La sélection de la semaine : télé

[doop]

Ah, moi je penche plutôt pour son père

[EsseJi]

Oui le gamin c'est trop évident, j'ai pensé aussi au père lorsqu'il demande à son épouse si tout le monde est considéré comme suspect.

[michel]

	Citation:			Posté par doop
	Ah, moi je penche plutôt pour son père

Ca me semble aussi le suspect le plus évident maintenant mais vu qu'il nous a été pointé du doigt à ce stade ça ne doit pas être lui

[zenita]

Moi je penche plus sur une conspiration a plusieurs... Du genre, le gamin en savait trop...

Dans le genre série tv policière, c'est vraiment une excellente série mais elle est bien derrière true detective actuellement...

[Hob]

Moi je penche par.. bah en fait on s'en fiche. C'est un peu ça tout l’intérêt de cette série et c'est sûrement pour ça que je l'aime beaucoup alors que je sature aussi des séries policières (sauf Sherlock mais voilà c’est anglais aussi )
Au final, le plus important et intéressant , c'est comment cet événement percute en pleine face la vie des habitants de cette bourgade ( ça parle aussi de l'impact de la presse et pleins de choses en vrai)

Et puis c'est sacrement chouette au niveau de la réalisation ce qui ne gâche rien

[wildcard]

Dimanche, sur TMC, deux épisodes de la saison 20 de New York Police Judiciaire.

L'équipe formé par la police et le bureau du procureur s'occupent de deux dossiers : le premier concerne la mort d'un témoin-clé dans un procés, le deuxième une fusillade ayant opposé un modeste commerçant avec une bande de voleurs.

Quand on ne trouve pas un bon film le dimanche, on peut toujours se tourner vers TMC qui rediffuse la série New York Police Judiciaire : son écriture réaliste, ses personnages de flics et juristes bien campés, leurs affaires captivantes et très vraisemblables, sa réalisation sobre, tout en fait une production efficace.

La deuxième affaire permet même de voir Elliott Gould dans le rôle d'un quidam pris dans la tourmente d'une histoire bien équivoque où les héros comme le téléspectateur ont bien du mal à trancher sur la question de la légitime défense.

La distribution principale, avec notamment Jeremy Sisto, Anthony Anderson, S. Epatha Mekerson, Linus Roache, Alana De Garza, Sam Waterston, est comme d'habitude formidable.



Mardi, sur France Ô, deux nouveaux épisodes de la saison 1 des Arnaqueurs V.I.P..

L'équipe de Mickey Stone se mêle à deux coups : l'un se situe dans le milieu des galeries d'art, l'autre à une affaire de corruption impliquant des policiers.

Hustle est un vrai régal : les opérations montées par la bande de voleurs haut de gamme sont à la fois extrêmement sophistiquées et toujours compréhensibles, notamment grâce aux apartés auxquelles se livrent les personnages, brisant la règle narrative du "quatrième mur". Le procédé est jubilatoire, employé avec modération, toujours avec à-propos : on a l'impression d'être les complices de ces voyous qui agissent en vérité souvent comme des justiciers, en s'en prenant à de plus affreux escrocs qu'eux.

La complicité des comédiens ajoute au plaisir pris au spectacle. Mention à Adrian Lester dans le rôle de Mickey Stone, malicieux et superstitieux (le voir convaincu que sa bande devrait faire une pause car elle accumule récemment des échecs est d'autant plus savoureux qu'ensuite il organise une arnaque défiant toute raison).



Vendredi, sur Canal +, la 39ème cérémonie des César.

La soirée est présentée par Cécile De France, très en beauté, et qui conduit la remise de prix avec un humour subtilement décalé (hélas ! pas toujours bien perçu par un auditoire toujours aussi glacial - c'est terrible de voir à quel point la "grande famille du cinéma" est toujours aussi coincée...)



Adèle Exarchopoulos obtient le prix du meilleur espoir féminin : c'est mérité pour la révélation de La Vie d'Adèle, qui sera par ailleurs le grand perdant de la soirée.



L'homosexualité était au coeur de beaucoup de films nommés - et encore très présent dans les esprits après la loi autorisant le "mariage pour tous" l'an dernier. Le palmarès semble avoir voulu distinguer ce fait en attribuant à Pierre Deladonchamps le César du meilleur espoir masculin pour son rôle dans L'inconnu du Lac.



