Il y a 20 Ans : Mai 1986 (Marvel)

[XXL]

Je crois que ce numéro est un des plus beaux, voire le plus beau de tout le run de Mazzucchelli. Et c'est vrai que la fin, magnifique, rachète un peu peu la saga. J'aime bien le fait que ce qui se passe après cette dernière case n' a plus d'importance: Mycah n'a plus le dessus, il n'est plus qu'un sauvage apeuré comme tu le dis.
Et moi aussi, je jubilais de voir Debby se ramasser des seaux d'eau sale sur la tronche: bien fait connasse!
Merci pour ces chroniques!

[XXL]

SECTAURS
WARRIORS OF SYMBION N°6
Publié par Marvel en Mai 1986.
"Family Reunion!" 23p.
Scénario: Bill Mantlo
Dessin: Steve Geiger
Encrage: Keith Williams
Cover: Steve Geiger


Ca bronze?!

Résumé:
Si vous avez manqué l'épisode précédent...
Zak et Stellara, qui ont en fait le même voeu, projettent leurs globes donnée spar la fée dans l'épisode précédent et se forme un nouveau moyen de transport pour eux:

Waou....coment allons l'appeler? Mouchor? Tractor? ....8)

Alors que Zak a au début quelues soucis à contrôler l'engin, il remarque au loin Meander, la même brume qui assaillit le village dans Sectaurs 1.
Pendant ce temps, dans le Shining Realm, Belana espionne des gardes au bar qui pensent faire un coup détat contre le régent Galken et son attitude conciliante envers le Dark Domain. Doit-elle prévenir Gaken?
Dans le Dark Domain, Skulk est victime d'un sortilége qui l'empêche de dire à sa môman l''impératrice Devora (mon sandwich ) que Scorpia et le Général Spidrax n'ont pas l'intention de la tenir informée de leurs recherches sur les Hyves, temples cachés de pouvoir des Anciens.

Un grand merci au Dr Strange de Lee/Ditko, hein Bill!

Le général Spidrax s'avance dans la brume, protégé, comme l'avaient été les Sectaurs auparavant, par les feuilles d'une plante. Dans la brume mortelle, il découvre une tribu de nomades, les Hadji qui semblent bouger en même temps que la brume. Il terrorise la population et apprend la localisation de l'Hyve, protégée par la brume.
Prince Dargon et ses amis sont arrivés à la mêmeconclusion: à chaque apparition de Meander, correspond une hyve qu'elle cache. Ils pénètrent aussi dans la brume, tombent sur des nomades qui fuient Spidrax...dont la famille du frère de Pinsor! Comme l'avait prédit la fée, il les retrouve vivants, recueillis par les Hadji!
Alors que Spidrax progresse vers la Hyve,nos héros mettent en déroute ses troupes laissées derrière, à traumatiser et torturer les Hadji. Un des Hadji indique alor sun raccourci à nos héros pour essayer d'atteindre l'Hyve avant Spidrax!

L'effet de brume est plutot réussi, je trouve, non?

Commentaire:
C'est toujours un peu pareil et c'est bien là que le bat blesse: dialogues lourds de Bill Mantlo, où chacun répète bien le prénom de celui qu'il interpelle ou expose la situation, complots qui n'ont pas lieu d'être, la palme revenant à
Belana, qui se demande si elle doit prévenir son régent que des gardes veulent le renverser du fait qu'il a fait croire à la population que dargon est un traître pour que celui-ci soit plus à même de mener sa mission (ce qui n'a quasiment aucun sens, d'ailleurs). ....combats insipides, nouveaux insectes....
Heureusement, les dessins sont toujours aussi bien exécutés et la mise en couleur est elle aussi réussie pour l'époque. Alors bon, vous n'êtes pas obligé de lire ce comics, qui manque cruellement d'originalité (voir notamment le sHadji qui font penser aux freemen de Dune, ou la reprise d'une scéne de l'origine de Doctor Strange). De plus, Mantlo prend des raccourcis plutot abrupts (le cadeau surprise de la Fée, l'hyve découverte d'un coup facilement). Il ne peut pourtant pas sentir que la fin est proche: la série est bimestrielle, a encore 3 numéros devant elle, et fait toujours partie des titres auxquels on peut s'abonner.

