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Scumbag loser 2 confirme l'impression de truc très bancal laissée par le 1. Peu de pistes mais l'auteur arrive quand même à s'éparpiller. Je trouve le truc pas très bandant au départ, mais en plus ça finit par être bordélique.
Green Blood 2 confirme l'excellente impression du 1. Par contre, autant le tome est vraiment cool à lire, autant il se torche en 10 minutes, tellement le truc est hyper décompressé sur ce tome. Dommage parce que sinon c'est vraiment bon. Jeux d'enfants 1 et mouais. Ce n'est pas que c'est mauvais c'est juste qu'on a déjà lu ça un paquet de fois et que la mode du survival d'une classe face à des épreuves d'origines surnaturelles et meurtrières, ça lasse à force. Gansgta 1. Lecture sympathique. On ne s'y ennuie pas, l'ambiance va chercher du côté de certains classiques assez cools, mais bon, rien de bien mortel non plus, aussitôt lu, aussitôt oublié. Le genre de truc qui se lit en fnac pour ne plus y penser une fois sorti. Dr DMAT 2, et ça confirme l'excellente impression laissée par le 1. Un très bon drama médicale axé sur un médecin intégré à une équipe chargé de donner les premiers soins sur les lieux d'accidents graves. Bien gaulé graphiquement, c'est aussi balèze à l'écriture, avec des dilemmes et choix pas évidents imposés au personnage. Bref, la nouvelle série qui m'a fait le plus kiffer.
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" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman |
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Thermae Romae 1 & 2 : L'intérêt principal de ce manga, jusque là en tout cas, c'est de découvrir la culture des termes chez les romains et surtout dans la culture Japonaise. Certains chapitres sont sympas d'autre moins mais malgré tout je pense prendre la suite.
Cesare 1 : Là par contre j'ai trouvé cela excellent de bout en bout. Dès le premier chapitre j'ai été pris dans cette histoire se déroulant à l'époque de la Renaissance italienne mettant en scène les différents clans de l'époque (Borgia, Florentins). C'est vraiment passionnant et la rigueur historique semble être respecté donc je ne vais certainement pas bouder mon plaisir pour la suite.
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Je veux vien ton avis sur la suite de thermae. J'ai lu que les 3 premiers et je trouvais que cela s'essouflait...
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Pas encore acheté mais je te dirais ouaip D'après les retours que j'en ai eu beaucoup trouvent que ça se renouvèle justement avec les tomes 3 & 4.
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J'ai arrêté de lire au tome 4. Il y avait pourtant une idée pas mal au niveau de l'histoire. Mais ça ne m'a pas vraiment passionné. Du coup, je n'ai même pas acheté la suite. Et ça ne me manque pas de ne pas connaître la fin. Dommage parce que j'étais très client du début de ce manga
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Et il me semble qu'on parle de ce manga dans Bakuman et c'était pas en bien d'ailleurs. Heureusement qu'on me l'avait prêté celui là, sinon j'aurais eu mal au cul d'avoir payé ce truc.
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J'ai enfin lu les dix premiers Vinland Saga en ma possession. Et ça se bonifie vraiment avec le temps !Je n'étais pas toujours convaincu au départ, mais les derniers tomes sont passionnants. L'auteur délaisse peu à peu le côté shonen du titre. Chaque moment d'introspection, voire de réflexion sur la vie m'ont touché...
Du coup je vais courir m'acheter les deux derniers. Et me relire Planetes dans la foulée !
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Je n'ai plus de signature. |
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Lu les tomes 2 et 3 de la Main Droite de Lucifer. Nous en sommes déjà à la moitié de la série. Ce titre me plaît vraiment beaucoup. L'histoire n'a pourtant rien d'extraordinaire. Elle a un côté "déjà vu". Mais elle est très bien racontée et est très intéressante à suivre. Les personnages introduits au fur et à mesure sont tous intéressants (en particulier la petite dernière du tome 3). Visuellement ça me plaît. Bref, voilà un titre que je vais probablement regretter quand il sera fini. Ce n'est peut être pas plus mal qu'il soit court (pour éviter une possible lassitude). Mais je sens qu'li va me manquer.
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Un mystère bien épais, une ambiance pesante et une mise en scène habile de la folie du héros. On rajoute à cela le style unique de Kaneko sur une histoire condensée en 3 tomes, bref, c'est de la bonne : foncez !
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Auto-promo de moi-même vers moi-même : Dizaine Anti-Rengaine #1, Le dernier des templiers, The Stuff of Legend |
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King, Springsteen, Guardiola, Brubaker et tous les autres |
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Tiens, ça fait déjà quelques semaines, mais le Hunter X Hunter 32 m'a laissé une drôle d'impression.
