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Petit tour à la FNAC :
Diabologum #3 (écouté hier soir) et le dernier Dominique A. Un excellent WE se profile |
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Quand j'ai ouvert les yeux, le monde avait changé. Au milieu du mois d'août, je crois qu'il a neigé.
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Ce soir sur France Inter concert privé de Dominique A :
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Sure, they're far from perfect ; but take, say, two thirds of Lucky Town, add in the 3 to 4 songs from Human Touch that really stand out and you've got a very decent Springsteen album.
The ESB really reinvented itself for the 21st century, soundwise. Lyrically very strong, too, articulate and well thought out. As of this day, I'm still overwhelmed by songs like Gipsy Biker or Last do die. Listen for yourself : |
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Bienvenue dans ma ville de naissance
ce genre de chanson française que j'aime |
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Sympa Noir Boy Georges. JE vais aller écouter ça de plus près.
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TU fais bien
voici sinon le nouveau clip de Jessica 93 qui est du génie pur : |
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Du lourd de chez lourd.
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Pour mon anniversaire, ma mère m'a offert :
Mark Knopfler : Tracker. Knopfler est sans doute le premier "guitar hero" que j'ai aimé, c'était à l'époque glorieuse de Dire Straits, et ça n'a jamais cessé depuis. Comme Springsteen ou U2, s'arrêter à la musique de Knopfler, c'est passer à côté d'un immense songwriter : lisez ses textes et vous trouverez un narrateur exceptionnel, qui réussit en quelques couplets à vous parler de personnages réels ou fictifs comme de gens que vous aimeriez compter parmi vos amis. Mais bien sûr, Knopfler, c'est ce joueur virtuose, celui qui a réinventé la technique du picking en se passant de plectre, avec ce toucher inimitable, à la fois tonique et délicat, qui passe par le pouce, l'index et le majeur. Ce phrasé incroyable s'accompagne aussi d'un son bien particulier, rond, presque canaille, et qu'il arrive à reproduire sur une guitare acoustique, électrique, un dobro, en y ajoutant très peu d'effets (à peine quelques wha-wha sur un des titres de ce nouvel album par exemple). Quel régal ! (Le maestro était, hier soir, au "Grand Journal" - en compagne de Léa Seydoux - et nous a gratifiés d'un live magique avec le titre "Beryl", en hommage à la romancière Beryl Bainbridge.) Du coup, ça m'a donné envie de réécouter : Mark Knopfler : Shangri-La. C'est sans doute (avec Sailing to Philadelphia) l'album solo de Mark-les-doigts-de-fée que je préfère : tous les titres sont fabuleux ! Il y a des solos absolument somptueux, des ballades fascinantes, des blues entêtants... Ce LP a été écrit et composé après un accident de moto qui aurait pu empêcher Knopfler de rejouer. Il a choisi de s'en amuser avec le single "Boom like that". Mais il rend aussi hommage à Lonnie Donegan, nous envoie une "Postcard from Paraguay" enchanteresse... Du grand art ! Sinon, je poursuis ma rétrospective Beatles au fil de la collection parrainée par "Le Monde" et "Télérama" dans de magnifiques Remasters : The Beatles : Magical Mystery Tour. Cette suite au mythique "Sgt Pepper" est un album un peu bricolé, avec des chansons écrites pour un show télé et des titres écartés ou seulement publiés en singles. Mais même avec ces grosses ficelles, difficile de ne pas être conquis, surtout quand on tombe sur une mélodie comme celle de "Your mother should know", un délire comme "I am the walrus", et des tubes comme "Penny Lane" ou "Strawberry fields forever". The Beatles : Yellow Submarine. Là encore, une curiosité puisqu'on a droit à une face avec des chansons (dont "All you need is love" et "Yellow submarine", déjà présents sur d'autres albums) et une autre avec uniquement des instrumentaux, composés pour le film d'animation, signés par George Martin. La transition entre les deux parties est un peu acrobatique, et les chansons sont très inégales. Mais les bandes de Martin sont une vraie découverte, un petit album en soi, de la part de celui qu'on a souvent désigné comme le 5ème Beatle. Texas : Careful What You Wish. Réécouter la discographie d'un groupe qu'on aime bien, c'est toujours intéressant parce qu'on comprend ce qu'on aime chez lui. Et aussi là où il a pu échouer. C'est le cas avec cet album, le plus faible de la production du gang de Sharleen Spiteri, elle-même peu inspirée au chant (suffisamment rare pour être noté). |
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Quand tu penses que ça a déjà 23 ans....