L'outsider de la soirée était le film d'Albert Dupontel (absent, comme d'autres figures citées), Neuf mois ferme. Cela n'a pas empêché l'Académie de décerner le César de la meilleure actrice à Sandrine Kiberlain. J'aurai préféré Léa Seydoux, mais ce n'est pas volé non plus (tout le monde, critique comme public a loué l'interprétation de la lauréate).



Mais le fait majeur restera le sacre de Guillaume Gallienne, l'acteur qui "a la carte" (comme dit JP Marielle) en ce moment : meilleur acteur (face à Michel Bouquet !), meilleur premier film, meilleur film (ce doublon est bizarre : un premier film ne devrait pas pouvoir concourir dans ces deux catégories), meilleure adaptation, meilleur montage... N'en jetez plus ! Tous ces trophées pour un seul film me semblent exagéré, surtout l'année où un chef d'oeuvre comme le Kechiche était en course (le cinéaste paie-t-il la polémique qui a suivi son tournage et sa sortie ? Ou les votants ont-ils préféré féliciter un long métrage plus léger et aimable ?).



Sinon, un César d'honneur a été remis à Scarlett Johansson par Quentin Tarantino. Pour une fois, on a échappé à une mention à un comédien en fin de carrière, au profit d'un moment de pur glamour dans un "show" qui en manquait cruellement.



Pour l'anecdote, on retiendra que Julie Gayet était bien présente (même si elle n'a pas gagné le prix du meilleur second rôle féminin)... Ce qui a démontré que le magazine "L'express" était mal informé.


Quant à François Cluzet, il a assuré le service minimum en qualité de président de la cérémonie (soutien timide aux intermittents du spectacle dont le statut est menacé par le Medef).

[gillesC]

Léger et aimable? Ah! Tout est vraiment relatif.
(le dépucelage par Gudruunn-Ingeborg (excellente Diane Kruger), un bon sujet de discution pour les repas en famille.. )

[Fletcher Arrowsmith]

Je me suis ennuyé d'une force à cette cérémonie où planait l'ombre de Kechiche. A priori tout le monde semblait heureux que La vie d'Adèle n'est qu'1 césar (mais qu'elle est belle Adèle). Il faut vite oublier ce film qui nous a fait honte pendant de long mois. Une palme d'or c'est déjà beaucoup. Ce n'est que mon ressenti mais j'avais annoncé que Guillaume... serait le grand gagnant à ma femme. C'est un très bon film mais il y avait quand même mieux à faire comme palmarès sans l'oublier bien sur.
On a quand même eu le droit à la surprise Polanski pour le meilleur réalisateur (perso il y avait mieux mais bon pourquoi pas).
Et puis la cérémonie est livrée avec des balais pour les mettre là où je pense ? Même l'hommage aux trop nombreux disparus m'a semblé d'une platitude. Et le bouquet fut Scarlett qui avait l'air de s'ennuyer d'une force devant ces français qui rêvaient de l'impressionner (voir plus ?). On a bien vu qu'elle s'est forcé à dire du bien de Paris. Même pas de superbe robe de soirée pour la miss (dommage pour nos yeux).
Non vraiment ce fut loupé à mes yeux. Le seul point positif que j'en ai tiré c'est d'avoir récompensé une bonne comédie. C'est assez rare.

[HiPs!]

C'est la coutume, beaucoup de médias font des pronostics d'avant cérémonie.

Devinez qui a tapé dans le mille cette année?

Le palmarès (hors technique) pour mémoire:

Meilleur film : Les Garçons et Guillaume, à table!, de Guillaume Gallienne
Meilleur réalisateur: Roman Polanski, pour La Vénus à la fourrure
Meilleure actrice: Sandrine Kiberlain, dans 9 mois ferme
Meilleur acteur:Guillaume Gallienne, dans Les Garçons et Guillaume, à table!
Meilleure actrice dans un second rôle: Adèle Haenel, dans Suzanne
Meilleur acteur dans un second rôle: Niels Arestrup, dans Quai d'Orsay
Meilleur espoir féminin: Adèle Exarchopoulos, dans La Vie d'Adèle chapitres 1 et 2
Meilleur espoir masculin: Pierre Deladonchamps, dans L'Inconnu du lac
Meilleur film étranger: Alabama Monroe, de Félix Van Groeningen

Alors, de qui l'Académie des Césars est-elle le plus proche, Le Monde, Les Inrocks, Positif, Première,...?

