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-Onslaught, -Le protocole Xavier, -Deadly Genesis, -Plus ou moins M. X. ? Bref c est plus trop une révélation si on rajoute au moins les scenes avec Jean de Lee/Kirby puis Micronauts.. plus des trucs avec Moira, Voight, la meuf infiltré chez les damnés, Legion et sa mère... j en oublie.. CBR ou newsarama avait fait un point de tous ces trucs.. et clairement.. c est déjà fait. Dernière modification par Fred le mallrat ; 26/07/2019 à 15h35. |
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History of the Marvel Universe #1
Bon, c'est sympa', ça me semble très complet, c'est aussi dynamique qu'un monologue explicatif peut l'être, et c'est très joli. Mais Mark Waid s'arrête, à la fin du #1, à la période où Je suis un peu dubitatif, parce que je crains qu'il s'occupe bien trop et trop longtemps des éléments les plus connus et récents, sur les personnages eux aussi les plus connus. Non pas que je n'aime pas ça, mais un titre "History of the Marvel Universe" m'intéresse plus pour les grands événements passés, les rouages cosmiques, les civilisations disparues, et les "grands débuts" de tout, plutôt que de revoir les origines de Cap' ou des X-Men. Mais nous verrons. Bon, ici, Mark Waid gère bien et s'en sort aussi bien. Il a même une "idée" pour expliquer ce grand déballage : Javier Rodriguez livre de très belles planches, c'est toujours joli et constamment propre et professionnel. Les couleurs sont vives, ça surprend mais c'est finalement assez réjouissant. C'est visuellement de toute beauté, et c'est un grand atout de cette saga. Voyons la suite, donc, mais je demeure dubitatif sur le choix d'aller aussi vite. A voir ce que Mark Waid réserve ! |
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Tony Stark : Iron Man #14
Dan Slott est de retour, encore accompagné par Jim Zub au scénario. Le tie-in à War of the Realms est passé, replongeons dans les écritures habituelles ! Et ça fait plaisir. Tony est perturbé car il sait qu'il n'est pas le "vrai" Tony, mais un ersatz issu des données que Stark a téléchargées avant de mourir ; et surtout parce qu'il a bu à nouveau dans l'eScape, son monde virtuel devenu cauchemar suite à la folie des IA basées sur Howard et Maria Stark. Alors qu'il indique à Carol Danvers qu'il ne peut être son parrain aux AA, il a l'idée "merveilleuse" de Un épisode dense et riche, encore ; ça fait plaisir. Dan Slott & Jim Zub continuent de très, très bien animer le riche casting de la série, et chacun a son petit passage. La "solution" de Tony est assez fantaisiste, mais correspond finalement à la fuite-en-avant continue du héros face à ses problèmes. La présence de Captain Marvel est légitime vu le "problème" qui les unit, et les références à Civil War II sont réjouissantes. L'ensemble est très solide, et Arno ne cesse de devenir une menace terrible. En parallèle, Valerio Schiti livre des planches très dynamiques et jolies. Il maîtrise complètement le casting, les personnages et le rythme du titre. J'adore ! Content de retrouver la série à ce tel niveau, vivement la suite. |
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Flash #75
Numéro spécial, plus long, pour cet épisode anniversaire. Joshua Williamson y scénarise trois passages : un pour conclure Flash Year One, un pour ouvrir sur la suite, un pour suivre un événement actuel. Allez ! Joshua Williamson termine donc Flash Year One, et il le fait bien. La messe est dite depuis la fin du #74, Barry dépasse sa peur et son pessimisme pour retrouver l'optimisme perdu après la mort de sa mère. Il se raccroche à son espoir, l'associe autant à sa mère qu'à Iris, et mène la lutte contre deux Turtles ; ce qui pousse Central City à se rebeller et l'aider. La bataille est simple mais efficace, et le tout se finit gentiment... avec le premier Flash Day, mais aussi la rencontre entre Barry et Wally (et Wallace, tout jeune). C'est mignon, efficace, sans surprise, mais c'est agréable d'avoir ce qu'on peut attendre. La caractérisation est bonne, les rebondissements aussi ; dommage que la voix-off soit un peu lourde, mais ça se lit. Howard Porter livre de bonnes planches, très dynamiques et plus "propres" que dans le précédent épisode. Un bon final ! Joshua Williamson enchaîne ensuite avec Scott Kolins pour présenter le nouvel avatar de la Still Force, qui pousse aussi Barry à non pas courir plus vite, mais plus intelligemment. Barry reconstruit le Flash Museum, et en profite pour vouloir reconstruire ses relations passées et aller de l'avant. Ca n'avance rien, ici, mais ça acte que Barry veut aller de l'avant, et Williamson fait ça bien. Kolins est impérial, comme très souvent sur le Speedster. Enfin, Williamson se concentre sur Captain Cold, qui accumule les missions dans le Suicide Squad, quasiment mort à l'intérieur. Il reçoit évidemment la visite de Lex Luthor, pour la fameuse offre de Year of the Villains. Un bon portrait de Cold, bien illustré par Christian Duce ; mais l'extrême influence de Year of the Villains commence déjà à me lasser... Un "gros" numéro très agréable mais sans surprise ; c'est joli, efficace, et ça parle aux fans. Ca me plaît ! |
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Comment je maudis Archonia de m'avoir fait louper tout ça cette semaine...
