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Weird Work 1 & 2 / 4
Donc Weird Work est un comics qui a été publié en 2021 chez Burnt Barn, et réédité par Image en ce moment ... avec une re pagination / refonte on passe de 3 à 4 numéros. (30 - 37 - 40 vers 28 - 31 - ? - ? ). Weird Work est un Roman Noir, qui se passe dans le futur, sur une planète peuplé d'êtres tous plus étranges ... donc Shaky Kane s'y sent à son aise. Mais Jordan Thomas, à changer le type de récitation, nous perds , ces interventions dans les cadres est de trop... (N'est pas Morrison ou Milligan qui veut) et ... c'est peut être lié à la re pagination, mais on se perds un peu (au début) dans l'histoire.. se succèdent 3 séquences de 4 - 5 pages qui n'ont pas de lien vraiment entre elles - même si ca permet de poser l'univers, on sent le schéma un peu forcé -- comme l'écriture en elle même ... J'ai vraiment du mal à rentrer dedans... (je me dit que la suite dans ma PaL sera bien meilleur.... Groo, Second Coming ... )
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Shoot Shoot don't talk |
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J'enlève tes spoilers, Honey. Navré pour ceux qui ne voudraient pas découvrir des choses... en venant sur un topic d'avis VO.
En gros, Gotham, ce serait les pires cités, rongées par le chômage, les trafics et le crime de masse. Dès lors, le plan de Selina ne pourrait rien détruire.
En jouant l'avocat du diable, l'on peut défendre l'idée en disant que Joker War a montré la fragilité de la richesse numérique, ce qui aurait pu provoquer un transfert des riches vers les biens luxueux en "dur", pour s'assurer de les avoir sous la main.
Il est assez clair qu'il n'est pas dans un état pleinement maîtrisé, oui. |
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Mais ils devraient déjà être ailleurs, en fait. Le principe que des gens ayant des fortunes non liées publiquement au crime n'a aucun sens en soi.
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Pour moi à par Bruce qui reste pour raison personnel (Eradiquer le crime) la plupart des élites de Gotham est une élite corrompu.
Selina ne fait que voler des voleurs, escroc ou personne qui sont lier a des voleurs, escro et ou organisation criminel (Style court des hiboux). Donc non, même voler il resteraient car il y on un intérêt : Profiter du système corrompu et qui est en place. |
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Après le plan de Selina à été pensé par Tini Howard, hein
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Mais comme je disais à Watchblue (je crois), il faut accepter une certaine dose d'incohérence pour lire des comics. Ca fait parti du "package" de base dirons nous. Mais il y a, selon moi, une limite qui est de ne pas aller trop dans l'absurde, même en partant d'un statu quo qui l'est intrinsèquement. J'espère être clair.
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COMIXITY !!! A l'écoute des comics ! Le PODCATCH !... Du pod et du catch quoi. Le Bureau des Comics a ouvert ses portes ! |
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J'aime quand un plan se déroule sans accroc...
Pas là quoi...
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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Voilà. J'aurais du juste résumer ma pensée comme ça en fait.
