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Je viens de relire A God Somewhere. Je ne sais pas si ça vient de moi, et de ma petite forme du moment, mais ce récit très beau, très fort m'a bien mis le moral dans les chaussettes. Bien joué.
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Après Black Panther, j'ai profité d'avoir ressorti les mags Marvel Knights de Panini pour relire la maxi-série des Inhumains de Jenkins et Jae Lee. Toujours aussi agréable.
Et je continue ma phase "Panini avec les prix en francs" en relisant Earth X et tout ce qui suit. On verra si cette fois-ci j'arriverai au bout de Paradise X. |
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Aaah, ça c'était de la série Inhumans.
(non pas qu'après il n'y ait pas eu du bon, hein) D'ailleurs le premier n° me donne une ...idée...
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Il est impossible de faire comprendre quelque chose à quelqu'un
si son niveau de vie dépend directement du fait qu'il ne la comprenne pas. |
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Le mois prochain recommence Dream Police par Joe Michael Straczynski et Mke Deodato, mais au fait ça parle de quoi Dream Police? Il est vrai que 9 ans plus tard la parution du one-shot chez Icon il ne reste plus aucun souvenir de ce one-shot.
Une fois sortie de sa box le comics se laisse lire avec facilité, ce que l'on retient surtout c'est l'humour présent à chaque case de chaque page. C'est assez rare de voir JMS s'aventurer sur ce terrain et là il en use et abuse même. Certains gags sont faciles d'autres il fallait y penser, car tout tourne autour des rêves qui se matérialisent, ainsi on passe d'un rêve érotique illégal dans une église à un rêve récurent qui utilise justement l'humour de répétition pour finir par le cauchemar d'un enfant interrompu en grandes eaux. Voilà pour ce one-shot de presque 10 ans, maintenant la question est de savoir si il va compter pour la nouvelle série qui débute en mars chez Image, et aussi si cette série sera aussi basée sur l'humour car ce qui marche dans un one-shot qui est une accumulation de gags ne marchera pas forcément dans une ongoing. En tout cas me voilà paré à lire le nouveau Dream Police. |
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House of M Spider-Man : Un des meilleurs tie-in de House of M si ce n'est pas une des meilleures mini sur le monte en l'air tout court. Pauvre Peter, il n'est décidément pas fait pour le bonheur, même quand la vie lui sourit il faut bien que la mécanique se bloque. Tom Peyer et Mark Waid s'amusent avec la mythologie de Spidey pour encore mieux le torturer, Salvador Larroca ne s'était pas encore perdu en personnages aux bouilles improbables, ce qui donne une équipe en or pour cette mini qui interpelle. Le contexte de House of M n'est qu'une excuse pour repousser encore plus loin la fameuse Parker Luck. Une relecture fort agréable qui confirme pourquoi j'en avais encore un très souvenir après la lecture en singles il y a presque 10 ans.
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SILVER SURFER : LE RETOUR par Jim STARLIN et Bill REINHOLD
Cela fait un moment que j'avais ressorti le TOP BD 27 de chez Semic. Mais je n'avais toujours pas trouvé le temps de le lire à nouveau. Pas de surprise car c'est une récit qui j'apprécie toujours autant. Déjà il y a Shalla Bal. Norrin Rad sans Shalla Bal c'est comme Laurel sans Hardy. Les deux vont de pairs et beaucoup de bonnes histoires sur le Surfer tournent toujours autour de leur amour. En pleine maitrise de l'univers cosmique Marvel à l'époque ,Jim Starlin qui sort d'un run sur le Surfer d'Argent mais aussi de Infinity Gauntlet, est en pleine maitrise de son art. L'histoire est torturée mais fait la part belle au fantastique mais surtout à l'exploration de l'être. Zenn-La n'est plus. Elle se trouve parmi la collection de planète kidnappée par le très haut dont la matérialisation physique est un cerveau volumineux. C'est parfaitement dans les thèmes que Starlin évoquait à l'époque. En guest star on a le droit à Dragon Lune, en possession d'un joyaux de l'infini (celui de l'âme). La fille de Drax est exaspérante à souhait mais il émane d'elle une telle puissance que l'on se dit que Starlin n'avait pas son pareil pour caractériser ce type de personnage cosmique surpuissant. Le Silver Surfer redevient également Norrin Rad est c'était rare de voir cela. Starlin décrit un Norrin Rad apaisé et enfin heureux. La chute n'en sera que plus tragique pour lui. Ce qui m'avait marqué à l'époque mais encore plus maintenant c'est les merveilleux dessins de Bill Reinhold. Il est tout aussi à l'aise dans l'espace ou sur Zen La. Les paysages de cette dernière sont magnifiques tout comme l'immensité cosmique. Son talent éclate à chaque page. Ses découpages sont également intéressants, preuve en est la façon dont il incruste le coeur du très haut (dont les battements s'amenuisent) en train de mourir en petite case vers la fin du récit. Comme souvent chez Starlin il n'y a ni gagnant ni perdant et la fin donne à réfléchir. Starlin dessinera lui même la suite à cette histoire dans Silver Surfer : Résurrection. |
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En pleine relecture de l'absolute Dark Knight Return et c'est toujours aussi bon!
