet anime est une des meilleures surprises de ces dernières années pour les fans de cet univers, laissant loin derrière elle le moyen Omega et surtout l’horrible Legend of sanctuary.

Le vrai titre de la série : Asgard 2015
Si vous aimez : l’univers étendu de Saint Seiya, les nouvelles armures
Note, pour l’instant : 14/20

Taux de moe : 10% Nada. La servante d’Hilda, vite fait.
Taux de harem : 0% Que dalle.

18/ Shimoneta to Iu Gainen ga Sonzai Shinai Taikutsu na Sekai (= « Shimoneta : un monde ennuyeux dans lequel le concept des blagues graveleuses n’existe pas »)

Episodes vus : 4/ 12



Dans un futur proche, toute expression de la sexualité a été prohibée. Pornographie comme comportements de drague ou de flirts sont interdits. Même les blagues graveleuses et la prononciation de mots liés au sexe est prohibée ! Des cours d’éducation sexuelle ? Vous rêvez !
Les contrevenants voient débarquer chez eux les groupes militaires moraux d’intervention, prévenus par le collier que porte chque citoyen de ce qui est devenu le pays le plus moral et le plus pur du monde. Et quand on parle d’intervention, on parle de troupes en rappel et d’armes à feu !

Notre héros rejoint à force de travail le lycée qu’il a toujours souhaité rejoindre, où officie la fille de ses rêves, Présidente des élèves qui veille à ce que le lycée soit le lieu le plus moralement sain du Japon.

Cependant, une terroriste, seulement vêtue d’un drap et d’une culotte, sévit dans les environs l’établissement, proférant diverses insanités et jettant des photos coquines au milieu des foules
Notre protagoniste va vite se rendre compte qu’il s’agit de la vice présidente du conseil des élèves, d’allure pourtant si stricte, qui l’embarque sans lui demander son avis dans sa croisade contre la vertu et la morale !

Série comique très bien vue sur une sorte de prohibition sur le sexe qui rappelle divers épisodes récents au Japon, notamment à Tokyo, Shimoneta est un série très drôle mais également très bizarre, typiquement dans l’esprit nippon.

Le vrai titre de la série : Les révolutionnaires sexuels contre la prohibition
Si vous aimez : Library wars, Sekai seifuku bouryaku no zvezda, la résistance à une société qui opprime la liberté d’expression
Note au final : 14/20

Taux de moe : 60% Forcément, on y trouve du langage salace et pas mal de plans sexy
Taux de harem : 10% Triangle amoureux à peine ébauché

19/ Prison school

Episodes vus : 3/ 12



Un prestigieux lycée de filles s’ouvre à la mixité en intégrant pour la première fois…cinq garçons dans l’établissement. Oui, bon autant pour la mixité, quoi. Et que se passe il quand 5 jeunes mâles en rut se retrouvent dans une situation aussi frustrante, les filles les ostracisant ? Rien de bon, il faut craindre. Notre héros avait enfin réussi à s’attirer la sympathie d’une fan de sumo mais est pris dans le plan de ses 4 congénères pour aller espionner les douches des filles.

Mais un mystérieux conseil secret des élèves veille et les prend sur le fait. Plutôt que de les renvoyer de l’établissement, il leur est proposé d’occuper à plein temps la petite prison au centre de la cour et de suivre les cours à distance au moyen d’une caméra. Entre une présidente des élèves frigide et misandre qui entretient un lien paranormal avec les corbeaux qui survolent l’établissement, la vice présidente sadique et sexy ou encore la secrétaire maîtresse en karaté et ultra violente, inutile de dire qu’aucun écart ne sera toléré.

Etrange série comique pleine d’humour noir et de non sens, Prison school joue avec les fantasmes masochistes de ses héros tout en rendant ridicule l’ensemble des personnages de l’anime.
Malgré un humour étrange et une réalisation pas toujours formidable, Prison school est une des curiosités de la saison.

Le vrai titre de la série : Le bahut des frustrés
Si vous aimez : Papillon, la grande évasion, l’humour nippon perché, le sexy omniprésent
Note au final : 14/20

Taux de moe : 80% Il y’a beaucoup de censure à base de rayons solaires car tout est lié au sexe dans cette série
Taux de harem : 0%

20/Fate kaleid liner prisma Ilya Herz

Episodes vus : 1/12



Suite directe de Fate/kaleid liner prisma Ilya 2wei, diffusé l’été dernier, il est indispensable d’avoir vu les deux saisons précédentes pour saisir les tenants et aboutissants.

