Greg Rucka a bien aimé le
Wonder Woman #1 de George Perez (et Len Wein) tant cela transpire (le copier-coller) dans la narration.
Evidemment, c'est bien fich surtout avec une Nicola Scott au diapason pour dessiner les Amazones.
Après, il y a les petites différences bien sympathiques (avion invisible, l'approbation d'Hyppolyta, etc...) qui donnent du sel à la lecture.
Sinon, vu la référence à Ares, je sens bien un démontage radical du run d'Azzarello du genre rêve imposé ce qui posera quand même des questions sur le statut de Diana en déesse de la guerre vu qu'elle avait côtoyé le DC Universe ainsi. de plus, c'est tellement plus raccord avec la version exposée par geoff Johns lors de
Justice League.
En attendant, une Diana toujours plus proche de celle connue en 1987.
Vite la suite.