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J'ai pas vraiment l'impression que Winter Soldier démarre tout juste, après tout c'est la "vraie suite" de Cap. Et la qualité à l'air d'être la en ce premier épisode. Une fois que GR aura giclé, le mag aura une composition pas dégueu.
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Une fois que GR aura dégagé, cette revue sera même la plus classe de toutes les revues Panini (DD, Punisher, Winter Soldier : difficile de trouver mieux pour les équipes créatives).
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Marvel Knights 5 Daredevil: Les 2 premiers épisodes sont centrés sur le mini crossover entre Amazing Spider-Man et Daredevil. La chatte noir a volé quelque chose au labo Horizon et spidey demande de l'aide à tête à corne. 2 épisodes sympathique très bien illustré et qui aura encore des conséquences pour le 3éme épisode de la revue. Ghost Rider: Fin du team up avec Oeil de Faucon. ça se laisse lire dans la veine des comics Image de 90's. Punisher: Vraiment pas convaincu par cette série. Rucka ne m'accroche pas. On a toujours le même schéma avec cet auteur. On reprend une série et on y ajoute une femme à forte personnalité qui limite vole la vedette à son perso principal. Je ne comprends pas pourquoi il ne scénarise pas que des séries avec des femmes pour vedette. Winter Soldier: Après un premier épisode qui m'avait laissé sur ma faim, ne retrouvant pas le dessin de Guice qui m'avait plu sur Cap, là on retrouve du 100% Brubaker. Bien meilleur que sur Captain America. Le trip espionnage correspond bien à l'auteur et on lance enfin des indices sur le passé de Bucky en tant que soldat de l'hiver. Vite, la suite!
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Excellent mag, si ce n'est la présence du Rider, qui heureusement nous quitte très bientôt!
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Si ça continue faudra que ça cesse! |
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Marvel Knights 5 : Daredevil & Spider Man (Spider-Man #677 & Daredevil #8 : Au diable les détails) : La Chatte Noire est accusée d'avoir volé un projecteur d'hologrammes dans les labos où travaille Peter Parker, alias Spider-Man. Pour la sortir de ce mauvais pas, ce dernier sollicite l'aide de Daredevil. Entretemps, Felicia Hardy a échappé à la police, résolue à se venger de qui l'a piégée. Mais en vérité, l'affaire est plus complexe encore : la voleuse a été achetée pour piéger Daredevil qui possède un objet convoité par plusieurs organisations criminelles et dont il faut l'éloigner pour le récupérer... Ce crossover en deux chapitres, écrit par Mark Waid, est un régal et le scénariste exploite parfaitement les situations en menant le lecteur par le bout du nez. La réunion de Spidey et DD est tout sauf un banal prétexte pour utiliser les deux héros, et la présence de Black Cat ajoute du piment à l'intrigue en redistribuant les rôles de la séductrice et du séduit - cela aboutit à la réplique la plus drôle que le Tisseur ait prononcé depuis longtemps (même si elle n'est pas bien traduite en vf - mais toute la revue souffre des traductions de Khaled Tadil). De l'action, des faux-semblants, de l'humour : comment ne pas être emballé ? Ajoutez-y des dessins par Emma Rios (l'héritière de Gene Colan et Charles Vess) et Kano (évoquant JR Jr & Al Williamson), et ce dyptique est vraiment irrésistible. * Daredevil (#9 : Angoisse au cimetière ! - palme du titre à la con ajouté à la vf...) : Alors qu'il s'envoyait en l'air avec Felicia Hardy, Matt Murdock est contacté par Foggy Nelson au sujet d'une affaire de profanation. Problème : elle concerne le cimétière où reposait son père. DD s'embarque dans une virée spéléogique et croise les moloïdes et leur maître, l'Homme-Taupe, à l'origine de ce méfait... Tout en faisant encore allusion à la précédente histoire, Mark Waid embarque son héros dans une aventure très originale au terme de laquelle il va affronter un ennemi inattendu. Comme il l'avait avec Klaw dans son premier arc, le scénariste confirme son intention de renouveler la galerie de méchants de la série, mais sans oublier d'en soigner les raisons. Les dessins de Paolo Rivera sont splendides : dès le début de l'épisode, on a droit à une spectaculaire double-page superbement