Vous noterez la tendance good girl art qui sommeille en Geiger.


Une belle performance graphique, même si elle est au service d'un comics à l'intérêt moindre.

Visitez le topic consacré à SECTAURS!

[XXL]

SWORDS OF THE SWASHBUCKLERS N°7
Publié par Epic/Marvel en Mai 1986.
"Rats" , 30p.
Scénario: Bill Mantlo
Dessin: Geof Isherwood
Encrage: Ricardo Villamonte
Cover: Geof Isherwood


Dans l'espace, personne n'entendra vos miaulements...

Résumé:
Si vous avez manqué l'épisode précédent...
Alors que Black Bess sacrifie sacrifie un de sesvaisseaus pirates, et son équipage avec pour pouvoir distancer les Colonizers, Raader et les swashbucklers eux, quittant la Terre, pénètrent dans le cloudwall pour rejoindre leur "espace". Mais alors, qu'ils pénètrent dans le Cloudwall, mûs par le pouvoir de Domino, Captain Kidd redevient un chat qui parle et...

Oh, les mignons petits rats tout habillés!

Les rats , nombreux et équipés, prennent en otage tout l'équipage , sauf Captain kid qui, apparemment, est passé par dessus bord. Mais comme c'est un chat, hop, il s'était accroché et va pour libérer ses amis après avoir tué le garde de leur cellule mais finalement non, il a un plan...

Ils pensent toujours qu'à la bouffe ces chats!

Les rats découvrent qu'on a tenté d e libérer les swashbucklers et décident de les exécuter! Ils les emménent sur le pont et c'est cet instant que choisit Captain Kidd pour débarquer et les Swashbucklers pour se liberer car il avait entamé finement leurs liens! alors que les swashbucklers montent sur les cordages, Captain Kidd tourne la barre et envoie valdinguer les rats que Domino renvoie dans l'espace en se transformant en vague! Hourra! 8)

Pendant ce temps, sur Terre, Dodger a du mal à se fire à sa nouvelle vie. Elle rode la nuit, découvre la télé (la pauvre... ) et...vole dans un magasin comme à son habitude!

Ca, c'est du rangement optimal!

Mais la police est concicliante et la relâche en la convoquant pour plus tard. Sur le chemin du retour, Annie Blackthorne se rend compte que ses descendants n'ont pas trouvé son trésor, sa fortune cachée...

Commentaire:
Un épisod evraiment pas glorieux, avec une histoire infantile pour les swasbucklers et une scéne pas crédible pour Dodger, relâchée par la police alors qu'elle menaçait un policier d'un couteau!
Niveau dessin, c'est pas beauuuu! Ricardo Villamonte ne colle pas avecGeof Isherwood, le numéro précédent était potable, celui-là est franchement moche, surtout à cause de couleurs saturés à un point. Regardez cette scéne censée se passer la nuit:

Bonjour la note d'électricité....ils éclairent tout au 500 Watts?!

Une contre-performance, premier épisode très dispensable de la série.

Visitez le topic consacré à SWORDS OF THE SWASHBUCKLERS!

[XXL]

BATTLESTAR GALACTICA N°6
Publié par Marvel en Août 1979.
"The Memory Machine", 17p.
Scénario: Roger Mc Kenzie
Dessin: Rich Buckler
Encrage: Klaus Janson
Cover: Rich Buckler encré par Klaus Janson


1979....ça ne nous rajeunit pas....

