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Yep mais la composition de la couverture n'est pas - en théorie - l'oeuvre de Bendis. C'est plus la responsabilité de l'éditeur là.
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C'est pour ça que je parle du titre plutôt que de l'auteur : j'ai honnêtement détesté Mighty Avengers alors que New Avengers se laissait lire.
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La dernière page du premier numéro ne donne pas carrément le nom de Ultron ?
J'avais un vague souvenir d'un truc du genre "protocole Ultron téléchargé"... (du coup, c'est encore pire niveau intérêt...)
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"My Lord, you have no space suit..." "Air is for cowards ! Do it !" mes ventes diverses et variées mes recherches diverses et variées les aventures d'Archibald Long-Jean |
#4
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Et la dernière page du second nous montre la Guêpe révéler à l'équipe qu'Ultron est de retour. Ce n'est pas qu'il s'agissait d'un suspens à la limite de l'insoutenable (surtout en lisant le deluxe, au vu du titre), mais c'était un peu lourd en terme d'écriture.
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La boutique de Louis la Brocante : http://www.buzzcomics.net/showthread.php?t=30218 |
#5
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Je prends toujours autant de plaisir à relire le cross-over The Janus Directive : de l'espionnage avec du slip de haut niveau!
Pour les nostalgiques de Waller qui était déjà une belle s***** à l'époque et autres.
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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#6
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j'ai relu dernièrement la période One More Day sur Spider-Man. Y'a à boire et à manger, mais ça a permis de faire de nouvelle chose, certaines très réussis Ock en phase finale, Carlie, certaines moins comme Freak. Et qu'est ce que cela a été agréable de relire ça en arc pour voir certaines pièces s'assembler.
Si j'ai le temps j'en ferais une chronique rapide dans mon topic.
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#7
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Je viens de finir de relire les Black Panther de Priest. Ma première lecture avait été imparfaite, en partie à cause des aléas de la publication en VF, j'ai pu donc redécouvrir la série dans de bonnes conditions. Et j'en conclus la même chose qu'à l'époque, dès le début et jusqu'au numéro 49 c'est excellent, des fois trop bavard, mais la manière dont Priest a mené les aventures de Tchalla est exemplaire, avec une intégration dans le Marvel Universe qui est carrément jouissive. Les guests sont nombreux et jamais gratuits, oui même Wolverine
Le changement de statu quo au 50 m'a moins convaincu, ça reste sympa mais l'univers de Kasper Cole est bien peu passionnant. Côté graphique, au début c'est un peu instable: on enchaîne Mark Teixeira, Joe Jusko, Mike Manley, Mark Bright, puis ça se stabilise avec Sal Velluto, qui à part des visages peu expressifs a été bon et de mieux en mieux au fil des épisodes et s'est approprié le titre. C'est vraiment une déception de voir la rupture lors d'un numéro important comme le 50, dessiné par Dan Fraga...puis Jorge Lucas, Jim Calafiore et Partick Zircher mèneront la série à son terme, avec au passage une saga fill-in sans Priest de 2 épisodes complètement nulle. En 60 épisodes, Priest aura donc réintroduit le background de la Panthère, développé pléthore de persos secondaires, ainsi que le Wakanda lui-même, sa population civile et son fonctionnement politique. Parmi les guests, amis ou ennemis, on citera en vrac Power-Man & Iron Fist, les Vengeurs, en solo Captain America, le Faucon, Iron Man, Wolverine, Magnéto, Namor, avec à chaque fois un questionnement sur leur relation avec la Panthère. En conclusion, un run très ambitieux, cette ambition aura parfois aura parfois abouti à me faire froncer les sourcils au moment de résoudre certaines choses, l'arc avec l'autre Panthère tirée d'une autre époque en particulier (mais quand même très fun, avec le dessin "kirbyesque" de Velluto pour ce Panther qui ne parle que le Stan Lee). Mais Priest a réussi à faire quelque chose de marquant sur la durée avec un personnage secondaire, tant dans le fond que dans la forme. Et puisque j'ai fait le run en VF, un petit mot sur la traduction, notamment dans les épisodes parus en Monster, signés d'une certaine F..., où certaines joutes verbales entre des persos d'une grande érudition ressemblent à des disputes sur le quai du RER B. |
#8
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Ça serait bien que Marvel réédite ça dans de beaux tpbs... A l'occasion de la sortie du film ?
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Je n'ai plus de signature. |
#9
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Je viens de relire A God Somewhere. Je ne sais pas si ça vient de moi, et de ma petite forme du moment, mais ce récit très beau, très fort m'a bien mis le moral dans les chaussettes. Bien joué.
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#10
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Après Black Panther, j'ai profité d'avoir ressorti les mags Marvel Knights de Panini pour relire la maxi-série des Inhumains de Jenkins et Jae Lee. Toujours aussi agréable.
Et je continue ma phase "Panini avec les prix en francs" en relisant Earth X et tout ce qui suit. On verra si cette fois-ci j'arriverai au bout de Paradise X. |
#11
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Aaah, ça c'était de la série Inhumans.
(non pas qu'après il n'y ait pas eu du bon, hein) D'ailleurs le premier n° me donne une ...idée...
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Il est impossible de faire comprendre quelque chose à quelqu'un
si son niveau de vie dépend directement du fait qu'il ne la comprenne pas. |
#12
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Le mois prochain recommence Dream Police par Joe Michael Straczynski et Mke Deodato, mais au fait ça parle de quoi Dream Police? Il est vrai que 9 ans plus tard la parution du one-shot chez Icon il ne reste plus aucun souvenir de ce one-shot.