Non, il s'agit (enfin, je m'avance peut-être un peu là, j'ai pas tout épluché) du Figaro qui a publié le matin de la cérémonie un pronostic troublant d'acuité.
S'il fallait se convaincre que ce pays a vraiment le coeur et le cerveau à droite...

Meilleur film: Les Garçons et Guillaume , à table! , de et avec Guillaume Gallienne.
Meilleur réalisateur: Guillaume Gallienne, pour Les Garçons et Guillaume , à table!
Meilleure actrice: Sandrine Kiberlain dans 9 Mois ferme, d'Albert Dupontel.
Meilleur acteur: Fabrice Luchini dans Alceste à bicyclette , de Philippe Le Guay.
Meilleure actrice: dans un second rôle Julie Gayet dans Quai d'Orsay , de Bertrand Tavernier.
Meilleur acteur dans un second rôle: Niels Arestrup dans Quai d'Orsay, de Bertrand Tavernier.
Meilleur espoir féminin:Adèle Exarchopoulos dans La Vie d'Adèle chapitres 1 & 2, d'Abdellatif Kechiche.
Meilleur espoir masculin: Vincent Macaigne dans La Fille du 14 juillet , d'Antonin Peretjatko.
Meilleur film étranger: La Grande Bellezza , de Paolo Sorrentino, avec Toni Servillo, ex aequo avec Blue Jasmine , de Woody Allen, avec Cate Blanchett.

[axlreznor]

	Citation:			Posté par wildcard
	Dimanche, sur TMC, deux épisodes de la saison 20 de New York Police Judiciaire. L'équipe formé par la police et le bureau du procureur s'occupent de deux dossiers : le premier concerne la mort d'un témoin-clé dans un procés, le deuxième une fusillade ayant opposé un modeste commerçant avec une bande de voleurs. Quand on ne trouve pas un bon film le dimanche, on peut toujours se tourner vers TMC qui rediffuse la série New York Police Judiciaire : son écriture réaliste, ses personnages de flics et juristes bien campés, leurs affaires captivantes et très vraisemblables, sa réalisation sobre, tout en fait une production efficace. La deuxième affaire permet même de voir Elliott Gould dans le rôle d'un quidam pris dans la tourmente d'une histoire bien équivoque où les héros comme le téléspectateur ont bien du mal à trancher sur la question de la légitime défense. La distribution principale, avec notamment Jeremy Sisto, Anthony Anderson, S. Epatha Mekerson, Linus Roache, Alana De Garza, Sam Waterston, est comme d'habitude formidable. Mardi, sur France Ô, deux nouveaux épisodes de la saison 1 des Arnaqueurs V.I.P.. L'équipe de Mickey Stone se mêle à deux coups : l'un se situe dans le milieu des galeries d'art, l'autre à une affaire de corruption impliquant des policiers. Hustle est un vrai régal : les opérations montées par la bande de voleurs haut de gamme sont à la fois extrêmement sophistiquées et toujours compréhensibles, notamment grâce aux apartés auxquelles se livrent les personnages, brisant la règle narrative du "quatrième mur". Le procédé est jubilatoire, employé avec modération, toujours avec à-propos : on a l'impression d'être les complices de ces voyous qui agissent en vérité souvent comme des justiciers, en s'en prenant à de plus affreux escrocs qu'eux. La complicité des comédiens ajoute au plaisir pris au spectacle. Mention à Adrian Lester dans le rôle de Mickey Stone, malicieux et superstitieux (le voir convaincu que sa bande devrait faire une pause car elle accumule récemment des échecs est d'autant plus savoureux qu'ensuite il organise une arnaque défiant toute raison). Vendredi, sur Canal +, la 39ème cérémonie des César. La soirée est présentée par Cécile De France, très en beauté, et qui conduit la remise de prix avec un humour subtilement décalé (hélas ! pas toujours bien perçu par un auditoire toujours aussi glacial - c'est terrible de voir à quel point la "grande famille du cinéma" est toujours aussi coincée...) Adèle Exarchopoulos obtient le prix du meilleur espoir féminin : c'est mérité pour la révélation de La Vie d'Adèle, qui sera par ailleurs le grand perdant de la soirée. L'homosexualité était au coeur de beaucoup de films nommés - et encore très présent dans les esprits après la loi autorisant le "mariage pour tous" l'an dernier. Le palmarès semble avoir voulu distinguer ce fait en attribuant à Pierre Deladonchamps le César du meilleur espoir masculin pour son rôle dans L'inconnu du Lac. L'outsider de la soirée était le film d'Albert Dupontel (absent, comme d'autres figures citées), Neuf mois ferme. Cela n'a pas empêché l'Académie de décerner le César de la meilleure actrice à Sandrine Kiberlain. J'aurai préféré Léa Seydoux, mais ce n'est pas volé non plus (tout le monde, critique comme public a loué l'interprétation de la lauréate). Mais le fait majeur restera le sacre de Guillaume Gallienne, l'acteur qui "a la carte" (comme dit JP Marielle) en ce moment : meilleur acteur (face à Michel Bouquet !), meilleur premier film, meilleur film (ce doublon est bizarre : un premier film ne devrait pas pouvoir concourir dans ces deux catégories), meilleure adaptation, meilleur montage... N'en jetez plus ! Tous ces trophées pour un seul film me semblent exagéré, surtout l'année où un chef d'oeuvre comme le Kechiche était en course (le cinéaste paie-t-il la polémique qui a suivi son tournage et sa sortie ? Ou les votants ont-ils préféré féliciter un long métrage plus léger et aimable ?). Sinon, un César d'honneur a été remis à Scarlett Johansson par Quentin Tarantino. Pour une fois, on a échappé à une mention à un comédien en fin de carrière, au profit d'un moment de pur glamour dans un "show" qui en manquait cruellement. Pour l'anecdote, on retiendra que Julie Gayet était bien présente (même si elle n'a pas gagné le prix du meilleur second rôle féminin)... Ce qui a démontré que le magazine "L'express" était mal informé. Quant à François Cluzet, il a assuré le service minimum en qualité de président de la cérémonie (soutien timide aux intermittents du spectacle dont le statut est menacé par le Medef).

