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Vieux 05/11/2014, 11h18
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Nailbiter tp1, velvet tp1, clone tp4, justice league 3000 tp1

[CENTER][B][SIZE="5"]NAILBITER VOLUME 1 : THERE WILL BE BLOOD (IMAGE)[/SIZE][/B]

[IMG]http://www.allnewcomics.com/ProdImages/comics/14/AUG140593.jpg[/IMG]

[I][B]Joshua WILLIAMSON / Mike HENDERSON[/B]
Nailbiter #1 à #5[/I][/CENTER]

[U]Le pitch :[/U]
L’agent spécial Finch va partir retrouver un de ses amis qui pense avoir trouvé les origines des serials Killers. En effet la ville de Buckaroo dans l’Oregon a vu naitre bon nombres de ces derniers dont le tristement célèbre Nailbiter qui a décidé d’y mener une vie paisible. Entre enquête et horreur Finch n’est pas au bout de ses surprises surtout qu’il va devoir également combattre ses propres démons.

[U]Ce que j’en pense :[/U]
Quand vous commencez à lire le TP c’est tout simplement l’horreur. Il y a du sang, c’est gore, très expressif et on a qu’une seule envie c’est de refermer vite le TP en se disant que décidément certains éditeurs n’ont rien d’autre à nous proposer que cela. Et bien il faut parfois se faire violence et persévérer car la suite (soit 90% du bouquin) est d’un tout autre acabit et nous propose une très bonne histoire.

La venue de Finch dans la ville de Buckaroo est l’occasion rêvée pour[B] Joshua WILLIAMSON[/B] de nous délivrer un très bon huis clos avec des personnages truculents et des situations très intéressante. Huit clos car l’action va désormais se borner à la ville et ses environs uniquement. Pas de traque dans toute l’Amérique ici, seulement Buckaroo et son macabre folklore. Car au delà de Finch et de sa coéquipière, la belle chérif Crane, la ville doit être vu comme un personnage à part entière.
En fait Williamson décide de jouer avec les codes du genre. Il invente donc un lieu qui semble le berceau des sérials killers. C’est une très bonne idée car elle va lui permettre de sortir un peu des sentiers battus de ce genre d’histoire. On va donc avoir droit à des jeux de piste, à un magasin de souvenirs et de breloques en tout genre, à un ex tueur plus ou moins repenti qui est lié à la ville mais aussi à l’héroine mais surtout Williamson va s’amuser (et nous avec) à inventer un tas de serial killer tout plus originaux les un que les autres (qui n'interviennent pas forcément mais contribue à l'atmosphère du récit).
Attention ici pas question d’aller dans le sensationnel et le gore gratuit et facile. Non cela sert le propos et apporte également une bonne dose d’humour. Le récit est plutôt à voir comme une enquête policière dans un endroit un peu flippant où un taré semblé quand même tirer les ficelles pour empêcher nos héros de trouver la vérité. L’ambiance est un mixte du [I]Silence des agneaux[/I],[I] Seven[/I] ou encore [I]Prisoners[/I]. Au fur et à mesure que l’on avance on découvre les cadavres dans les placards mais surtout les failles psychologiques des personnages. CEs derniers sont plus poussés que l'on ne pourrait le croire au départ et même si cela sent le réchauffé, leur réactions alimentent l'histoire plutôt que la ralentir (le flic dépressif ayant merdé, la belle fliquette en lien avec l'ex tueur, le politicard de service, les ados débiles qui veulent jouer à Scream, l’enquêteur au bidon passionné...) Rien n’est joué d’avance et le scénariste propose une histoire assez dense avec beaucoup d’éléments et de fausses pistes. Les rebondissements sont légions et dynamisent l’histoire ce qui fait que l’on ne s’ennuie pas une seconde.

Graphiquement je découvre le style nerveux de[B] Mike HENDERSON[/B] qui convient bien à la série. Il se rapproche d’un Matteo Scalera si je devais faire une comparaison. C’est expressif sans tomber dans la caricature et il y a beaucoup de dynamisme dans son coup de crayon. Les couleurs sont dans un style de gris délavé avec des touches de couleurs chaudes(le rouge évidemment) avec mention bien aux scène se passant dans la nuit ou dans la pénombre restituant parfaitement l’angoisse du scénario

[U]Niveau de Langue :[/U]
Aucune difficulté. Cela se lit très bien car l’intérêt n’est pas dans les textes.

[U]Bilan :[/U]
Nailbiter c’est révélé être plus qu’une bonne surprise. On pourra reprocher au scénariste de tomber un peu dans la facilité et de ne pas se montrer plus ambitieux (mais sait on jamais avec la suite) mais en tout cas il a pour l’instant très ficelé son histoire avec un scénario solide, de l’action, des personnages qui ont le mérite d’exister sur le papier et il insuffle une légère dose d’humour bien vu.