C’est l’été et Ilya et ses deux amies fêtent comme il se doit la saison en faisant toujours tourner en bourrique le pauvre Shiro. Miyu doit vivre chez les deux « cousines » car son manoir a été détruit durant la saison précédente par la mystérieuse mage Bazett à la recherche des arcanes en sa possession.

Une série toujours entraînante malgré son scénario un peu trop léger. Les combats sont toujours aussi bien mis en scène et on a hâte de connaître enfin le passé de la mystérieuse Miyu, qui va être révélé cet été si on se fie à l’opening.

Le vrai titre de la série : Card captor Ilya saison 2, partie 2
Si vous aimez : Card Captor Sakura, Illyasviel von Einzbern, les magical girls, l’univers étendu de Fate et de Type moon.
Note, pour l’instant:14/20

Taux de moe : 50% Oui, forcément et pas qu’un peu.
Taux de harem : 20% Euh…pas vraiment mais il y’a pas mal de sentiments amoureux qui s’entrecroisent, parfois au pluriel, semble il

21/ God eater


Episodes vus : 1/13



Dans un futur proche, par la faute d’une poignée de scientifiques à la recherche de nouvelles sources d’énergie, l’humanité est déclinante à cause de l’apparition quelques années plus tôt de gigantesques monstres qui évoluent sans cesse, les aragami.

Notre protagoniste est un surdoué de la chasse aux monstres, qui a longtemps vécu à leur contact et survécu tout ce temps. Recueilli par le centre qui entraîne les futurs chasseurs d’aragami, il fait la connaissance de l’unité d’élite des god eaters, qui les pourchasse à l’aide d’armes multi usages, à la fois gatling, épée, faux, fusil à lunettes et bazooka qui hébergent chacune un monstre.

Vous l’aurez compris, cette série adaptée d’un relativement célèbre jeu vidéo inspiré du Monster hunter de Capcom n’a pas franchement la palme du scénario et de l’originalité.
Elle brille par ses combats superbement mis en scène, son ambiance de fin du monde sépulcrale et surtout sa superbe réalisation 3D, au rendu très dynamique et incroyablement proche de l’animation traditionnelle.

Une série à voir pour son côté technique.

Le vrai titre de la série : Monster hunter the animation
Si vous aimez : Black bullet, le jeu d’origine, les futurs apocalyptiques, Monster hunter
Note, pour l’instant:14/20

Taux de moe : 0% Rien pour l’instant
Taux de harem : 0% Nichts

22/ Himouto! Umaru-chan (« La petite sœur à deux visages ! Umaru~chan »)

Episodes vus : 3/ 12



Umaru~chan est la coqueluche de son collège : belle et de bon conseil, elle est la meilleure élève et l’une des plus sportives mais…elle vit chez son frère jeune actif et dès qu’elle rentre chez elle, elle se transforme en une étrange créature à la fois mignonne et envahissante, la Himouto (de « Imouto », la petite sœur en Japonais, et « Himono », mot voulant dire « poisson séché » et désignant une fille qui se laisse aller chez elle).

Dès lors, elle se gave de chips, de coca et d’autres aliments riches en sucre et en graisses, joue aux jeux vidéo du matin au soir, achète des trucs inutiles sur le net et surtout, enroulée dans sa couverture en forme d’ours, le moindre effort lui est insurmontable !
Elle se traîne lamentablement dans l’appart, roule ou rampe la plupart du temps et surtout elle tente d’émouvoir son frère pour qu’il aille lui acheter des trucs et satisfasse tous ses caprices.
Bonne poire et travailleur, celui-ci finit toujours par craquer devant cette petite sœur chiante mais si mignonne. Mais un jour, la visite d’une camarade de classe a surprend dans sa vie privée…

Série comique tranche de vie, elle est surtout basée sur la dichotomie entre l’image projetée par l’héroïne et sa vraie personnalité secrète. Ainsi, elle sait jouer de son image de jeune fille modèle pour se faire passer pour une victime aux yeux des gens lorsque son frère lui refuse un caprice. On plain d’ailleurs beaucoup celui-ci qui a vu changer sa sœur modèle en cette étrange créature sous ses yeux, dès qu’elle a emménagé chez lui.
Niveau humour, on est proche d’un Watamote, en moins dur et cynique, plus naïf.