Histoire d'équilibrer les choses, j'ai également ressorti de mes étagères quelques VI et autres Spécial Strange pour me refaire l'intégralité de AoA. Là j'ai lu les X-Factor/wolvie et le début d'X-Man et c'est vraiment dommage parce que le truc aurait pu être à quelque chose de vraiment top si les scénaristes avaient gratté un peu plus en profondeur. Marrant aussi de revoir tous les gimmicks graphiques de l'époque...y'a des trucs sympa et d'autres beaucoup moins notamment les espèces de "Cambrés" made in Jim Lee qui frisent le ridicule ou autres establishing de persos tous grimaçant!!! Après DKR c'est quand même une lecture en totale roue libre
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Miguel&Diego! Mes ventes Mon blog à môa https://fr.ulule.com/arelate-t9-et-valerius-proculus/ |
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En ce moment je relis tout ce qui tourne autour du Kirbyverse de DC (le Fourth World mais aussi Kamandi, Omac,...) et surtout les différentes suites.
Ma première lecture était tellement étalée dans le temps que je n'avais pas remarqué à quel point Starlin avait dénaturé les concepts de Kirby. Là j'arrive à la période Evanier et on peut le voir, en seulement deux épisodes, prendre totalement le contrepied de Starlin en atomisant son subplot sur Eve Donner, et en revenant sur la 'vraie' nature des New Gods et de l'Anti-Life Equation. Puis Evanier met dans la bouche de Highfather un monologue sur les récents changements dans la société de New Genesis et la nécessité d'un retour aux sources où on peut le voir en transparence dire à Starlin d'aller se faire cuire un oeuf avec ses changements. Marrant. |
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Dans les suites du Kirbyverse, j'avais bien aimé les Forever People et Mister Miracle de DeMatteis, ainsi que les Orion de Walter Simonson. Par contre, Death of the New gods est à mon avis à éviter car écrit par un Starlin fatigué qui ressasse ses rengaines habituelles sans nouveauté et l'histoire est de toute façon rendue nulle et non avenue par Final Crisis. Etant partial sur l'oeuvre de John Byrne, je ne me prononcerais pas sur sa récupération de ce monde dans la série intitulée Jack Kirby's Fourth World.
Dernière modification par JB ; 05/03/2014 à 13h20. |
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La trilogie de Byrne/Simonson sur New Gods/Fourth World/Orion est à mon avis ce qui a été fait de mieux en moderne sur les New Gods.
Sinon la pépite post-Kirby qui est à lire est sans nul doute le one-shot Mister Miracle de Evanier et Rude. |
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Actuellement, je relis les aventures de Flash (DC Saga).
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Je viens de relire les séries Magneto Rex et Magneto: Dark Seduction. Les deux prennent pour cadre Genosha, que l'ONU confie à Magneto après Magneto's War.
J'ai une préférence pour Magneto Rex : Magnus, affaibli par son combat contre Joseph, doit concilier l'ambitieuse humaine Alda Huxley (subtil), qui a négocié la prise de pouvoir de Magneto, Fabian Cortez, traître dont il a besoin pour booster ses pouvoirs faiblissant, et son cabinet intérieur qui l'accueille avec réserve. S'opposent à lui des factions d'humains rebelles et de mutants qui suivent un autre leader, alors que Pietro et Malicia tentent de freiner l'ascension du Maître du magnétisme. Bonnes caractérisations des personnages : Amelia Voight a un rôle ambivalent, Pietro est à nouveau dans l'ombre de son père, et la romance Malicia/Magneto est définitivement dissoute. La mini-série Magneto: Dark seduction me paraît beaucoup plus désordonnée. Le propre conseil de Magneto garde secrète l'existence d'une machine capable d'amplifier les pouvoirs mutants, afin d'empêcher Magneto de retrouver ses pleins pouvoirs. Séparément, Cortez complote avec Roxxon et l'ONU dans le même objectif, puisque seule sa capacité de restaurer les pouvoirs de Magneto empêche son exécution. Polaris a rejoint Magneto après X-Men: The Twelve dans l'espoir que Magneto l'aidera à atteindre tout le potentiel de son pouvoir, ce qui lui permettrait de ramener Alex Summers. La Sorcière Rouge est dépêchée pour examiner les conditions de vie des humains à Genosha, et les Vengeurs sont en mission secrète pour aider les rebelles. Bref, l'histoire part dans tout les sens et s'intéresse à de multiples personnages, en oubliant simplement de se focaliser sur le personnage principal, Magneto lui-même. Celui-ci n'a qu'une page de développement où il doit choisir entre le respect de ses enfants et le pouvoir (devinez ce qu'il choisit ) : au lieu d'être le point culminant de la série, ce passage vient à mon sens sans une réelle mise en place des enjeux. Le graphisme de cette série part en live entre un Roger Cruz paresseux (Alda Huxley ressemble parfois à un simple croquis de personnage) et un changement de dessinateur dans le dernier numéro (Michael Ryan, au style très différent de celui de Cruz) A la lecture de ces deux séries, je réalise l'occasion manquée : la conclusion des deux séries pointent vers un World War M où la nation de mutants va se dresser contre les autres puissances mondiales, et j'ai l'impression que ce projet, s'il a existé, a été rangé vite fait pour faire place à l'arrivée de Morrison (Eve of Destruction boucle de manière insatisfaisante cette histoire, et Morrison détruit le pays dès ses premières pages) |
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Je relis certains comics du mois dernier dont j'ai tout oublié.
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Il est impossible de faire comprendre quelque chose à quelqu'un
si son niveau de vie dépend directement du fait qu'il ne la comprenne pas. |
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Tiens, c'est l'effet New52 pour moi (soit j'oublie directement, soit je crois l'avoir lu dans les années 90)
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Mes comics DC favoris à l'époque Je sais pas si tu rigoles mais moi, ça m'arrive un peu trop souvent ces dernières années.... alors que je me souviens sur le bout des doigts de n'importe quels oldies d'y a 30 ans (mais c'est vrai que, gamins, on relit un comic 1000 fois jusqu'à l'usure ^^ C. |
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