|
#466
18/02/2016, 18h19
|
||||
|
||||
|
DC
Catégorie « Excellent » RIEN Catégorie « Très bon » Harley Queen 25 Genre : Très bonne fin d’arc narratif C’est le grand et bref retour d’Harley à Arkham ! Bien décidée à libérer son Jules en danger de mort à cause des secrets qu’il détient sur le maire de New York, Harley débarque avec sa petite troupe à Gotham. Avec l’aide de Poison Ivy, chargée de lui trouver un véhicule pour l’évacuer sitôt son affaire faite, elle débarque sous couverture avec quelques bonnes doses de Venom (la drogue de Bane) sous forme de gaz. De quoi provoquer une jolie diversion… Problème : Son cher et tendre a été placé à côté d’un certain clown, qui lui a bien sûr tout déballé sur son sombre passé avec elle. La belle va elle replonger en revoyant « Mistah J »? Un des meilleurs numéros jusqu’ici, qui approfondit le personnage d’Harley en montrant son évolution psychologique après deux ans de publication. On mesure le chemin parcouru lors d’une scène particulièrement mémorable dédiée au Joker, qui montre parfaitement le potentiel manipulateur du personnage et le déconstruit de belle manière. Un des meilleurs numéros jusqu’ici ! Scénario : 15/20 Dialogues : 16/20 Dessins, encrage, couleur : 15/20 Note finale : 15/20  Secret six 11 Genre : Début réussi d’une guerre des assassins Les six se reposent des évènements un peu traumatisants du dernier arc. Porcelaine refait un beauté à Strix, Catman promène ses « chiens » (l’un d’eux est une chèvre à tête et ailes de mouche qu’il a récupéré on ne sait comment durant les évènements) et affronte Batgirl en goguette… Bref, tout va pour le mieux jusqu’à ce qu’une puissante méchante DC jette son dévolu sur Strix après avoir assommé l’ensemble de l’équipe en quelques secondes… Un début de troisième arc narratif amusant (la rencontre entre les humains normaux et les chiens de Catman), très réussi et intriguant, avec de bons dialogues et une guest star que Gail Simone maitrisait mieux que les auteurs actuels à mon avis…Enfin, tout y’est quoi, même Eaglesham aux dessins, aidé par un autre mais ça ne se voit pas trop. Bref, vivement la suite. Scénario : 15/20 Dialogues : 15/20 Dessins, encrage, couleur : 15/20 Note finale : 15/20  Catégorie « Bon » RIEN Catégorie « Sympa » RIEN MARVEL Catégorie « Excellent » Silver surfer epic collection 3: Freedom Genre : Aventures cosmiques épiques des eighties Ce pavé de près de 500 pages couvre le retour du surfeur en 1982 (après près de vingt ans d’absence dans un titre à son nom) dans un mémorable one shot qui conclut ce premier run solo et culte (Stan Lee et John Buscema en grande forme). On y trouve également une aventure un peu étrange et philosophique parue dans Epic illustrated qui implique le destructeur et son vassal. On nous présente également les origines de Galactus telles que narrées par Lee et Kirby dans les pages de Thor, une aventure one shot qui a servi de synopsis au second run du poisson pilote argenté dans les pages de Marvel fanfare et surtout les 14 premiers numéros de la série débutée en 1987 avec un Steve Engleheart très inspiré au scénario et un Marshall Rogers (dont je ne suis pas fan) de bonne facture aux dessins, bientôt remplacé par le très honnête John Staton, que je ne connais pas. Ce volume voit la fin de l’emprisonnement sur Terre du surfer, désormais libre de voguer dans le cosmos à la recherche de sa bien-aimée Shalla Bal sur la planète Zenn La dont il est originaire. Comme cela ne peut pas se finir par un happy end et un mariage, les circonstances font qu’il va devoir repartir en voyage. En effet, deux menaces pèsent sur lui et sa planète natale : D’une part, les Skrulls ont perdu leur faculté de transformation et ont fini piégés dans la dernière forme qu’ils avaient choisie, perdant ainsi leur meilleure garantie de survie contre leurs rivaux Krees. Avec la destruction de leur planète capitale par Galactus et le décès de leur impératrice, des seigneurs de la guerre s’entretuent pour mériter le privilège de devenir le nouvel empereur, dont certains ont placé des espions jusqu’au plus haut niveau de responsabilité krees ! Si le secret de leur perte de pouvoirs venait à se savoir, c’en serait fini d’un des deux plus grands empires militaires de l’univers… D’autre part, les doyens de l’univers ont décidé de supprimer Galactus ! Le collectionneur, le grand maître et les autres survivants des premières races intelligentes apparues après le big bang sont jaloux du dernier survivant de l’ancien univers et on un plan audacieux pour devenir les êtres les plus puissants ayant jamais existé… Ces 