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Critiques Doopiennes 191: Soldat Inconnu, Sandman, avengers,albator, great pacific
CRITIQUES DOOPIENNES N°191
SOLDAT INCONNU Tomes 1à 4 Retour sur l'une des meilleures séries publiées par URBAN mais qui semble être passé totalement à côté des radars des lecteurs. ( Dysart /Ponticelli-Veitch) Le pitch : Moses Lwanga est un docteur américain spécialisé dans l'humanitaire. Un jour, il décide de revenir dans son pays d'origine, l'Ouganda, afin d'y apporter une aide précieuse et d'amener les médias à rendre compte de la situation catastrophique dans lequel il se trouve, partagé entre des factions religieuses armées et des rebelles sans foi ni loi. Pacifiste convaincu, Moses a pourtant des accès de violence incontrôlés qui vont l'amener à l'automutilation et à se séparer de ses proches. Traversant l'Ouganda sous un bandage cachant son visage déformé et protégeant les innocents, il devient le Soldat Inconnu. Plus réaliste que ça tu meurs. Le Soldat Inconnu est une vieille série vertigo (publiée au début des années 2000) et réalisée par Joshua Dysart (qui fait les beaux jours de Valiant) et Alberto Ponticelli qu'on retrouve fréquemment dans les magazines du new 52. Elle fait bien sûr hommage au héros crée au début des années 60 par Kanigher et Kubert, et transpose son mythe non plus durant la seconde guerre mondiale, mais en Afrique subsaharienne, où les factions religieuses, les désastres humanitaires, les enlèvements, les mutilations et les viols sont le pain quotidien de populations déplacées et vivant dans la misère. Cette histoire, publiée en son intégralité (la série a duré 25 numéros aux USA) est vraiment très bien fichue et plutôt maligne. En effet, Dysart a fait de nombreuses recherches pour écrire sa série, et il nous en fait profiter largement dans les articles situés en fin de volume intitulés " une brève histoire de l'Ouganda". Du coup, on ressort de cette lecture en ayant appris des choses, et c'est toujours appréciable. Moi je ne connaissais rien du tout de ce qui pouvait se passer dans ces pays, et maintenant j'ai un peu plus de clefs pour comprendre, c'est en plus complètement dans l'actualité récente avec l'intervention de la France au Mali et en Centrafrique, URABN ne l'a bien sûr pas fait exprès mais ca tombe plutôt pas mal. On a donc un récit violent, dur et difficile, mais autant j'ai du mal avec les scènes de violence gratuites, autant là elles se justifient complètement. Ce n'est donc pas un problème. Dysart est donc un malin car il réussit à faire un récit plutôt neutre et exempt de tout pathos auquel on pourrait s'attendre dans ce genre d'histoire. Il est bien évidemment très critique avec les dirigeants du pays, mais aussi avec tous les artistes people qui font des conférences de presse dans ces pays pour partir deux heures plus tard. Dysart est concerné avant tout par les gens, et Moses est notre témoin. C'est à travers ses réactions qu'on arrive à mieux saisir l'étendue du problème et les différentes interactions avec tous les politiques (services secrets, corruption etc..). Superbe transposition de la légende du soldat inconnu, il n'en oublie pas pour autant la version de Kanigher en établissant un lien plutôt facile mais acceptable dans son arc de conclusion. Moses n'est pas celui qu'on croyait, et cela a le mérite de clore sa série de très bonne manière. Je pense que clairement Dysart avait préparé son arc de fin en quatre parties et s'est arrangé de faire en sorte qu'il puisse être utilisé à n'importe quel moment dans son récit, de sorte qu'on n'a pas l'impression d'une fin à la va-vite comme c'est souvent le cas avec des séries qui sont interrompues en cours de route. Peut être qu'il n'a pas dit tout ce qu'il voulait dire, mais c'est largement suffisant et cela forme un tout sans qu'il y ait de parties un peu plus faibles. Le scénariste livre aussi des épisodes de toute beauté, qui le placent instantanément dans la catégorie des grands scénaristes. L'épisode raconté du point de vue d'un fusil Kalachnikov est à ce titre l'une des meilleures histoires que j'ai pu lire cette année tout du moins. C'est intense, beau, intelligent et bien construit, bref c'est une véritable perle scénaristique. Au niveau des dessins, Ponticelli (qui réalise au moins vingt épisodes sur les vingt cinq) est aussi très efficace. Son style peut sembler un peu bizarre au début, mais au fur et à mesure de la série, on sent