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la meuf la haut la elle a raison,faut lire Contorsionnist's Handbook qui est assez motel dans le genre,meme carrement genial,Craig Clevenger est un bon,j'ai choppé ses autres kinbz la,je compte me faire ça soon.
en attendant,j'ai lu Catch 22, et bein ceux qui l'ont pas lu doivent le lire. c'tout.
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"That's some catch, that Catch-22," Yossarian observed. "It's the best there is," Doc Daneeka agreed. |
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Poursuite de relectures polardeuses avec Ted Lewis et son Billy Rags et le Mortelle randonnée de Marc Behm.
'Billy Rags, c'est le portrait d'un malfrat dur à cuire, par choix et sans que Lewis émette un quelconque jugement moral, de sa vie carcérale, de son évasion et de sa cavale. Dur et sec comme toujours chez Ted Lewis. 'Mortelle randonnée', c'est l'histoire d'une tueuse qui parcourt les Etats-Unis suivie et aidée à son insu par un détective privé aux motivations troubles. Un classique de la Série Noire qui mérite amplement son statut. Voilà qui me donne envire de me refaire tous les Behm. Bon là, petite récréation avec la récente réédition du Mysérieux Fu Manchu de Sax Rohmer.
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"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
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J'ai fini le Moore hier soir, le dernier chapitre même si il explique plein de truc est relativement chiant a lire par rapport a tout ce qui a précédé !!!
La je suis en train de lire Electrons libres de J. Flint Tres bon début, vivement la suite !
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Mon site (qui date ) |
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Lu Running Man de Stephen King, ou quand le roi de l'angoisse sur pages tape un trip d'anticipation sur fond d'état totalitaire. Bin en fait c'est vachement sympas et même pas mal du tout. Un peu prévisible sur la fin mais c'est plutot bien foutu.
Et puis comme il vient de sortir en poche, je me suis chopé Jonathan Strange et Mr Norrell, mais vu la taille du pavé, il va me falloir un tit moment pour pouvoir en dire quelques choses.
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" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman |
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Il est tres bien. Tres Gaiman-esque, superbement documente, vraiment cool.
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Bizarre que ça n'a pas eu plus d'échos ici.
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aka FrenchmakiHD sur Youtube |
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Mais c'est comme dans les Simpsons aux puces, alors?
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La rencontre d'un tueur à gage indien Blackbird et d'un petit voyou Richard Nix (...). Un couple au milieu, devenu témoin génant. un flic totalement abruti et libidineux. Des meurtres qui ne font pas dans le chichi, des personnages forts et riches, toujours à deux doigts de la caricature. Ca roule tout seul, une vraie berline. Elmore Léonard a des instants sublimes d'efficacité, et son chant n'est pas totalement désespéré, ce qui devient assez rare sous les latitudes du noir. Total hasard de l'actualité, l'adaptation sort enfin ces jours-ci. Pour la petite histoire, la 4eme de couv de mon rivages imprimé en 2006 indiquait que le roman venait d'être adapté à l'écran. Problème, je n'en avais aucun souvenir. Une fois le bouquin fini, hop, Mme Web. Et effectivement, le flim, réalisé par un John Madden que je ne connais pas, est bien rentré en production en 2005, sous le haut-patronage de Tarantino quand même, et fini de tourner en 2006. Avec Diane Lane, sur lequel le temps n'a aucune espèce d'influence et Mickey Rourke dont ce serait mentir que d'en dire autant, et qui joue l'indien. Oui, je vois que ça vous fait rire. Go check le trailer. Avec sa tronche aussi ravinée et burinée qu'une fesse de tropézienne et sa queue de cheval d'un mètre 10 de long, il vaut le détour. Malgré tout ces atouts, les projections tests sont désastreuses. Trop compliqué. La copie est revue, remontée, tripatouillée pour finalement sortir deux ans après... Je ne sais pas vous, mais moi, j'ai peur que ce soit une belle bouse. |
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Les Chroniques de San Francisco de Armestead Maupin.
Ou le parcours de vingtenaires et leur évolution au sein de cette fille folle et ouverte de la Californie de mi-70 à mi-80. Et tout ce que cette évolution leur apporte à eux et au monde. A travers sexe, amour et rock'n roll. Que j'aime cette saga ! 5 bouquins, 5 plongées dans la ville de tous les délires.
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De Hob à Preacher59 :"Ca doit pas être pas facile de tout le temps s'écouter comme ça." http://mildredmaquilleuse.wordpress.com |
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Si ayant frappé ton prochain sur une joue, il te tend l'autre, frappe le sur la même, ça lui apprendra à faire le malin ! Cavanna |
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J'ai enfin fini hier soir le pavé Jonathan Strange et Mr Norrell .