composée, avec des couleurs splendides de Javier Rodriguez. Le reste est au diapason, avec des trouvailles de découpage très simples mais très intelligentes (comme la "visite" de l'appartement de Matt par la Chatte Noire ou la traversée de la rivière de lave, comparable au styx). * Ghost Rider (vol. 6, #8 : A cent à l'heure) : la série file tout droit vers sa fin (effective au prochain numéro) et, franchement, ce sera un soulagement et un gain pour la revue (qui aura en plus droit à un sommaire plus équilibré). Je ne pense rien du scénario (ou ce qui en tient lieu) de Rob Williams, dont tous les effets ratent lamentablement leur cible : beaucoup d'action mais jamais palpitante, de l'humour pas drôle, un cliffhanger dont on se moque... Comment l'editor de la série pouvait valider ces épisodes ? Quant aux dessins de Lee Garbett, il sont au mieux une pâle copie de ce que fait Olivier Coipel (qui n'est plus très fringant), avec beaucoup de fumée pour ne pas avoir à représenter les décors, et une colorisation laide. Vivement qu'on soit débarrassé ! * Punisher (vol. 9, #8: L'appât) : Frank Castle rencontre enfin Rachel Cole-Alves là où plusieurs membres de l'organisation de la Bourse ont été liquidés. Ils comprennent que le carnage a été accompli par d'autres, sans pour autant savoir qui, pourquoi et convenir d'une alliance. Les inspecteurs Bolt et Clemons chargés de l'enquête sur cette tuerie viennent interroger Rachel, sans succès. Le Punisher a repris ses propres investigations tandis que Rachel, pris pour le justicier, tombe dans le piège des assassins... Le traitement de la série par Greg Rucka est décidemment atypique mais séduisant : à l'image de ses héros, c'est un comic-book avare de mots, qui entretient avec science son mystère, dévoile progressivement ses rouages, soigne son ambiance (hivernale, crépusculaire, conspirationniste). L'expérience est déroutante, surtout pour ceux qui attendent d'un personnage comme le Punisher des aventures pleines d'action et de violence, mais pour peu qu'on s'y abandonne, c'est assez intense. Marco Checchetto revient illustrer le titre (après les fill-in des deux précédents chapitres) et livre des planches superbes, magnifiées par la colorisation de Matt Holligsworth. Le résultat exploite parfaitement la mélancolie âpre du script de Rucka, avec des personnages bien campés, dans des décors soignés. * Le Soldat de l'Hiver (#2 : Gare aux dormeurs...) : Bucky et la Veuve Noire, sur les traces de l'organisation du R.AI.D., sont en difficulté mais commencent à faire des découvertes instructives. Des agents dormants formés par le Winter Soldier lorsqu'il était à la solde des russes sont réactivés, mais leur objectif reste énigmatique : l'attentat contre le Dr Fatalis semble n'être qu'un moyen de provoquer le régent de Latvérie. Mais dans quel but ? Ed Brubaker est dans son élément avec cette intrigue qui doit plus aux récits d'espionnage classique, avec un zeste de fantastique, qu'aux comics super-héroïques traditionnels. Ce qui rend le résultat addictif, c'est que le lecteur en sait autant (ou à peine plus) que les héros, ce qui suffit pour donner envie d'aller plus loin et de comprendre pourquoi. L'alternance entre les scènes d'action et les plages plus calmes, quoique tendues, est d'une efficacité redoutable. Butch Guice est également en forme, même s'il faut reconnaître que les expériences visuelles qu'il tente pour la série peuvent dérouter. Plus que la lisibilité, il privilégie la sensation que chaque scène doit communiquer au lecteur, tour à tour confus, surpris, curieux, haletant. Certaines cases sont épatantes, d'autres volontairement déstabilisantes. En tout cas, voilà encore une série qui sort du lot visuellement (ce qui semble être le symbole de la revue). * Bilan : très, très bon - à l'évidence, quand Ghost Rider aura dégagé, "Marvel Knights" sera qualitativement et quantativement un bimestriel au niveau exceptionnel. Revue du mois ! |
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C'est vrai qu'il y a des références bizarres: la Chatte Noire qui interpelle Spidey quand il maîtrise un bandit par: "Et la tendresse, bordel?", Dany Brillant dans Ghost Rider (je serais curieux de voir ce que c'était en V.O., sans doute un Danny Machin qu'on ne connaît pas en France).