Résumé:
Si vous avez raté l'épisode précédent...
Après avoir projeté le cadavre de Serina dans l'espace, la flotte Galactica repart. Mais Starbuck, qui se sent coupable, arrache ses insignes d'officier!
Athena, la soeur d'Appolo (ce sont pas foulés pour l'inspiration des noms...8) ), vient tirer son frère de son deuil pour l'inciter à aller voir Starbuck. Grâce à l'amitié qui les lie , Starbuck accepte de reprendre ses insignes quand Appolo les lui remet délicatement dans la main.
Une certaine Medea, aux atouts certains, vient chercher Starbuck pour....papoter avec lui et l'inviter à une fête dans le vaisseau d'Uri, un des membres du conseil des 12!8)

C'est honteux, quelle luxure! Alcool, tabac et sexe!

Pendant ce temps, le chef des cylons retourne sur Kobol et découvre un Baltar coincé sous les décombres, suppliant. Il a bien l'intention de se servir de Baltar pour un plan diabolique (TOUS les plans des cylons sont diaboliques! ).
Le conseil des 12, présidé par Adama se réunit et doit décider soit d'avancer le plus vite possible en laissant derrière eux les vaisseaux les plus lents et leurs occupants, soit de faire des travaux pour augmenter la vitesse de ceux-ci. Uri, qui est pour les abandonner, est en conflit ouvert avec Adama. Si Adama pouvait apporter la preuve de l'existence de la Terre, il pourrait désarmorcer la révolte qui germe. Il décide donc d'utiliser une machine dangereuse pour explorer sa mémoire pour retrouver l'image des signes qu'il avait vu sur Kobol! Mais il y a un risque d'être coincé à jamais dans le monde des rêves!
Uri profite de cette opportunité pour tenir en secret un conseil sans Adama et se faire élire à sa place! Athena et Appolo découvrent la tromperie quand ils remarquent que 2 vaisseaux ont disparu et que le vaisseau d'Uri a coupé toute communication. Ils débarquent en plein conseil, avec Starbuck qu'ils ont trouvé sur le vaisseau avec Meda et apprennent l'élection d'Uri!

Adamo va chanter une chanson. ... ... Hein, c'est Adama. euh, il va pas chanter finalement.

Commentaire:
Fini les adaptations, désormais les histoires seront totalement originales! Il semblerait aussi que la série veuille profiter de son format ongoing pour développer des suplots et lier les épisodes entre eux, contrairement à la série télé dont on peut regarder les épisodes dans n'importe quel ordre.
L'histoire se recentre sur les relations entre personnages et sur le fonctionnement politique et stratégique de la flotte Galactica, ce qui nous change d'épisodes de pure action.

Bonjour, je m'appelle Rich Buckler et j'aime bien Neal Adams...

Au dessin, c'est rich Buckler qui officie, dans sa période Neal Adams. Autan dire, qu'avec Klaus Janson en plus à l'encrage, l'ensemble est rtès agréable à l'oeil, et finalement dans la même lignée dynamique que Walt Simonson! Certaines séquences sont parfois vraiment trop estampillées Adams mais heureusement Janson apporte une finition qui donne plus de personnalité au travail de Buckler et lui permet de se démarquer un peu.
Cela reste très agréable pour les yeux, bien sur, et comme l'histoire est pour une fois ma foi des plus intéressantes, on ne va pas bouder notre plaisir!

Des perspectives dynamiques!

Un numéro très équilibré, d'un niveau supérieur à la série TV éponyme.

Visitez le topic consacré aà BATTLESTAR GALACTICA!

Ps: A noter uneinterview de Rich Buckler dans le prochain Scarce!

[Niglo]

TITANS N°88
Lug, mai 1986.



LA GUERRE DES ETOILES : Toujours en Activité après toutes ces années… (22 pages)
(Still active after all these Years, in Star Wars #87, septembre 1984)

Scénario : Mary Jo Duffy.
Dessin & encrage : Tom Palmer.
Couverture : Tom Palmer.