[U]Ma note [/U]: 3.5/5


[CENTER][B][SIZE="5"]VELVET TP1 : BEFORE THE LIVING END (IMAGE)[/SIZE][/B]

[IMG]http://ecx.images-amazon.com/images/I/51lDHbX0azL.jpg[/IMG]

[I][B]Ed BRUBAKER / Steve EPTING[/B]
Velvet #1 à #5[/I][/CENTER]

[U]Le pitch :[/U]
Velvet Templeton est l'assistante du Directeur d'une agence de renseignements. Officiellement du moins. Lorsque le plus grand agent secret du monde est tué en mission, elle se trouve engluée dans un imbroglio de mystère et de meurtre. Envoyée sur le terrain, dans un milieu qu'elle avait abandonné, son propre passé lui revient alors en pleine figure. Heureusement pour elle, elle n'a rien perdu de ses talents.

[U]Ce que j’en pense :[/U]
Sur le fond Velvet est une bonne histoire et une série correcte. Mais bizarrement pour moi c’est sur la forme que cela pèche alors qu’avec deux artistes comme Ed Brubaker et Steve Epting, qui sortait d’un run très intéressant sur Captain America on pouvait s’attendre à des étincelles.

Déjà l’histoire me semble pour l’instant un peu légère. [B]Ed BRUBAKER[/B] tarde a nous montrer l’ampleur des enjeux, que cela soit la mort de X-14, le piège tendu à Velvet et j’ai trouvé facile le procédé employé par le scénariste pour relier cela au passé de notre belle héroïne. Oui trop facile ou pas assez fluide dans la narration. Il manque un truc assurément.
En 5 épisodes cela manque de rythme, ou plutôt celui employé par Ed Brubaker est poussif, comme si le scénariste se sentait à l’étroit dans le format d’une vingtaine de pages par épisodes. Du coup il se sent obligé de proposer un fil conducteur par épisode ce qui donne au final un curieux assemblage. 5 bouts de ficelles qui ne font pas complètement un fil conducteur. On en voit la direction mais également les accros. J’aurais aimé que le scénariste revienne sur certains personnages. On en sait trop peu sur le patron de Velvet et la traque de Roberts peine à revenir sur le devant de la scène. Du coup comment croire que Velvet est en danger permanent. Au contraire on a plutôt l’impression qu’elle se balade assez aisément (trop ?) de pays en pays. C’est le genre de détail qui nuit à la crédibilité souhaitée du récit.
De même Ed Brubaker met peu en difficulté réelle son héroïne. Plus le récit avance plus on a du mal à croire son âge et à sa retraite anticipée comme secrétaire. Elle n’a rien perdu bien au contraire. La encore on pourra arguer que je chipote mais c’est le genre de détail qui font que je n’arrive pas à m’immerger complètement dans l’histoire. Alors surement ou peut être que Brubaker a des plans sur le long terme mais quand je vois la lenteur de publication de la série et le peu qui nous a donné jusque là j’ai du mal à y croire. Et si c’est varié alors pourquoi sortir un premier TP avec ces 5 épisodes. Peut être aurait il été plus judicieux de publier un recueil plus fournit.

[U]Steve EPTING[/U] est un artiste que j’ai toujours apprécié. Mais comme nombre de ces collègues je n’arrive plus avoir la personnalité de l’artiste. C’est beau voire trop beau. Ou sont les légères imperfections qui faisaient le charme de ses dessins ? L’artiste à bien travaillé par contre avec des décors très réalistes quelque soit les villes traversées (Paris ou Monaco en tête) permettant au lecteur de se mettre immédiatement dans l’ambiance des époques évoquées (des années 40 au années 70). C’est très détaillé et même minutieux, approche que l’on ne lui connaissait pas. Son style a donc évolué. Maintenant je n’ai pas été subjugué par son approche assez réaliste. J’aurais voulu plus de folie dans son trait voire dans ses compositions qui pourtant changent de schéma au gré des situations. Par contre il continue ses tics avec les ombres sur une moitié de visage. Les personnages masculins ont aussi tendance à se ressembler ce qui n’aide pas à les identifier et à s’immerger dans le récit.

Velvet est une bonne bande dessinée, un comics d’excellente facture mais qui a vouloir trop bien faire n’arrive pas à sortir du lot. Cela se lit trop bien et on repose le livre avec le sentiment d’avoir passé un moment agréable mais pas inoubliable. Et avec deux auteurs de cette trempe et un tel sujet c’est frustrant. Velvet est trop académique.
Si on doit faire une comparaison on peut dire que ce qui avait marché avec Captain America ne fonctionne pas complètement ici. Surement car cela faisait longtemps que l’univers de Steve Rogers n’avait pas été traité ainsi ce qui a agréablement surpris les lecteurs. Point de surprise ici car on sait d’entrée de jeu ce que l’on va lire avec en plus deux auteurs qui ont déjà sévi ensemble sur le genre. Et puis dans la série Marvel il y avait le côté fantastique qui donnait du piment au récit. Dans Velvet dans il n’y en a pas et on tombe du coup dans un fausse bonne idée qui est de jouer avec un environnement réaliste. Car les deux artistes ne font que l’effleurer. Cela manque de référence historique, n’est pas Le Carré qui veut.

