#16
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Je viens de lire Batman & Robin 14.
Quelqu'un trouve ça bien ? Quelqu'un trouve ça intelligible ?
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Drokk ! |
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Mais bon, blague à part, si ils en ont effectivement imprimés juste 20 000 (qui est apparemment la limite de survie d'une série), ils ont une politique d'édition bizarre...
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"My Lord, you have no space suit..." "Air is for cowards ! Do it !" mes ventes diverses et variées mes recherches diverses et variées les aventures d'Archibald Long-Jean |
#18
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Théoriquement tu considères que tu as fait des bonnes ventes si tu vends 80% de ce que tu as imprimé. Alors c'est vrai que si tu en imprimes 30.000 tu as peu de chance d'en vendre 29.000. Après, le responsable de la diff fait avec ce qu'il pense que cette série suscitera comme intérêt
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#19
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Birds of prey 5 :
Un numéro dont le dessin ou/et l'encrage sont inégaux du fait de deux dessinateur et deux sérariste. Dommage puisque les événements précédent et le cliffanger finat sont vraiment intéressant. Mais les artiste qui ont effectuer les pages du milieu m'ont réellement fait décrocher. Heureusement c'est les artistes du début qui conclue le comics. (Comme Fry, Skip et Zap face aux amazons leur anoncant leur mort par Snu-Snu ) Note : 10/20 Esmerald Warriors 2 : Je suis pour l'instant pas tout a fait convaincu par le troisième titre GL. Le méchant est pourtant sympathique (il semble avoir un passif avec les gardien mais j'ignore s'il est inventé pour la série ou existait déjà). A part son pétage de plomb face à Kilowog, guy était un peu effacer. Le rêves d'Arisa par contre Et pas dans le bon sens. Et je me demande comment Guy va gérer sa mission avec les Red suivit par Arisa, Killowog et bientôt Sodam. Enfin Guy m'a bien fait rire en appelant le blue lantern éléphantesque Babar ! Note : 12/20 mais peut définitivement mieux faire ! |
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Je ne vois pas ce qu'il y a d'inintelligible dans ce numéro. C'est exécuté avec tant de maestria que j'en reste pantois.
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Ça resitue les merguez dans un contexte littéraire et intellectuel qui est le bienvenu. Viens découvrir la saison des animes qui fleurissent. |
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Merci Jo'!
Donc, oui, rappel : Northlanders est bien meilleur après le premier chapitre; bon, cela, à peu près tout le monde le sait. Mais.... les 2 premiers zopus du nouveau chapitre, Metal (non, pas ) sont encore plus formidables. On en est au début de la christianisation de la Norvège, et ça chie grave. C'est beau, c'est grand, cela souffle. |
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Par contre, le dernier GLCorps, houlà....
RIP la meilleure série DCU.. |
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A ce point ?
Pourquoi à ce point ? C'est du au changement d'auteur ?
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J'ai arrêté les frais avec la saga Superman Metal, bonjour la catastrophe, au moins j'ai échappé à l'arrivée du nouveau dessinateur.
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Je l'avais pas trouver si mauvais que ça moi ! Surtout pour du winick !
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Sait on quelle est la mission de Guy et |
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C'est le meilleur épisode depuis que Quitely a quitté le titre. |
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C'est pas faux.
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Street : photos / portraits / art / people / love : https://www.instagram.com/revanche365/ |
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En Winick, il me semble que son JLI Reborn et même ses Powergirl sont nettement au dessus (et il est vrai mieux servis dessinateusement), et en plus liés...
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Brightest Day #10
A Change Is Gonna Come Writer : Geoff Johns & Pete Tomasi Penciller : Ivan Reis, Scott Clark, Joe Prado Inker : Oclair Albert, Scott Beatty Colorist : Aspen’s MLT Peter Steigerwald, John Starr Non, non, même avec mon excursion espagnole, je n’ai pas oublié Brightest Day (coucou Zeph) surtout que j’en ai discuté avec Ivan Reis et Eddie Berganza (il y a pire comme palliatif) cette semaine et que ma 1ère décision de retour dans le Nord fut d’aller chercher ce numéro ! Il faut dire que je suis en manque ! Bon, visiblement, la série rentre dans une phase où chaque numéro s’attarde sur 2 voire 3 intrigues mais jamais la totalité ce qui rejoint mon commentaire du dernier numéro : exit le couple ailé, J’Onn J’Onzz et Deadman et retour de Firestorm tandis qu’Aquaman est bien présent comme annoncé ! Que faut-il attendre de Firestorm qui reste le parent pauvre de la série (à tous les niveaux) ? Comment pourra-t-il soutenir la comparaison de la partie dessinée par Ivan Reis ? D’ailleurs, est-ce que le fameux Aqualad va faire étalage de ses capacités, comment Aquaman va-t-il s’intégrer à ceci ? Changement? Quel changement annoncé par le titre? Cette série est toujours aussi bonne depuis 2 mois et ses révélations (c’était d’ailleurs à cette époque le vrai changement avec ce