14 premiers numéros du second run du surfer sont du très bon Marvel cosmique pour qui aime le genre. Les dessins de Rogers sont efficaces à défaut de soulever mon enthousiasme et transmettent très bien l’idée d’immensité de l’univers. Le personnage du surfeur, en proie au doute, est très intéressant : sa bien-aimée étant empêchée par ses devoirs politiques, il va successivement être attiré par Mantis, ancienne membre des vengeurs et actuelle madone céleste et Nova, ancienne petite amie de Johnny Storm devenue le nouveau héraut de Galactus. Le surfeur s’humanise en perdant une partie de son statut christique de l’ère Lee/Buscema, tout en conservant son essence. Il ne se perd plus dans des réflexions mélancoliques sur la condition humaine et devient plus adepte de la diplomatie et de l’action défensive. Les complots entre skrulls et Krees mais aussi ceux des doyens sont également passionnants, peignant un très intéressant pan cosmique de l’univers marvel aujourd’hui plus occupé par les gardiens de la galaxie. Les one shots présents dans le volume sont également remarquables, avec un épilogue très intéressant au run de Lee et Buscema paru en 1982 qui boucle de belle manière ce run tout en posant les bases de la série de 1987. On a du mal à reconnaître le trait de John Byrne mais il est très agréable. La courte histoire parue dans Epic illustrated 2 est assez anecdotique mais bénéficie des plus beaux dessins et couleurs du volume. Enfin, les origines de Galactus parues dans le titre Thor de Lee et Kirby et rééditées ici portent la marque de leurs meilleures œuvres en dramatisant avec talent le sort de Galan, dernier être vivant de l’ancien univers, appelé à devenir une des plus grandes menaces de celui qui le suit. Kirby livre de très belles planches. En résumé, ce volume est moins indispensable que le tome 2 à paraître un jour et disponible dans de nombreuses éditions tant il est mythique mais plus intéressant que le tome 1 qui reprenait toutes les premières apparitions du surfeur dans les pages des quatre fantastiques de Lee et Kirby. D’ailleurs, mieux vaut lire le titre susdit dans l’ordre chronologique tant il a bien vieilli. A conseiller aux amateurs de très bon cosmique et du Silver surfer. Scénario : 17/20 Dialogues : 17/20 Dessins, encrage, couleur : 15/20 Note finale : 17/20  Silver surfer 2 Genre : Le retour d’un personnage clé de l’univers de Norrin Radd Surfy et sa dulcinée Dawn se reposent au sein de la famille de celle-ci mais Norrin s’ennuie et rêve de reprendre la route. Il repense à un épisode de sa vie sur Zenn La avant l’arrivée de Galactus. Son peuple avait interdiction de voyager dans l’espace pour une raison un peu obscure. Des années plus tard, il comprend pourquoi et l’identité de son antagoniste est pour le moins bien vue, parfaitement raccordée à ce que j’ai lu dans les épisodes des années 80, ce prouve que Waid connaît ses classiques. Un numéro qui intrigue tout en prenant son temps, ce qui n’est pas un mal. La description de la petite ville de Dawn est en plus très intéressante pour un étranger. Et toujours ces superbes dessins et couleurs dont certaines planches (celles avec Grimm, notamment) renvoient au maître Kirby. Scénario : 16/20 Dialogues : 17/20 Dessins, encrage, couleur : 17/20 Note finale : 17/20  Catégorie « Très bon » Carnage 5 Genre : Fin très réussie d’arc narratif C’est le grand final. Carnage est plus puissant que jamais (exceptée la période où il avait pris le pouvoir cosmique du surfer ou celle où il absorbait les symbiotes durant le crossover Planet of the symbiots dans les années 90). L’armée et le FBI décident de l’enterrer vivant sous la mine, puisqu’il ne peut être vaincu physiquement mais Jameson s’y oppose afin de sauver un de ses camarades au lourd passé… Un beau final aux dessins réalistes et angoissants, pas pour les claustrophobes. Le cliffhanger laisse présager le meilleur pour un second arc qui se déroulera en pleine mer. Toujours une très bonne série d’horreur malgré un numéro 3 inutile. Scénario : 15/20 Dialogues : 15/20 Dessins, encrage, couleur : 16/20 Note finale : 15/20  Catégorie « Bon » RIEN Catégorie « Sympa » RIEN
__________________
"Whatever knows fear burns at the man-thing's touch!" Chroniques VO 01/02/20 : Deadpool the end, la fin des New Defenders, Tarot 2, Epic collection X-cutionner's song, ravencroft 1, Doc Strange et Cap Marvel the end, Cap 18 
|
|
#468
18/02/2016, 19h06
|
||||
|
||||
|
Tu avais lu tout son run? L'équipe actuelle me fait de plus en plus dormir. Je suis à ça d'arrêter mon plus vieux titre en cours chez DC.