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Teenage Mutant Ninja Turtles / Usagi Yojimbo in Wherewhen 1-5
j'ai peut être parlé il y a quelques temps des premiers ... (mais je n'ai lu le dernier qu'hier) La mini avec Usagi et les tortues se termine, et on se retrouve avec un nouveau statu-quo .. - En regardant les résumés de Ice&Snow, la premiere mini de Usagi (en 5) pour son retour chez Dark Horse, il y avait un truc qui me chagrinait... Wherewhen, fait bouger pas mal de choses dans le monde de Usagi, et ca serait dommage que ces évènements ne soient pas canon.. mais ils ne se situent pas à ce moment . So weight & sie comme on dit au pays des sumos ^^
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Les tortues et Usagi.... deux univers que je dois absolument attaqués
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If Jack Bauer was in a room with Hitler, Stalin, and Nina Meyers, and he had a gun with 2 bullets, he'd shoot Nina twice. |
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Batman #137
Pas mal, pas mal. Imparfait, peu original, mais efficace. Chip Zdarsky enchaîne dans la Gotham War, avec Batman qui court-circuite tous les plans des troupes de Catwoman pour des vols "sûrs" de riches absents. Il y va fort, tape dur, et ça provoque des réactions, avec notamment Tim qui tente de le calmer, en vain. L'essentiel de la Batfam' semble vouloir laisser Selina faire, et ils veulent "attirer" Batman pour en parler... mais Bruce les piège avec un drone, et attaque directement le QG de Selina. Ca tape encore plus, la Batfam' arrive et le combat est rude. Bruce se fait prendre par Dick et Jason, mais est aidé par Damian. Ils repartent, Selina se crispe et Bruce découvre que le Manoir a été... racheté ! Il y va et découvre que le nouveau propriétaire est C'est pas mal, oui. Il y a toujours des éléments qui font tiquer, comme la Batfam' qui accepte quasiment à l'unisson l'étrange plan de Selina ; ou encore la multiplicité des vols de super-riches encore à Gotham. Mais bon, la rage de Batman fonctionne vu la mort d'un sbire père célibataire, rendant son enfant orphelin, et la confrontation avec la Batfam' est efficace, même si là aussi, ça monte vite. La fin surprend et intrigue. Jorge Jimenez assure aux dessins, sans briller non plus. C'est très fluide et très efficace, très prenant, mais il a déjà été meilleur. Pas mal. Plutôt une bonne surprise vu le principe de base. Birds of Prey #1 Début classique mais très réussi, et très beau. Kelly Thompson déroule une narration déjà-vue mais très efficace, avec Dinah qui évoque avec un Ollie revenu (dommage que ça arrive avant la fin de la saga actuelle sur Green Arrow) son "besoin" de former une équipe efficace pour sauver Sin, sa soeur adoptive disparue. On voit ainsi les recrutements de Batgirl (que Black Canary considère la meilleure de toutes), Big Barda (avec un beau rapprochement avec Cassandra) et Zealot (avec une "dette" de Zannah envers Dinah). Puis la prise d'un agent imprévisible : Harley Quinn, après l'avis de Cassandra, et quand Harley apprend qu'une jeune fille est menacée. Elles s'unissent, et parlent alors avec une femme étrange venue du futur, annonçant le besoin d'empêcher une apocalypse en sortant Sin de Très efficace, sans être révolutionnaire. Kelly Thompson déroule efficacement un procédé déjà-vu, mais avec de bons moments et de beaux dialogues. Elle caractérise bien ses personnages, ses héroïnes, et forme de bons liens, notamment Cassandra/Barda ou Dinah/Harley. Je suis curieux de la suite, surtout après le cliffhanger révélant la localisation surprenante de Sin. Surtout, c'est magnifique : Leonardo Romero livre de très belles planches, avec un vernis classique, notamment via des couleurs un peu passées qui fonctionnent bien. C'est très fluide, dynamique et prenant. Superbe. Un bon début, sans originalité mais avec beaucoup d'efficacité. City Boy #4 Efficace et sympathique. Greg Pak enchaîne autant sur la quête de City Boy pour retrouver sa mère, que sur la grande saga globale le liant de manière surprenante à Darkseid. Il arrive à Blüdhaven, où il a "vu" la trace urbaine de sa mère partir, et la voit retrouver une autre famille, après l'avoir abandonné. Il croise Nightwing, se