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A ne pas louper
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Je viens de voir ta théorie hips!.
Mince, je me demande où t'as pu aller chercher une idée pareil. Sérieusement, fallait la sortir celle là.
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" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman |
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Ah, ça m'est venu naturellement....
Non mais ça ne t'interroge pas toi cet unique paragraphe formellement différent des autres? Je ne peux m'empêcher de penser que chez un mec tellement épris de style comme McCarthy cela a une importance et une signification. Mais si ça se trouve c'est uniquement une coquetterie de sa part. Ou une astuce diabolique pour faire tourner son lecteur en bourrique. Well done cormac! |
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En fait, à la base (avant que tu ne retrouve ta page) je pensais que tu parlais de la page 105.
A ce moment, le narrateur ne se contente plus du récit, il s'adresse directement au personnage. D'ailleurs, à la base, il me semble que tu avais demandé si sur ce passage on pensait que c'était Dieu ou le narrateur qui s'adressait au personnage. Ce passage là m'interpelle beaucoup plus que celui que tu cites et dont je pense (mais ça n'est que mon avis) que c'est le père qui s'exprime.
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Le "Ils étaient plaqués au sol, dressant l'oreille. En es-tu capable?..." Il ne m'a pas subjugué autant et me semble clair. Comme quoi.... Pour moi, c'est clairement le père qui soliloque.
Mais tu dois avoir raison pour "mon" passage, oui, c'est le plus vraisemblable. |
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Tiens, je viens de voir ça aussi et je me rends compte qu'à la lecture, je ne m'étais même pas posé la question , pour moi c'était une pensée du père et je n'avais pas du tout fait le rapprochement avec la fin
Bon , je n'ai plus le livre chez moi , peux plus relire le passage Tiens du coup, vu que le film sort bientôt , je me demande bien si le réalisateur aura la même théorie que toi ( même si en vrai , je vois mal comment ça pourrait s'insérer d'un point de vue narratif )
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Pour le film, à la fois j'ai confiance dans le réalisateur mais j'ai peur du nappage hollywoodien. Notamment que la femme de l'homme ait un trop grand rôle, comme le suggère la BA. |
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En fait, à la relecture de ce passage et des quelques paragraphes avant et après, tu m'a collé le doute Hips. Mais non, en fait, ça aurait pu passer si c'était l'un des personnages du livre qui racontait son histoire (genre l'enfant qui raconte à ceux de la fin).
Mais, là, non, je ne trouve pas. Sur le passage que j'avais relevé, le truc c'est que généralement, McCarthy laisse une marque de qui pense (genre l'homme pensa que..). Mais là, que dalle. On dirait presque une exhortation du narrateur au personnage. Sinon, pour la bande annonce, ce qui m'ennuie ce sont toutes ces images de catastrophes naturelles. Le flou qu'il y a dans le livre sur l'époque, la situation et le reste fait pour moi partie intégrante du truc.
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Les premières critiques semblent dire qu'il colle bcp au livre au point qu'on peut même lui reprocher de ne pas avoir laissé sa marque ( je ne connais aps du tout le réal .. Il a fait quoi Hips ? )
La BA pourrait être donc trompeuse ( j'avoue qu'en la voyant , j'ai aussi très peur qu'il développe la femme pour donner un côté pathos complètement absent dans le bouquin )
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Je vais vite fait sur allocine voir la bande annonce car je ne me rappelais plus que la mère y était aussi présente. Première phrase du résumé:
"Suite à une explosion nucléaire..." Mes doutes se confirment.
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Mais son "Ghosts...of the civil dead" était pas mal du tout. Et c'est surtout un pote de Nick Cave et des Bad Seeds, te dire à quel point c'est un type au goût sûr. |
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Bon, va vraiment falloir que je me dépêche de finir La Route pour en discutailler avec vous et pouvoir critiquer son adaptation filmesque avec moults arguments le mois prochain.
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Fini Anathem de Neal Stephenson, un truc bien barre avec des preuves mathematiques en appendice, des moines cosmonautes qui font du kung fu en exosquelettes medievaux, du voyage intercosmique dans l'espace configuratif (Bill Mitchell appreciera), des dialogues philosophiques et une intrigue a couper au couteau. Bon moment, on sent que Stephenson se defoule de son tres long (et tres documente) Cycle Baroque et se lache dans ce relativement court roman. Bon moment, il ne m'avait pas explose le ciboulot comme ca depuis Cryptonomicon.
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When I'm good, I'm good. When I'm bad, I'm better. Dernière modification par mr nix ; 12/11/2009 à 04h24. |
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Après l'excellente critique de Mr Hips!, je viens de commencer Seul le silence de Ellory...Et que dire?
Après avoir fini mon premier, et sans doute dernier, Coben ( sans un mot ), ce bouquin me prend vraiment aux tripes!! Merci Hips! |
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Ouais, ben, le HiPs!, il vient de finir "Ensemble c'est tout" de Anna Gavalda et ça l'emmerde beaucoup parce qu'il n'a pas pu s'empêcher d'avoir les yeux tendres à la fin.
C'est rien qu'une putain de midinette, là voilà la vérité! Il enchaîne avec "Le combat du siècle" de Mailer sur l'affrontement Ali contre Foreman en 74. Ca lui apprendra. |
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