Mine de rien, y'a une bonne idée de comics Vertigo là-dedans...
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Il est impossible de faire comprendre quelque chose à quelqu'un
si son niveau de vie dépend directement du fait qu'il ne la comprenne pas. |
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Je n'ai pas l'habitude de me réjouir de la mort des gens mais, là, juste pour elle, je fais une exception et depuis 2013, chaque 8 avril, je réécoute ça :
"1984" de New Model Army, chanson du groupe de Bradford dans le Yorkshire sur l'Angleterre des grèves minières de 1984. "The vans they come in convoys now, stealing through the dawn Silent in the countryside in the hills up to the north There's road blocks on the Meden bridge There's click, click clicking on the phone They're sealing off our villages, sealing off our homes This ain't some tin-pot story arriving from a distant shore But our own sweet, green and pleasant land in 1984 Her father crossed the battle lines in the first months of the war She frowns down at the soup kitchen - she doesn't have a father anymore It's cold in the early mornings, standing with your mates Staring at the thick blue line armed and ready at the gates This ain't some tin-pot story arriving from a distant shore But our own sweet, green and pleasant land in 1984 The servants of our great nation Have lied in the name of us all While the officers of peace and order Are busy breaking every law There's hundreds on trumped-up charges Hundreds on the streets The future of our villages Sown with bitter seeds And hatred starts to rumble where there was no hate before In our own sweet green and pleasant land in 1984 Nobody wanted to see the blood As the blue lights flash through in the night But all the words fell on deaf ears And now the blind frustration bites Two nations under one crown divided more and more In our own sweet green and pleasant land in 1984" Un des commentaires en-dessous de la vidéo, écrit il y a 5 ans : "It was a catalyst for the systematic destruction of the working class. The strength and support of the strike shook the establishment to it's core and they took everything we had to teach us a lesson - Our nationalised industries, our education system, our health service, our housing, our livelihoods were all wrecked. She took everything we had. I will dance on her grave when she dies." Burn in hell, bitch.
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"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
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un gros RIP pour tes convictions |
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Suite au concert de Grand Corps Malade la semaine dernière et à différents articles sur Ombre est Lumière de I AM je me suis mis à écouter à nouveau cela :
....De La Planète Mars : Un premier album qui déchire tout immédiatement et le côté obscure de la force était déjà là. Ombre est Lumière : un deuxième album ambitieux et double (culotté) dont le MIA est l'ombre qui cache la lumière. Grandiose. L’Empire du côté Obscur : le chef d’œuvre qui se termine en apothéose avec Demain c'est loin Du coup j'ai également ressorti les titres solo de la troupe marseillaise avec une préférence pour Métèque et Mat de Akhenaton et Où je vis de Shurik'n Pour Grand Corps Malade c'est les deux premiers que je préfère : Midi 20 et Enfants de la ville. |
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Comprends pas ton message mais bon, pas grave.
Les grèves minières de 1984, ça fait immanquablement penser à David Peace. Et David Peace, pour ceux qui connaissent, ça nous mène évidemment à l'écorcheur du Yorkshire. Et l'écorcheur du Yorkshire, c'est de lui qu'on cause dans cette chanson : "Fuck the mothers, kill the others Fuck the others, kill the mothers"
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"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
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Youhou, 1/4 d'heure Serial Killer!
Je relance avec ça (et pour me rappeler que le dernier album du gars est sorti et qu'il me faut passer au magasin): |
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