crispe sous le choc, et tous deux découvrent l'Avatar mignon de la ville. Dick lui demande de l'aide pour retrouver une jeune fille liée à Intergang, City Boy hésite puis s'emporte en voyant que Grayson veut l'arrêter. Ils la retrouvent, bagarre avec Intergang et finalement le mystérieux professeur évoque le futur de Darkseid. City Boy repart ensuite, se pose dans un parc... mais Swamp Thing s'approche ! C'est efficace, oui. Greg Pak gère bien sa saga, avec un City Boy assez touchant dans sa quête de vérités sur sa mère, mais qui n'est pas forcément "sympathique" avec les autres. Le passage de Nightwing est anecdotique, mais l'intégration dans l'univers DC fonctionne. Le lien avec Darkseid demeure surprenant, mais le rappel à Final Crisis est bienvenu, et un clin d'oeil de continuité très agréable. Graphiquement, Minkyu Jung continue de livrer des planches solides, jamais brillantes mais assez claires et dynamiques. C'est correct et cohérent. Un ensemble toujours efficace, aussi surprenant que cela soit. Fire & Ice: Welcome to Smallvile #1 Sympathique. Je suis très difficile dans les comics de super-héros avec de l'humour et, si je n'ai pas ri en lisant ce numéro, je le trouve agréable et réjouissant. Joanne Starer amène Fire et Ice à Smallville après l'épisode spécial de Power Girl, où Superman a "poussé" pour qu'elles y aillent après leurs dérapages. Les deux héroïnes, qui se souviennent que Clark est Superman, sont accueillies par Martha Kent, et emménagent dans un salon de coiffure qu'elles louent. Fire veut absolument poursuivre le super-héroïsme, Ice beaucoup moins. Ice échange beaucoup avec Martha, engage une coiffeuse, et Fire "provoque" King Shark en ligne. Superman le stoppe en ville, Fire le prend mal et s'engueule avec Ice, qui veut abandonner le super-héroïsme et apprécie de tenir le salon. Fire, blasée, en vient à appeler Ambush Bug à l'aide... alors que, en flash-forward, on voit que Smallville est en feu deux semaines plus tard ! C'est sympathique, oui. Joanne Starer gère plutôt bien ses personnages, avec beaucoup de sensibilité et de douceur mélancolique pour Ice, et le côté enflammé de Fire. Ca reste imparfait, parce que c'est un peu lent, mais ça fait un peu sourire, et ça a une approche un peu mélancolique, je le redis, qui fonctionne. Graphiquement, Natacha Bustos assure dans un style très clair, quasi cartoon, sans trop y verser. Ce n'est pas "beau" mais c'est agréable à suivre. Pas mal, pas mal pour de l'humour de super-héros. |
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Shazam! #3
Sympathique. Mark Waid enchaîne, en avançant doucement ses pions et en amenant quelques révélations. L'on apprend en effet que, deux semaines plus tôt, Freddy a été emprisonné / interrogé par les cinq qui donnent les pouvoirs de Shazam (Solomon, Hercules, Achilles, Zeus, Atlas, Mercury), et "passent" par lui pour espionner / avoir accès à Billy. L'idée ? Le contrôler, donner des impulsions pour que ses actes correspondent mieux à leurs souhaits. C'est pour cela que The Captain a agi étrangement récemment, il était sous la coupe d'Achille et d'Hercule. Freddy est forcé d'oublier, ensuite. Au présent, Billy se morfond de ne plus utiliser ses capacités, s'ennuie, ouvre même une page dédiée à... Metamorpho, pour s'occuper. Il est cependant forcé à agir quand un bus est menacé ; un bus rempli de gorilles venus de Gorilla City, qu'il ramène chez eux. Il y apprend que l'Empereur de la Lune (!) menace, et Billy y va... pour confronter un étonnant obèse verdâtre. Tandis que, en parallèle, Tawny doit gérer le dinosaure venu demander des comptes à Billy, et menace de l'arrivée des... Auditeurs ! C'est sympa', oui. Pas forcément aussi fou-fou qu'on peut l'espérer, ou que ce résumé peut le laisser imaginer, mais sympa'. J'aime bien l'idée que les entités qui donnent leurs capacités exigent des comptes, c'est plutôt pertinent et ça amène quelques réflexions sur l'utilisation des pouvoirs. Je suis largué sur l'Empereur de la Lune, mais le rendu est surprenant et fun ; comme le dinosaure administratif, même si ce n'est pas forcément délirant. C'est cool mais pas dingue. Graphiquement, Dan Mora assure... mais un rien moins. C'est beau, léger, dynamique, mais