Résumé :

Luke Skywalker se rend sur la planète Shawken, en compagnie de Plif le Hoojib, Kiro, et des pirates Dani, Rik et Chihdo. Ils sont accueillis par Santor, représentant de l’alliance planétaire qui a renversé le gouvernement impérial. Rapidement, les pourparlers qui s’engagent barbent au plus point les trois pirates, et Santor les invite à aller se promener dans de vieilles catacombes récemment exhumées. A l’intérieur, le petit groupe est tenté de s’emparer des vestiges archéologiques qui s’y trouvent, mais il est rejoint par Kiro, venu surveiller la troupe. Une bousculade a lieu, et les issues de la pièce où ils se trouvent se ferment soudainement.

Luke Skywalker est rapidement informé de la situation de ses compagnons. Sur place, des systèmes de défense se sont mis automatiquement en marche, mais Luke parvient à les déjouer. Santor réalise alors qu’il a eu tort d’envoyer les pirates ici : il s’agit de l’ancien repère d’un scientifique de génie, nihiliste convaincu, qui avait mis au point une machine capable de détruire non seulement la planète, mais l’univers tout entier !

Luke Skywalker trouve la pièce où sont enfermés ses camarades, et Plif absorbe toute l’énergie qui s’y trouve, permettant ainsi à la porte d’entrée de la salle de s’ouvrir. Il reste encore à trouver l’arme ultime qui se trouve quelque part dans les catacombes, et à la détruire. Luke et Kiro partent explorer un tunnel, et aboutissent à un immense lac souterrain. Etant amphibien, Kiro n’a aucun mal à le traverser, et de l’autre côté, l’épée laser que lui a prêté Luke lui permet de combattre et de vaincre le dernier système de défense des lieux. Une puissante explosion retentit alors, et Kiro est emporté par un raz de marée. Il est sauvé in extremis par Luke, qui le ramène à la surface, mais il est gravement blessé.

Commentaire :

Mary Jo Duffy a su au fil des épisodes se constituer toute une galerie de personnages secondaires plutôt attachants, et les faire évoluer dans des intrigues mêlant action et comédie. On en retrouve un certain nombre ici, pourtant cette fois la mayonnaise ne prend pas. Outre que la présence de Rik et ses pirates au côté de Luke ne se justifie pas une seconde dans le cadre d’une mission diplomatique, leurs péripéties manquent cruellement d’imagination et de suspense. Et ce n’est pas en sortant de sa manche une arme antique capable de détruire la galaxie que la scénariste parvient à redresser la barre, bien au contraire.

Si on connaît bien Tom Palmer pour son travail d’encreur, il est plus rare de le voir occuper le poste de dessinateur. C’est pourtant le cas ici, et le résultat est mitigé. Certes, on retrouve sa patte, ses vaisseaux et ses bâtiments sont superbes, mais ses personnages sont désespérément figés, ses planches péniblement statiques.


Casting :

Luke Skywalker.

Pliff, Kiro, Rik, Dani, Chihdo, Santor


EPSILON : Enfer en Eden (1ère partie) (20 pages)

Scénario, dessin & encrage : Jean-Yves Mitton.

Résumé :

Le 5 mai 2086, Epsilon a quinze ans. Mais son esprit n’est pas à la fête. Il erre dans les jardins d’Eden, suivi par Mentor, son robot de compagnie, en pensant à sa mère. Perdu dans ses rêveries, il est attaqué par surprise par un personnage qui garde le silence. Le combat est interrompu par Mentor, qui annonce à Epsilon qu’il est l’heure pour lui de se rendre chez Preceptor et de prendre ses médicaments. Son adversaire, Gorh-Kan – qui est également son entraîneur – cesse aussitôt ses assauts.

Epsilon se rend chez Preceptor avec quelques minutes de retard, ce qui lui vaut une sévère remontrance. Cela n’empêche pas le jeune homme de continuer à se montrer insolent. Il va perdre un peu de son humeur après avoir pris son médicament, comme chaque jour. Puis il se connecte à télétude et répond à divers questionnaires (histoire, astrophysique, etc.). Mais Epsilon accumule les erreurs et les imprécisions, ce qui est particulièrement inhabituel de sa part. Preceptor est particulièrement fâché de ses résultats. Il n’a cependant pas le temps de s’y attarder : Epsilon doit se préparer pour la venue de son père, qu’il n’a pas vu depuis un an.

