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Et puis il y a Thori : le chien de l enfer le plus top de l univers
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ah la grande époque de Gillen ..
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Oui 😀 L episode ou Volstag raconte Fear Itself de son point de vue est génial. Gillen assurait alors qu au même moment Fraction se prenait les pieds ds le tapis
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Bah, quiconque lisait Fear Itself arrivait à la même conclusion...
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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Ah merde j'ai pas lu ça. C'était quoi la conclusion de Volstag ?
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Il y a eu le très bon tie in de Yost sur Spidey. Fear Itself c etait rigolo. Involontairement rigolo mais rigolo qd même... et bien dessiné malgré quelques fautes de goût comme les costumes à la Tron.
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En fait Volstag raconte l event a ses mioches en expliquant su en gros c est grâce à lui que la guerre a été gagnée.
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Et puis Gillen c'est surtout l'excellent Journey Into Mystery à cette période.
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Batman #68
La blague est trop longue, mais elle a encore quelques bons moments ; même si ça dure vraiment, et si les "emprunts" de Tom King à d'autres auteurs sont quand même assez visibles. Poursuite de l'immense saga Knightmare, avec cette fois-ci une autre version des enterrements de vie de jeune fille et de garçon ; moi qui ai récemment relu ces mêmes événements dans le tome d'Urban Comics, je suis ravi. Bon, Tom King n'avait pas géré ces moments jadis, il le fait ici, et je ne peux m'empêcher de me demander si ce ne serait pas une "reprise" de contrôle par l'auteur, qui n'a sûrement pas goûté tout le bad buzz et les débordements qui ont suivi le mariage et le #50. Le tout étant grandement impacté, à mon sens, par tout le foin fait par DC dessus, avec tie-ins préparatifs et événement monté en épingle. Bref. Ici, on a donc la folle soirée de Selina & Loïs dans la Forteresse de Solitude, et c'est plutôt rigolo et léger, dans la droite ligne du double épisode/double rencard entre Superman & Batman & mesdames. Tom King gère bien le duo Selina/Loïs, les rebondissements sont rigolos bien que prévisibles ; idem pour Bruce & Clark, même s'il est un peu fainéant pour la crispation ennuyée des deux. Le tout se laisse bien lire, même si le cliffhanger final n'en est pas un ; tout ça est bien attendu, quand même, et rappelle grandement l'astuce de Final Crisis par Morrison. Amanda Conner livre des planches délicieuses, Mikel Janin & Dan Panosian assurent le reste un peu à la va-vite. Bon, l'ensemble reste solide, mais dommage que tout ne soit pas signé de la même personne. A moins que ça soit un signe ? Car les planches divergentes ne correspondent pas vraiment au "rêve"... à voir. Une lecture plus agréable que la précédente, déjà car il y a quelque chose à lire. Mais il est temps que tout ça s'arrête, quand même, pour voir ce que King veut vraiment faire de plus, là. |
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Superman #10
Bon. Brian Bendis s'oriente vers la fin de sa saga, avec ce quatrième chapitre qui accélère. L'histoire de Jon s'achève, le scénariste finit d'expliquer ce qu'il a fait pendant tant d'années - et, bon, c'est quand même un peu décevant. Jon aura donc passé la majeure partie de son absence enfermé dans un volcan par Ultraman, avant de s'échapper, d'être agressé par une Superwoman déchaînée, puis sauvé par un Jor-El qui a galéré à le retrouver. Soit. L'idée d'un Jon si longtemps absent me gêne sur le principe, mais même ce qu'en fait Bendis, c'est pas fou-fou. Après, l'auteur enchaîne en évoquant directement une nouvelle menace, celle de ce bon vieux Rogol Zaar, avec un cliffhanger qui évoque une énorme bataille. Bon. Objectivement, ça