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Karnak c'est James Bond avec son pouvoir en plus, c'est de l’espionnage, le personnage et le contexte inhumain n'est qu’accessoire, Ellis en fait un gourou zen à qui il ne faut pas sourire. Le plus déconcertant c'est que le #1 n'est pas un stand alone, bizarre pour Ellis.
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Cognetic #1
COGNETIC #1(/3) (James TYNION IV / Eryk DONOVAN)
En voilà un comics touffu et dense (32pages de BD), avec des bonus (5pages) qui nous en donne pour notre argent (4.99$). Je n'ai pas encore eu l'occasion de lire Memetic des même auteurs mais c'est les retours positifs lu ici et là (et surtout ceux de tonton EsseJi) qui m'ont poussé cette fois ci à prendre le train en marche dès la première gare. James Tynion IV est un scénariste à suivre. Il a des idées et à l'air d'autant plus à l'aise à l'écriture dès qu'il sort du mainstream. Avec Cognetic il continue d'explorer un thème qui le fascine depuis son enfance (à lire ses propos à ce sujet dans ce numéro) : la fin du monde (ou bien les scénarios apocalyptiques). Déjà avec Memetic on y avait droit (semble t il) et The Woods emprunte le même chemin. Que nous a t-il donc réservé avec Cognetic ? Le récit semble puiser aux origines de la vie sur terre (d'où l’énigmatique scène d'ouverture) puisque la théorie développée par Tynion IV serait qu'une bactérie/amibe seraient enfoui dans les tréfonds de l'humanité et qu'un jour elle décide de se réveiller et de prendre son contrôle, comme si le collectif d'une ruche ou d'une fourmilière était soumise à un et plus à tous (You're a part of something bigger. A tiny piece of a singular whole). Forcément cela va vite tourner au suicide collectif. Dans ce tableau bien sombre mais passionnant vont se dresser deux protagonistes : le directeur du FBI, type beau gosse, et son indispensable et douée assistante de l'ombre. La fin amène un excellent cliffhanger qui promet un affrontement où l'humanité n'est plus qu'un pion. Cette histoire est servie par le graphisme de Eryk DONOVAN qui n'en fait jamais trop avec des planches très lisibles et surtout un sens des détails qui facilite la lecture de ce récit parfois dense (typographie de couleurs différentes, language texto, visages des personnages rapidement identifiable). Si vous avez aimé Trees de Warren Ellis et Jason Howard alors Cognetic est fait pour vous. La parenté entre Ellis et Tynion IV est criante à la lecture de ce premier numéro. Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 04/11/2015 à 23h09. |
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Black Magic #1
Un goût de trop peu pour un #1.
Oh, il y a du mystère, un certain sens du teasing, c'est très télévisuel (punaise, j'ai eu l'impression d'un épisode de Secret Circle) mais la surprise n'est pas encore au rendez-vous. Greg Rucka en a sûrement sous la semelle comme l'indiquent les bonus qui développent l'univers de la magie et la généalogie du personnage. Le tout fait penser à Lazarus dans cette gestion ce qui est un bon signe. Après, le personnage est encore une femme (forte) comme l'auteur les affectionne. Non, le gros plus est Nicola Scott très à l'aise dans l'ambiance urbaine teintée de mysticisme. Je l'ai appréciée sur du slip, ça ne risque pas de s'arrêter ici. J'espère juste un #2 un peu plus rentre-dedans.
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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Merci de confirmer, ça sera collection, et je peux attendre jusqu'au HC.
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Tout pareil.