qu'il progresse et qu'il tente des effets (des effets de couleur et de texture par exemple dans le tome 3) plutôt réussis. Cela donne en tout cas un peu plus de cohérence à une série qui en possédait déjà pas mal. Quatre volumes à ne pas louper, que je conseille à tout le monde. GREAT PACIFIC ( Joe Harris/Martin Morazzo ) Le pitch : Chas Worthington, le jeune et riche héritier d'une multinationale pétrolière, décide de prendre possession du "great pacific garbage patch", c'est-à-dire un territoire composé uniquement de bouteilles de plastiques et de débris agglomérés entre eux par les courants de l'océan pacifique et d'en faire sa propre nation, baptisée "new texas". Il veut en effet prouver au monde l'efficacité de sa nouvelle invention, un pistolet qui permet de dissoudre les particules de plastique et d'essence. Ce Great Pacific est dans la lignée des comics à tendance plutôt écolo qui commencent à abonder chez de nombreux éditeurs (comme par exemple The Massive), car le "garbage patch" est bien une réalité, même si Harris extrapole un peu pour son récit. En effet, dans le monde réel, il serait impossible de tenir debout sur cet amas de particules, indétectable par satellite ou avion. Mais pour les besoins du récit, c'est plutôt une idée originale. Maintenant, l'exécution laisse un peu à désirer. En effet, pour le moment, les motivations de Chas et son acquisition du territoire sus nommé sont un peu trop superficielles à mon goût. De la même manière, le fait de se faire passer pour mort tombe un peu à plat dans la mesure où tout le monde apprend qu'il est en vie la page suivante. Après, il faut peut être que Harris installe son univers, ses personnages, mais pour l'instant, je dirais que c'est assez superficiel. On se doute bien, au vu des multiples sub-plots que cette histoire va petit à petit s'étoffer, mais pour le moment je reste assez sur ma faim. Il y a quand même de très bonnes idées en plus de celles de départ, tout ce qui concerne la pieuvre géante est plutôt bien fichu, et le pistolet de Chas fait basculer la série vers de la science fiction pure à partir du cinquième épisode. Après, j'ai un souci avec les dessins, qui ne me plaisent pas beaucoup. Le dessinateur est loin d'être mauvais, mais je le trouve assez fadasse, même si ca doit être assez fatiguant de passer des planches entières à dessiner une île composée uniquement de débris. De la même manière, je n'ai absolument rien compris aux deux dernières pages du TPB, qui me semblent particulièrement obscures. Pour le coup, ca donne une mauvaise dernière impression avant de fermer le bouquin. Après, je tenterai quand même le deuxième TPB dans la mesure où j'ai vraiment envie de voir où le scénariste veut aller et ce qu'il envisage pour sa série à long terme. L'idée de départ est quand même assez suffisante pour donner sa chance à ce bouquin sur la longueur. Mais ca manque un peu d'émotion, de lien et de profondeur (hihihi) Peut être un peu gentil sur la notation, mais l'idée de départ est excellente et je pense qu'il faut attendre de voir ce que ca peut donner dans les épisodes suivants afin de voir si Harris peut étoffer les motivations de son casting et de donner un peu plus de corps à son récit. CAPITAINE ALBATOR , LE PIRATE DE L'ESPACE : L'INTÉGRALE (Leiji Matsumoto) Un cadeau de Noël qui surfe sur la nostalgie de la série télévisée des années 70. On m'a offert ce livre et je me suis jeté dessus, pensant pouvoir lire une intégrale bien dense. Ben c'est un peu l'arnaque. Bon, comme vous devez le savoir, les mangas, c'est pas mon truc, on va pas revenir dessus mais les quelques essais que j'ai pu faire n'ont pas été transformés. Mais là, ça me disait bien, surtout parce que j'avais entre les mains une intégrale avec le début, le milieu et la fin. N'ayant aucune idée des codes d'un manga, je vais vous donner mon expérience de lecteur lambda, qui s'attendait juste à retrouver le personnage de son enfance. Le pitch : La terre est menacée. En effet, le peuple des sylvidres projette d'en faire sa nouvelle planète. Alors que tout le monde semble s'en moquer sur Terre (préférant la notion d'investissement et de plaisir à court terme) , un seul être peut empêcher cette domination extraterrestre : Albator, le pirate de l'espace et son équipe. On suit son parcours à travers les yeux de Tadeshi, un jeune garçon dont le père scientifique a été exécuté par les sylvidres et à qui Albator a demandé de le rejoindre. La