__________________
"Whatever knows fear burns at the man-thing's touch!" Chroniques VO 01/02/20 : Deadpool the end, la fin des New Defenders, Tarot 2, Epic collection X-cutionner's song, ravencroft 1, Doc Strange et Cap Marvel the end, Cap 18
|
|
#470
28/02/2016, 16h41
|
||||
|
||||
|
MARVEL
Daredevil epic collection TP 13 : A touch of Typhoïd Here comes Marvel's epic line's best tome to date! Here comes Daredevil epic collection TPB 13 : a touch of Typhoïd! Dans ce qui est selon moi le run le plus légendaire de Daredevil (devant Miller, oui), ce volume nous présente les épisodes 253 à 270 du volume 1 des aventures de Tête à cornes, peu après que la scénariste Ann Nocenti et le dessinateur John Romita Jr aient commencé à bosser ensemble au numéro 250. Je pinaille mais les numéros 250 à 252 nous présentaient le criminel à super pouvoirs Bullet et son fils, ainsi que le contexte de pollution industrielle liée au caïd du crime (the kingpin) qui vont nous occuper en partie dans le début de ce volume. De plus, ils nous faisaient vivre l'arrivée du mutant Apocalypse à New York pour la première fois (dans les pages de X Factor) racontée du point de vue du New Yorkais normal et de Daredevil, qui le vivaient littéralement comme la fin du monde, évènement qui introduisait pour la première fois le criminel Ammo, qu'on va revoir lui aussi dans ce volume Epic collection. Pour toutes ces raisons, dommage, donc, de ne pas avoir inclus ces numéros, quitte à faire gonfler le poids et le prix de cet epic collection. A l'époque de ces numéros, Matt Murdock, radié du barreau, est devenu avocat conseil pour les plus pauvres, défendant à perte les causes justes et faisant appel à son alter égo hors la loi pour enquêter en profondeur. Il est en couple avec Karen Page, son ancienne secrétaire qui en a vu des vertes et des pas mûres sous Franck Miller pendant l'arc Born again. Tout va pour le mieux dans le quartier pourri de Hell's kitchen et DD chaperonne une bande gamins des rues plus ou moins abandonnés, les skateurs du nom de Fatboys. Après un noël mouvementé durant lequel il rencontre deux crétins qui foutent la zone dans le quartier durant le jour de noël (numéro 253) vient le début fracassant dès le numéro suivant de Typhoïd Mary, appelée à devenir son adversaire principale de l'époque et la femme de main attitrée du Caïd en l'absence de Bullseye. Cette artiste martiale experte en machettes, aux pouvoirs limités de pyrokinésie et de télékinésie est une féministe violente, en guerre contre les stéréotypes accolés aux femmes par les hommes. Elle les soumet par la force mais également par la séduction, en jouant sur leurs faiblesses et leurs contradictions. Elle est aussi schizophrène et son alter égo est une charmante spécialiste de l'aide aux enfants qui va faire la connaissance de Matt Murdock, Mary Walker. Celle-ci est bien plus dans les canons féminins de l'époque et DD tombe vite amoureux d'elle tant elle le complète. Problème, à l'insu de Mary , Typhoïd tombe également peu à peu amoureuse de DD à sa manière violente et entreprend de le détruire... Suite à ces évènements qui vont voir défiler la galerie quasi complète des ennemis de DD de l'époque (Bushwacker...) Murdock va disparaitre et Karen Page va envoyer successivement Johnny Storm et la veuve noire pour le retrouver. Mais un malheur n'arrivant jamais seul, les évènements du crossover lié au X men, Inferno, durant lequel les démons déferlent sur Terre et influencent la vie de tous les jours des New Yorkais surviennent. Dans une ville devenue folle, où les parcmètres et les voitures deviennent vivants et veulent vous manger et où les mauvaises pulsions des humains se dévoilent au grand jour, un DD au bout du rouleau et physiquement brisé tente de ramener l'ordre. Et pour conclure l'année en beauté, Mephisto lui-même vient tenter le casse-cou le jour de l'an... En miettes, DD quitte New York pour parcourir les USA, rencontrant la confrérie des mauvais mutants reconvertie en agents du gouvernement sous le nom de Freedom force et assistant à la naissance du fils de Mephisto, Blackheart, appelé à devenir son ennemi majeur dans la seconde partie du run de Nocenti. Le volume s'achève sur ce combat. J'ai omis de préciser que deux bouche trous dessinés par Ron Lim et un Steve Ditko en petite forme, tous deux écrits par Nocenti et sans influence sur la trame principale sont présents dans cet epic collection, tous deux très oubliables. On notera également que le numéro 257 du volume 1 de Daredevil présent dans ce volume est un mini crossover avec le Punisher dont le numéro 10 est également heureusement inclus. Ces deux numéros excellents montrent les justiciers confronter leurs méthodes et leurs points de vue dans l'appréhension d'un dangereux criminel qui veut se venger du tort que lui a fait son employeur. Le numéro de DD fait avancer l'intrigue principale de belle manière et celui du Punisher est dessiné par Un Whilce Portaccio au meilleur de sa forme et écrit par mon scénariste favori sur Pupu, Mike Baron. Bref, que du bonheur! Les numéros de ce