se laisse bien lire. J'ai une légère déception sur le "vide" de l'absence de Jon, mais l'ensemble se tient. Les réactions de Loïs & Clark sont correctes, et cohérentes avec la façon qu'a Bendis de les écrire. Le tout fonctionne, même si j'en viens maintenant à me demander si tout ça ne va pas vraiment mal finir pour Jon... ou une autre fâcherie spatio-temporelle. A voir. Ivan Reis gère très bien les quelques pages qu'il a à faire, la dernière double est superbe. Brandon Peterson livre encore des planches fort correctes, bien que son style me plaise moins. Je reste curieux de la suite. Dernière modification par Ben Wawe ; 10/04/2019 à 14h39. |
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Batman Who Laughs #4
La chute se poursuit pour Batman face au Batman Who Laughs. Alors que ce dernier va plus loin encore, Bruce a pris une décision extrême pour l'arrêter - à savoir devenir comme lui, pour découvrir ce qu'il prépare ; habile, mais dangereux. Ce #4 gère les conséquences de ce cliffhanger du #3, et Scott Snyder continue de montrer qu'il est bien meilleur sur des récits cloisonnés comme ici, que dans des gros ensembles comme Justice League. Sa gestion d'Alfred, de Gordon, du BWL et même du Grim Knight sont bonnes. Même son Joker devient pertinent et intéressant, là où ses Death of the Family ou Endgame m'avaient navré. Le numéro est dense, il se passe beaucoup de choses, et chaque événement est bien traité, avec ce qu'il faut de moments pour permettre aux rebondissements de mûrir. Un bon scénario, donc, en outre illustré avec brio par un Jock en très, très grande forme encore. Cette mini-série continue de me surprendre agréablement ; le final est ici classique, mais je suis curieux de voir la suite. |
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moi je vois pas la difference avec avant.. c est toujours la meme intrigue et les mêmes points qui sont developpés.. des intrigues clichés utilisées pour faire sortir des traits de personnalité ou une toile de fond qui est déjà mise en avant depuis metal... depuis metal.. on avance pas.. tu as une excuse d intrigue à chaque fois mais utiluisée simplement pour agiter les mêmes points sans fin.. |
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Detective Comics #1.001
Début sérieux mais guère excitant pour cet Arkham Knight, et ce qui pourrait être considéré comme le "vrai" commencement du run de Pete Tomasi, après l'exercice imposé de meubler avant le #1.000. L'auteur s'attelle ici à l'introduction de l'Arkham Knight, rendu célèbre par le jeu-vidéo ; moui. Tomasi maîtrise toujours bien son Batman, il faut l'admettre, et il a le goût des événements choquants. Toutes les chauve-souris de Gotham meurent, Bruce enquête, va évidemment voir les Langstrom, ne tombe que sur Francine (car Kirk est dans JLD), et ça se passe mal. Il est interrompu par la suite par d'étranges chevaliers, formés et armés pour le stopper ; ils y arrivent, pour que leur maître, l'Arkham Knight, puisse soumettre Bruce. Bon. Ca reste solide, correct, "propre" on va dire. Le tout est sérieusement exécuté, mais... bon, ça n'est pas très excitant. L'Arkham Knight avait du sens pour son "mystère", et le fait que ça soit Jason Todd en dessous ; sans ça, que reste-t-il ? Pas grand-chose, hélas. Le délire chevaleresque rappelle Azrael, donc c'est du déjà-vu. L'équipe surentraînée rappelle la Colonie de Jacob Kane, ce qui est encore récent. Bref, rien d'original, même si la lecture est agréable. J'attends de voir la suite. Brad Walker débarque, il offre des planches correctes et solides, même si le visage de son Batman doit être encore travaillé. Ho, ça se laisse bien lire, mais ça ne soulève pas un grand enthousiasme. |
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Mais j'ai toujours aimé les futurs alternatifs ou dimensions parallèles. |
#45
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A croire que DC temporise le temps de laisser Doomsday Clock finir
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