Par contre j'ai pu feuilleter la version mag : elle est superbe (surtout le rédactionnel). |
#111
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Paybacks #2
PAYBACKS #2
J'ai attaqué ce deuxième numéro avec quelques doutes suite à l’intéressante conversation avec l'ami EsseJi hier soir (oui on peut discuter sur un forum, c'est d'ailleurs passionnant). Et au final je ne change pas d'avis sur cette série qui possède un véritable fond (ce n'est pas juste des gags qui s'accumulent du style tient je dessine mieux Shatterstar que Rob Liefeld ) et multiplie les clins d’œils aux superslip addicts mais pas que (sauras tu trouver le Tardis dans ce numéro). En seulement deux numéros on commence à avoir bien en main les membres de l'équipe principale de Paybacks et les deux scénaristes (Donny Cates et Eliot Rahal) continuent à nous faire voyager. Après la Batcave revisitée on va faire un petit tour dans la base sous-marine de la Justice League (mauvais payeurs, pas bien). Et on a même droit a un cliff très sympa qui forcément, car bien amené, donne envie d'y revenir. Non je ne boude pas mon plaisir à la lecture de Paybacks surtout que récemment j'ai été échaudé (ne craint pas l'eau froide) par de nouvelles séries qui ne tenaient pas leurs promesses (Americatown, The Tomorrows). /5 |
#112
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Prez #5
PREZ #5
Retour de Ben Caldwell aux dessins et une présidente qui va faire le tour du monde pour s'excuser de la politique sécuritaire de son pays. La grippe du chat continue de faire des ravages et le War Beast se cache dans dans des toilettes ambulantes qu'il emporte sous le bras. Toujours autant de cynisme et de dérision dans le récit de Mark Russell mais c'est encore décousu et cela pourrait aller plus loin dans la critique. En fait on ne sait pas trop où souhaite aller le scénariste. Néanmoins cette série reste dans le haut du panier des productions mainstream que je lis par la fraicheur (scénaristiquement et graphiquement) qu'elle apporte. /5 |
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Ivar, timewalker #10
IVAR, TIMEWALKER #10 (Valiant)
Une histoire de Fred Van Lente qui se passe dans l'antiquité (ré inventée quand même) cela ne peut être que l'assurance de passer un bon moment. Et ce fut donc le cas avec ce 10eme épisode des aventures du troisième frère Anni-Padda. Dans cette ère temporelle c'est les dinosaures qui sont la race dominante et on va suivre les jeux du cirque à leur sauce sous fond de menace d’astéroïde (et oui l'histoire est un éternel recommencement). Pas mal d'action et une caractérisation des espèces qui fait sourire (les herbivores, les mammifères). Par rapport aux numéros précédents la trame de fond avance peu mais l'ensemble est par contre plus dynamique, surtout sous les crayons de l'excellent Pere Pérez. Il n'y a pas à dire on aura été gâté avec les séries Valiant Next cette année. /5 |
#114
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Ha bha non je suis en retard pour le 2 aussi mince. Dernière modification par Slobo ; 11/11/2015 à 13h14. |
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Wild's end : The enemy within #2
WILD'S END : THE ENEMY WITHIN #2
Un petit bijoux d'écriture au niveau des protagonistes. Paranoia, trahison, imposture et évasion sont au programme de ce numéro écrit de main de maitre par Dan Abnett. Après La Guerre des Mondes on peut y voir l'influence de L'Invasion des Profanateurs, ce qui envoie encore du lourd au niveau des références. Un sans faute depuis le début et tient j'ai entendu un click .... je pense qu'il devrait y avoir de l'animation dans les prochains numéros. A signaler que le single est de qualité avec des bonus qui permettent de prolonger l'expérience. /5 |
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C'est exactement cela. La force d'écriture de Dan Abnett dans la caractérisation de ses personnages m'impressionne. Il lui faut peu de temps pour les installer et leur donner une personnalité : les deux officiels sont différents et reconnaissablse par leur prise de décision et position et il en est de même pour les deux romanciers. D'ailleurs quand le couperet tombe sur l'un des deux j'ai crié au génie tant la situation est bien trouvée, décrite (il faut voir les diverses réactions) mais en plus cela fait un très beau lien (logique) avec la première mini. Beaucoup d'émotion également dans les interrogatoires (le gamin).
Tu as lu les bonus ? Bien écrits et très complémentaires. Une réussite (cela mériterait même un 1/2 Panda de plus) |
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Non, c'est très très rare que je lise les bonus.
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Décidément, j'aime vraiment pas ces topics de critiques. En 5 minutes de lecture je viens de planifier une visite de mon comics shop entre midi et 2H pour acheter All New Wolverine #1, Payback #1 et 2 et WILD'S END : THE ENEMY WITHIN #1 et 2.
Je dirais bien que je vous déteste, mais j'adore ça \o/
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Ma Wishlist Comics |
#120
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Il faut que tu achètes surtout la première mini WILD'S END (toujours chez Boom, même auteurs, publiée fin 2014-début 2015) car The enemy within en est la suite directe (peu de temps mort même) au risque de passer à côté de dialogues importants.
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