Le vrai titre de la série : Ma petite sœur est un gremlin
Si vous aimez : Oreimo, Watamote, Switch girl et dans une moindre mesure KareKano
Note au final : 14/20

Taux de moe : 60% Le moe est partout dans cette série mais explose quand la petite sœur est chez elle
Taux de harem : 0%

23/ Rokka no Yushaa (= “Les héros des six fleurs”)

Episodes vus : 4/ 12



Dans un monde médiéval fantastique, sur une île gigantesque aux bâtiments très inspirés de l’archéologie aztèque, le puissant démon de la péninsule de l’ouest s’est réveillé et les hordes de démons animaux envahissent l’île.
La déesse du destin choisit six héros, surnommés les héros des six fleurs, à qui elle imprime par magie un signe qui les distingue comme les personnages appelés à sauver le territoire.
Adlet Mayer, auto proclamé homme le plus fort du monde, est l’un de ces élus à la grande surprise de champions plus attendus.
Mais quelqu’un tue les candidats potentiels à ce titre. Adlet et la princesse du royaume qu’il a mis en émoi partent en avance, espérant rencontrer les autres élus avant que tout soit perdu. Mais que faire quand ils découvrent qu’il ne sont pas six mais sept au final ? Il y’a un traître parmi eux…

Petite série d’héroic fantasy bien fichue au rythme assez tranquille, Rokka no Yushaa vaut pour :

- ses inspirations aztèques et d’autres peuples pré colombiens, rares en héroic fantasy
- ses sympathiques héros
- son scénario qui prend le temps de raconter une expédition avec les ennuis que cela comporte, sans sauter d’un évènement à l’autre (cf plus bas, Chaos dragon)
- son ambiance Cluedo pas désagréable

Le vrai titre de la série : Où est Charlie, le héros médiéval fantastique ?
Si vous aimez : les histoires dans lequelles on cherche l’intrus, comme Katanagatari ou encore Another, l’heroic fantasy pépère
Note au final : 14/20

Taux de moe : 30% Dans la moyenne basse des anime actuels mais les costumes légers des protagonistes tendent à le faire monter
Taux de harem : 0%

24/ Working!!!

Episodes vus : 4/ 13



Retour et probablement fin des aventures des serveurs, cuistots et managers du Wagnaria, petit restaurant familial peuplé de personnages tous plus ou moins barges.
Notre protagoniste, étudiant attiré par les choses mignonnes et exploité par ses grandes sœurs, a été amené à y travailler car il est attiré par la petite et dynamique Popura.
On trouve également une responsable ancienne chef de gang feignasse qui exploite ses troupes en en foutant pas une rame et en se gavant de parfaits, son affidée chantant sans cesse ses louanges, Yashiro qui ne quitte jamais son katana, le cuistot taciturne qui est amoureux d’elle, son commis qui le trolle, Hinami qui a été élevée dans la peur des hommes, qu’elle frappe par réflexe ou encore cette débile de Yamada, la fugueuse flemmarde à la recherche d’un tuteur et qui squatte le grenier du restaurant.

Le manga dont est adapté cet anime s’est fini à la fin de l’année dernière au Japon donc je pense que cette saison va boucler les autres.
Il est indispensable d’avoir vu les saisons précédentes pour comprendre les relations entre les personnages, ceux-ci ayant de nombreux liens et ayant beaucoup évolué.

Si vous aimez les personnages foufous, les ambiances de travail étranges et les Servant x service, ce tranche de vie comique est pour vous.

Le vrai titre de la série : Working saison 3
Si vous aimez : les deux premières saisons mais aussi les autres œuvres de l’auteur comme Servant x service, les tranches de vie amusants plein de persos bizarres
Note, pour l’instant : 14/20

Taux de moe : 40% C’est souvent moe tout plein, mais du genre bizarre et comique
Taux de harem : 0% Non.

25/ Denpa Kyoushi – He is an ultimate teacher

Episodes vus : 16/ 24



Notre protagoniste génial continue à vouloir détrôner le great teacher en révélant à ses élèves leur potentiel en se servant de ses connaissances d’otaku.
Ainsi, il sauve la fille de la compagnie détentrice du seul FPS à japonais à succès mondial d’un mariage arrangé ou encore aide le fantôme d’une fan de mangas à se libérer de ses regrets.

