2021 !! Tu critiques ou bien ?

[Slobo]

	Citation:			Posté par EsseJi
	Ah la continuité DC, dis toi que pour cette mini on est sur les bases de la Justice League Bwa-ha-ha et rien d'autre.

Malheureusement DC n'a pas d'application comme Marvel dispo sur l'Europe.
Je m'y connait pas assez pour passer par des sites qui proposent du DC et d'autre éditeurs. Un gros regret car j'aimerais lire Nightwing, et pour moi le papier c'est fini trop triste d'avoir du me débarrasser de tout.

[watchblue]

Tu as revendu tous tes comics ?

[Fred le mallrat]

	Citation:			Posté par Slobo
	Malheureusement DC n'a pas d'application comme Marvel dispo sur l'Europe. Je m'y connait pas assez pour passer par des sites qui proposent du DC et d'autre éditeurs. Un gros regret car j'aimerais lire Nightwing, et pour moi le papier c'est fini trop triste d'avoir du me débarrasser de tout.

qu appelles tu ne pas s y connaitre?
Sur comixology, tu achetes (et il faut attendre les nombreuses soldes pour que ce soit interessant. mais tu peux faire une liste de souhaits) mais apres tu met l appli sur ta tablette et tu lis comme Unlimited.. c est même mieux foutu comme appli pour lire (mais tu payes les comics).
Apres en légal t as rien d autres pour l instant

tu peux tester avec les comics gratuits
https://www.comixology.fr/gratuits

[Slobo]

	Citation:			Posté par watchblue
	Tu as revendu tous tes comics ?

Pire j'ai du les jeter (Punaise de lit)

	Citation:			Posté par Fred le mallrat
	qu appelles tu ne pas s y connaitre? Sur comixology, tu achetes (et il faut attendre les nombreuses soldes pour que ce soit interessant. mais tu peux faire une liste de souhaits) mais apres tu met l appli sur ta tablette et tu lis comme Unlimited.. c est même mieux foutu comme appli pour lire (mais tu payes les comics). Apres en légal t as rien d autres pour l instant tu peux tester avec les comics gratuits https://www.comixology.fr/gratuits

OK je trouve ça compliquer ou alors j'ai un blocage avec Comixology.
En plus j'avais commandé un TPB et l'ai pas eu, j'avais eu un avoir mais jamais utilisé.
Et j'ai perdu mes codes, le genre de truc ou ça me met tellement en stress qu'après j'ai du mal à retourner (J'ai aussi perdu comme ça de l'argent sur paypal)

[Fred le mallrat]

Naaaaaaaaaaannnnnnnnnnnnn
j ai eu la meme chose mais j ai sauvés les miens... poches congelation et 3 jours à -21/-24 pour ma collection
j ai jetté que ceux que je voulais vendre...

[Fred le mallrat]

	Citation:
	OK je trouve ça compliquer ou alors j'ai un blocage avec Comixology. En plus j'avais commandé un TPB et l'ai pas eu, j'avais eu un avoir mais jamais utilisé. Et j'ai perdu mes codes, le genre de truc ou ça me met tellement en stress qu'après j'ai du mal à retourner (J'ai aussi perdu comme ça de l'argent sur paypal)

là apres tu n as plus qu Izneo en attendant que Urban le publies puis une promo...
en légal, c est tout avant que l appli DC arrive

[Slobo]

	Citation:			Posté par Fred le mallrat
	là apres tu n as plus qu Izneo en attendant que Urban le publies puis une promo... en légal, c est tout avant que l appli DC arrive

Je vais attendre l'appli DC en croisant les doigts qu'elle vienne un jour.
Je connais pas assez Izneo et je reste en Legal

[Ben Wawe]

S.W.O.R.D. #11
Boah.
C'est frustrant, en fait. Ce numéro est frustrant, car il est bon, et il annonce du bon. Mais il acte le fait que S.W.O.R.D. était une série hybride, dont le final "renie" finalement les principes du #1 qui n'est sorti qu'il y a quelques mois. Je vois, je sens ici qu'Al Ewing change clairement ses plans, retombe habilement sur ses pieds mais... oui, c'est une grosse improvisation, hein.
Al Ewing range en effet les jouets, avec la chute du Peak organisée par Whiz-Kid infiltré auprès d'Henry Peter Gyrich. Manifold et Cable empêchent le pire, et Whiz-Kid révèle à Gyrich avoir récupéré tous les éléments pour l'accuser... et les transmet aux Shi'ars, qui ont perdu des hommes mais sont sauvés par

une Storm royale.