Bon alors déjà pour dire du bien, c'est foutrement bien écrit. Il y a une documentation de malade et un back-ground de fou qui est créé. A ce niveau c'est tout simplement énorme. L'histoire de magiciens Auréats, du Roi Corbeau, c'est extrêmement intéressante. (je dois avouer avoir même fait quelques recherches pour savoir si John Uskglass était oui ou non une invention de Susanna Clarke). Il y a une bonne ambiance qui parcourt ce bouquin. Maintenant, pour moi, ce livre souffre d'un immense défaut. Il n'y a pas véritablement de grande histoire. Je m'explique. Nous avons l'histoire d'un magicien Mr Norrell qui veut rétablir la magie en Angleterre. Le problème du monsieur est qu'il veut accomplir cette tache tout en restant le seul magicien du pays, en gardant tous les livres de magie pour lui et de façons à ce que les règles de la magie soit les siennes. Un jour il va rencontrer Jonathan Strange, un autre magicien (poussé à cette vocation par une prophétie), qu'il va alors prendre sous son aile comme élève. Les deux accomplir beaucoup de choses pour le pays, et Strange sera envoyer par deux fois au front lors des guerres Napoléoniennes. Ayant pris l'habitude sur le terrain de pratiquer sans l'aval et le regard constant de Norrell, Strange à son retour se désengagera de son maitre popur vivre seul son destin de magicien. Seulement ils vont se quitter en mauvais termes. Bon voilà la trame un peu de base, celle que vous pourrez lire sur la 4ème du livre. Sauf que voilà, le livre fait tout de même 1150 pages et que tout cela fait à peine l'ébauche d'une histoire. Surtout que l'affrontement entre les deux magiciens vendus au dos du livre n'aura pas lieu. Alors évidemment il se passe des choses. Norrell cherchant à rétablir la magie en Angleterre, Strange au front et puis une autre histoire avec un Homme-fée qui ensorcèle des gens. Mais à aucun moment, je ne me suis sentis emporter dans une grande histoire. L'histoire de la brouille entre Norrell et Strange se révèlera en fait deux trois coups bas fait l'un à l'autre, pas plus. Même le final manque de grandiose. Bien que tout les éléments du livre y converge, le final tombe un peu comme un cheveu dans la soupe. Je m'explique peut-être mal, mais bon voilà un peu mon ressenti du truc. C'est bien, c'est beau, mais cela manque d'une grande histoire, de quelques choses de grand, qui est à mon sens quelque chose d'indispensable sur un ouvrage de cette taille. Et franchement, vu la qualité de l'écriture de la dame et du monde qu'elle crée, c'est vraiment dommage. Sinon, aujourd'hui je lis Le vieil Homme et la Mer de Hemingway. En voilà, un bouquin qu'il est bien beau, avec des morceaux de poésie pure qui amusent, font réver. C'est beau et pis c'est tout.
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Lune Enragée de Jim Butcher, le deuxième tome des aventures de Harry Dresden le magicien.
J'aime toujours autant. C'est drôle, sombre et fantastique en même temps.
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" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman |
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Ay profitez du retour en ma pastrie pour remettre la main dessus la substantifique oeuvre de Sire François Rabelais, illustrée par le facétieux Dubout.
Je l'avois jadis achesté pour le dessin, et en ai été assez marri, sans doute trop jeunot pour gouster touste la moelle tant savoureuse d'un dessin épuré et solide à la fois. Quinze ans plus tard, j'ai gousté les phrases, les chapitres, et je puis dire dès maintenant que ces romans, premiers romans français, depassent de loin en inventivité formelle, en imagination du verbe et en drolerie, tout ce que j'ai pu lire jusque maintenant. Je suis littérallement époustouflé par la liberté dont jouissait Rabelais. Certains chapitres sont là sans autre raison d'une liberté formelle, d'un mot drôle, d'un éclat de rire. Certes, les thèmes qu'on dit rabelaisiens y sont, qui nous conchissent de belle marde, qui nous foirent nos pets, qui trinquent forces litrons. Et pourtant, malgré ces thèmes qui pourraient gesner mon esprit un peu chaste,un peu prude, une seule chose parait: le génie pur. Ce qu'on m'a appris à l'école sur GArgantua , sur l'abbaye de Thélème, sur Panurge et les guerres picrocholines n'était qu'une bombe à retardement qui me pète céans à la figure. Je crois que je ne vais pas m'en remettre. |
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C'est sur que c'est de bonne littérature...
Sinon c'est une vieille édition avec les illustrations de Dubout ? Tu peux me filer les références ? Ça m'intéresse.
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Mille bombardes ! Les trésors de la flibuste c'est fait pour les vieux matelots et pas pour les espèces de canassons à tête hippopotame gaulés comme du purin ! |
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Médecine Apache (The Complete Stories Western of Elmore Leonard, Part 1) au sommaire : Sur la Piste des Apaches (Trail of the Apache 1951) Médecine Apache (Apache Medecine) On ne voit jamais les Apaches (You never see Apaches) Enfer Rouge à Canyon Diablo (Red Hell hits Canyon Diablo Madame la Colonelle (The Colonel's Lady La loi de la proie (The law of the Hunted ones) Bottes de Cavalerie (Cavalery Boots) En dessous de Friar's Ledge (Under the Friar's Ledge) Les voleurs de bétail (The Rustler) 3 Heures 10 pour Yuma (The Complete Stories Western of Elmore Leonard, Part 2) Au sommaire : 3 Heures 10 pour Yuma (Three-Ten to Yuma, mars 1953) La grande chasse (The Big Hunt, avril 1953) Longue nuit (long night, mai 1953) Le garçon qui souriait (The Boy who Smiled, juin 1953) A la dure...The Hard Way, aout 1953) Le dernier coup de feu (The Last Show, septembre 1953) La rançon du sang (Blood Money, octobre 1953) Rindo (Troubles at Rindo's Station, octobre 1953) Les prisonniers (The Captives, février 1955) Cette derniere nouvelle a eu droit a une adaptation cinématographique par Budd Boetticher sous le titre The Tall T (L'homme de l'Arizona)...
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