Dans la soirée, Epsilon accueille solennellement son père, Raoul de Montségur, Maître du Psi.

Commentaire :

Jean Mitton débute donc ici une nouvelle série, abandonnant ses super-héros pour se lancer dans un récit de s-f. Mitton a déjà touché au genre, notamment avec Cosmo, paru dans Mustang n°62 à 69 (février à septembre 1981). Ce premier épisode ne nous en dit pas beaucoup sur l’univers de 2086, seulement sur son personnage central et le petit monde dans lequel il évolue. Il ne pose pas vraiment non plus les bases d’une intrigue, mais il soulève suffisamment de questions pour que l’on ait envie de lire la suite. Et la révélation de l’identité du père d’Epsilon ne peut que réjouir les fans de Mikros.

Graphiquement, la première moitié du récit est nettement plus réussie que la seconde, où Mitton découpe ses planches en cases minuscules et fait disparaître les décors derrière d’interminables dialogues. Les premières pages en revanche, en extérieur, sont belles, notamment le combat muet entre Epsilon et Gorh-Kan, remarquablement mis en scène.


Casting :

Epsilon.

Mentor, Gorh-Kan, Preceptor, Kerber.

Raoul de Montségur.




LA VISION ET LA SORCIERE ROUGE : En Famille ! (21 pages sur 22)
(Sons, in West Coast Avengers #2, novembre 1985)

Scénario : Steve Englehart.
Dessin : Al Milgrom.
Encrage : Kim DeMulder.
Couverture : Al Milgom & Joe Sinnott.

Résumé :

Les Vengeurs de la Côte Ouest (à l’exception d’Oiseau Moqueur) rejoignent Vision et la Sorcière Rouge dans un hôtel et font le point sur la situation (le retour du Moissonneur et d’Ultron, le rapt de Hank Pym et Wonder Man). Pour tenter de retrouver la trace de leurs amis disparus, ils commencent par se rendre dans les locaux désaffectés de Williams Manufacturing Inc., l’ancienne compagnie de Simon Williams, puis chez sa mère, qui leur parle du passé de ses deux fils. Elle leur apprend qu’après la mort de Simon, son frère est parti à Las Vegas. Avant de quitter la vieille femme, Vision lui révèle que son esprit est copié sur celui de Simon. Mme Williams l’accueille comme son propre fils. Peu après, à peine leur Quinjet a-t-il décollé qu’il est attaqué par Ultron.

Le Moissonneur révèle son plan à ses deux prisonniers : il veut transférer l’esprit de Wonder Man dans le corps d’un zombie, créé par l’Ergot Noir, qui est la réplique du corps original de Simon Williams. Un peu plus tard, alors que le Moissonneur se trouve en compagnie de Nekkra, il est interrompu par l’arrivée du Gorille Blanc et réagit très violemment, le traitant même de sale nègre. Ce dernier en informe aussitôt l’Ergot Noir et l’invite à ne plus travailler pour le Moissonneur. Hank Pym, surprenant la conversation, y voit une opportunité pour se libérer, mais Wonder Man est en train de paniquer, terrifié à l’idée de mourir.

Commentaire :

Un épisode pour moitié ou presque composé de flashbacks sur les origines de Wonder Man et de son frère, du coup l’intrigue n’avance quasiment pas. La prestation d’Al Milgrom, cette fois encré par Kim DeMulder, est nettement moins bonne que sur l’épisode précédent, certaines cases sont carrément immondes.


Casting :

Les Vengeurs de la Côte Ouest : Œil de Faucon (Hawkeye), Oiseau Moqueur (Mockingbird), Iron Man, Tigra.

Vision, la Sorcière Rouge (Scarlet Witch).

Mrs. Williams.