volume mériteraient une réimpression en VF pour ceux qui n'ont jamais lu les épisodes qui avaient été édités à l'époque par Semic sous la forme de "versions intégrales" comprenant deux numéros US à chaque fois car on y trouve : - Ann Nocenti au sommet de sa forme, évoquant des sujets de société passionnants comme la place de la femme, des pauvres, l'écologie, la vie de citadin, le tout sans jamais être ennuyeuse - Romita Jr dans ce qu'il a fait de meilleur de sa carrière selon moi - la meilleure partie du meilleur run jamais fait sur le perso - la meilleure description et utilisation d'Inferno dans un titre marvel (le dentiste bavard et démoniaque fusionné à son fauteuil vaut tout l'or du monde) - des dialogues d'anthologie - un méchant père de famille charismatique et humain malgré tous ses défauts (Bullet) - et bien sûr un des meilleurs persos féminins jamais crées, la fascinante Typhoïd Mary Une merveille qui frôle la perfection! Scénario : 19/20 Dialogues : 20/20 Dessins, encrage, couleur : 19/20 Note finale : 19/20  Hercules 4 Herc part sauver son ami Gilgamesh, tombé dans le piège d'une ancienne divinité bien décidée à le sacrifier pour le bien commun et fait la rencontre de nouveaux dieux façon American Gods de Gaiman, pas franchement disposés à le laisser en paix... Un numéro inférieur aux précédents pour une ongoing transformée en mini série par la force des méventes. Le titre est condamné à terme mais j'espère que les auteurs auront le temps de boucler la première phase de leur histoire, qui devrait laisser un agréable souvenir dans un temps plus lointain. Scénario : 15/20 Dialogues : 15/20 Dessins, encrage, couleur : 15/20 Note finale : 15/20  IDW Street Fighter x G.I JOE 1 Première fois de ma vie que je lis du G.I Joe, mes souvenirs remontant au DA des années 80 que je regardais enfant. Du coup, je connais pas grand chose à cet univers, m'en demandez pas trop. De ce que je comprends de ce comic, c'est un univers parallèle dans lequel les G.I Joe et les street Fighters se connaissent et se côtoient depuis longtemps, vu que Ryu est la maître d'une jeune ninja, par exemple. Le scénario est si simple qu'on se croirait au début du premier jeu Street Fighter II, quand les street fighters ne se connaissaient pas et n'avaient aucun contentieux avec Shadaloo. Bref, G.I. Joe est une organisation américaine secrète de contre-terrorisme équipée des meilleures armes et véhicules. COBRA est une organisation terroriste internationale qui vise la conquête du monde à l'aide de technologies de pointe. Et ils se foutent joyeusement sur la tronche. Dans cette BD, qui utilise peut-être le quelconque background qui a pu être inventé pour la ligne de jouets Street Fighter qui n'est jamais sortie des USA (et qui a même eu une pitoyable adaptation animée elle aussi jamais sortie des states), le comte Destro, un ennemi de G.I. Joe et occasionnel allié (et souvent ennemi) de COBRA a crée une arme surpuissante...qui marche avec l'énergie dégagée par les combats de grands combattants!Oui, c'est crétin. Bref, Bison et son organisation sont des experts en organisation de tournois entre types balèzes et une alliance fragile est scellée entre les deux hommes à l'égo surdéveloppé. Baroness, l'alliée de Destro (et aussi de Cobra, selon les épisodes) ne comprend pas pourquoi il ne s'est pas tourné vers elle et enquête avec l'aide de la mystérieuse Crimson Viper, agent obéissant à de mystérieux commanditaires. Et ensuite, ben, c'est tout ce qu'on a comme prétexte à de très beaux matchs bien orchestrés entre membres des différents univers. Pour les matchs, nous sommes largués au début des huitièmes de finale et nous assistons aux duels suivants : C.Viper (alliée temporaire de Baroness) VS Snake Eyes (Ninja de G.I. Joe) Rufus (artiste martial autodidacte et adversaire auto proclamé de Ken Masters) VS Baroness Hakan (lutteur turc et roi de l'huile d'olive!) vs Roadblock (cuistot de G.I. Joe et spécialiste de l'armement lourd) Ryu (qu'on ne présente plus) VS Jinx (son élève ninja qui semble affiliée à G.I. Joe) Vous aurez compris que l'accent est mis sur le très beau tournoi et que le scénario est là pour décorer. Comme les dessins sont efficaces et que la chorégraphie de ces duels où tout est permis est efficace, le fan de Street Fighter y trouve son compte. Celui de G.I. Joe, j'en sais absolument rien vu le charisme d'huître des combattants issus de cet univers dans ce volume. En bonus à la fin du numéro, le récit des duels des 16èmes de finales auxquels nous avons échappé et la présentation des combattants du volume, le tout bien écrit mais sans illustrations ce qui est un peu aride. Un bon numéro d'intro à cette mini série. Scénario : 10/20 Dialogues : 15/20 Dessins, encrage, couleur : 15/20 Note finale : 15/20  
__________________
"Whatever knows fear burns at the man-thing's touch!" Chroniques VO 01/02/20 : Deadpool the end, la fin des New Defenders, Tarot 2, Epic collection X-cutionner's song, ravencroft 1, Doc Strange et Cap Marvel the end, Cap 18 Dernière modification par Man-Thing ; 28/02/2016 à 20h25.
