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En fait, j'ai commencé par relire le Semic Book Flash. Certes ce n'est pas le tout début du run de Geoff Johns sur le bolide mais ce sont les premiers épisodes dispos en VF. Johns met en place le nouveau duo de flics : Chyre et Morello. Un supporting cast efficace et plaisant.
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Lecture très frustrante ce Big Book de Flash. Johns met plein de plots en place ( les nouveaux Lascars, le directeur Wolves ...) je ne peux pas lire la suite à cause du trou énorme de 25 épisodes entre ce volume et le magazine DC Universe.
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Il y a une montée en puissance jusqu'à l'épisode 200 et la fin de le prestation de Kolins au dessin.
Apres c'est toujours bon mais quand meme moins épique, et je n'aimais pas le dessin de Porter, trop statique à l'époque pour desssiner une série de speedster. |
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Au-delà du Panini bashing, il faut quand même avouer que plusieurs choix éditoriaux de Panini étaient contestables et questionnables... avant. Je trouve que l'arrivée d'Urban Comics a mis un coup de fouet, qui a permis à Panini d'adopter des attitudes éditoriales et des choix de publication beaucoup plus qualitatifs.
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Tu veux parler de la gestion des épisodes avant ceux débutant dans DC Universe? L'erreur était surtout de caser ça (comme JSA) dans la très onéreuse collection Big Books, qui à cause des droits étaient vendus encore plus cher que les Monster Marvel. Et 'd'avoir sorti ça en catimini, sans mise en valeur de ce run marquant du personnage.
Pas de boulot éditorial + format trop cher, normal que la suite ne soit jamais arrivée. Et en effet, Panini au début, comme Semic, étaient très frileux sur les formats. Le 100% ou le Monster/Big Book, sans solution intermédiaire. Aujourd'hui, à part quelques regrettables exceptions (la Monster Arnaque Deadpool-Dracula), Panini tente bien plus de nouveaux formats. |
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J'ai aussi une pensée émue pour le Superman Beyond durant Final Crisis, publié en 3D sans les lunettes.
Ou la bimestrialisation de Superman/Batman, ou Batman/Superman, bref le magazine qui publiait Action Comics-Superman/Detective Comics-Batman à l'époque de la reprise par Busiek, Johns, Morrison et Dini. La bimestrialisation au #5 alors que les équipes définitives arrivaient au #4, les 3 premiers étant concernés par les crossovers dans chaque franchise pour les relancer. Bref, bimestrialiser un magazine sans voir l'effet de l'arrivée des stars dessus. |
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Fini le Supreme Power avec l'ultime tome.
Mega baston entre une team composée d'Hyperion/Whizzer/Nighthawk face à ce dingue de Redstone. La suite est incroyable et montre bien la fourberie du gouvernement US, pret a tout pour recuperer Hyperion. Vraiment, une super saga, bien gérée, superbement illustrée (Franck assure un max). Il me reste le tome unique Squadron Supreme, soit 7 épisodes par la meme equipe (mais plus sous le label pour adultes Max), avant que de mauvaises décisions éditioriales plantent le projet! Et ayant récupéré tous les Spidey concernés, je vais enfin pouvoir lire en entier la saga originelle!!! |
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Cette dernière est excellente, et a l'avantage d'avoir un début, un milieu et une fin (même si Gruenwald avait prévu une troisième partie à cette immense saga, après la deuxième étape par Paul Ryan). Je reproche à Supreme Power/Squadron Supreme la non-fin, le départ précipité de JMS, devenu malheureusement coutumier de ce type de pratique.
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Il convient de rajouter le très bon OGN Squadron Supreme: Death of a Universe avec Paul RYAN aux dessins si on veut être complet.