Le Moissonneur (Grim Reaper), l’Ergot Noir (Black Talon), Nekkra (Nekra), le Gorille Blanc, Ultron.

[Patrick07]

Yes ! Epsilon ! Après Mikros, ce "roman" avait quand meme la classe n'est-ce pas ?
Merci Niglo !

[Brother Ray]

Un numéro bien mitigé, avec un Tom Palmer bien décevant et un épisode des West Coast Avengers illustré à l'arrache (et c'est rien de le dire)...

N'en déplaise à Patrick je ne garde aucun souvenir de l'histoire Made in France. Mais je vais la relire, c'est promis.

N'oublions tout de même pas de féliciter Niglo pour son boulot.

[cytrash]

j'avais bien aimé Epsilon mais javais une préférence pour Mikros et ses potes ..
qu'est ce que tu reproches à Palmer ,ds mon souvenir ,cet episode est pas mal dessiné (je dis bien ds mon souvenir ) quant AWC ,avec Milgron ,dans cette serie ,tu as tjs l'impression que c'est dessiné à l'arrache

et à ts les généalogistes ,un grand (on se répete ,je sais )

[Niglo]

Effectivement, Palmer ne dessine pas vraiment mal ici (quoique on a de temps en temps quelques proportions curieuses) mais ses persos sont figés. Il faut voir Luke, raide comme un piquet et droit comme un i, sauter à plusieurs mètres de hauteur, c'est ridicule (il manque juste un beau ZBOING pour parachever tout ça). Et comme cette jolie figure s'enchaine sur 4 cases... Et comme ce n'est qu'un exemple parmi d'autres...

C'est pourquoi j'ai scanné un panel joliment architectural

[Brother Ray]

	Citation:			Posté par cytrash
	j'avais bien aimé Epsilon mais javais une préférence pour Mikros et ses potes ..

Il faut absolument que je relise cette série, j'en garde aucun souvenir ???

	Citation:
	qu'est ce que tu reproches à Palmer ,ds mon souvenir ,cette episode est pas mal dessiné (je dis bien ds mon souvenir )

C'est loin d'être mauvais effectivement, mais je reprendrais un peu ce que disait Niglo ; il a tendance à figer ses persos. Ses planches sont réellement travaillées, c'est sûr... Mais "statiques". Ca n'empêche, que je considère Palmer comme un des meilleurs encreurs de sa génération.

	Citation:
	quant AWC ,avec Milgron ,dans cette serie ,tu as tjs l'impression que c'est dessiné à l'arrache

Il n' y a pas que là, ce gars même encré par Sinnott a réussi à me dégoûter des Avengers. C'est dire...

[Samo]

Epsilon j'en avais lu que quelques episodes (noteement son "evasion") et purée, ce que j'ai aimé ça... ah et puis je me disais bien que c'etait une suite indirecte a Mikros...

[cytrash]

	Citation:			Posté par Brother Ray
	Il n' y a pas que là, ce gars même encré par Sinnott a réussi à me dégoûter des Avengers. C'est dire...

moi aussi ! Et que dire de ses Secret war II ???
Par contre ,j'avais bien aimé ses Spiderman ...(j'ai oublié quelle série )

[XXL]

C'était Spectacular Spiderman et, chose amusante, juste aprés le départ de Mantlo (dand les N°90), Si je ne me trompe pas dans mes dates, Milgrom fut un temps Editor, scénariste , dessinateur et cover artist du titre! On est jamais si bien servi que par soi même! Ca ne devait pas lui prendre longtemps niveau editing, à part s'il était schizophrène!

[cytrash]

effectivement ,s'il n'était pas d'accord avec lui même ,ça devait etre chaud

[Niglo]

Milgrom j'aime toujours son travail des 70's, Captain Marvel et Guardians of the Galaxy en particulier, et oui dans les 80's ses Spectacular sont vraiment réussis, autant au scénar qu'au dessin.

Je crois que c'est vraiment sur WCA qu'il entame sa période Playmobil