Gyrich s'enfuie, est confronté par Abigail Brand qui révèle

qu'elle "veut" que ORCHIS stoppe Krakoa, mais ORCHIS ne le fait pas assez vite. Brand ne se voit pas, ne se reconnaît pas comme Mutante, mais a eu besoin de Krakoa pour "construire" Sol comme super-puissance cosmique. Abigail en vient à tuer Gyrich, et prépare son futur contrôle du système solaire.

Ouais, carrément. La transformation d'Abigail Brand surprend, mais a du sens dans le propos de S.W.O.R.D. et même le côté "super-manipulatrice-depuis-le-début" peut passer. Mais ça peut passer, seulement, car les premiers numéros étaient trop sincères, sans arrière-pensée.
Al Ewing est habile, mais ça reste une improvisation habile, et ça se voit. La lecture est bonne, Jacopo Camagni livre de très belles pages, avec un style rond et souple. Mais oui, il y a ce sentiment un peu aigre d'une série gâchée, des bons principes perdus et une fin cohérente, mais improvisée.

Un gâchis de l'ère Krakoa. Un de plus, même si la lecture est agréable.

X-Men : The Trial of Magneto #5
What. The. Fuck.
Tout ça pour ça, vraiment ?! Ridicule.
Alors oui, on sait qui a tué Wanda, mais après bien trop de détours et avec une approche complètement nulle. On obtient même une évolution dans les résurrections. Et pff, encore.
Bref. En fait,

Wanda s'est organisée pour préparer un sortilège "géant", afin de forger une faille dans l'Espace-Temps pour réussir à "récupérer" les âmes et esprits des Mutants défunts dans toute l'Histoire. Cela permet ainsi de ressusciter des Mutants morts avant que Cerebro fasse des copies de leurs esprits, et on a ainsi le retour de... John Proudstar / Thunderbird ; ouais, carrément. Il y a aussi la possibilité de "s'inscrire" dans une Waiting Room pour ressusciter, et passer dans une dimension pour revenir, sans subir l'Arène. Enfin, Wanda a, dû pour cela, mourir afin de provoquer les remous cosmiques nécessaires, et elle s'est tuée elle-même devant Magneto. Mais il faut bien un coupable, et c'est Toad qui est exilé après condamnation et aveu du meurtre pour un motif futile, sans qu'on comprenne pourquoi il fait ça.

Ridicule, oui. Bon, l'idée de ce renouveau sur les résurrections, je n'y adhère pas car c'est encore plus "trop facile", mais j'apprécie l'alternative à l'Arène. Mais l'idée est ridicule, et encore plus les raisons de la mort de Wanda, qui est "lavée" aux yeux des Krakoans à la fin. Et que dire du "coupable" condamné, ce qui est honteux et incompréhensible.
Leah Williams est clairement téléguidée ici, et ça ne fonctionne jamais. C'est emprunté, maladroit, mal foutu, et nul. Il n'y a guère que le passage entre Jean-Paul et son mari, qui

vont voir la résurrection de l'enfant que Northstar avait adopté,

qui est touchant et bien fait.
Le reste de l'épisode est un naufrage, la mini-série est une débâcle. Lucas Werneck propose des planches agréables, mais ça ne fait pas tout, hélas.

Non pas un gâchis, mais une honte.

[mrcitrouille]

J adore ton résumé de Trial of Magneto : l idée qu un tel pitch ait été accepté est dingue. C est con de chez con cette histoire.

[Ben Wawe]

Mais tellement. Tellement !

[mrcitrouille]

Il faut arrêter Hickman et Jordan White : je cherche un truc plus pourri (de mémoire) que ce Tria of Magneto mais je ne trouve pas. Ça doit exister mais la le niveau est haut

[Ben Wawe]

Avengers #51
BAGARRE !
Pas grand-chose de plus pour résumer cet épisode centré sur l'action. On retrouve Tony qui essaye d'aider Thor sur Asgard, car ce dernier vit très mal la "révélation" selon laquelle sa véritable mère serait le Phénix préhistorique. Echo vient sur Asgard pour parler, mais ils sont attaqués par des Death Hunters des Maîtres du Mal Multiversels : une Dark Phoenix, un Wolverine en berserker à sa main, Killmonger avec une armure de Destructeur.
Ca bagarre, ça s'engueule entre Thor et Echo alors que les Deathloks comblent les blancs mais se font massacrer. Et Dark Phoenix ramène un

Thor berserker alors que Cap' révèle, de loin, qu'ils sont aussi attaqués.