Je comprends rien au succes de Galienne, a part peut etre mon mauvais esprit...

J'ai vraiment trouvé ça nul a tous les niveaux... Vulgaire, sans aucune envergure, prévisible, voir horripilant...

Je me suis endormi aux 3/4 ... Pareil que pour transformers 2 ...


Pourtant, je crois pas que ce soit le meme film... Pourrait on m'expliquer ce qu'il y a de bien dans ce film ...

Mis a part une mise a jour du politiquement correct a la sauce "gay" ( pour ceux qui n'ont pas vus le film, j'en dis pas plus ...).

[ericvil]

pareil mais moi ça date de l'époque ou à C+ on le présentais Guillaume Gallienne de la "Comédie Française"...lol

[gillesC]

	Citation:			Posté par axlreznor
	Je comprends rien au succes de Galienne, a part peut etre mon mauvais esprit...

Faut pas trop souvent trop chercher.

Moi, je me suis fait chier comme un mort à la Graine et le mulet, film superbement réalisé mais n'ayant rien à dire... (en tout cas rien que je ne savais déjà).

[wildcard]

Dimanche, sur France 2, Casino Royale de Martin Campbell.

L'agent 007 James Bond est chargé d'éliminer le Chiffre, un affairiste qui finance des terroristes.

En 2006, la franchise James Bond s'offrait un lifting en revenant aux sources, c'est-à-dire lorsque l'espion imaginé par Ian Fleming débutait sa carrière après avoir obtenu son permis de tuer. Martin Campbell qui avait déjà réalisé Goldeneye (premier épisode de la période Pierce Brosnan) revient aux manettes de cet opus dont on voit vite qu'il a été grandement influencé par les films de l'autre agent secret, Jason Bourne : le héros y apparaît plus tourmenté, plus violent, l'intrigue est tortueuse et sentimentale (et ne se finit pas bien)...
C'est efficace mais dénué d'humour, de second degré. La production a gagné en muscle ce qu'elle a perdu en charme.