|
|
#471
03/03/2016, 18h45
|
||||
|
||||
|
DC
Catégorie « Excellent » RIEN Catégorie « Très bon » RIEN Catégorie « Bon » RIEN Catégorie « Sympa » Batgirl 49 Genre : Redondant Batgirl est coincée dans les méandres de son esprit par le nouveau super méchant de sa galerie, Fugue. Seules la nouvelle Oracle et Black Canary peuvent la sauver. Qu’on est loin des débuts... La dessinatrice en titre semblant se réserver pour le numéro 50, il y’a beaucoup de différents invités dans ce numéro et la qualité globale s’en ressent. Il émane un parfum de bouche-trou de ce numéro pourtant situé dans la continuité. Vraiment pas folichon. Scénario : 12/20 Dialogues : 13/20 Dessins, encrage, couleur : 14/20 Note finale : 12/20  MARVEL Catégorie « Excellent » RIEN Catégorie « Très bon » Deadpool 8 Genre : Très bonne intro Deadpool traque Dents de Sabre, impliqué dans des évènements tragiques le touchant personnellement. Il abandonne tout pour ce faire. Mais ce n’est plus le Dents de sabre psychopathe qu’il a connu, désormais. Depuis Axis, il est devenu un respectable X man… Un début d’arc qui s’annonce très intéressant. Dommage que le dessinateur de l’arc ne soit guère réjouissant, malgré de belles couvertures de Mike Allred. Scénario : 16/20 Dialogues : 16/20 Dessins, encrage, couleur : 14/20 Note finale : 16/20  Catégorie « Bon » RIEN Catégorie « Sympa » RIEN UDON Catégorie « Excellent » RIEN Catégorie « Très bon » RIEN Catégorie « Bon » Street Fighter unlimited 4 Genre : Trop de Ryu tue le Ryu Ryu fait face à un adversaire inattendu et reçoit une leçon mémorable tandis que Guile, Chun Li, Cammy et Alex font face à d’étranges ennemis. Alex révèle enfin ses dons cachés de protagoniste de Street Fighter III (le jeu adapté en ce moment en BD). Gill dévoile son existence et ses capacités au monde, se présentant comme le messie qui va sauver l’humanité lors d’une scène riche en tension... En back up, la belle et dangereuse Juri affronte la mystérieuse Crimson Viper, qui lui fait une proposition d’embauche… Après un numéro mémorable, on retombe au niveau du 2, la faute à la trop grande importance de Ryu dans ce numéro, avec un ratio intérêt/progression de l’histoire bien inférieur au côté de Guile. Les dessins de JoeNG sont en baisse dans ce numéro 4 mais l’illustratrice de la back up est assez bluffante par contre. La note de dessin est donc une moyenne. Espérons que l’histoire va délaisser un peu Ryu, quand même. Scénario : 13/20 Dialogues : 14/20 Dessins, encrage, couleur : 15/20 Note finale : 14/20  
__________________
"Whatever knows fear burns at the man-thing's touch!" Chroniques VO 01/02/20 : Deadpool the end, la fin des New Defenders, Tarot 2, Epic collection X-cutionner's song, ravencroft 1, Doc Strange et Cap Marvel the end, Cap 18
|
|
#473
03/03/2016, 22h28
|
||||
|
||||
|
En fait c'est
Depuis ce sommet narratif, la série ne fait que décroitre en intérêt. Je te le recommande si tu veux lire le seul truc vraiment très bon de cette décevante période (rendez moi Gail Simone! ;_; )
__________________
"Whatever knows fear burns at the man-thing's touch!" Chroniques VO 01/02/20 : Deadpool the end, la fin des New Defenders, Tarot 2, Epic collection X-cutionner's song, ravencroft 1, Doc Strange et Cap Marvel the end, Cap 18
|
|
#474
11/03/2016, 18h18
|
||||
|
||||
|
DC
Catégorie « Excellent » RIEN Catégorie « Très bon » RIEN Catégorie « Bon » Gotham academy 16 Genre : Un bon numéro de la série Miracle ! Cette troisième partie du yearbook est supérieure aux précédentes ! Bon, pas de beaucoup, mais ça marche mieux, notamment grâce à la dernière histoire du numéro, simple mais touchante. Robin. Damian Wayne (futur de Maps ?) fait une courte apparition sympathique et Maps est très à l’honneur. Ça tombe bien car elle est le seul personnage vraiment marquant et attachant de Gotham academy ! Un bon petit numéro toujours aussi anodin et toujours aussi reposant mais manquant d’envergure. Scénario : 12/20 Dialogues : 14/20 Dessins, encrage, couleur : 14/20 Note finale : 14/20  MARVEL Catégorie « Excellent » Genre : La tragique fin de la magie semble définitive tant c'est bien écrit! Le docteur Strange fait face à ses surpuissants ennemis scientifiques, qui sont en train d’effacer toute trace magique des différentes dimensions. Mais attaquer Strange là où il est le plus fort est pour le moins téméraire… Aaron continue à nous épater avec son docteur Strange, ici en bien grande difficulté. Nous assistons à la fin du pan magique de l’univers Marvel à travers ses figures les plus connues (La sorcière rouge, Magyk, Shaman et Talisman) mais aussi d’anonymes dans les histoires en back up du numéro, toutes très réussies, comme ce couple de touristes amoraux qui ont asservi la population d’une île à l’aide d’une lampe magique ou cette petite fille et ses peluches animées. Il émane de tout cela un sentiment de fatalité et de tristesse très bien rendus qui donnent envie de savoir comment le doc va s’en tirer. Son ennemi est lui aussi très intéressant et on a hâte de lire la suite ! Scénario : 16/20 Dialogues : 17/20 Dessins, encrage, couleur : 16/20 Note finale : 17/20  Catégorie « Très bon » RIEN Catégorie « Bon » The infinity entity 1 Genre : Début un peu laborieux du triptyque Suite directe et conclusion des deux opus The infinity revelation