Toujours aussi laid techniquement, toujours aussi divertissant et bien vu dans son propos.

Le vrai titre de la série : GTO 2015
Si vous aimez : les anime pour otakus, GTO, la critique sociétale
Note, pour l’instant : 14/20

Taux de moe : 30% La série joue clairement avec les codes du genre mais est très sage
Taux de harem : 10% ça ressemble à un harem mais ça n’en est pas un.

26/ /The Idolm@ster Cinderella girls second season

Episodes vus : 2/ 12



Suite directe de la série diffusée ce printemps, cet anime voit l’arrivée de la redoutable PDG de l’agence qui emploie nos rafraichissantes et enthousiastes héroïnes, celle-ci étant bien décidée à se séparer des duos et trios qui ne rapportent pas assez. Notre taciturne producteur parviendra il à réaliser malgré tout les rêves de ses protégées qui lui réservent bien des surprises ?

The Idolm@ster Cinderella girls second season commence dans une atmosphère un peu plus sombre que d’habitude mais si on se fie aux saisons précédentes, la bonne humeur et le travail devraient encore une fois l’emporter sur les obstacles, ceux-ci fussent-ils des dirigeants d’entreprise nuls en psychologie.

Une série toujours aussi reposante et fun, pour du tranche de vie à la très belle réalisation, malgré des chansons très oubliables musicalement parlant.

Le vrai titre de la série : La vie rêvée des idoles 2, saison 2
Si vous aimez : The Idolm@ster premier du nom, les anime d’idols qui idéalisent leur univers, Wake up girls ! et bien sûr la première saison !
Note au final : 14/20

Taux de moe : 30% Des héroïnes moe en veux-tu en voilà !
Taux de harem : 0% Que dalle.

27/ Kurayami Santa (= “Le père noël sombre de l’enfer »)

Episodes vus : 3/ 13



Quand c’est le dawa sur Terre, le seigneur Enma envoie Kurayami Santa, le sale gosse armé de son petit maillet.
Evoluant en noir et blanc dans des images d’archives anciennes et des dessins aniés japonais du domaine public, le père noël infernal règle à chaque épisode un problème pouvant amener trop d’innocents dans l’au-delà et évolue dans des lieux souvent étonnants comme l’île minière d’Hashima, désormais déserte.

Une curiosité très agréable que ces épisodes de 4 minutes chacun.

Le vrai titre de la série : Kitaro le pragmatique
Si vous aimez : les anime antérieurs aux années 60, les programmes courts, le noir et blanc
Note au final : 14/20

Taux de moe : 0% Rien
Taux de harem : 0% Que dalle.

28/ Okusama ga Seitokaichou! (“Ma femme est la présidente du conseil des élèves!”)

Episodes vus : 4/ 12



Après sa défaite au poste de président des élèves de son nouveau lycée, notre protagoniste devient l’adjoint de la nouvelle titulaire du poste, une jeune fille excentrique et un peu fofolle qui lutte contre la présidente du comité moral pour la liberté amoureuse dans le lycée.
Il découvre qu’il a été promis en mariage à ce personnage foufou avec qui il va devoir cohabiter en l’absence de ses parents.

Une élève modèle entreprend de révolutionner un domaine auquel elle n’entend rien, aidée en cela par un protagoniste cynique. Ça rappelle quantité d’anime récents dont le prototype est selon moi La mélancolie de Suzumiya Haruhi mais surtout sur les moins nombreux anime basés sur la vie des conseils d’élèves nippons.
Cette série compte beaucoup sur ses deux personnages principaux, très à l’honneur, et offre une réalisation somptueuse pour des épisodes de 8 minutes chacun.
Une curiosité si vous n’êtes pas rebuté son synopsis assez bateau.

Le vrai titre de la série : Ma femme est la sœur cachée d’Haruhi
Si vous aimez : les programmes courts très bien faits, les anime basés sur les conseils des élèves comme Seitokai no ichizon
Note au final : 14/20

Taux de moe : 50% Un anime assez sexy
Taux de harem : 0% Rien pour l’instant. .