pavé fait un bon millier de pages et se lit à l'envers. Ce n'est pas très gênant, on se fait piéger une ou deux fois mais dans l'ensemble, le sens de lecture inversé n'est pas un problème même pour quelqu'un qui n'en a pas l'habitude. Après, il faut reconnaître que les dessins ont vraiment très bons. Matsumoto réussit parfaitement à utiliser les noirs et ses personnages sont vraiment bien campés. Ca fait bizarre, on a l'impression de se retrouver véritablement dans le dessin animé des années 70, et j'ai eu beaucoup de plaisir à m'immerger dans cet univers. Malheureusement, le plaisir s'arrête ici. En effet, une bonne bd c'est aussi une bonne histoire, et pour le coup, ca n'a absolument pas fonctionné. Alors OK, les concepts, les personnages, l'univers est bien fichu, la critique de la société est bien présente mais aucun des points principaux de l'intirgue n'est résolu dans la série. Et Il y en a quand même deux gros qui reviennent continuellement dans tout le bouquin : - qu'est ce que c'est que ce méga ordinateur conscient dans le vaisseau d'ALBATOR, comment a-t-il été construit ? - Comment Albator va enrayer la menace des sylvidres ? Vous n'aurez aucune réponse. En gros, Albator passe 400 pages à recruter son nouveau compagnon et 600 pages à courir après les sylvidres, mais point de bataille finale, point de résolution de l'intrigue. Du coup, j'ai vraiment eu l'impression de me fader 1000 pages pour rien. Plus les pages avançaient plus je me disais "mais comment il va pouvoir résoudre ça ? ". La réponse est simple : Matsumoto laisse ses personnages en plan. Et c'est vraiment dommage, car tout est bien et qu'on est même prêt à accepter la longueur des récits ou leur redondance pour arriver au dénouement. Quelle déception alros de voir que l'auteur a laissé tomber son histoire et ses héros comme des vieilles chaussettes. Après, est ce que c'est mauvais : non, loin de là, mais c'est plus une bande dessinée conceptuelle qu'une véritable histoire. Vous avez des designs, des idées, une critique de la société évidente et toujours actuellemais l'auteur n'en fait malheureusement rien. Dommage. Ca va pas me réconcilier avec les mangas. et demi si vous cherchez une histoire et de l'aventure En revanche, vous pouvez mettre beaucoup plus si vous vous intéressez uniquement aux dessins et aux concepts, qui sont impeccables. Encore aurait-il fallu savoir les utiliser. AVENGERS ACADEMY : PERMANENT RECORD (Gage/ Mc Kone, Jorge Molina) La série date un peu, mais je me rends compte que je n'en avais pas parlé, et surtout, je viens d'avoir tous les TPB pour me faire l'intégrale. Le pitch : De jeunes ados aux super pouvoirs avaient été recrutés par Norman Osborn durant son Dark Reign, qui voulait en faire son armée de choc. Torturés et malmenés, ces jeunes personnages ont été pris en main par Hank Pym après la chute d'Osborn durant Siege. Désireux d'en faire les futurs héros de demain et de leur apprendre à contrôler leurs pouvoirs, ils forment avec leurs instructeurs Tigra, Speedball , Vif Argent et justice la AVENGERS ACADEMY. Ce titre au départ ne me disait pas grand-chose, je n'avais d'ailleurs pas lu AVENGERS INITIATIVE, qui était un peu le prequel de cette série. Mais Mike McKone est toujours une valeur sûre, tout comme Christos Gage qui s'il n'a jamais vraiment sorti de chef d'œuvre produit toujours en revanche d'excellentes histoires. Et je dois vous avouer que la surprise a été de taille. Les nouveaux personnages peuvent sembler à priori bizarres ou pas très originaux, sauf que Gage a réussi en quelques épisodes à leur donner une réelle humanité. Cela fonctionne instantanément dès le premier épisode, surtout que la révélation finale est plutôt bien vue et assez inédite Surtout que Gage n'hésite pas à s'occuper aussi des profs de cette académie, comme Hank Pym (avec son costume ridicule de guêpe) , Speedball ou tigra. L'utilisation de Vif Argent est aussi totalement dans ce qu'avait fait Peter David de ce personnage sur X-Factor. Les dessins sont impeccables aussi, McKOne maîtrisant parfaitement son sujet et bien épaulé par Jorge Molina. En fait, Avengers Academy est le prototype d'une bonne série régulière, on a des personnages attachants, des intrigues à long terme et à court terme, de l'action, des conflits et des rebondissements. Ajoutez à ça une grosse louche d'humanité et vous obtenez une série très réussie. et demi On regrette que Marvel ne produise pas plus de séries de ce