Bon, c'est une belle bagarre. Ca se lit bien, les interactions sont bonnes, et Jason Aaron creuse bien cette idée un peu bizarre de Thor fils du Phénix. Juan Frigeri livre de belles planches, assez dynamiques, même si toutes les images ne sont pas réussies.
C'est bien, oui, mais "limité" car finalement ça ne reste qu'une bonne bagarre. J'espère quelque chose de plus consistant après, même si ça parle assez à mon côté gamin amateur de baston.

Une belle bagarre, ouais, et c'est plutôt réjouissant comme délire. Pour l'instant.

Avengers Forever #1
Sympa', mais presque trop sage.
Jason Aaron livre un #1 sympathique, qui se fixe sur la Terre-818, qui devait intégrer un âge d'or de l'Humanité, car Odin devait s'en occuper comme de son enfant après le décès de Thor alors enfant. Mais les Multiversal Masters of Evil ont massacré les Prehistoric Avengers, et ce monde est infernal. Ici, Tony Stark a grandi avec une mère passionnée du futur mais morte jeune, et un père fixé sur le présent et crispé sur la boisson. Tony a rejeté chaque voie, et est devenu archéologue, incapable de finaliser ses projets hormis les War Machines, armures utilisées par les sbires du Wastelord, et un assistant comme fourmi androïde. Tony a aussi trouvé, en expérimentant dans une cellule, les Particules Stark et est devenu Ant-Man. Il retrouve

Mjolnir

et voit Robbie Reyes qui s'en prend aux War Machines avec un Deathlok. Robbie est interpellé par le Wastelord, en fait

Black Skull, le Red Skull Venom

tandis que Tony rejoint les Plus Grands Losers de la Terre. En parallèle, les trois petites-filles de Thor du futur errent dans le Multivers.
C'est sympa', oui. Mais... juste sympa', en fait.
Je suis très friand des univers alternatifs, et j'aime bien ce que je lis. Mais ça ne m'emporte pas plus que ça. L'idée d'un énième Wasteland, après tout ce qu'on a vu sur l'univers Old Man Logan, me laisse assez froid. On passe aussi trop de temps sur ce Tony / Ant-Man, sympathique, mais on sent que Jason Aaron galère à justifier sa passion pour le passé, qui est assez artificielle. Robbie est bien écrit, mais devient soudain trop badass alors qu'il hésitait plus dans les 50 premiers épisodes d'Avengers.
Mais ça se lit bien, c'est agréable bien que le fun soit limité. Aaron Kuder propose des planches solides, un peu sales, et c'est bien. Mais ça manque de décors, ce qui l'arrange bien que le Wasteland justifie ça.

C'est sympa', mais sans plus. J'espère qu'on ne restera pas trop longtemps sur cette Terre, car sinon je ne resterais pas trop sur ce titre.

[Ben Wawe]

	Citation:			Posté par mrcitrouille
	Il faut arrêter Hickman et Jordan White : je cherche un truc plus pourri (de mémoire) que ce Tria of Magneto mais je ne trouve pas. Ça doit exister mais la le niveau est haut

Je pense que c'est Jordan White, là.
Leah Williams est trop mauvaise, et trop "basique" ici, alors qu'elle avait une écriture plus fine sur ses X-Factor. Et l'idée sur la résurrection fait rajout à l'arrache.
Pour moi, Trial est un événement d'un éditeur, voulu par un éditeur seul, et imposé comme tel.

Merci, hein.

[Ben Wawe]

Black Panther #2
Bien.
Le premier épisode m'avait laissé une impression partagée, avec un ensemble déséquilibré. Heureusement, ce #2 est plus homogène, et surtout poursuit la bonne deuxième partie du #1, ce qui me plaît bien.
Ici, T'Challa et sa nouvelle alliée visitent les autres agents infiltrés, dormants, et les réactions à la fin du programme sont diverses. Shuri aide, enquête pour remonter la piste. L'inévitable première confrontation arrive, avec un succès mais sans explication. Et si T'Challa avance, le final le montre en mauvaise posture.
Bon, ça n'avance pas énormément, mais ça fonctionne. John Ridley livre un bon épisode, avec un bon mélange d'action et de caractérisation. Il prend le temps de bien décrire son T'Challa : froid, stratège, paranoïaque, seul. Rien de neuf, en soi, mais un scénario équilibré et efficace, ce qui est déjà beaucoup vu les errances tièdes de l'auteur chez DC.
Juann Cabal propose de belles planches, dynamiques, avec une approche "solaire" qui surprend, vu le contexte, mais rend bien.