[U]Niveau de langue :[/U]
Aucune difficulté. C’est très bien écrit avec peu de dialogue mais plutôt des pavés de textes explicatifs, pas d’argot et ce n’est pas verbeux.

[U]Bilan :[/U]
J’ai acheté ce premier volume de Velvet en VO au vu du prix prohibitif de la VF et je me suis ennuyé un petit peu à la lecture. C'est sympa mais je crois que je m'attendais à quelque chose de plus transcendant. J'ai trouvé l'ensemble assez figé même les dessins de Epting qui en étant cette fois ci plus fins m'ont plus fait penser à des tableaux. Cela manque de peps, de fraicheur et on est rarement surpris par ce que l’ont lit. Agréable donc mais sans plus. Je lirais sûrement la suite mais sans l'attendre énormément.

[U]Ma note :[/U] 3/5


[CENTER][SIZE="5"][B]CLONE TP4 : FOURTH GENERATION (IMAGE)[/B][/SIZE]

[IMG]http://www.comicrelated.com/autogallery/imagepreviews/101514/covers/CloneVol4_Cover.jpg[/IMG]

[I][B]David SCHULNER, Aaron GINSBURG, Wade MCINTYRE/ Juan Jose RYP[/B]
Clone #16 à #20[/I][/CENTER]

[U]Le pitch :[/U]
Rien ne va plus pour Luke et les clones qui traquer par le gouvernement va surement devoir prendre des solutions radicales. Arrivera-t-il à préserver également sa famille ?

[U]Ce que j’en pense :[/U]
On peut décomposer les 4 volumes de clones en deux saisons distinctes, ce tome 4 étant la suite directe du précédent. On va retrouver dedans tout ce qui a pu nous plaire jusque-là et à cause de la fin on peut voir que c’est une très bonne synthèse des intrigues en cours.

Ce qu’il faut savoir pour mieux appréhender ces épisodes c’est que ce sont surement les derniers avant un bon moment. En effet les auteurs négocient les droits pour en faire une adaptation en série télé (Scarlet is right sur Image) et du coup ils ont mis en stand by le comics. Mais par contre il propose quand même un récit cohérent et une fin possible à leur saga même si on se rend bien compte qu’il a beaucoup de matière pour que cela continue.

C’est du coup surement le meilleur tome que j’ai pu lire car l’écriture est paradoxalement très dense avec beaucoup d’action et surtout des cliffhangers à pratiquement chaque fin de numéro. La parenté avec une écriture de série télé n’aura jamais été aussi vrai et cela passe très bien en comics. Les scénaristes se sont attachés à donner beaucoup d’exposition à pratiquement tous les protagonistes principaux qui vont pousser jusque dans leur dernier retranchement. Autant Luke reste un personnage ambiguë en proie au doute en permanence (ce peut être ce qu’il fait de lui un humain par rapport aux clones ?) autant d’autres personnages vont soit se radicaliser (des clones de Luke, des civils) soit découvrir enfin leur voie (un clone de Luke, une clone féminine). En clair il y en a pour tous les gouts et le récit assume son côté légèrement caricatural car il sied bien au ton souhaité et surtout à la dynamique insufflé. Et de ce côté là il faut dire que l’on ne s’ennuie pas car avec l’aide de Juan Jose RYP, qui n’aura cessé de s’améliorer (faire 20 numéros cela aide à la maitrise du récit), on ne peut que tourner les pages avec enthousiasme tant les rebondissements sont légions et surtout bien amené.

[U]Les plus :[/U]
- 6 pages de Sketchbook commentées
- Juan Jose RYP me l’a signé

[U]Bilan :[/U]
Un bilan très positif pour au final une excellente série qui atteint pleinement son objectif qui est de distraire avant tout. Elle le fait avec les honneurs grâce à une écriture très dynamique, pas décompressée et avec un dessinateur très inspiré. Si on veut se donner la peine on y trouvera tout ce qu’il faut pour passer un bon moment car c’est quand même loin d’être si simpliste que cela (ce tome en est l’exemple type). Alors oui ce n’est pas du Alan Moore ou du Warren Ellis, et alors on ne peut pas lire autre chose ?