basculement) !! Evidemment, les changements concernent les personnages et, si le fameux Aqualad est bien la star de l’épisode, celui qui connaît une évolution marquante est bel et bien Firestorm et c’est dans le bon sens donnant un intérêt réel à (enfin) TOUTES les intrigues de la série ! Pourtant, ce n’était pas gagné pour la tête brûlée surtout que le début du numéro se borne à un didacticiel sur les capacités du personnage (ce qui, au passage, appuie la notion d’harmonie du corps et des esprits au pluriel pour l'occasion) : je ne sais pas si le fait d’avoir découvert hier soir la rumeur d’une possible nouvelle série sur le héros atomique a joué mais il y a comme une volonté des auteurs de poser toutes les (nouvelles) bases du héros, un peu comme les retcons qui accompagnent le belle Mera dans la même série. Evidemment, pour cela, il faut aborder la Matrix qui subit une certaine réécriture (du style inversion cause et conséquence) dans le même genre de la Speed Force avec Barry Allen sous Geoff Johns sauf que cette fois-ci c’est Pete Tomasi qui s’y colle. Il n’y a pas de quoi crier au scandale car cela ne change pas l’histoire du personnage en elle-même mais plutôt le statut du héros carrément !! Ce genre de révélation est de nature à rééquilibrer l’intérêt du personnage dans la série surtout que le cliffhanger (qui coule de source) lance définitivement les hostilités : je n’arrive pas à dire que j’attends le prochain numéro de Brightest Day à cause de Firestorm… Pourtant, le gros de l’épisode s’intéresse à son pan aquatique avec l’irruption du moule-burnes dans la vie du fameux Aqualad : s’il n’y a aucune surprise dans le déroulement de la scène, ce sont les à-côtés qui enrichissent la scène. A commencer par Aquaman qui a un train de retard : après en avoir appris de belles sur sa belle justement il y a quelques numéros, il ne commence que maintenant à cogiter dessus montrant que le couple aura (peut-être) du mal à surmonter les squelettes dans le placard. Il faut dire que les auteurs continuent d’enrichir le passé de Mera dans une volonté de tout lier : les ficelles semblent pour le coup très (trop ?) grosses et il y a la sensation tenace de déjà vu. Je ne dis pas que c’est nul (bien au contraire) mais, quitte à assister à la refonte du passé de personnages, j’aimerais plus d’originalité dans la démarche… Sinon, Geoff Johns a une furieuse tendance à explorer les relations père / fils dans ses séries et ce numéro s’y prête à merveille sans sombrer dans le mélodramatique (pour l’instant ?). De plus, ces scènes ont un certain dynamisme (et pis Ivan Reis…) : il faut dire qu’aucune autre intrigue ne vient couper la lecture. Aussi, le dessin participe grandement à la qualité de ce numéro : même Scott Clark y arrive ! Si j’excepte son Professeur Stein assez terne, son Firestorm colle parfaitement à son style sans oublier la dernière page que j’ai pris beaucoup de temps et de plaisir à regarder ! Bon, même si Scott Clark tire enfin son épingle du jeu, il ne boxe pas dans la même catégorie qu’Ivan Reis… Ayant pu discuter avec l’artiste, j’en ai appris de belles sur ses méthodes de travail et le rôle dévolu à ses encreurs : si Oclair Albert est son encreur attitré depuis des années, ce n’est pas de son fait car il préférait largement Marc Campos. Seulement, ce dernier n’a pas trouvé son compte dans le milieu des comics et s’en est allé. Là où c’est intéressant est que, selon Ivan Reis, son encreur actuel ne lui convient pas car il doit lui laisser énormément de consignes ce qui le ralentit dans ses deadlines (au passage, il appuie la théorie comme quoi Geoff Johns copie Grant Morrison dans la restitution très lente des scripts suite à ses nouvelles fonctions…) d’où sa collaboration avec son compatriote Joe Prado depuis Blackest Night. Là où c’est intéressant est que pour les parties encrée par Joe Prado, Ivan Reis se « contente » de lay-outs poussés d’où le rendu différent des parties habituellement consacrées à Aquaman et Deadman (ici c’est Aquaman et Aqualad). Bon, je passe sur le fait que Joe Prado est l’agent officiel d’Ivan Reis (je n’ai jamais vu l’information passer ou c’est connu ?) mais cela rend leur relation de travail diablement intéressante à plus d’un titre (tout comme la femme d’Ivan Reis qui est l’assistante de son mari de dessinateur). Pour en revenir à cet épisode où l’artiste brésilien nous gratifie de 13 pages (pas de souci, il a déjà rendu ses planches jusqu’au #13 avant d’aller à Aviles), les pages consacrées à Aqualad sont superbes avec des effets bien appuyés par les couleurs ! Par contre, il y a une petite « déception » au niveau graphique dans ce numéro avec David Finch qui retombe dans ses travers : non pas sur la qualité de la couverture qui est toujours là (toujours un très bon encrage de Scott Williams ce qui annonce du bon sur Batman – Dark Knight) mais sur la concordance avec le contenu vu que Deadman ne montre pas le bout du nez… Brightest Day chasse mes derniers doutes sur les histoires. En effet, cet épisode qui en remet une couche sur Firestorm parvient à m’y intéresser comme jamais depuis le début et la partie avec Aqualad m’a largement satisfait. Plus ça va, plus Brightest Day se rapproche du niveau de 52. Quand, en plus, je considère que Justice League – Generation Lost remplit parfaitement ses objectifs, je me dis que DC a retrouvé la formule magique des séries(quasi)hebdomadaires ! Bilan :
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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