et The infinity relativity, the infinity entity s’intéresse à Adam Warlock et à ses nouveaux pouvoirs plus divins que jamais. Dans ce premier numéro, il tente de comprendre ce qui lui est arrivé et l’étendue de ses nouvelles capacités. En demandant de l’aide aux vengeurs, il se trompe d’époque et sollicite ceux de l’équipe de 1963, ce qui permet à Davis de mettre à nouveau en scène le Hulk à six orteils et à huit doigts ! Se souvenant de ses liens avec les gardiens de la galaxie (ils me pourrissent tous mes titres, ceux-là !), il tombe sur une Gamorra mourante… Un premier numéro assez décevant pour du Starlin. On retrouve bien un de ses personnages fétiches dans ses éternels crises existentielles bien mises en scène mais la présence des vengeurs de 63 et des gardiens actuels n’apporte pour l’instant pas grand-chose ou du moins est trop décompressée. Les très beaux dessins d’Alan Davis ne parviennent pas à faire oublier le scénario un peu trop léger pour l’instant. Scénario : 14/20 Dialogues : 15/20 Dessins, encrage, couleur : 17/20 Note finale : 14/20  Weirdworld 4 Genre : Un bon petit numéro Notre trio de bras cassés traverse un village entier façonné sur le modèle de la maison de la sorcière de Hansel et Gretel. Les évènements qui vont s’y dérouler vont leur permettre de mieux se connaître et le lecteur va enfin pouvoir un peu s’attacher à elles. C’est pas trop tôt ! Un numéro dans la veine du précédent, à qui il manque un soupçon d’originalité et de folie pour vraiment convaincre. Weirdworld volume 3 reste une série pas folichonne et en dessous de sa prédecesseuse. Je ne la vois pas dépasser les douze numéros, perso. Scénario : 14/20 Dialogues : 14/20 Dessins, encrage, couleur : 17/20 Note finale : 14/20  Howard the duck 5 Genre : Le cliffhanger! Raaaah, ce cliffhanger ! Ce cliffhanger ! Autant je m’ennuyais un peu à la lecture de cette fin de premier arc de deuxième saison pas folichon, autant le cliffhanger m’a fait rêver. Problème, il faudra attendre deux numéros pour le voir développé, le numéro 6 étant la deuxième partie d’un crossover avec Squirrel girl et le numéro 7 étant un numéro à part qui ne sera pas non plus la suite directe des évènements de ce numéro 5. Mais pitié, Howard, fuis la compagnie des gardiens de la galaxie ! J’en ai ras le bol de les voir se taper l’incruste dans ton titre ! Scénario : 14/20 Dialogues : 14/20 Dessins, encrage, couleur : 15/20 Note finale : 14/20  UDON Catégorie « Excellent » RIEN Catégorie « Très bon » Street Fighter V : The life and death(s) of Charlie Nash 1 Genre : Comment rendre passionnant un perso un peu sous utilisé Personnage connu chez nous sous son prénom et par son nom au Japon, Charlie est le bien connu meilleur ami mort de Guile, apparu en nom dans le background Street Fighter II de celui-ci en 1992 et graphiquement dans le jeu Street Fighter Alpha (zero chez les Nippons) de 1996. Il a toujours détonné avec son look de dandy hipster avant l’heure et son espèce de gilet de sauvetage qui lui donne un aspect bien peu militaire. Afin de relier ses différentes incarnations à travers les jeux et ses différentes « morts », ce one shot relate sa découverte par les sbires de Gill (le grand méchant du jeu Street Fighter III, actuellement mis à l’honneur comme antagoniste principale du comic Street Fighter Unlimited) et sa participation aux évènements de Street Fighter V. Nous retrouvons donc un Charlie bien vivant dans le désert, secouru par l’hélicoptère d’Urien et la secrétaire anonyme de Gill qui entreprennent de lui raconter sa mémoire perdue, celui-ci étant devenu amnésique. Et nous suivons ses différentes incarnations en en apprenant beaucoup sur ce personnage somme toute mystérieux. Comment l’armée américaine a reconnu ses aptitudes physiques mais surtout son génie analytique, comment il a montré la dangerosité de Shadaloo, passée grâce à ses découvertes du statut de simple pourvoyeur d’armes aux terroristes du Moyen-Orient à menace mondiale maitrisant à la fois le clonage et le mystérieux psycho power. Nous apprenons également comment il a été présumé mort aux mains de Bison qui l’a hypnotisé et en a fait le mystérieux agent Shadow à sa solde (personnage caché du jeu Marvel Super heroes vs Street Fighter, notamment), chargé d’assassiner les responsables de la lutte contre son organisation et enfin comment il s’est sacrifié afin de sauver Guile et Chun Li. Ce copieux numéro avec plusieurs dessinateurs talentueux aux manettes, chacun chargé d’un chapitre de la vie de Charlie, est très homogène graphiquement et a le mérite d’harmoniser les possibles contradictions des différents jeux vidéo et d’expliquer les passages les plus obscurs de sa bio tout en éclairant enfin son rôle dans le récent jeu de Capcom. Un des meilleurs opus jamais sortis de l’éditeur canadien, qui explique très bien le caractère héroïque et pitoyable à la fois de ce personnage méconnu. Scénario : 16/20 Dialogues : 16/20 Dessins, encrage, couleur : 17/20 Note finale : 16/20 
__________________
"Whatever knows fear burns at the man-thing's touch!" Chroniques VO 01/02/20 : Deadpool the end, la fin des New Defenders, Tarot 2, Epic collection X-cutionner's song, ravencroft 1, Doc Strange et Cap Marvel the end, Cap 18 Dernière modification par Man-Thing ; 11/03/2016 à 18h24.
