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Ultimate Spider-man 2 à 8 :
J'ai enfin pu trouver mes numéros manquant et donc lire ce petit bijoux qui me réconcilie avec le tisseurs de toiles et de famille (Ce qui ici est d'autant plus vrai). 6 Numéro avec un mystério qui fait plaisir de connaître. Original tout en restant dans les pas de la version officiel. De plus j'adore l'ajoue de Johnny et Bobby dans le titre. Moi qui n'ait jamais réussit à lire sur la longeur du FF, bien je cole bien à se Johnny là. Et le Bobby et la version que je préfére de l'original (qui varia trop souvant dans son comportement). En plus les intérassions amoureuses à la dawson entre Peter, gwen, MJ, et kitty m'éclatent (j'adore le "Je ne sais même pas si ma relation avec blac cat est fini"). May parker est moins soupe au lait que l'officiel ... Bref un délice. Les deux numéro suivant introduisent Rick Jones dans le quartier et révèle une enigme de UFF. J'aime beaucoup le nom choisit à la fin par Rick. Et Bobby m'éclate à vouloir s'entêter à voiloir sortir avec une méchante du serpent crow ("Ne juge pas mon amour" trop drôle). Je conseille vivement. Très bonne semaine même si peux de news. Mais parfois c'est pas le nombre qui fait la valeur. Car sortait : Lockjaw an the pet avengers Unleashed 1/4 ( Pourquoi /4) : Je ne reviendrais pas sur le Pet avengers tales qui fut une décéption. Ni sur celle me révélant que de l'ongoing pomise ont repase à un 4 numéro. Sinon c'est terriblement drôle et j'adore ces vengeurs animaliers qui sont devenu mes vengeurs de coeurs. Ca démarre fort dans un Zoo ou une hypopotam c'est fait la mal grace à Ms Lion (Encore excellent de bout en bout). Haiball et lui (Je vais pas dire elle tout de même) cherhe a régler se problème et leur relation amical/moquerie et toujours aussi excellente. Mais une fois le problème régler par Ms Lion qui a eut un trait de génie pour une fois, les deux animaux sentent leur lien avec un de leur partenaire partir. Les autres Pets arrive sur ceux télèporter par Lockjaw et il vont à la recherche de leur amis disparu. Très touchant, je lai lu dans le métro j'ai même sentit ma voisine lire par dessus mon épaule. Que dire sinon Acheté le Dernière modification par Slobo ; 12/03/2010 à 16h05. |
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J'ai lu Batman & Robin que j'ai trouvé fort agréable voire même très bon.
Beaucoup plus compréhensible que les numéros précédents. En revanche quelque chose me chagrine:
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In Doop we trust. |
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Oui mais avec les paradoxes temporels, est-ce que cela a toujours été là?
Surtout que les alentours du manoir avait été quasiment détruits durant Cataclysm.
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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Si on entre dans la justification des paradoxes temporels on pourra tout écrire sans aucun soucis de cohérence.
Je pense Morrison plus doué que ça.
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En fait, si ça se trouve, Batman qui a toujours un plan, sait depuis le début qu'il sera amené un jour à vivre d'autres vies dans le passé et qu'il se servira des indices qu'il a lui même semé pour revenir.
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J'espère que ça ne sera pas ça, ça serait tellement simple, tellement "de toute façon rien ne peut me surprendre, je gère".
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In Doop we trust. |
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Ben moi, j'aime bien ça justement la façon dont Morisson écrit Batman est parfaitement cohérente avec ce qu'il faisait déjà dans JLA. Si Batman mérite sa place au côté de Superman, c'est bien parce que c'est le Red Richards de DC, là, où Richards a toujours une idée, Batman a toujours un plan.
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Richards mêlé avec Fury.
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Comparer Batman à Richard, il ne faut pas non plus exagérer.
Richard, tu le mets dans le vaisseau de Galactus, en trois secondes il trouve l'objet qui va bien pour faire peur au dévoreur de mondes. Batman, il suffit de le mettre en scène face à ses parents pour qu'il se mette à chouiner... (cf l'album Batman - Proie en VF)
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Allez, tout le monde en choeur chante avec moi : "Wolverine est un idiot, c'est Cyclope le plus beau !" |
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Mais c'est un festival ces temps-ci!
Quelle impudeur dans l'écriture fautive. |
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Oh mais foutre lui la paix.
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Achète mon âme ! "Today a young man on acid realised that all matter is merely energy condensed to a slow vabration, that we are all one consciousness experiencing itself subjectively, there is no such thing as death, life is only a dream and we are the imagination of ourselves. Here's Tom with the weather!" |
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Deiu que les 2 derniers Amazing sont encore merveilleux. Des fois, je me demande si on mérite tout ça.
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Il est impossible de faire comprendre quelque chose à quelqu'un
si son niveau de vie dépend directement du fait qu'il ne la comprenne pas. |
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Siege #3 : pareil que Siege #2 sans la bolognèse...