[U]Ma note[/U] : 4/5


[CENTER][B][SIZE="5"]JUSTICE LEAGUE 3000 TP1 : YESTERDAY LIVES (DC)[/SIZE][/B]

[IMG]http://ecx.images-amazon.com/images/I/61Vl84Vq52L.jpg[/IMG]

[I][B]Keith GIFFEN J.M. DEMATTEIS / Howard PORTER Raymund BERMUDEZ Wayne FAUCHER[/B]
Justice League 3000 #1 à #7[/I][/CENTER]

[U]Le pitch :[/U]
Dans un futur lointain, l'an 3000, les Cinq dominent l’univers connu. Pour tenter de mettre fin à cette hégémonie le projet Cadmus tente alors le tout pour le tout : ramener la Justice League à partir de leur ADN. Le problème c’est que ce n’est plus tout à fait les même.

[U]Ce que j’en pense :[/U]
A première vu le pich semble casse gueule et les dessins de Howard PORTER, qui a travaillé dans les années 90 sur la Justice League de Grant Morrison (la relançant avec l’écossais) peuvent surprendre. Il faut dépasser tout cela très vite car cette version futuriste de la Justice League est tout simplement excellente.
Déjà on a droit aux héros icononique : Superman, Batman, Wonder Woman, Green Lantern, Flash et d’autre peuvent venir. Cela permet aux lecteurs connaissant assez bien l’histoire de ces héros de rentrer rapidement dans l’histoire qui doit essentiellement aux diverses réactions de nos cinq héros face aux situations auxquelles ils vont être confrontés. Car il faut dire que leur retour à base d’ADN manipulé (non je ne parle pas de clone, et c’est voulu) va rapidement montrer quelques lacunes chez les personnages. Niveau caractère et personnalité, ils leur manque des cases comme on dit dans le jargon. Il faut voir Bruce appeler volontairement Superman Clark ce dernier refusant systématiquement cette appellation. Niveau pouvoir idem. Pas de vol pour Superman (mais lo pas compris le big blue) ou pas d’anneau pour Green Lantern (un cape plutôt c’est plus sympa).

C’est donc cela Justice League 3000 une version inachevée de cinq des plus grand héros de la terre dans un futur peu reluisant. C’est également cela qui marche bien le fait que [B]Keith GIFFEN[/B] et [B]J.M. DEMATTEIS[/B] qui savent très bien jouer manier l’humour jour beaucoup sur le registre dramatique de la situation et du futur peu reluisant. Les ennemies de la Justice League, les fameux Cinq, sont du haut calibre et très puissant donnant une opposition de style très savoureuse. Héros démembrés ou bien miniutarisé, subissant des attaques psychologiques ou complètement à la masse c’est face à des situations un peu décalées que l’on est convié.
L’introduction de Cadmus permet aux deux scénaristes de toucher le public DC et les lecteurs ont envie de savoir comment ce futur a pu arriver (et surtout quid de la terre). Et qui dit Cadmus dit savants fous. Place ici aux Twins, un frère et une sœur très opportunistes et à Alex, jeune chercheuse en génétique en fuite. Beau support cast qui vie sous la plume des scénaristes. Du renouveau donc et une ambiance que je situerai plutôt pré New 52 (voire Justice League des mêmes Giffen et De Matteis).

Graphiquement c’est la grande classe de [B]Howard PORTER[/B] qui domine. Il c’est magnifiquement approprié le futur qu’on lui propose avec des planches très détaillées. C’est très vivant et dynamique. C’est différent de ce qu’il a pu faire. Je trouve qu’il a haussé son niveau de manière très probante et on a même du mal à voir un autre artiste sur ce titre même si [B]Raymund BERMUDEZ[/B] et [B]Wayne FAUCHER[/B] s’en sortent très bien dans le #5. Les couleurs très métalliques de[B] HI-FI[/B] aident bien il faut dire.

[U]Les plus :[/U]
- 7 épisodes
- 17 pages de sketchbook revenant notamment sur la création des personnages.

[U]Niveau de langue :[/U]
C’est verbeux mais très compréhensible. Et puis quand on est parti on ne s’arrête plus. Peu d’argot ou de tournures de phrases posant problèmes.

[U]Bilan :[/U]
DeMatteis et Giffen s'éclatent avec cette version futuriste qui réserve beaucoup de surprises. Howard Porter réalise un excellent travail parfaitement en phase avec l'univers décrit par les deux scénaristes. Enfin pour ceux qui ont trouvé cela trop verbeux je réponds que cela fait du bien d'avoir entre les mains des épisodes qui ne se terminent pas en 2min et que surtout les dialogues sont très drôles et excellents. Ce n'est nullement du remplissage. Je pense que je tiens le meilleur Superman depuis le début du new52. Je suis sous le charme de cette série fun, bien dessinée et complément barrée. Les déçus du New 52 devraient y jeter un coup d'œil.

[U]Ma note :[/U] 4/5
__________________
“Our dreams make us large.” Jack Kirby

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Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 30/11/2014 à 00h32.
 


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