A l'image des qualités et défauts du film, il y a le choix de Daniel Craig pour incarner Bond : comédien au jeu qu'on peut, c'est selon son humeur, trouver sobre ou limité (je penche plutôt pour la 2ème option). Heureusement, face à lui, Eva Green incarne le personnage féminin (peut-être) le plus intéressant de toute la saga, et sûrement une des plus belles. Quant à Mads Mikkelsen, il est épatant en méchant.



Lundi, sur Arte, Le Juge Fayard dit "le Shérif" de Yves Boisset.

Inspirée d'une histoire vraie, il s'agit du récit de l'enquête d'un jeune juge qui établit les relations entre un gang de braqueurs et un politicien. Il paiera de sa vie ses découvertes et ses tentatives de rendre la vérité publique.

Les films de Boisset ne paient pas de mine visuellement, celui-ci remonte à 1976 et fait bien son âge. Mais en même temps, l'intérêt n'est pas là. Avec ce portrait d'un honnête homme qui s'attaque à une trop grosse magouille pour lui, on trouve des ressemblances avec nombre de scandales politiques actuels et cela est en vérité assez troublant et glaçant.

Sans doute tout cela est-il écrit sans beaucoup de subtilité et mis en scène sans beaucoup de manière, mais combien de films comme ça le cinéma français produit encore ?

La distribution est remarquable (même s'il n'y a plus guère de survivants), mais c'est évidemment la composition vibrante de Patrick Dewaere qui porte toute l'histoire. Quel fantastique acteur c'était, capable de rendre n'importe quel film meilleur qu'il était en réalité par la force de son interprétation !



Mercredi, sur NT1, les 4 premiers épisodes de la saison 1 de The Client List.

Pour subsister et permettre à sa famille de s'en sortir, une jeune femme accepte un job dans un salon de massage, où la patronne autorise quelques extras à ses employées et ses clients.

Je ne savais pas trop quoi regarder ce soir-là et j'ai donc essayé cette nouvelle série (déjà terminée aux USA après deux saisons). Le pitch est aguicheur, mais ne va pas très loin en vérité. Produit par une chaîne comme HBO ou Showtime, le show aurait été certainement plus audacieux, mais là, ça se contente d'allumer le curieux sans creuser ni les intrigues ni les personnages. Je n'ai d'ailleurs regardé que les deux premiers épisodes, et encore, d'un oeil distrait.

Reste Jennifer Love Hewitt : elle est toujours magnifiquement roulée, mais en bonne mère de famille (à l'écran comme dans la vie, ce qui l'a décidé à quitter son rôle), elle ne va pas très loin alors qu'elle aurait pu jouer ça avec un mélange de sexy et de candeur irrésistible.



Jeudi, sur D8, Touche pas à mon Ardisson !

Cyril Hanouna déroule le tapis rouge à Thierry Ardisson pour une spéciale de TPMP. Les deux présentateurs semblent réellement s'estimer (Ardisson ne se déplaçant pas chez n'importe qui et n'hésitant jamais à tailler ses collègues - Alessandra Sublet ou Marc-Olivier Fogiel ont encore eu droit à quelques vacheries), mais le mélange est détonant entre la star de D8, vanneur survolté à la tête d'une bande de faire-valoir plus timides qu'à l'ordinaire, et le roi de l'interview show-biz de C+, à qui on ne la fait pas et dont le flot d'anecdotes suffit à alimenter la soirée.

D8 appartenant au groupe Canal +, tout cela a quand même tout de l'auto-promo, désormais les animateurs s'invitent les uns chez les autres, offrant un curieux spectacle où la télé n'a plus besoin de personne d'autre que ceux qui la font pour composer un programme.

[gillesC]

Je n'avais pas vu Amateur depuis... sa sortie ciné en 94 (comme coup de vieux, pas mieux )

Mineur mais sympa, et puis ces 10 secondes magiques où Elina Löwensohn marche-sautille en mode bounce sur du Bettie Serveet...
(fans de tennis et d'indy rock assemble!)




Bon, ce soir: enfin voir Green Lantern?
Me demande si en zappant continuellement avec La beuze, les 2 films ne finiront pas par se confondre en une splendide synthèse métacosmique...

[Jean-Moul]

Ah putain, merci Gilles, j'avais zappé! Ouais, je vais aussi mater GL. Il ne m'a jamais motivé mais je n'ai de prévu ce soir, alors...