29/ Wakako~zake

Episodes vus : 2/ 12



Une office lady célibataire se fait plaisir en parcourant après le boulot des gargotes et nous fait partager ses petits plaisirs culinaires comme le fait de manger du karaage de poulet en dégustant une bière ou de déguster alternativement la peau grillée du saumon et sa chair.

Une petite série aux épisodes incroyablement bien dosés pour une durée de trois minutes chacun. C’est relaxant et ça donne faim.

Le vrai titre de la série : Mes petits plats faciles by Hana, the animation
Si vous aimez : les programmes courts, les tranche de vie culinaires, Mes petits plats faciles by Hana, le gourmet solitaire
Note au final : 14/20

Taux de moe : 0% Rien
Taux de harem : 0% Anime réaliste.

30/ Miss Monochrome the animation 2

Episodes vus : 4/ 13



La gynoïde kuudere qui veut devenir une idole populaire est de retour !
Cette série d’épisodes assez courts et un peu parodiques la voit tenter de réaliser son rêve avec notamment sa nouvelle assistante fans de rallyes automobiles nocturnes, qui change de personnalité dès qu’elle est au volant.
Rien de très neuf pour cette nouvelle saison qui fait très redite de la première.

Le vrai titre de la série : Miss Monochrome saison 2
Si vous aimez : la saison 1, Horie Yui, Vocaloid
Note au final : 14/20

Taux de moe : 20% Miss Monochrome et quelques personnages féminins sont moe
Taux de harem : 0% Miss Monochrome est une gynoïde insensible à tout sentiment

Catégorie “sympa”

31/ Chaos dragon

Episodes vus : 4/ 12



Un pays constitué d’une grande île, semblable au Japon, est envahi à l’ouest par un empire d’inspiration chinoise. Ses alliés du continent de l’ouest se contentent de défendre leurs positions et les forteresses établies sur l’île. Vous avez dit les Etats-Unis ? Bingo !
Un jour, le jeune prince de l’île envahie découvre l’existence du fabuleux pouvoir qu’il possède : en utilisant le pouvoir du mystérieux grand dragon rouge à la voix ridicule et à la modélisation 3D bâclée dont l’influence se fait ressentir partout, il peut désormais tuer n’importe quel adversaire qui lui fait face.
Mais le prix à payer est lourd : il devra sacrifier la vie d’un de ses amis proches pour chaque meurtre…

Anime issu de l’univers crée pour une campagne de jeux de rôles sur table par divers célèbres scénaristes d’anime (on reconnait certains thèmes de prédilection de l’Urobutcher), Chaos dragon adapte les light novels qui en ont été tirés.

La tension est palpable car on se demande quel sera le prochain personnage à y passer, un peu comme dans Akame ga kill ou Code Geass. Dommage que la réalisation, mi 2D mi 3D, soit assez quelconque et que les personnages ne soient guère enthousiasmants malgré les malédictions intéressantes qui frappent certains (ce chevalier dont tout objet tenu dans sa main quelques instants se désagrège peu après, par exemple).

Autre défaut de la série, le périple pour rencontrer le dragon rouge est réduit à des points sur la carte et des images statiques en fondu enchaîné, presque comme si les héros se téléportaient pour déclencher des évènements.

Le vrai titre de la série : Code geass, the heroic fantasy version
Si vous aimez : Arslan senki, la dark fantasy, Code Geass, Akame ga kill
Note au final : 12/20

Taux de moe : 20% Le moe est visible sur certains personnages mais non exploité et assez tenu, bridé par la noirceur du propos et de l’univers
Taux de harem : 0% Pour l’instant, rien

32/ Ninja slayer from animation

Episodes vus : 15/ 26



Le Ninja slayer continue à tuer les ninjas over the top responsables de la mort de sa famille, épaulé par ses quelques rares équipiers.
Malgré ses limites du point de vue de l’animation et du budget, Ninja slayer continue à intéresser, notamment grâce à son absence de sens du ridicule. C’est tout de même très répétitif.

Le vrai titre de la série : Inferno cop 2015
Si vous aimez : le tokusatsu, le studio trigger, Inferno cop, Kill la kill
Note, pour l’instant : 14/20

Taux de moe : 60% La journaliste Nancy, qui a fait grimper le taux à elle seule dans les derniers épisodes mais aussi quelques héroïnes
Taux de harem : 0% Que dalle

Catégorie “moyen”

Rien


Dernière modification par Man-Thing ; 27/07/2015 à 22h42.
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