Les membres survivants du Squadron Supreme seront ensuite récupérés, toujours pas Gruenwald, dans la série Quasar. La suite c'est Busiek et Kaminski. |
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Je comprends qu'il se soit barré... Et merci pour l'histo totale du Squadron les gars, mais deja que je l'enfile la serie complete, et on verra le reste apres! |
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Pour continuer dans la même thématique, j'ai relu Flash Rebirth. Et là très bonne surprise. Alors que la première lecture m'avait un peu déçu cette relecture est très agréable. On voit bien le bon boulot de Johns qui comme d'habitude prend un personnage ou univers pour le revisiter mais toujours de manière cohérent et en respectant le matériel de base. Même si pour moi Flash est Wally West, ce récit m'a fait apprécier le personnage de Barry Allen. J’enchaîne avec la série Flash volume 4 ,je crois, qui aboutit rapidement à Flashpoint. |
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Quelques lectures dominicales :
Justice League of America, plus précisément la fin de l'ère "Détroit" (Vibe, Gypsy, Vixen, Steel, Martian Manhunter) de l'éviction de leur quartier jusqu'au prélude à l'ère Bwa-Ha-Ha. Le changement de quartier, et surtout la relocalisation de l'équipe dans le QG situé à Metropolis est assuré par Gerry Conway. L'équipe est d'abord confronté à un alien qui a élu domicile dans les cavernes du nouveau QG, avant de saper l'énergie vitale des héros qui ont tout juste le temps d'appeler la "vraie" ligue, soit Superman, Batman, Green Lantern et Green Arrow. Batman accepte à l'isue de cette histoire de réintégrer la League, au moins pour entraîner la nouvelle génération. Despero, l'un des premiers ennemis de la League, choisit ce moment pour revenir sur Terre, dôté de pouvoirs énormes. Arrive cependant Legends et le moment de renouveler la League, et c'est De Matteis qui s'y colle. Dans une série d'aventures qui ressemble assez à Breakdowns, il dégage Zatanna dans une aventure métaphysique avant de confronter la League au Professeur Ivo et à ses robots. Celui-ci, immortel et difforme, cherche à se venger de la League et, malgré les conseils de ses fils/robots/doubles/psychothérapeutes, parvient à tuer deux d'entre eux : Vibe, qui meurt étranglé par les mains autonomes d'un robot qu'il croyait avoir détruit, et Steel, qui utilise son corps métallisé pour protéger des civils d'une explosion, en ressort démembré et doit être euthanasié par son grand-père. Curieux mélange de gravité et grotesques, les sessions de psychothérapie d'Ivo étant souvent l'occasion de traits d'humour (noir) Labrats, de Byrne. Le principe : une organisation secrète, Le Campus, recrute des adolescents laissés pour compte et les utilise comme Rats de Laboratoire (titre) pour des expériences scientifiques : Réalité virtuelle, parc d'attraction féérique où les créatures magiques sont des clones tués pour l'amusement du public, voyage dans le temps aux conséquences désastreuse, base spatiale. L'explication pour le choix d'enfants comme commando suicide me laisse perplexe : les enfants sont certain de leur immortalité et, par conséquent, n'hésitent pas à agir là où un adulte le serait. Mouais, sauf que a) les gamins voient de numéro en numéro leurs amis mourir sous leurs yeux et b) le dernier gosse, qui se sacrifie pour repousser une invasion, sait déjà qu'il va mourir (voir le voyage dans le temps susdit), ce qui rend le principe assez idiot. Autre problème majeur : le scénariste (Byrne donc) ne prend jamais le temps de s'intéresser aux héros, le lecteur se fiche donc éperdument de ce qui peut leur arriver. A titre de comparaison, Strikeforce Morituri, plus ou moins sur le même principe, s'intéressait à des personnages condamnés à mort, ce qui rendait leur fin d'autant plus tragique. Ici, pas d'attachement, on passe à l'aventure suivante sans que le lecteur (ou les autres "Labrats") ne s'en soucie vraiment. Toujours dans la collection "Voyage dans le temps", je me suis refait la fin de Hardcase, série Malibu au moment où la maison d'édition se faisait bouffer par Marvel. Le héros, qui a vu sa vie détruite par un mystérieux Rex Mundi, tente de traquer ce dernier. Chemin faisant, il tombe sur la gemme de l'infini ayant pouvoir sur le temps, et remonte en arrière au point où sa vie a basculé (la mort de son équipe, judicieusement appelée "The Squad".) De retour dans le présent, il réalise avoir fait une erreur et tente de convaincre Loki de l'aider. Un rire sarcastique et Loki dégage avec la pierre. Baston, baston, morts en série de personnages, Hardcase re-remonte dans le passé pour convaincre son moi futur antérieur de ne pas changer le passé (et ainsi dé-changer le présent), et tout est bien qui finit bien. Bof, une résolution très rapide de la série avant le reboot complet de l'univers. Dernière modification par JB ; 30/04/2015 à 13h40. |
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Outch, sacré final de cette JLA...
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Ah, la mort de Vibe, aussi pathétique dans la forme que superbement ignorée par la suite.
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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