un rien moins brillant que d'autres fois. Ca se comprend, vu son planning. Sympa', mais pas aussi énorme que ça pourrait l'être. Steelworks #4 Efficace, bien que très convenu. Michael Dorn poursuit son récit très balisé, mais agréable. Alors que John Henry cherche pourquoi l'énergie de Superwoman est revenue pour Lana, le pauvre type manipulé par Charles Walker III attaque le bâtiment. Désormais Silver Mist, le type tente de voler le fameux artefact mis au point par Steel. Ca se bagarre, le type s'enfuie, a priori avec rien, car Irons a créé un faux et caché le vrai ; mais de faux nettoyeurs, à la solde de l'ennemi, volent le vrai. Steel, Superman et Lana comprennent que l'artefact transforme ceux liés à l'énergie des Supers, alors que Charles Walker III a enfin sa puissance pour son projet. Rien de novateur, donc, mais une intrigue convenue efficace. Michael Dorn anime de manière cohérente ses personnages et ses événements, avec un Steel tour-à-tour bon stratège et un peu neuneu. Sa relation avec Lana est agréable, l'intrigue autour du coeur Genesis lié à Warworld créé une belle continuité, et l'ensemble est prenant, même si les opposants sont un peu faibles. Graphiquement, Sami Basri et Vicente Fuentes proposent des planches classiques, fluides mais réussies. Sans plus, mais rien de moins. Une saga convenue, agréable à retrouver. Justice Society of America #6 Un bon épisode, qui fait la transition avec la mini-série Stargirl: The Lost Children. Sympathique, mais ça avance peu. On enchaîne en effet avec la fin du #5, où Stargirl amène les sidekicks enlevés et oubliés au QG de la JSA, qui se remet de la chute de Degaton. On apprend la chronologie : Degaton a perdu il y a trois jours, Stargirl est revenue hier ; Courtney a donc enchaîné salement, elle mérite une petite pause... mais non ! Stargirl accompagne les sidekicks, en essayant de retrouver leurs marques. Tous n'ont pas la chance de Judy, qui retrouve son père Jay Garrick (on apprend sa date de naissance, en 1949). Les sidekicks sont troublés, l'ex apprenti de Mr Terrific découvre Michael Holt, la sorcière de Salem est crispée devant Khalid (qui évoque tous les Doctors Fate, dont Kent V. Nelson, cool). Helena est installée à New York par Bruce, encore très gêné. Finalement, Helena et Power Girl évoquent la suite des recrutements, et notamment l'idée de réhabilitation des super-vilains. Et Huntress veut commencer par... Solomon Grundy ! Bon, c'est sympathique mais ça n'amène pas grand-chose. Geoff Johns "encaisse" ici les retombées de Stargirl: The Lost Children, avec l'accueil et la réadaptation de certains sidekicks. On sent bien lesquels vont réapparaître, et c'est plutôt sympa'. Ca rappelle sa deuxième série, avec la menace de Gog, et aussi énormément de jeunes formés par la JSA. C'est aussi cool de revoir Ted Grant, qui vient faire coucou et jouer sur le subplot sur Yolanda et Dr Mid-Nite. Mais... bon, ça n'avance quand même pas. Graphiquement, Marco Santucci a déjà fait mieux, souvent ; mais ça se lit. C'est solide et pro'. Sans plus. Un bon numéro, mais plus pour encaisser la mini-série annexe. Vivement que ça reprenne vraiment. |
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Fantastic Four #11
Définitivement une approche "anodine", sans ambition extraordinaire, mais définitivement sympathique, notamment sur cet épisode. Ryan North se concentre ici sur Ben, qui refuse qu'un p'tit chien s'installe avec eux. Alicia se demande si ça ne vient pas du fait que Ben se ferme à tous ceux qui ne sont pas de son cercle depuis la disparition des enfants, par chagrin. Cependant, Ben se réveille soudain seul, avec le chien... dans une illusion, où la maison ne cesse de tomber. Il parvient à en sortir en réfléchissant, en "démontant" l'illusion et confronte alors Miracle Man, venu voler des inventions de Reed (mais il ne trouve rien). Ben bat Miracle Man physiquement, les autres se réveillent et Ben décide de garder le chien... la petite Princess Masters-Grimm ! C'est mignon. J'aime bien cette orientation "anodine" de la série, où aucune saga ne vise la fin du monde, mais où les personnages sont bien creusés, avec beaucoup d'éléments scientifiques pertinents et bien amenés. Là, il est agréable de suivre