type, des épisodes bien troussés, agréables à lire et qui n'en font pas des caisses. C'est vraiment ce que j'apprécie dans ce type de comics : des bons personnages, des bonnes histoires et une réelle volonté de parfaire les relations entre tous les intervenants du récit. J'espère que ca continue comme ça. SANDMAN : OVERTURE #1 (Gaiman/ JH Williams III) Évidemment, le fan absolu de Sandman que je suis ne pouvait pas passer à côté de ce numéro, surtout quand il est réalisé par l'artiste qui (sur le papier) est né pour dessiner les personnages et les univers de Gaiman, c'est-à-dire JH Williams III. JH Williams est l'un de mes dessinateurs préférés et je suis son parcours depuis ses tout premiers travaux chez DC, notamment la série Chase. Après, il faut quand même se méfier puisque souvent, quand on associe son dessinateur préféré avec son scénariste préféré, le résultat est quasiment toujours en dessous des attentes. Avec cette combinaison là, j'avais quand même bon espoir de ne pas lire un truc pourri. Le pitch : Nous sommes en 1915, alors qu'il est en train de régler quelques affaires, Sandman est attiré par une force irrésistible qui va le conduire dans un endroit où il est face à ses différentes versions. Bon, il s'agit malheureusement d'un prequel, qui est censé nous raconter ce qui se passe juste avant la capture de Sandman par Roderick Burgess qui est le point de départ de la série d'origine. Ce n'est pas que j'attendais véritablement une suite, mais bon, l'idée des prequels a déjà été fait par Gaiman. En plus, c'est une mini série et ca empêche de toute façon Gaiman de construire un univers ou de jouer avec l'univers qui existait déjà, donc forcément, on ne peut pas s'attendre à quelque chose de révolutionnaire. Enfin, ca fait quand même plaisir de retrouver l'auteur dans son élément et force est de constater qu'il écrit toujours aussi bien. En tant que lecteur VF passé il y a des années à la VO, il faut admettre que Gaiman possède véritablement un style d'écriture reconnaissable entre tous. Il y a très peu d'auteurs que je reconnais à leur écriture (Moore, Gaiman et parfois même Fraction) et c'est pour moi toujours un gage de qualité. C'est qu'il écrit vachement bien le bougre, et ses qualités narratives sont encore bien présentes dans ce volume, avec une ouverture complètement "Gaimannienne" où Sandman est sous forme de fleur consciente. L'avantage, c'est que cette fois ci sa narration est sublimée par JH Williams III qui fait encore un travail de dingue. C'est peut être limite l'un de ses meilleures taffs depuis le début de sa carrière, même si certains numéros de Promethea plaçaient déjà la barre à des hauteurs stratosphériques. C'est du grand Williams, c'est du pur Gaiman, donc le fan que je suis ne peut s'avérer que comblé même si il faut reconnaître qu'il ne se passe pas beaucoup de choses. Ca se lit quand même assez vite et on ressort de ce premier numéro assez frustré. Content d'avoir ce que l'on espérait, mais quand même frustré de ne pas en avoir plus. C'est donc une série à suivre, mais je pense qu'il faudra la totalité de la mini série pour envisager une lecture complète. et demi Du Gaiman classique, du bon Sandman mais surtout un immense JH Williams. J'attends quand même la suite avant de me prononcer, il ne faudrait pas que Gaiman tombe dans les travers d'un fan service et d'une histoire uniquement censée montrer les qualités du dessinateur.
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De très bonnes lectures. Le deuxième TP de Great Pacific est meilleur. Cela se passe 18 mois après et cela aborde la construction de New Texas d'un point de vu géo politique mais également politique intérieur. Je vous que tu vas critiquer The Massive et bien GP c'est l'angle naïf et assez optimiste vis à vis de Brian Wood. Cela fait du bien de lire quelque chose de plus frais. Les dessins ne sont pas extraordinaires je te l'accorde mais sont dans le ton léger (trop) de la série. En tout cas perso j'apprécie cette série pour ce qu'elle est et ce qu'elle ne veut pas être. Le côté science fiction s'atténue par la suite.
Même avis que toi sur le Sandman (que j'ai pris sur tes conseils en VO d'ailleurs). Avengers Academy est bel est bien une très bonne surprise. |
#3
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Même avis pour Avengers Academy, au niveau du premier run de Thunderbolts. Ma seule réserve porterait sur le transfuge Reptil auquel je n'ai pas accroché.
