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En même temps, ne pas être compris par Sade peut surement être interpreté comme preuve de bon sens chez Paulie.
Sinon je me prendrai le coffret Lundi, oui je n'ai jamais vu Oz.
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Ça resitue les merguez dans un contexte littéraire et intellectuel qui est le bienvenu. Viens découvrir la saison des animes qui fleurissent. |
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Un autre truc que je trouve très insupportable dans OZ (surtout comparé à un truc comme The Wire, où chacun est protagoniste), c'est le refus de faire des efforts sur les personnages secondaires, ouvertement uniquement utilisés en miroir. Genre prend Arif, là, il est juste là, toujours, pour Said, jamais pour être un personnage, toujours pour faire une connerie -bouh le mauvais muslim- pour que Said lui dise "nonon, Arif". Mais quand Said fait lui des conneries alors Arif lui dit "nu, maitre Said t'es trop fort mais nu". Le gars tient 6 saisons sans jamais exister, c'est assez innacceptable en termes d'écriture: si tu fais du huis clot, chaque personnage doit avoir une vrai existence; là, même les personnages savent qu'il n'existe qu'une douzaine de persos (qui meurent tous bien après avoir cessés d'être interessants) et qu'eux autres sont figurant.
et genre les queers, au niveau figuration, c'est marrant deux épisodes puis devient limite.(ou, dans le même genre, je ris encore à l'introduction de la nouvelle organisation d'Emerald City en saison 2: 4 bikers, 4 queers, 4 nazis, 4 muslim, 4 cathos, 4 latinos....). Sur le personnel de la prison, aussi, plein de trucs me dérangent. On est dans une dénonciation des vilains matons sans se rendre compte qu'on oublie toute conscience de classe à ce niveau-là alors qu'on joue la compassion avec les pires brutes chez les taulards. Jamais un vilain maton ne poussera à la compassion. Pire, le personnel haut-gradé ou diplomé (les gentils religieux, le torturé mais sympa McManus, le réac mais honnète Glynn) fait des personnages là où les prolos (les matons) n'y sont- Falco excepté- que des enculés corruptiobles et quasiment tous nazis. (ce thrace a tenu plus de 2 pages sans qu'on parle des chinois et de la drogue qui fait vieillir, ou des réunions de famille. Rions un poil en y repensant puis oublions) Dernière modification par Paulie Walnuts ; 09/03/2007 à 15h32. |
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the wire j'ai tout juste commencé donc j'aurais du mal à pouvoir comparer, mais ce que tu dis me semble assez pertinent, surtout si mentalement je me dis que ça fonctionne mieux chez Les Sopranos pour ce qui est du supporting cast. en effet les muslims sont vraiment des pions (ou le vilain mot) dans le jeu de Said.
jusqu'à quel point n'est ce pas une volonté de créer des archétypes carcéraux? défaut d'écriture ou volonté de dégager des personnages types? sinon tu as oublié de parler de la discussion évitée sur le gouts en matière de femmes de McManus, ça c'est un putain de sujet d'avant garde digne d'un débat participatif.
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johnkeats.space-blogs.com |
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les gouts en matière de femme de McManus, en même temps, c'est la présence d'utérus.
je reste à trouver McManus là où tu en es très cohérent et classe, notamment son rapport avec les femmes. Mais non, le choix archetypal, evident et revendiqué, et théatral, ne justifie pas ce que je dénonçais. Le problème n'est pas que les msulims soient les pions de Said (ce qui resterait un choix scenaristique logique), mais les pions des scénaristes qui ne s'interessent qu'à Said (le choix des muslims est le plus flagrant mais c'est le cas plus ou moins pour tous les groupes, hein). The Wire, malgré son réalisme ou le devellopement de chaque personnage même ultra-secondaire qui sonne à chaque fois vrai (chaque personnage est un vrai protagoniste, qui agirait de même s'il était le "personnage principal", chaque personnage réagit complétement logiquement en conséquence de tout ce qu'il vit), garde un aspect fable et archetypal aussi, tout ça n'est pas necessairement opposable. (les Sopranos diffèrent d'avoir un vrai "personnage principal" même si le supporting cast est bien supérieur à 98% des "ensemble show". Et tout bien-parfait que ce soit, l'exemple de The Wire est à utiliser car on a l'extreme absolu sur ce plan) |
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Oups desolé, j'avais raté le second degré. En meme temps je suis nouveau ici, alors j'ai une escuse...
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Si on fait le choix des figurants récurrents, la moindre des choses est d'en faire au moins de bonnes jokes.
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Achète mon âme ! "Today a young man on acid realised that all matter is merely energy condensed to a slow vabration, that we are all one consciousness experiencing itself subjectively, there is no such thing as death, life is only a dream and we are the imagination of ourselves. Here's Tom with the weather!" |
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C'est horrible cette joie en fait, pour une série aussi terrifiante, trés violente et insupportable pour les âmes sensibles. Je prends note et vais me ruer sur cette saison I vue sur M6. Je n'ai pas de personnages favoris dans ce genre de série. Le ton monte tellement trés haut, que toute la communauté des prisonniers attire notre attention, sans pouvoir la relacher et fermer l'oeuil un seul instant. Chef d'oeuvre for me. Dernière modification par georgesdaniel ; 11/03/2007 à 21h53. |
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Sinon, il ne sembla pas avoir de bonus avec...
too bad...
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C'est en voyant un moustique se poser sur ses testicules qu'on réalise qu'on ne peut pas régler tout les problèmes par la violence. Mes planches originales de comics à vendre.http://xanadu-art.eklablog.com/accueil-c17038922 |
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vive la France avec son édition 2 DVD........
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"Come at The King. You best not miss." |
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En fait, il semblerait que toute l'Europe soit affublée de la version 2 DVD.
Même l'Angleterre n'a pas le 3ème DVD de bonus. |
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pour info et pour les parisiens,il y a 3 coffret d'occase a joseph gibert(st mich)se qui revient a 14€
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☆☆VENTE VO/VF!☆☆Maj 02/10/2017http://www.buzzcomics.net/showthread.php?t=22416 |
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D'ailleurs, cette série me gonfle copieusement. Je crois que je vais me relire un Bunker bien réac, là, parce que les discours de gentils cathos de gauche, ça me gave. Y a quelque part trois termes qui me broutent dans le package : discours, gentils et cathos. Gauche, ça va, mais quand c'est associé à la volonté de porter un discours, ça donne rarement des oeuvres artistiques valables.
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"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
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"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
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Bôh.
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Bon, tu pointes du doigt deux choses dont je suis tout à fait conscient qu'elles peuvent créer un blocage chez certaines personnes.
La spectacularisation extrême, qui me gêne assez peu dans la mise en scène, et peut carrément me réjouir dans la narration (les ellipses, accélérations, absurdités fulgurantes dans Oz me donnent du rire, en général ; et dans Oz, le rire, c'est précieux). Le trip catho. Je sais, là, vraiment, que ça peut rendre le truc immédiatement et définitivement insupportable à certains, chose que je comprends et respecte totalement. Mais moi ça me fait plutôt marrer. Littéralement, chez les Scorsese, les Ferrara, ça a sur moi l'effet d'un pet, par exemple. Viens poser ta joue contre mon épaule, mon Zeninou. Laisse la force sereine de mon amour apaiser et arrêter pour toi le train effréné du monde. Là. Comme ça.
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