Le mini cross Spidey-DD est en effet bien sympa, et bien intégré dans le fil rouge de la série DD. Emma Rios c'est un style, perso je n'accroche pas trop mais loin d'être désagréable. Kano est dans la continuité graphique de DD. Rivera est comme d'hab excellent, comme cet épisode, c'est quand même agréable de voir que les moloides de l'Homme-Taupe peuvent servir d'autre chose que de chair à canon sans saveur. Ghost Rider est comme d'hab une belle purgeasse, avec un humour pourri et des dessins bâclés. Depuis le début de la série on ne voit que des persos au milieu du désert et de la poussière. Et ce qui est devenu une plaie aujourd'hui, une série qui n'a rien à raconter et donc remplit avec du faux-fun et du second degré qui ne passe pas du tout. Pas merci à Panini de vouloir nous infliger ça jusqu'à la fin, juste pour le principe de publier l'intégrale: ce Ghost Rider féminin ne bénéficie d'aucun développement, d'aucune évolution, il n'y a aucun fil rouge qui justifie d'aller jusqu'au bout. Punisher: pour la première fois depuis le début de la série j'ai trouvé que Rucka allait trop loin dans la décompression, jusque là ça m'allait. On revient sur la rencontre entre le Punisher et Rachel sur le lieu du carnage précédent. Je ne suis pas convaincu par l'intérêt de s'attarder autant sur les 2 leaders de la Bourse. Les dessins de Cecchetto sont toujours très bons, dommage que ce ne soit pas lui qui dessine la mini War Zone qui mettra fin à la série. Winter Soldier: Après la mise en bouche du mois dernier, les enjeux et les acteurs sont révélés. Bucky va devoir poursuivre les derniers vestiges de sa période en tant que Winter Soldier. Quand on regarde la précédente série Cap et le premier arc de Cap & Bucky paru récemment, c'est juste exceptionnel ce qu'aura fait Brubaker avec le perso. Guice a toujours la classe, même si en effet les acrobaties et les plans des scènes d'action peuvent déstabiliser. Mais à côté il est capable de distiller une belle ambiance juste avec une salle de guerre et des écrans géants. Dernière modification par mellencamp ; 05/12/2012 à 14h22. |
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Marvel Knights 5
Daredevil est toujours l'atout fort du mag' avec trois (en fait un de Spider-Man et deux de DD, mais bon), excellents, Emma Rios, dont j'ai vu très peu de travail, m'a conquis, tandis que Kano s'inscrit dans la droite lignée de Riveira, ce dernier livrant, comme à son habitude, un travail d'orfèvre sur le dernier épisode. Waid comprend le personnage et la caractérise à la perfection, tout en ouvrant des portes sur l'avenir avec la relation avec Black Cat (et son larcin), toujours l'implication mystérieuse de groupes tiers de l'univers Marvel, bien que la dernière histoire sur l'Homme-Taupe me laisse plus dubitatif, j'attends le prochain numéro pour en savoir plus. Bref c'est très très fort ce que fait Waid sur cette série. Ghost Rider est toujours aussi pourri, je me demande l'intérêt de cette série qui ne propose rien ni sur le fond ni sur la forme. Une purge comme on en voit pas souvent (faudrait faire lire ça à des haters de tel ou tel scénaristes, histoire de leur montrer ce qu'est vraiment de la merde). Rucka m'a un peu perdu sur cette épisode du Punisher, où j'ai du mal à comprendre les implications des "vilains" de l'histoire. Je devrais peut-être relire la série d'un bloc. Reste que le scénariste s'en sort très bien sur les relations inter-personnages et que Chechetto s'améliore à chaque fois que je lis quelque chose de lui. Enfin, l'histoire du Winter Soldier sur fond d'espionnage se révèle plaisant, mais comme d'habitude avec Brubaker, mieux vaut lire d'une traite pour bien en saisir tous les enjeux, j'attendrais donc un peu pour me forger un avis définitif sur la série qui me plait tout de même sur son premier degré de lecture, avec une très bonne écriture des personnages typique du scénariste, et Butch Guice est un régal, bien que certaines planches soient légèrement confuses. |
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Entre le punisher (qui m'a bluffé graphiquement) et winter soldier... je crains que ce soit des lectures difficiles a suivre tant c'est décompressé... Heureusement que par la suite, avec deux épisodes à la fois, ce sera sans doute mieux... (mais ca me semble des lectures taillées pour du TPB). DD est toujours aussi bon par contre... et reste le pilier de la revue...
Et Ghost Rider.. comment dire... Mais que fait il donc là ? |
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Est-ce que quelqu’un sait s'il a été évoqué que certains runs sortent en librairie par la suite ?