|
|
#476
18/03/2016, 18h02
|
||||
|
||||
|
MARVEL
Catégorie « Excellent » Daredevil TPB 4 : the autobiography of Matt Murdock Genre : Fin d'un des meilleurs runs écrits sur le personnage Matt Murdock avoue tout ! Oui, il est bien le justicier Daredevil. Oui, il n’a plus besoin de costume maintenant que tout le monde connaît son identité ! Oui, vous saurez tout dans le livre qu’il prépare avec l’aide de sa compagne et de son ami Foggy Nelson ! Ce TPB commence par un numéro intermédiaire qui définit le nouveau statu quo et voit Murdock narrer quelques affaires qui l’ont opposé en tant qu’avocat à un criminel coffré par Daredevil(!) ou encore affronter l’alchimiste Diablo, qui a failli avoir le dessus sur lui lors d’un duel de routine. Ce très bon préambule fini, on attaque la conclusion de ce dernier run de Waid et Samnee qui voit l’avocat Matt Murdock obligé de composer avec la menace d’un caïd du crime diminué mais qui n’en perd pas sa dangerosité et un shroud plus fou que jamais, menaçant par ses actions irréfléchies à la fois la vie de Julia Carpenter (ex Spider Woman II) mais aussi celle des amis de Matt. Un final majestueux pour une série qui l’est tout autant, s’apparentant plus à un jeu d’échecs entre les deux ennemis mortels que tout le reste de la série, chacun exploitant les failles de caractère de l’autre. Waid et Samnee bouclent les évènements qu’ils avaient déclenché de belle manière, le statu quo de l’identité secrète revenant de toute manière à la normale grâce aux évènements de Secret wars, mais je ne serai plus là pour lire cette série, Soule et Garney n’étant pas suffisants pour succéder au mémorable run de Waid et Samnee dont on soulignera seulement que la partie qui se déroule à Los Angeles est tout de même inférieure à celle de New York. Scénario : 17/20 Dialogues : 17/20 Dessins, encrage, couleur : 17/20 Note finale : 17/20  Catégorie « Très bon » The infinity entity 2 Genre : On commence à retrouver notre Starlin Adam Warlock continue à errer aux confins de l’espace et du temps. Après une rencontre avec l’intermédiaire, incarnation cosmique de l’équilibre, il part à la recherche de Thanos, mais celui-ci est en piteux état, apparemment partagé entre plusieurs dimensions… L’univers lui-même semble avoir été vidé de ses habitants par Dame Mort… Un numéro meilleur que le premier car plus dans la veine habituelle de Starlin. Le cliffhanger est assez impressionnant mais relativement attendu pour le lecteur attentif, le scénariste se renouvellant assez peu avec cette histoire. Reste son talent pour les monologues introspectifs bavards et un Davis en très bonne forme, rendant hommage aux dieux cosmiques. Scénario : 15/20 Dialogues : 15/20 Dessins, encrage, couleur : 17/20 Note finale : 15/20 
__________________
"Whatever knows fear burns at the man-thing's touch!" Chroniques VO 01/02/20 : Deadpool the end, la fin des New Defenders, Tarot 2, Epic collection X-cutionner's song, ravencroft 1, Doc Strange et Cap Marvel the end, Cap 18
|
|
#477
18/03/2016, 18h06
|
|||
|
|||
|
Pour Starlin se renouvelant assez peu je te renvoie à l'excellent article sur cet artiste dans Comic Box #98
 pour ces retours
|
|
#479
24/03/2016, 18h36
|
||||
|
||||
|
DC
Catégorie « Excellent » RIEN Catégorie « Très bon » RIEN Catégorie « Bon » Harley Quinn 26 Genre : Nouveau départ? Harley fait un cauchemar à propos du numéro 25, chasse les débiles et les gros lourds à la plage, se fait un relooking extrême en prévision du film Suicide squad (y’a même une vanne là-dessus) et rencontre le nouveau super criminel de sa galerie. Un bon petit numéro de transition vers une nouvelle ère. Laquelle ? La suite nous le dira mais ça reste toujours agréable à suivre malgré quelques passages un peu trop forcés, notamment ceux sur la plage. Et est-ce que le nouveau méchant est un « hommage » à Deadpool ou c’est moi ? Chad Hardin est aidé pour les dessins et leur qualité s’en ressent, tout étant simplifié mais pas pour le meilleur. Scénario : 14/20 Dialogues : 14/20 Dessins, encrage, couleur : 14/20 Note