Une fois sortie de sa box le comics se laisse lire avec facilité, ce que l'on retient surtout c'est l'humour présent à chaque case de chaque page. C'est assez rare de voir JMS s'aventurer sur ce terrain et là il en use et abuse même. Certains gags sont faciles d'autres il fallait y penser, car tout tourne autour des rêves qui se matérialisent, ainsi on passe d'un rêve érotique illégal dans une église à un rêve récurent qui utilise justement l'humour de répétition pour finir par le cauchemar d'un enfant interrompu en grandes eaux. Voilà pour ce one-shot de presque 10 ans, maintenant la question est de savoir si il va compter pour la nouvelle série qui débute en mars chez Image, et aussi si cette série sera aussi basée sur l'humour car ce qui marche dans un one-shot qui est une accumulation de gags ne marchera pas forcément dans une ongoing. En tout cas me voilà paré à lire le nouveau Dream Police. |
#13
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House of M Spider-Man : Un des meilleurs tie-in de House of M si ce n'est pas une des meilleures mini sur le monte en l'air tout court. Pauvre Peter, il n'est décidément pas fait pour le bonheur, même quand la vie lui sourit il faut bien que la mécanique se bloque. Tom Peyer et Mark Waid s'amusent avec la mythologie de Spidey pour encore mieux le torturer, Salvador Larroca ne s'était pas encore perdu en personnages aux bouilles improbables, ce qui donne une équipe en or pour cette mini qui interpelle. Le contexte de House of M n'est qu'une excuse pour repousser encore plus loin la fameuse Parker Luck. Une relecture fort agréable qui confirme pourquoi j'en avais encore un très souvenir après la lecture en singles il y a presque 10 ans.
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#14
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SILVER SURFER : LE RETOUR par Jim STARLIN et Bill REINHOLD
Cela fait un moment que j'avais ressorti le TOP BD 27 de chez Semic. Mais je n'avais toujours pas trouvé le temps de le lire à nouveau. Pas de surprise car c'est une récit qui j'apprécie toujours autant. Déjà il y a Shalla Bal. Norrin Rad sans Shalla Bal c'est comme Laurel sans Hardy. Les deux vont de pairs et beaucoup de bonnes histoires sur le Surfer tournent toujours autour de leur amour. En pleine maitrise de l'univers cosmique Marvel à l'époque ,Jim Starlin qui sort d'un run sur le Surfer d'Argent mais aussi de Infinity Gauntlet, est en pleine maitrise de son art. L'histoire est torturée mais fait la part belle au fantastique mais surtout à l'exploration de l'être. Zenn-La n'est plus. Elle se trouve parmi la collection de planète kidnappée par le très haut dont la matérialisation physique est un cerveau volumineux. C'est parfaitement dans les thèmes que Starlin évoquait à l'époque. En guest star on a le droit à Dragon Lune, en possession d'un joyaux de l'infini (celui de l'âme). La fille de Drax est exaspérante à souhait mais il émane d'elle une telle puissance que l'on se dit que Starlin n'avait pas son pareil pour caractériser ce type de personnage cosmique surpuissant. Le Silver Surfer redevient également Norrin Rad est c'était rare de voir cela. Starlin décrit un Norrin Rad apaisé et enfin heureux. La chute n'en sera que plus tragique pour lui. Ce qui m'avait marqué à l'époque mais encore plus maintenant c'est les merveilleux dessins de Bill Reinhold. Il est tout aussi à l'aise dans l'espace ou sur Zen La. Les paysages de cette dernière sont magnifiques tout comme l'immensité cosmique. Son talent éclate à chaque page. Ses découpages sont également intéressants, preuve en est la façon dont il incruste le coeur du très haut (dont les battements s'amenuisent) en train de mourir en petite case vers la fin du récit. Comme souvent chez Starlin il n'y a ni gagnant ni perdant et la fin donne à réfléchir. Starlin dessinera lui même la suite à cette histoire dans Silver Surfer : Résurrection. |
#15
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RESURRECTION (1 à 4) Starlin/Starlin/Austin Jim STARLIN est à la fois au scénario et aux dessins, étant secondé par Terry AUSTIN à l'encrage. Le format change également avec une LS en 4. Le Silver Surfer part donc délivrer l'âme de sa bien aimé prisonnière de Mephisto. Pour cela il sera accompagné de Warlock et les gardiens de l'infini. 4 épisodes c'est un peu long et il y a de la redite. Starlin qui était, à l'époque, le big boss du pan cosmique de Marvel en fait parfois un peu trop sur des pseudos considérations philosophies ou métaphysique. Pourtant cela passe bien car déjà il convie pas mal de guest star qui sait bien écrire (Dragon Lune est arrogante, Drax stupide mais grand coeur, Pip..fait le Pip). On y croise la mort et Méphisto. Ce dernier fut un des plus grand adversaire de Norrin Rad souhaitant lui ravir sa noble âme. Starlin s'en rappelle et c'est le bon point du récit. Quand je dis que c'est une suite, il faut y voir la résolution de la disparition de Shalla Bal car ici on n'est plus exactement dans une aventure du Surfer qui se partage plutôt la vedette avec Warlock. C'est d'ailleurs les passages avec ce dernier que j'ai préféré tant Starlin le maitrise. Il est manipulateur, manichéen et on en vient à se demander si il possède une âme où bien est ce uniquement le joyaux qui lui en sert ? Graphiquement c'est quand même très inégal. Austin ne semble pas l'encreur idéal mais rattrape pourtant certaines planches. C'est souvent au niveau des visages que cela pèche. Les deux derniers épisodes dans le monde de Méphisto sont les meilleurs graphiquement car Starlin tente des compositions de pages plus audacieuses qui se rapproche de la LS sur Thanos. La fin est également intéressante avec le Surfer qui devient redevable envers Warlock mais sans lui donner son amitié. De même l'amour est au rendez vous mais pas forcément le bonheur. |
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