#91
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Trees #5
Par contre j'aime bien ta réflexion sur Warren Ellis. Aurions nous continué si c'était un écrivain moins hype ? Rien n'est moins sur en effet mais il en joue et au niveau où il est arrivé pourquoi pas. Je pense qu'il sait très bien qu'il sera jugé sur la fin du récit. Par contre les dessins de Jason Howard restent encore un mystère pour moi. Parfois parfaitement dans le ton du récit avec ce côté épuré qui sied si bien parfois trop simpliste, à l'économie. Je serais curieux de voir les scripts qu'Ellis lui adresse. |
#92
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Shutter #6
SHUTTER #6 (Joe KEATINGE / Leila DEL LUCA)
Voilà un numéro qui m'a plu. Je vais pouvoir économiser 3,5€ chaque (enfin presque voir plus loin) mois. A la fin de cet épisode je me suis rendu compte de toutes les lacunes de la narration de Joe KEATINGE qui n'a pas grand chose à raconter. On est loin des début prometteur de cette aventurière en herbe qui nous promettait des récits haut en couleur et rythmés. Ce monde qui semblait si fantastique n'est plus de mise. L'histoire tourne au vaudeville avec une histoire de course poursuite sur fond d'héritage et de secret de famille...et c'est tout. En plus Joe KEATINGE tombe dans la violence gratuite et dénature complètement ce qui faisait le charme de son héroïne, la faisant passer désormais pour une vigilante assoiffée de vengeance et de sang. Et on arrive au final où on apprend que la suite c'est pour le mois de décembre avec une chute qui n'en est pas une et un lecteur frustré. Une fin d'arc complètement ratée comme la série au final. SHUTTER c'est terminé pour moi. J'attendrai les retours des suites pour savoir si je jette un coup d'oeil au TP. |
#93
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Oddly normal #1
ODDLY NORMAL #1 (Otis FRAMPTON)
Dommage que ce numéro ne soit pas king size car le premier opus est agréable mais trop vite lu. On comprend vite la situation et Otis FRAMPTON laisse tranquillement (trop ?) la situation et les personnages s'installer. Oddly Normal est rapidement attachante mais comment n'aurait t-elle pas pu l'être. La pauvre ado mise au banc de la société car différente à cause de son nom, de ses origines et de son environnement. Il est temps qu'elle se rebelle, ce qu'elle fait sans que l'on en soit étonné. L'aspect cartoon (c'est beau) et le minimalisme des textes renforcent cette impression de mignon tout plein. C'est comme la famille Adams sans les Adams si je devais oser une comparaison. Dans la demeure familiale il manque de bizarreries qui aurait enchanter le lecteur. En clair ce qu'il manque c'est un peu plus d'ambition dans la narration et même graphiquement. D'ailleurs on peut se demander qu'elle est le public visé par Otis Frampton. Un premier numéro efficace à défaut d'être extraordinaire. Il y a juste ce qu'il faut pour ne pas s'ennuyer et avoir envie d'acheter le suivant où il semble que l'histoire va réellement démarrer. J'ai juste un peu peur que cette histoire ne soit pas si original que cela. On va quand même donner les encouragements du jury. |
#94
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SUPREME BLUE ROSE #3 Ce troisième numéro ne déroge pas à la règle, il est presque incompréhensible. J'imagine que les habitués de l'univers de Supreme cernent beaucoup plus de choses que moi, pauvre néophyte, mais mon plaisir est tout de même immense. J'adhère totalement à l'écriture autant qu'aux dessins. La colo' est en adéquation totale avec le lyrisme omniprésent de la série. Un régal.
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"Et rose elle a vécu ce que vivent les roses, l’espace d’un matin." |
#96
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Supreme blue rose #3
Mais c'est beau et bien écrit. Il se dégage une réelle poésie de la narration de Warren ELLIS sur cet exercice de style et l'auteur est magnifiquement accompagné par Tula LOTAY qui est pour moi une révélation. Je suis comme toi, je suis fan de cette LS, ambitieuse mais tellement différente. |
#97
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Justice league : Futures end #1
JUSTICE LEAGUE : FUTURES END #1 (Jeff LEMIRE / Jed DOUGHERTY)
Même auteur, même artiste, la suite directe et toujours une histoire agréable à lire qui s'insère bien dans l'univers de Futures End. Peut être que Jeff LEMIRE aurait pu être ambitieux mais il devait assurer pour deux : les fans de la JL et ceux de la JLU. D'où un récit bien écrit quitte à répéter les enjeux dans ce numéro (pour ceux qui n'aurait pas lu la première partie par exemple). La fin est très bien. |
#98
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J'ai quand même trouvé cela très léger.
Surtout que le synopsis original était :
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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#99
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Effectivement rien à voir. Le JL est le plus léger des deux car le JLU était quand même plus solide avec des éléments sur les membres de l'équipe. Changement de plan à la dernière minute ? Après j'apprécie l'écriture de Jeff LEMIRE donc ces deux numéros n'ont pas dérogé à cette règle. Mais j'ai également parlé de manque d'ambition....