finale : 14/20  Secret six 12 Genre : Un arc qui avance bien mollement Deuxième numéro de l’arc centré sur Strix qui retrouve à cette occasion son amie Batgirl et affronte une super criminelle au look post new 52 très Mortal Kombat. Blockbuster a quant à lui une bonne surprise. Un bon petit numéro même si l’arc en cours n’est guère enthousiasmant. Cette mouture new 52 des six fait pâle figure face aux personnages du run précédent et manque de rythme. Dommage, ça avait bien commencé avec le premier arc. Scénario : 14/20 Dialogues : 15/20 Dessins, encrage, couleur : 14/20 Note finale : 13/20  MARVEL Catégorie « Excellent » RIEN Catégorie « Très bon » The totally awesome Hulk 4 Genre : Adieu Frank Cho. On te regrettera! ;_; Cho est kidnappé par Lady Hellbender qui a conclu en le voyant en action qu’il est le plus puissant specimen de la Terre. Elle relâche donc ses autres proies dans la nature, ce qui est à deux doigts de créer une catastrophe. Dans le flashback expliquant comment il a obtenu les pouvoirs de Banner, on en apprend encore un peu plus mais ça reste assez nébuleux. Le destin de Banner est toujours inconnu. Un numéro à l’image des premiers : fun et dynamique, léger dans le bon sens du terme. De la baston, de l’humour (un des maxi monstres de max et les maxi monstres apparait) et de l’action pour une fin d’arc vraiment simple mais réussie. Un titre pop-corn vraiment bien fait et agréable. On change de dessinateur pour les deux numéros suivants… Scénario : 15/20 Dialogues : 15/20 Dessins, encrage, couleur : 17/20 Note finale : 16/20  Catégorie « Bon » The infinity entity 3 Genre : ça serait bien mieux de tout lire d'un coup Adam Warlock est confronté aux dieux cosmiques qui lui expliquent qu’il est devenu une menace pour toute la Création, ce qui ne fait pas ciller notre héros, plus puissant que jamais. Mais la menace d’Annihilus semble se profiler… Encore un numéro un peu trop long. Je pense que cette série aurait gagné à passer directement en OGN plutôt qu’en 4 numéros car ils sont peu intéressants pris indépendamment, malgré un personnage central bien exploité. Après The infinity entity sortira le dernier volume OGN de cette histoire. Espérons une fin à la hauteur des deux premiers. Scénario : 14/20 Dialogues : 15/20 Dessins, encrage, couleur : 17/20 Note finale : 15/20  Carnage 6 Genre : Un bon début d'arc. La série survivra elle au delà du numéro 12? Suite aux évènements du numéro 5, le décor change du tout au tout. Une jeune navigatrice en solitaire recueille le pire des serial killers sans savoir qui il est. Comment lui échapper dans un milieu aussi petit ? Gerry Conway continue à bien exploiter le personnage titre en le baladant dans des milieux qui ne lui sont pas familiers. Il en profite pour continuer son intrigue incluant un dangereux artefact du monde Marvel. Un bon début d’arc dont on attend de voir comment il va évoluer. Les dessins sont surtout efficaces quand ils impliquent le symbiote mais un cran en dessous des autres numéros. Scénario : 14/20 Dialogues : 15/20 Dessins, encrage, couleur : 15/20 Note finale : 15/20 
__________________
"Whatever knows fear burns at the man-thing's touch!" Chroniques VO 01/02/20 : Deadpool the end, la fin des New Defenders, Tarot 2, Epic collection X-cutionner's song, ravencroft 1, Doc Strange et Cap Marvel the end, Cap 18
|
|
#480
25/03/2016, 09h03
|
||||
|
||||
|
Concernant Carnage, tu qualifierais plutôt le premier arc d'oppressant, ou bien de violent ?
Je ne suis pas fan du personnage, et je n'éprouve aucun intérêt pour les comics purement violent. Mais si c'est traité sous la forme de Croquemitaine tout dans l'atmosphère, ça peut m'intéresser suffisamment pour que je lui laisse sa chance en VF.
__________________
"My Lord, you have no space suit..." "Air is for cowards ! Do it !" mes ventes diverses et variées mes recherches diverses et variées les aventures d'Archibald Long-Jean
|
 |
| Tags |
| dc comics, man-thing, marvel comics, udon |
| Outils de la discussion | |
| Modes d'affichage | |
|
|
Mode linéaire