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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The Terrifics #18
Il fut un temps où la série The Terrifics était une très bonne surprise, avec un début laborieux, mais une rapide explosion, un état de grâce court mais intense, et une suite très solide et agréable. Ce fut le temps de Jeff Lemire ; et il est hélas terminé... comme mes lectures de ce titre, qui ne me passionne plus et, je le pense, ne va pas tarder à s'arrêter. Gene Luen Yang se perd complètement dans son intrigue sur la Noosphere, sorte de Galactus numérique. La lecture est longue, les rebondissements sont téléphonés et chiants. Plastic Man devient hanté par la religion, est sur le point de se laisser mourir pour "se débarrasser de ses péchés". Mr Terrific trouve une solution pour repousser la Noosphere, mais s'interroge si ce n'est pas, vraiment, un nouveau dieu... et Mrs Terrific ne le comprend pas, elle qui est plus mystique et spirituelle. Tout ça avec des dialogues creux, et des dessins lourds et sans génie de Stephen Segovia. Oh, et il y a une offre de Luthor, qui prépare la prochaine saga avec Je m'arrête là. Ca m'ennuie. Je ne retrouve pas les personnages et surtout l'ambiance mise en place par Jeff Lemire. Dommage, c'était fun, mais... le changement d'auteurs a raison de mon intérêt ! |
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Sachant que sur cette intrigue a minima, il n'y a pas de "fin", donc on peut être vraiment dans cette continuité. Et ce serait à mon sens la seule explication acceptable, qu'on soit dans la veine de ce qui est encore le cas "juste avant"... Si on nous ressort un truc abracadabrant du chapeau, ce serait vraiment décevant. Mais pour le moment, il y a anguille sous roche, et j'espère que HICKMAN ne sombrera pas dans la facilité. Pour le reste, Xavier n'a jamais été l'ange que certains héros ont pu imaginer, et tous ces passages évoqués par plusieurs d'entre vous peuvent très bien aller dans le concept de la deuxième série qui, s'il faut le rappeler, montrera des passages datant de différentes époques des X-Men... si HICKMAN nous impose ça, c'est clairement qu'il va se servir de choses passées pour justifier son intrigue. En tous cas, il y a beaucoup de points obscurs dans ce début... Xavier (qui en plus évoque tellement le Maker... je prie pour qu'il n'y ait aucun lien), et les résurrections, pour commencer. |
#69
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J'ai lu le numéro hier soir. Je n'ai pas encore lu tous vos avis mais celui-ci décrit parfaitement ce que je ressens. Une entame intrigante, un sentiment qu'il y a quelque de malsain qui se trame, une présentation des factions en présence. Et les classiques graphiques hickmaniens. J'attends la suite avec impatience. |
#70
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Guardians of the Galaxy #7
Bon, le cliffhanger de ce #7 ne surprendra pas le lecteur régulier de la série, car la fin du #6 annonçait dans les crédits ce fameux retour de Star-Lord a donc avoué à Gamora qu'il l'aime, et tous deux Donny Cates maîtrise bien ses personnages, même si le focus est plus limité ici. Le rythme est dynamique, l'ensemble est nerveux, et si je suis gêné du "massacre", qui me semble trop habituel et trop régulier, cela donne une bonne sensation de danger. Cory Smith a un style un peu différent de Geoff Shaw, je n'aime pas son Star-Lord, mais ça se lit bien et c'est assez propre. Ca me plaît toujours, même si ce n'est pas toujours fou-fou ou "énorme". Je suis curieux de la suite ! |
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En juin, Dynamite a livré le début d'un crossover surprenant mais finalement d'une logique extrême : Warlord of Mars Attacks.