Bloodshot : s'agit-il de la première ou troisième version (des TPB existent pour les deux ) ? |
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Ce sera.......Les deux mon général
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Excellentes critiques !
Tu me donnes envie de tester le soldat inconnu, je tenterai de mettre la main sur le tome 1. Ça sera suffisant pour se donner une bonne idée de la série ? Je déchante pour Albator, j'étais tout excité d'apprendre qu'il y avait une intégrale de la série, mais savoir qu'il n'y a pas de fin ça me coupe toute envie de m'y mettre... Pourquoi ça, au fait ? La série a été stoppée sans préavis ?
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"My Lord, you have no space suit..." "Air is for cowards ! Do it !" mes ventes diverses et variées mes recherches diverses et variées les aventures d'Archibald Long-Jean |
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Je te rejoins completement en ce qui concerne "Soldat Inconnu" qui est une tres belle oeuvre... ainsi que pour Avengers Academy dont je viens de lire les deux dernier TPBs et qui est vraiment une série sympas avec des personnages évoluant tout le long des 40 et quelques épisodes... qui a su s'inserer dans tous les events plus ou moins réussi pour à chaque fois, raconter une histoire liée à l'event mais surtout qui sert les personnages...
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Pour albator, apparemment le créateur de la série n'a jamais réussi à finir un truc de manière convenable. |
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ça fait bizarre de voir un manga au milieu de tes habituelles chroniques comics. En tout cas, je suis bien content de voir celles-ci de retour. Promis, je pond les miennes cette semaine (y'avait pas assez de matos la semaine dernière). Je te trouve dur avec Avengers academy. Pour moi, ça mérite bien 4 brocolis dansants.
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"Whatever knows fear burns at the man-thing's touch!" Chroniques VO 01/02/20 : Deadpool the end, la fin des New Defenders, Tarot 2, Epic collection X-cutionner's song, ravencroft 1, Doc Strange et Cap Marvel the end, Cap 18 |
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Tout d'accord avec toi sur Avengers Academy. C'était une excellente série. Pour ma part, j'ai arrêté de lire Aréna dès le sort réservé à un des héros de cette série tellement j'y étais attaché.
Pour Albator, j' avais acheté les quelques tomes sortis dans les années 90. A ma grande déception, c'était un piège à cons. Il n' y a pas de fin. Mieux vaut investir dans l' OAV... Tout l'univers de Matsumoto est un peu construit de la sorte. C'est passionnant mais sans fin... |
#10
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Je trouve que 3 broccolis et demi est la note juste pour Avengers Academy, il n'y pas vraiment de surprises, mais c'est une série classique où on a palisir à suivre les persos, et en effet il y a eu un arc tie-in à Fear Itself qui était très bon.
La planche de Williams III déboîte! |
#11
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Oh, et c'est pas la meilleure (c'est uniquement la deuxième partie d'une double splash !!!) . Globalement toutes les planches de WILLIAMS sur SANDMAN déboitent
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Ta chronique me rappelle que je dois poursuivre la lecture du Soldat inconnu dont le premier tome m'avait bien plu.
Je te trouve un peu sévère sur Great Pacific, l'auteur en peu de pages apporte plusieurs enjeux à échelles multiples. Le petit point négatif que j'avais sur ce titre demeure le graphisme, loin d'être exceptionnel même si les décors-déchets ne prètent pas à une grande variété.. |
#13
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Pour Avengers Academy, je m'associe aux louanges: une série très agréable, bien écrite, avec des personnages intéressants et qui a très bien réussi à surnager pendant les events. Du super-slip classique, mais de qualité.
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Si ça continue faudra que ça cesse! |
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Pour avoir les réponses sur Albator, évitez le film il faut revoir le D A de 78 ou toutes les intrigues trouvent leurs réponses (sur l'ordi de l'Atlantis et sur la fin du conflit avec les sylvidres)
Le soldat inconnu me tente vraiment |
#15
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Avengers Academy est de très loin mon gros coup de coeur Marvel pour la deuxième moitié des années 2000 ; j'ai pris autant de plaisir à lire cette série que les New Warriors de la grande époque (Nicieza / Bagley).
Pour Albator, je conseille plus l'album aux fans hardcore, car le manque de fin est très frustrant ; il vaut mieux regarder la série TV (que je compte bien te refiler, mon Doopinet).
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Allez, tout le monde en choeur chante avec moi : "Wolverine est un idiot, c'est Cyclope le plus beau !" |
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albator, avengers academy, great pacific, sandman, soldat inconnu |
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