Au final je me rends compte que comme pour le Vilain's Month j'ai du mal à apprécier cet exercice de style. La marge semble trop étroite pour les auteurs et j'aurais préféré lire la suite des on going. |
#100
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#101
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Teen titans : Futures end #1
TEEN TITANS : FUTURES END #1 (Will PFEIFER / Andy SMITH / Keith CHAMPAGNE)
Tempest, Klarion, Kid Flash, Heretic, Animal Girl le casting de ces Teen Titans spécial Futures End m'a bien plu. Dans la lancé de ces épisodes efficaces de Teen Titans (que 2 pour l'instant) Will PFEIFER s'applique beaucoup dans ces récits qui donne du plaisir aux lecteurs. J'aurais aimé en savoir plus sur certains membres de la précédente équipe mais le scénariste jour habilement avec le concept à sa disposition. Son Klarion est sympa comme tout et fait son retour sur le devant de la scène avant la série qui va lui être consacré. La véritable surprise est venu de Andy SMITH (bien encré par Keith CHAMPAGNE) que je ne pensais pas voir à un tel niveau. Cela faisait un bon moment que je l'avais perdu de vu (ou alors je n'ai pas fais attention) et ce que j'ai lu sur ce numéro est bon, voir très bon. Des planches avec du rythme et des personnages bien ré inventé pour l'occasion. |
#102
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Red hood and the outlaws : Futures end #1
RED HOOD AND THE OUTLAWS : FUTURES END #1 (Scott LOBDELL / Scott KOLINS)
Du Scott LOBDELL peu inspiré et qui n'y va pas avec le dos de la cuillère vis à vis de Red Hood. Le scénariste a du se sentir obligé de rajouter (mais j'ai apprécié) Arsenal et Starfire car cet épisode ne leur est pas consacré du tout. Pour le reste c'est quand même assez anecdotique car même si Scott Lobdell a peu d'espace pour s'exprimer cela manque clairement de finesse malgré une idée du personnage assez logique et abouti sur son devenir dans le future. Je ne suis pas amateur de Scott KOLINS. Ce que j'ai vu ne m'a ni plu ni déplu. Je suis curieux de savoir si on croisera Red Hood dans la weekly car il y a manière d'en faire quelque chose d'intéressant. |
#103
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T'as vu starfire à part sur la couv toi ?
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#104
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Nulle part physiquement mais son devenir est exprimé par Red Hood.
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#105
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Bon bes on va reprendre les critiques merci à vous pour les vôtres qui sont toujours aussi intéressantes à lire .
Spawn #246 On sent que monsieur McFarlane se fait plaisir et veut faire plaisir à ses fans, We are on the road to issue 250 ^^ . C'est vraiment un très bon numéro. Après le sauvetage de Sara par Jim, les choses changent pour elle, on se retrouve un peu dans la situation des premiers numéros de Spawn, en effet l'acceptation est encore l'une des thématiques de l'oeuvre. En tout cas ce sont encore les humains qui sont au centre du récit, laissant de côté le panthéon démoniaque, en quelque sorte en tout cas (et puis Al revient enfin, pour le numéro 250.) Il y a un petit retour dans le passé en tout cas avec une vision différente d'évènements que nous connaissons, le scénariste nous rapproche encore plus de la psyché des personnages et c'est un vrai plaisir. Il y a une vraie force dans les dialogues en tout cas, les échanges entre Jim et Marc sont forts en tout cas et Sara nous apparait encore sous un angle différent. Bon le Spawn n'est pas oublié bien entendu, mais il apparait plus sous sa forme de croquemitaine comme ce fut souvent le cas dernièrement et ce n'est pas pour me déplaire personnellement. Bref au niveau du scénario c'est nickel vraiment, je n'ai rien à dire. Pour ce qui est du dessin, j'adore toujours autant le travail de Szymon Kudranski et ma foi même si par moment c'est légèrement statique, on en a pour notre argent, moi en tout cas j'aime ce que je vois, c'est fort, c'est glauque, c'est vraiment du bon Spawn et j'ai hâte de lire le prochain numéro. Grant Morrison's The Key C'est une petite trouvaille, c'est une oeuvre de mon auteur fétiche pour le site de la BBC, c'est du tout bon même si c'est assez particulier, en soit. C'est une oeuvre de quelques pages, enfin des pages virtuelles vu que le comic-book est proposé par la BBC sur son site. Déjà graphiquement c'est sublime il n'y a rien à dire, c'est assez statique si on s'arrête à la première impression, mais ensuite quand on analyse toutes les cases, je trouve que c'est vraiment magique, c'est déjà coloré, donnant au tout un côté très vivant, j'aime beaucoup en tout cas ce que je vois. Pour ce qui est de l'histoire, c'est très métaphorique, l'histoire parle de liberté, c'est un futur avec sa dictature et même si bien entendu ce n'est pas l'oeuvre la plus profonde de son auteur, c'est simple et efficace, après je ne sais pas si j'analyse l'oeuvre correctement, mais pour moi l'auteur veut dire que nous avons en nous les clés de notre liberté, bon j'avoue la lecture (de cette oeuvre sans bulles ^^) fut faite au début de l'été, donc je me base sur mes souvenirs, mais j'aime bien, c'est court, très simple, mais c'est intéressant à regarder et c'est beau.
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"Si tous tiraient dans la même direction, le monde basculerait." ---------- "my feminism will be intersectional, or it will be bullshit." Kelly Sue Deconnick “Conscience. Conscience is the ultimate measure of a man.” G. Willow Wilson "Magneto would be all, "Mutants shall rule all" and Sex Giraffe would be all, "One second there, broski." Gail Simone |
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