Primo, c'était quoi ce chapitre en mode brouillon? Ne suivant pas l'actu des péripéties de Togashi, j'ai été assez surpris par ce gros WTF visuel. Ensuite, j'ai de plus en plus l'impression que Togashi s'emmêle les fils avec ses délires. Les élections prennent un tour de plus en plus tordu où au final les tentatives de stratégie des candidats finissent par ne plus rien dire. Et je ne parle même pas de l'histoire de la sœur de Kirua, énorme bordel avec ses règles constamment modifiées et de plus en plus obscure. Togashi faisant du compliqué pour faire du compliqué bordelo-nawak qui n'a plus de sens. Enfin, l'auteur tenait à nouveau (après Greed Island) une occasion de finir la série. Soyons franc, Khimera ants et l'élection sont les arcs les plus faibles de la série, et lui même semble ne plus en pouvoir de sa propre œuvre avec ses arrêts permanents. Mais non, non seulement il ne conclue pas mais en plus il tente une relance qui me semble démesurée dans l'ambition par rapport à ce que la série est devenue et ce que l'auteur y travaille. Comme si les 32 volumes de cette série n'avait été qu'un prologue à la véritable aventure. Bref, les yeux plus gros que le ventre.
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" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman |
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Sentiment mitigé aussi avec le 32, les élections accouchant effectivement d'une souris.
Reste que j'ai quand même passé un bon moment mais j'avoue que la nouvelle direction prise par le manga ne m'attire pas plus que ça. Va-t'il maintenant donner sa vision de One Piece? Je resterai en tout cas fidèle au poste car il me surprend véritablement souvent. Même si la fin des Ants est assez étrange, il a su donner une certaine tension à un arc qui ne m'enchantait guère au départ.
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Si ça continue faudra que ça cesse! |
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Dernières lectures manga en date :
Lucika Lucika 3 Marou a ramené un animal de compagnie à la maison…un caméléon ! Lucika est aux anges avec cet animal qu’elle imagine pourvu de pouvoirs de camouflage incroyables. Elle continue à voir des phénomènes étranges et inquiétants un peu partout comme le complot du lierre pour nous étouffer… Ce manga est toujours aussi réjouissant et salutaire. Un ami le décrit comme « Yotsuba sous acides » et je dois avouer que c’est effectivement ça. Lucika a une imagination incroyable qu’Abe Yoshitoshi n’a de cesse de mettre en images, usant d’une version simplifiée et un peu déformée de son très beau style graphique habituel. Mention particulière à la palette de couleurs, du grand Abe ! Ce volume est peut-être un poil en dessous du précédent. Ceci dit, cette série est encore une bonne pioche de Ki oon ! Scénario : 14/20 Le scénario teint en quelques lignes… Dialogues : 17/20 Mais les dialogues sont tellement vivants et vrais qu’on en a pas besoin ! Dessins, encrage, couleur : 17/20 Abe est en grande forme, comme toujours. En tant que fan, je suis objectif au maximum et c’est bien pour ça que je ne mets « que» 17/20. Ce n’est pas son plus beau travail. Note finale : 17/20 Les fans de Yotsuba doivent lire les aventures de Lucika. Eureka ! Connaissez-vous l’histoire du siège de Syracuse par l’armée romaine, durant la deuxième guerre punique, contre Carthage ? L’Histoire évoque quelques mécanismes de défense redoutables inventés par le célèbre Archimède ayant permis à la ville de résister longtemps aux romains. Aussi célèbre est cette anecdote contestée évoquant de gigantesques loupes ayant mis le feu aux voiles des navires romains… Ce manga one shot de l’excellent auteur de cette merveille qu’est Parasite imagine ici qu’un jeune spartiate ayant beaucoup de succès auprès de la gent féminine mais au nom étrange, Damippos, fait la rencontre du célèbre savant et va se trouver aux premières loges du siège qui fait suite à la victoire des partisans de Carthage qui se rebellent contre l’influence romaine sur la Sicile. Le général pro Carthage décide d’employer les fabuleuses machines qu’Archimède a inventées pour le défunt roi. Celles-ci sont aussi fabuleuses, ou