Ou alors ça restera de l’inédit ? |
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Il me semble que rien n'a été évoqué dans ce sens, non
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En plus, rien n'est prévu, les réimpressions en deluxe interviennent plusieurs années après la parution kiosque. Là c'est beaucoup trop tôt. Sans compter qu'il y aurait du matériel plus ancien à rééditer avant ça, comme la fin du run de Bendis en deluxe (inachevé depuis quelques années) ou les runs de Brubaker & Diggle qui suivent... Idem pour Punisher, les runs de Fraction et Remender semblent prioritaires, non? Ghost Rider, une réédition est utopique. Et Winter Soldier ne fait que débuter en kiosque & les Deluxe Captain America n'en sont qu'à leur commencement en librairie... |
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Je ne pense justement pas que ça soit incompatible car :
- Le laps de temps entre les rééditions et les parutions kiosques est tellement important qu'aucun fan de Marvel ou presque n'a la patience d’attendre - Admettons que vous décidiez de sortir les DD en librairie ensuite, je ne vois pas ce qui pourrait retenir les fans Marvel de se priver des autres séries qui, à part GR, sont toutes de très bonnes factures et plébiscitées par l'ensemble des lecteurs. Si vous annonciez que l'ensemble des 3 revues serait ensuite dispo en librairie, ça serait un poil risqué (la mort du kiosque ??), mais faire une annonce sur une seule série ne me semble pas si délirant que ça pour une revue forte. Mais ça serait sans doute contre productif sur les revues faibles, ça oui...! Avec la sortie rapide du Deluxe de Children's Crusade, j'avais espéré un instant que vous commenciez à appréhender les cibles kiosques et librairie de façon différente, mais il n'en est rien, malheureusement. Cette sortie rapide restera un mystère. |
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Marvel Knights 6 Daredevil: La fin de la saga avec l'homme taupe est bien trouvé mais surtout bien dessiné par Paolo Rivera. Le .1 revient sur l'histoire avec la chatte noire qui va être au centre du crossover du prochain numéro. Ghost Rider: Fin des aventures d'Alejandra en tant que motard fantôme. Bon la série se laissait lire tout de même. Et niveau graphique, c'était honnête. Punisher: J'ai vraiment du mal avec cette version de Rucka. J'ai toujours l'impression de voir la même chose. Une femme forte éclipse le personnage principal masculin. Dommage car là encore, avec Colak, c'est bien graphiquement. Winter Soldier: Un Brubaker en forme comme à la bonne époque de Captain America. Je préfère le dessin de Guice encré par d'autre personne que lui même ici. Du tout bon même si un épisode tous les 2 mois, c'est pas évident pour raccrocher tous les wagons.
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Marvel Knights 6 : Puis Matt Murdock s'occupe du cas d'un certain Nolan, mercenaire employé par l'organisation du Spectre Noir, convoitant le disque Oméga. J'avais déjà lu ces épisodes, les deux derniers du 2ème recueil de la série. Mark Waid conclut en beauté le face-à-face entre Daredevil et l'Homme-Taupe, en soulignant leur similarité inattendue (touchant aussi bien à leur handicap qu'à la perte d'êtres chers). Cet épisode est magnifiquement mis en images par Paolo Rivera, dont le découpage, notamment, est d'une finesse et d'une inventivité exceptionnelles. L'épisode ".1" est hélas ! beaucoup moins notable, ou pas pour de bonnes raisons. Waid est victime d'une opération éditoriale stupide et d'un dessinateur parmi les plus mauvais actuellement (l'infâme Koi Pham). A oublier. A la fin de la revue, on a droit à une back-up issue de Astonishing Tales, datant de... 2009 ! Panini a dû trouver ça sur une étagère, mais qu'est-ce que ça vient faire là ? * * Greg Rucka clôt un nouvel arc de sa série, dont le dénouement relance complètement les enjeux et le héros, désormais Mirko Colak remplace Marco Checchetto (parti dessiner le crossover Omega Effect, publié dans son intégralité dans le prochain numéro de la revue). Son style élégant fait penser à un Clay Mann mais à la palette plus complète, notamment en ce qui concerne le découpage, bien maîtrisé. La colorisation de Matt Hollingsworth est superbe. * Ed Brubaker donne un coup d'accélérateur à son intrigue en en dévoilant un pan entier, qui se réfère à la saga Secret War de Brian Michael Bendis (dans laquelle Nick Fury manipula plusieurs héros pour provoquer un coup d'état en Latvérie). Les éléments de l'intrigue s'emboîtent parfaitement jusqu'à l'alliance finale qui promet une suite accrocheuse. Au dessin, Butch Guice donne le meilleur de lui-même, en recevant le soutien de Stefano Gaudiano à l'encrage : ses planches y gagnent en lisibilité et en texture, et l'artiste réussit quelques scènes de toute beauté (comme le parachutage et l'infiltration de Bucky et Natasha, cadrés en plans verticaux). * |
#45
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Il est bien sympa quand même, ce ptit cross Omega Effect.
Pour moi qui commence à en avoir assez des events annuels et de leurs trente six tie in, lire une histoire avec une structure un peu plus classique, moins ambitieuse, mais tout aussi efficace, c'est le kif. Et les auteurs ont su jonger avec la complicité, la rivalité et les inimitiés qui lient nos trois heros, donc rien à dire. Par contre, le look Solid Snake/Big Boss de Castle, c'est fait expres ? La ressemblance est trop frappante pour être un hasard ! |
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daredevil, ghost rider, marvel knights, panini, punisher |
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