Ou John Carter affronte les Martiens du film de Tim Burton. Si. Mon avis sur le #1 : Mon avis sur le #2, sorti il y a peu. Suite de l'improbable mais intriguant crossover entre John Carter et Mars Attacks. Après le premier épisode, ultra-dynamique mais ultra-troublant (car le début "classique" de John Carter est suivi d'un saut au présent avec une invasion de Mars Attacks sur Terre), voici la suite qui demeure de qualité. Ce #2 vise surtout à donner des explications : que fait John Carter ici Le cliffhanger est classique, mais l'ensemble de l'épisode est efficace. Les explications sont correctes, la dynamique entre les survivants est bonne, et c'est souvent drôle, notamment à l'arrivée du chef des Martiens qui tente de comprendre les Humains (en vain, car ils sont débiles). C'est fun, c'est très correct et cohérent, et Dean Kotz livre des planches solides, même si ce n'est pas extraordinaire. La bonne surprise continue ! |
#72
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Peu de chance vu quIl est en couv du futur fondation d’octobre.
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Martian Manhunter #7/12
Après avoir présenté les ultimes moments de J'Onn J'Onzz sur Mars, Steve Orlando se concentre sur une action "au présent" pour J'Onn et Meade, même si le script indique que cette période est à quelques années en arrière (ce qui confirme l'aspect "Year One" de cette maxi-série pour Martian Manhunter). Le duo mène une opération de police contre un trafic, et ils se retrouvent esseulés... au point que Un bon numéro. Moins intense, moins puissant, moins choquant que le précédent, mais efficace pour sa forte dose d'action, mais aussi la construction de la relation J'Onn/Meade. C'est simple, mais classique et foncièrement efficace. Riley Rossmo illustre ça dans son style, c'est moins exceptionnel et intense que sur les passages à Mars, mais ça fonctionne très bien. Je continue d'adhérer à cette maxi-série, qui modifie en profondeur J'Onn, sa psychologie et son rapport aux autres, notamment parce qu'il est présenté comme Je suis curieux de la suite ! |
#74
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The Batman Who Laughs #7
Suite et fin, enfin, de cette trop longue mini-série, qui m'a bien plu à ses débuts mais s'est perdue sur son dernier tiers. A force de multiplier les plans du Batman Who Laughs, de multiplier aussi ceux de Batman qui Bon. Quid de la fin ? Elle paraît correcte même si elle est autant précipitée (dans sa résolution, qui voit Scott Snyder achève sa mini-série en l'ouvrant sur la future Superman/Batman par Joshua Williamson, et je n'en serais pas. Je n'ai pas adhéré au BWL durant tout Metal, j'ai apprécié le début de cette mini-série quand il était un croquemitaine, mais... Scott Snyder m'a perdu, et je trouve que tout son propos d'infection est inutilement lourd, glauque et lassant. Jock gère très bien l'aspect graphique, mais... pff, ça m'a lassé. Allez, je passe à autre chose, et je ne reviendrais pas sur cette intrigue ! |
#75
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Avengers #22
War of the Realms est terminé, l'épilogue aussi ; Jason Aaron embraye donc sur un subplot intervenu il y a peu, sur Robbie et Johnny Blaze Robbie doute de lui, perd le contrôle de sa voiture, et décide de s'en débarrasser ; ça se passe mal. Au point que Un numéro de lancement prudent, mais efficace. Jason Aaron s'intéresse autant à Robbie, qu'il caractérise bien, qu'à la vie de son groupe ; les échanges entre Blade et les autres sont bons, et installent ce dernier dans l'équipe. Il prépare sa future saga avec Thor et Stark, et finit sur un cliffhanger prévisible mais efficace. Le tout est dessiné correctement par Stefano Caselli, bien encré et bien coloré. Ca donne un numéro très efficace, qui ronronne mais permet de bien tout poser. Allez, passons la deuxième ! |
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