presque, que les plans d’un Leonard de Vinci ! Cette histoire est à l’image de Parasite (un des rares mangas que je relis régulièrement tant il est bon) : le dessin n’est pas flatteur mais c’est une série qui marque profondément le lecteur, car la narration est purement excellente. Ceci dit, le mangaka est un très bon conteur, malgré les défauts de son style, comme le prouvent les derniers chapitres, très surprenants dans le bon sens du terme ou la progression de l’intrigue. La recréation de Syracuse est très convaincante et on y croit tant le soin apporté à l’aspect historique est visible. Comme Parasite, c’est gore, donc, sous des dehors d’œuvre tout public, méfiez vous ! Les machines infernales ont des effets terrifiants et renvoient au célèbre adage de Pascal. Après l’excellent mes petits plats faciles by Hana (on veut la suite !), Comikku a encore déniché une perle rare. Si vous aimez Parasite, l’histoire antique ou tout simplement les bonnes BD, Eureka est à lire ! Scénario : 16/20 Extrêmement solide. La progression de l’intrigue est magistrale. Dialogues : 16/20 Très vivants. L’auteur a bien bossé son sujet. Un peu d’humour et beaucoup de drame sur les effets d’une guerre. Dessins, encrage, couleur : 16/20 Le style ne flatte vraiment pas l’œil mais une fois qu’on est dedans, on est conquis. Note finale : 17/20 Un des meilleurs mangas one shots que j’ai lus. Spice and wolf 9 Holo, Lawrence et le jeune garçon qu’ils ont recueilli poursuivent leur périple vers le nord du pays, à la recherche des origines de la sublime louve. Ils se retrouvent pris en étau dans un conflit entre marchands du nord et du sud de la ville dans laquelle ils résident. Chaque volume de cette série est un vrai bonheur de lecture, d’autant que les mangas adaptent mieux les romans que les deux saisons du déjà très bon DA. Pour les malheureux qui ne le connaissent pas, c’est de l’heroic fantasy axée autour du commerce avec très peu de combats. Ça reste très réaliste et axé sur les sous entendus lors des discussions et sur le bluff des différentes parties. La série décrit très bien le système économique médiéval, avec ses différentes monnaies dont la valeur est fonction de leur portion de métal précieux mais aussi des déboires du comté qui les a émises. Le partenariat entre Lawrence et Holo est particulièrement bien décrit et cette série est tout simplement une des meilleures en VF actuellement. Scénario : 16/20 Dense, avec de nombreux dialogues. Les marchands sont de véritables loups les uns pour les autres sous des abords bonhommes. Dialogues : 17/20 La relation entre Holo et Lawrence est aussi excellente car leurs dialogues sont réjouissants, avec leurs petites piques et leur ironie affectueuse. Dessins, encrage, couleur : 18/20 Koume Kei est un tueur. Les dessins de Spice and wolf sont ultra travaillés et le boulot sur les décors et les expressions des personnages laisse pantois. Sa grande force est de rester très proche du design des illustrations des romans d’origine tout en apportant sa touche propre. Note finale : 17/20 Un volume à l’image des précédents : excellent. Frankenstein Dernier volume des œuvres de jeunesse de Junji Ito, mon mangaka d’horreur favori, auteur entre autres des superbes Spirale, Tomié et Gyo. L’essentiel de l’ouvrage est une adaptation assez fidèle du Frankenstein de Mary Shelley. La créature de Junji Ito est ultra flippante et inquiétante. C’est quand même autre chose que le bellâtre de « I, Frankenstein », actuellement au ciné. En annexe, une histoire bien flippante mais un peu trop courte autour de l’horrible transformation d’enfants en poupées qui se décomposent de façon atroce et une histoire gag dans laquelle la belle Tomié, « héroïne » angoissante du manga éponyme, séquestre l’auteur. Un honnête dernier volume pour la collection. Scénario : 15/20 Frankenstein adapté de belle manière en manga. On peut préférer l’original. Dialogues : 15/20 Bien fichus et assez respectueux de l’œuvre d’origine. Dessins, encrage, couleur : 15/20 La créature est franchement flippante. Le reste est malheureusement un peu trop « débutant ». On est encore loin du trait achevé des histoires actuelles. Note finale : 15/20 Un bon volume final.