Pas un grand épisode, mais un bon épisode, ce qui est déjà une belle réussite pour John Ridley. Et oui, ça se lit agréablement pour ce début.

Kang The Conqueror #5
Belle fin.
Collin Kelly & Jackson Lanzing retombent logiquement sur leurs pattes dans ce final prévisible, mais efficace et agréable.
Nathaniel, désormais pleinement Kang, refuse que Ravonna soit morte - et lui échappe. Il manipule le Temps pour "créer" des Ravonnas partout, tout le temps ; mais les tentatives pour la retrouver se soldent par des échecs, cruels et violents. Ravonna se refuse à lui, ou le destin la refuse à lui. Nathaniel s'abandonne, devient aigri, boit, se perd.
Il récupère

un jeune Nathaniel, et l'on revient au début du #1. Avec ensuite un beau discours en voix-off de Kang, seulement Kang, qui se voit au-dessus d'Alexandre le Grand... s'il parvient à s'interdire d'aimer. Pour toujours.

C'est bien, oui. Hautement prévisible, mais très efficace et très réussi. Les deux scénaristes livrent un bon épisode, avec une superbe caractérisation, pour une mini-série très agréable et très maîtrisée. Cela sonne vraiment comme l'oeuvre "idéale" pour faire découvrir Kang, et je tire mon chapeau aux auteurs.
Carlos Magno livre de belles planches, avec toujours ce grand sens du détail et une nervosité du trait. C'est top, et ça fonctionne encore et toujours bien, ici.

Une bien bonne mini-série, avec un final prévisible mais maîtrisé. C'est bien, et ça fait plaisir.

[Ben Wawe]

Moon Knight #6
Un épisode de pause agréable.
Jed McKay embraye sur la révélation et le choc du #5, où Zodiac est révélé comme ennemi manipulateur qui fait exploser la Midnight Mission et met une branlée à Moon Knight. Son assistante vampire en vient à demander de l'aide

auprès du Dr Badr, surnommé Hunter's Moon, une sorte d'autre Moon Knight que Marc a rencontré récemment.

Il vient aider Spector, puis s'en occupe, le soigne en expliquant son origine. Et si Marc se remet, il confirme à la population qu'il continue sa mission, et prépare la suite.
En soi, il ne se passe pas grand-chose ici, mais Jed McKay gère bien son épisode, avec une origine pour cet allié surprenant, et un lien avec Marc. On suit finalement la Marvel Way (d'abord ils s'affrontent, ensuite ils s'allient), et c'est agréablement efficace.
L'ensemble bénéficie surtout des dessins intenses, envoûtants et étranges d'Alessandro Capuccio, qui livre encore une atmosphère superbe et prenante.

Pas grand-chose à dire sur cet épisode de pause, mais qui fait intelligement ce qu'on lui demande, avec de très beaux dessins !

Darkhold : Spider-Man #1
Brr.
Alex Paknadel écrit un épisode bien glauque, bien dérangeant et assez réussi. On se concentre sur le "cauchemar" de Spider-Man, un monde où

les choses et les gens ne cessent de se désagréger, sans mourir mais en souffrant, a priori à cause d'une erreur de Molecule Man, sans certitude.

Spider-Man ne cesse d'aller et venir, de bloquer les choses et de "réparer" les gens avec sa toile, mais ça ne tient pas.
Il tente aussi d'être à l'heure pour sa soirée avec Gwen, alors que Mr Fantastic est, comme Peter avec son pouvoir guérisseur, immunisé grâce à ses capacités d'étirement. Reed, très sec sur la relation Peter/Gwen, envoie Spidey à la recherche de Venom mais

Eddie Brock est mort et le symbiote refuse Peter, car il préférait Eddie.

Peter arrive en retard auprès de Gwen qui

est morte depuis longtemps

et il en vient à

attaquer Reed, pour le "découper" et l'utiliser comme "colle" des choses et des gens... alors qu'il reste conscient, tout éclaté dans la ville.

Brr, oui. Si ça manque d'explication sur l'origine du phénomène, et le phénomène lui-même, les effets sont rudes et bien dérangeants. Le récit est assez classique, mais très efficace dans son approche glauque. Le malaise est total, bien aidé par les planches d'un Dio Neves qui livre une belle atmosphère, complètement prenante et étouffante.
C'est rude, ça tape dur, ça fonctionne bien. Le principe du cauchemar Darkhold est bien respecté, et c'est une belle horreur que tout ça !

Un bon numéro, pour un beau cauchemar.