Ben ainsi, notamment un Ben qui "pense" et réfléchit, avec son expérience de pilote. Bon, c'est un peu bavard, mais c'est chou. Graphiquement, Iban Coello livre de bonnes planches, avec notamment un Ben très bien croqué. Top. Une vraie p'tite bulle de plaisir, cette série. Immortal X-Men #15 Sympathique plongée chez les "pas-gentils" du Conseil Silencieux, avec Shaw et Selene, tandis qu'Exodus mène son troupeau de Mutants dans le désert ; avec ses dangers. Kieron Gillen continue de jouer avec les membres "restants" du Conseil Silencieux, avec focus ici sur Selene. Celle-ci joue le jeu de Shaw dans l'espoir de récupérer les corps des Externals sacrifiés par Apocalypse pour former la porte menant à Amenth, où était perdu Arakko. Elle tente ainsi d'améliorer les troupes Orchis, qui cependant ne tiennent pas face à un Charles Xavier particulièrement agressif pour quiconque approche de Krakoa. Selene révèle en off qu'Orchis n'est PAS responsable de la disparition des Mutants dans les portails : ils devaient bien aller sur Mars/Arakko, ils ne savent pas où ils sont. Shaw est gêné, alors qu'Exodus tente d'organiser les Mutants perdus dans le désert. Ils croisent finalement Mother Righteous, qui se révèle Mutante aussi (ah bon ?), et surtout qu'ils sont à proximité d'une ville et d'un oasis géant. Les Mutants sont a priori sur un autre pan de Krakoa, dans l'Océan Atlantique... C'est pas mal. Kieron Gillen ne donne pas un souffle de fou-fou, mais il s'amuse beaucoup avec Selene et Shaw, et ça se sent. C'est assez fun de les suivre, surtout avec leurs tentatives de mal agir qui ne fonctionnent pas forcément. Je suis plus réservé sur un Xavier violent, mais ça a du sens dans le récit. Le passage sur Exodus et le troupeau est efficace, mais j'en ai soupé des Sinistres et revoir Mother Righteous me soûle un peu, déjà. Graphiquement, Paco Medina est là : ce n'est pas beau, ce n'est pas fou, mais c'est efficace, solide et correct. Je prends pour ce que c'est. Sympathique, même si ça ne vole pas haut. X-Men #26 Un peu maladroit mais sympathique. Gerry Duggan enchaîne sa saga étalée sur plusieurs séries, avec un vrai souffle mais quelques maladresses. Ici, on voit en gros quelques Mutants essayer de gérer le contexte Orchis : Kamala qui s'empêche d'utiliser ses pouvoirs contre des anti-mutants mais aide quand même ; Shadowkat qui veut tuer Firestar cachée sur une station Orchis (mais Angelina lui révèle la vérité sur le plan de Jean, Kitty accepte mais exige que Firestar ne dise rien ; et Angelina semble agir en sous-main pour influer à distance en utilisant son père et Tony Stark) ; et Emma Frost. Celle-ci, sous l'identité de l'assistante de Tony, travaille avec Wilson Fisk, Roi Blanc du Hellfire Club, alors que Stark alterne entre soirées décadentes et travail sur une super armure. Emma veut s'associer à Shadowkat pour tuer leurs ennemis, notamment Feilong, mais Tony la stoppe pour éviter une escalade. Ils se débattent, elle retire l'anneau bloquant ses pouvoirs, il le récupère, ils sont interrompus et... Feilong pense alors que Tony demande son assistante en mariage ! C'est pas mal, oui, mais un peu maladroit. Disons que le cliffhanger est cocasse, mais un peu facile voire lourdaud. L'ensemble se lit, mais le fait que le mariage soit amené ainsi, ça fait plus grosse blague qu'élément travaillé dans un contexte très sérieux et sombre. C'est un rien dommage, comme la rencontre Kitty/Firestar, qui aurait mérité plus de puissance émotionnelle. Dommage. Graphiquement, Jim Towe et Javier Pina proposent des planches correctes, mais qui ne brillent pas. C'est solide, c'est déjà ça. Sympathique mais maladroit quand même. |
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J'ai enfin lu le fameux Void Rivals #1 qui ramène les franchises de Hasbro.
Au-delà du coup marketing (2 pauvres pages tombant comme un cheveu sur la soupe), l'histoire des 2 personnages suivis est quand même ultrachiante : vu et revu et ce n'est pas la dernière page qui m'incite de poursuivre... Si c'est pour pondre ce genre d'histoires qu'il a décidé de ou dû stopper Fire Power, je suis très déçu...
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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