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"Whatever knows fear burns at the man-thing's touch!" Chroniques VO 01/02/20 : Deadpool the end, la fin des New Defenders, Tarot 2, Epic collection X-cutionner's song, ravencroft 1, Doc Strange et Cap Marvel the end, Cap 18 |
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je ne peux qu'abonder! à lire absolument, puis en 3 tomes
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"You play in dirt, you get dirty" McNulty |
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Zéro pour l’éternité 5
Dernier tome de cette mini-série adaptant un roman inédit chez nous. Zéro pour l’éternité suit les pas d’un étudiant en droit désœuvré et démotivé chargé par sa sœur journaliste d’enquêter sur leur défunt grand-père, mort pendant la guerre en tant que kamikaze. Il va partir dans tout le Japon interroger des soldats survivants de la guerre qui ont connu cet aïeul méconnu et découvrir chemin faisant la réalité sur les kamikazes loin des clichés de l’extrême droite japonaise. Voilà un manga qui vous a peut-être échappé, bien à tort. La quête d’un descendant d’une génération sacrifiée et se fichant de l’histoire de son pays est vraiment passionnante. Il faut savoir que, contrairement à la France, pays qui a toujours été attachée à son Histoire, omniprésente dans son patrimoine touristique (Paris est une des villes anciennes les moins bombardées et les mieux préservées au monde, mais il y’a aussi le mont St Michel, la ville de Lyon…), la société japonaise est davantage tournée vers l’avenir, considérant le passé comme quelque chose de révolu et de limite inintéressant, particulièrement pour les jeunes générations qui méconnaissent le rôle du Japon dans le conflit. Pour nous, ce manga extrêmement réussi constitue une découverte quasi-totale de ces soldats et la progression du manga est particulièrement bonne, puisqu’on passe peu à peu des préjugés (des fanatiques endoctrinés par l’ambiance de patriotisme de l’époque) à des histoires d’hommes toutes très différentes, autant qu’il existe de caractères et de motivations différentes. Les auteurs font très bien passer l’émotion des protagonistes et les combats d’avions sont magnifiques. Ce dernier tome conclut avec beauté cette fresque souvent émouvante, dans un genre proche de la mélodie de Jenny de Hojo Tsukasa. Scénario : 16/20 Ce volume est toujours plein de révélations prenantes, comme les autres. Dialogues : 16/20 Une des forces de cette série. Ils sont réalistes et très réussis. Dessins, encrage, couleur : 15/20 Les dessins sont très bons pour les machines. Les personnages sont moins convaincants mais le dessinateur est très bon pour dépeindre les émotions fortes. Note finale : 16/20 Une très bonne conclusion à ce récit très humain. Zipang 40 Courage, on est à trois tomes de la fin de cette série qui a fait un four commercial ! Il faut dire que le graphisme réaliste de Kawaguchi Seiji ne flatte pas immédiatement l’œil et que le thème a de quoi en rebuter d’un. Un navire de guerre ultra moderne, le mirai (« futur » en Japonais) se retrouve transporté pour une raison mystérieuse en pleine guerre du pacifique. Oui, je sais, c’est un « Nimitz, retour vers l’enfer » japonais pour ce qui concerne le thème. L’équipage veut bien sûr rentrer au plus tôt à son époque mais sauve un officier qui devait mourir, le capitaine Kusaka. Cet homme intelligent découvre la vérité à leur sujet, s’échappe après avoir appris tout ce qu’il pouvait du futur et entreprend de changer l’issue de la guerre à l’avantage du Japon. L’équipage du mirai, très partagé, va entamer une course avec lui afin d’avoir un futur dans lequel rentrer ou plus prosaïquement de survivre. Cette série est vraiment très bonne, pleine de rythme et passionnante. Malheureusement, elle est parfois un peu trop décompressée et certains tomes sont franchement lents ou même dispensables. C’est plutôt le cas de celui-ci, dans lequel un commando du mirai tente de désamorcer une bombe atomique transportée par le Yamato, dont la seule existence pourrait changer partiellement la guerre. Une confrontation entre ce personnage et son sauveteur venu du futur a lieu dans ce tome et, si elle est intéressante, on a vraiment envie de passer à la fin de cette série qui s’éternise depuis quelques tomes, malheureusement. Reste un tome très bien dessiné (les navires, notamment, sont très impressionnants) et avec suffisamment de tension pour tenir le lecteur en haleine. De ce point de vue, le mangaka réussit son pari. Si je peux vous donner un conseil, penchez vous plutôt sur les séries Eagle et Spirit of the sun du même auteur, bien plus abouties et passionnantes. Scénario : 14/20 essentiellement de la tension dans un navire transportant une bombe atomique. Les nombreux protagonistes sont bien écrits et ça reste très prenant. Dialogues : 16/20 Les dialogues pleins de tension sont très réussis et le jeu d’échecs mental qui se livre sous nos yeux est vraiment bon. Dessins, encrage, couleur : 16/20 Kawaguchi dessine très bien, une fois qu’on s’est fait à ses personnages à oreilles d’amphore (un peu comme ceux de l’excellent Adachi Mitsuru dans un style différent) Note finale : 14/20 Un volume agréable à lire mais bon, vivement la fin de la série.
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"Whatever knows fear burns at the man-thing's touch!" Chroniques VO 01/02/20 : Deadpool the end, la fin des New Defenders, Tarot 2, Epic collection X-cutionner's song, ravencroft 1, Doc Strange et Cap Marvel the end, Cap 18 |
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