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c'est certes de la triche de citer Moore, Mais de tête, ce sont "Pog" (Swamp Thing#32 ou 33), "Rite of Spring" (ST#34), "Loving The Alien" (ST#60), Tom Strong #3, Promethea #12 et 32 ou son Majestic (Wildstorm Machin Whatever#1) qui me viennent en tête. et des Supreme, bon sang, "A Love Supreme", "The Golden Age" et d'autres.
plutot des "24 pages de bonheur", precisement. et pour tricher encore plus, je rajouterai Tomorrow Stories #2. et bon, "the coyote Gospel" (Animal Man#5) est un chef d'oeuvre de self-contained. Mais hors-triche, je vote pour |
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Comme les gens, Spider-Man Tangled Web # 6, The Amazing Screw-on-head et Twomorrow Stories # 2 (si c' est bien dans celui-ci qu' il y a l' "immeuble" en première histoire...).
Sinon le Star Wars de Golden ou les débuts et climax de runs quand j' étais petit. Mais surtout pour l' aspect formel... |
#18
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Coyote Gospel pour moi aussi, Superman Adventures #36, quelques Supreme (celui sur Radar est le premier qui me vient à l'esprit, là), d'autres trucs sans doute...
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Achète mon âme ! "Today a young man on acid realised that all matter is merely energy condensed to a slow vabration, that we are all one consciousness experiencing itself subjectively, there is no such thing as death, life is only a dream and we are the imagination of ourselves. Here's Tom with the weather!" |
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ça ete publie en vf the amazing screw on head ? parce que j'ai pas tous les hellboy encore!
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Superman 4OO Nuff'said !!
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Ma galerie CAF...>>> http://www.comicartfans.com/GalleryDetail.asp?GCat=7934 |
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J'approuve de la tête et des muscles fessiers la sélection de Paulie.
Je rajoute deux hellblazers qui spontanément me viennent à l'esprit : - le n°51 :Counting to ten par John Smith et Sean Phillips; - le n°56 : This is the diary of Danny Drake par Ennis et Lloyd. Et puis il y a aussi le n°13 : On the beach de Delano qui me donne des frissons rien que d'y repenser.
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L'opportuniste reboot de la revue de pile : février Dark Horse, Menu des chroniques Les aventures spacialo-copocléphiliques du Captain Zenzible : Ep 7
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Soyons précis. |
#23
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je prend grave, fan que je suis de ce numéro, et je relance avec des evidences Hellblazeriennes, "Demon Yuppie From Hell" de Delano & Ridgway (5?) et "Telling Tales" d'Ellis et Frusin (144?) je prend des parts dans le Screw-On-Head, bien sur, dont je ne savais pas qu'il était si adoré, et rajoute une poignée de Shade (genre le 41, avec Pandore par Glynn Dillon) et d'Invisibles (le 12 du volume 1, je crois, par Parkhouse, sur la vie d'un agent ennemi tué quelques numéros plus tot au detour d'une case). un Doom Patrol de qualité genre "the beard Hunter" (42 ou 45?) ou celui avec le retour de Mallah & The Brain (34?) |
#24
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On débarrasse HERE ! nouveau déstockage avril 2022 ! My dead Blog ! Mes critiques après tout le monde ! 600éme !!! TPB Waiter |
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La conclusion du run de Millar sur le griffu :
Pas un mot venant de Wolverine, aucune des 36 différentes facettes du personnage n'est abordée. Non, c'est juste une menace et au final, l'histoire ne parle pas de lui, mais de la folie qu'il peut susciter. Kaare Andrews fournit un superbe boulot, très sombre. |
#26
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Et ça n' a aucun rapport avec Hellboy. |
#27
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Stromwatch #44 (si le internet dit la vérité) où Jenny Sparks raconte sa vie en un épisode et Tom Raney devient foufou en adaptant son style à l'époque.
Mollo qui est d'accord pour plein de trucs que vous avez dit mais qui refuse de l'admettre
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Non, ce n'est pas moi Jérôme mais je n'ai pas changé |
#28
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Tiens une question sur le changement de style de Raney suivant la période du récit, un truc commun assez courant maintenant ( cf arc Golden Age de DD par exemple). Est-ce que Raney a été le premier à utiliser cette technique narrative ou les Supreme de Moore sont antérieurs ou il y a encore un précedent que je connais pas ? Dernière modification par Tuco ; 28/09/2006 à 22h33. |
#29
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ni Stormwatch ni Supreme n'ont "inventé" l'idée, chacun inventant cependant un peu sa propre technique, sa propre approche à replacer l'histoire des personnages formellement par rapport à l'histoire du medium, et je suppose que l'idée est vieille, il y a un peu de ça dans Watchmen, les flashback des Minutemen ayant des codes, une colorisation, un lettrage, des tailles de bulles evocatif, 1963 où on utilise un style silver age mais où l'apparition des persos des 90's vers la fin utilise un style graphique différent (ç'aurait surtout été visible dans l'annual), le Doom Patrol #53 qui fait dire à Morrison qu'il a inventé le rétro parcequ'il a tout inventé de toutes manières et je suis sur pleins d'autres exemples
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#30
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Pour cette chronique je vous propose une petite séance de psychanalyse. C’est bien connu les épisodes qui permettent au lecteur de mieux connaître la personnalité du personnage font parti des préférés des fanboys. Pour ce numéro se ne sont pas moins de 6 personnages qui se font décortiquer, si on compte un seul Madrox….
X-Factor #87 02/93 X-Aminations Peter David/Joe Quesada/Al Milgrom Aux commandes : Peter David qui donne un ton inédit à ce titre depuis le changement d’équipe survenu après Muir island saga (X-factor #71) et Joe Quesada qui à l’époque n’avait pas le « poids » d’aujourd’hui. Cet épisode commence par un délire de Rahne sous la forme d’une parodie de Ren & Stimpy. Délire qui fait suite à la parodie de Wayne’s World dans X-factor 80. Chaque personnage a droit à sa séance avec le mystérieux psychiatre qui parle avec des bulles entourées de vert…… Au fur et à mesure c’est l’originalité de cette équipe que décrit Peter David. Un triangle amoureux inavoué, de l’arrogance, des caractères forts et surtout un sens de l’humour décalé : la recette du ciment de cette équipe. En bonus on nous révèle la première manifestation des pouvoirs de Guido et comment il les subits. On pouvait dire de Joe Quesada à l’époque qu’il avait quelques « défauts » à la Mac Farlane. Néanmoins il a réussi avec brio de rassurer un lectorat qui connaissait ce titre porté au début du changement d’équipe par le très rare Larry Stroman. Un résultat convenable même si on sait qu’il est en parti dû à un Al Milgrom méconnaissable. Pour conclure cet épisode on découvre qui est vraiment la plus paumée de l’équipe, leur agent de liaison avec le gouvernement : Valérie Cooper. Les portraits qu’elle dresse des membres de X-factor sont aux antipodes de leurs réels caractères. Pour finir je précise qu’il est inutile pour vous de savoir que ces épisodes se situent juste après le crossover Executionner’s song. Et que l’identité du psychiatre de l’équipe qui parle dans des bulles vertes est révélée à la fin…8) Par contre ça peux vous intéresser de savoir que Peter David remet le couvert pour Re-X-aminations dans X-factor Vol 2 #13 de novembre 2006. |
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