Maintenant, c'est sûr : à moins d'un sursaut pour le dernier numéro, je rangerai cet event dans la catégorie ratage. Aucune surprise ne vient égayer ce numéro. Osborn qui pète les plombs? Bin, à moins de rien savoir du personnage, je ne vois pas comment Brian Bendis espère prendre à contrepied le lecteur. Tony Stark qui retrouve son armure? C'est téléphoné depuis le 1er # : d'ailleurs, il n'y a pas de scène où il la revêt comme si cela n'en valait pas la peine (par contre gâcher 2 pages pour lui apporter semble plus important). Le personnage Sentry qui continue de prouver qu'il faut arrêter de me prendre pour 1 idiot tant cela sent le truc pour justifier le côté grosse menace (quel cliffhanger pourri à moins bien sûr que le galimatias actuel vous convienne). C'est bien simple, Asgard n'est qu'un prétexte pour tout péter et accumuler les personnages (mais quasiment pas de baston c'est paradoxal) : cela aurait pu être les mutants, les Atlantes ou une autre faction du Marvel Universe vu que, à part une case avec Balder ou Asgard qui s'écroule (diantre je ne m'y attendais vraiment pas ), rien ne permet de dire que cela a une raison profonde (d'où un Straz' passablement énervé). D'ailleurs, l'instigateur de l'assaut n'est toujours pas apparu (une raison qui le bloque ou alors j'espère toujours déceler un semblant d'explication dans ce fatras?). Non, cet event est juste là pour mettre un terme au Dark Reign et il faut que cela soit expéditif quitte à ce ce que soit mal fait, voire très mal fait : le coup des 2 voix off qui rythment ou plutôt qui cassent le rythme du numéro m'ont passablement énervé surtout quand l'un des 2 personnages est Barack Obama qu'il ne faut pas nommer ou montrer directement : bien la peine d'avoir vendu une palanquée d'Amazing Spider-Man parce qu'il était dedans si c'est pour désormais esquiver la chose dans un discours des plus convenus. Que retenir du scénario de Brian Bendis? il faut remettre de l'ordre et un ordre juste, c'est tout mais il faut croire que les personnages fictifs sont des abrutis de 1ère car cela leur pendait au nez ou alors c'est une critique du pouvoir de droite qui les avait mis en place : bin oui, Civil War avait mis le monde Marvel dans un monde de droite, Secret Invasion dans un monde d'extrême droite. Place à l'optimisme avec des héros tous beaux, tous fringants. Néanmoins, il aurait été sympa de les développer un minimum car, à part Thor et Captain America, aucun n'a de (bons) passages que je suis en droit d'attendre où la touche Bendis pourrait se faire sentir. Au contraire, je continue de trouver cela impersonnel comme un produit commandé par Marvel et c'est Brian Bendis qui s'y colle (et qui récoltera les pots cassés). Il a la chance d'avoir Olivier Coipel à ses côtés qui sauve ce qu'il peut dans ce bazar mais il n'est pas aidé par ce bordel. Sinon, comme d'habitude, Marvel meuble ce comic avec 6 pages de transmissions n'apportant rien... Alors, il ne reste qu'un numéro où, promis, chaque page est un choc mais bon, c'est signé Tom Brevoort, l'homme qui estimait que la mort d'Ares était impossible à trouver.... Bon, je m'en vais lire Green Lantern Corps #46 histoire de retrouver un vrai bon event préparé.
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Dark Avengers #15 : Brian Bendis continue de me donner l'impression qu'il écrit les mêmes personnages dans 2 réalités parallèles tant les contradictions s'accumulent (personne ne pipe mot sur l'aspect de Sentry à la fin et Ares tombe des nues durant Siege, Hand qui comprend ce qu'a fait Osborn mais qui le suit aveuglément durant Siege, incohérences avec Siege - The Cabal, etc...).
Hors Mike Deodato, point de salut pour moi dans cette fin de parcours en queue de poisson. Batman #697 : que Tony Daniel ne tienne le crayon que pour dessiner. Autant cela se laisse regarder, autant c'est mal écrit : pour l'identité de Black Mask, une fois de plus, j'ai vu juste (soit je suis un génie qui s'ignore, soit les comics atteignent un degré de prévisibilité ahurissant) mais que cela fait injure à bien des choses faites auparavant (déjà une récente mini-série). Le pire est que tu percutes dès les 1ères pages et il n'y a pas besoin d'essayer de se remémorer les derniers épisodes (j'en suis d'ailleurs incapable, je me rappelle juste qu'il y a le Reaper et la famille Falcone, le reste ayant été effacé de ma mémoire devant le vide abyssal). Non, Tony Daniel essaie de raconter une histoire de Batman mais n'y parvient pas : il ne saisit pas les personnages (la dernière page de Catwoman étant un sommet d'out of character flagrant). 6 numéros pour rien mais c'est dans la lignée du dernier taf de Judd Winick.
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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