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moi je suis a fond dans :
bone thugs, tupac, notiorious BIG, cypress hill, ice cube, mobb deep voila pour le US, pour le FR: Médine, NTM, IAM, sniper ! après j'aime beaucoup yann tiersen, louise attaque, tarmac, cali, mobby, U2, red hot, pink floyd ... et bien plus encore ! des goûts variés, s'adaptant a toutes mes humeurs, ce qui n'est pas plus mal ^^ en période de bac, il faut de bonnes basses pour destresser ^^
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Mes ventes, http://www.buzzcomics.net/showthread.php?t=41043 Mes recherches,http://www.buzzcomics.net/showthread.php?t=40828 |
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Le dernier BEASTIE BOYS à fond bien sur
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En ce moment, je me fais une cure Pink Floyd. Wish You Were Here en boucle, entrecoupé d'un peu de Dark Side Of The Moon et Relics.
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Drokk ! |
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Pas en boucle, mais souvent au turbin : un site chroniquant, recensant les dernières sorties électro ... pas mal.
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Avec ce deuxième album de Bon Iver, je me sens dans la peau d'un syrien qui découvre que la blogueuse lesbienne fer de lance de la révolution était en réalité un mâle américain hétérosexuel. Nous qui pensions que l'auteur de l'album le plus magnifique de ces dix dernières années ("For Emma, forever ago", pour mémoire) était un nouveau Nick Drake auront du mal à le voir dans les oripeaux d'un Peter Gabriel. La comparaison n'est pas forcément une critique dans ma bouche: les 4 premiers albums du barde realworldien et son double live étant la pierre de voûte de mon addiction au rock. Seulement, le temps de mon apprentissage est révolu, je suis passé à autre chose. Pas Bon Iver (aka Justin Vernon) dont la passion jusque là insoupçonnée pour les sons 80's éclate ici au grand jour. En en mettant partout et sans la moindre pudeur, en plus. La nappe d'intro de "Calgary", c'est deux flics à Miami qui contemplent la mer au soleil couchant. Le morceau final "Beth/Rest", c'est du Lionel Richie à vous filer des frissons d'angoisse (je m'en chope à chaque écoute). Pour le coup, c'est totalement unique d'entendre de tels sons aujourd'hui. L'angle a le mérite de l'originalité. Comment expliquer une telle rupture avec son premier album? "For Emma..." avait été enregistré dans une cabane perdue du Wisconsin sur du matériel antédiluvien par un homme au coeur brisé. Avec le succès et les petites culottes qui doivent voler en escadrille lors de ses concerts, Justin a peut-être moins de choses viscérales à expurger. Il n'y a rien de plus triste qu'un chanteur heureux. Il existe une autre explication, plus terrifiante encore que l'irruption du bonheur, c'est que Justin Vernon a tout simplement des goûts de chiotte. Qu'il kiffe grave les vieux sons de synthés korg, qu'il adore foutre de la delay partout sur les voix, les claviers, les guitares, des reverbs sur les toms, toutes inclinaisons qui passaient totalement inaperçues sur "For Emma..." pour cause de conditions d'enregistrement spartiates. Maintenant, je vous dis ça, je critique, mais je l'écoute quand même en boucle depuis hier son album. Et je ne comprends pas totalement pourquoi. Il est vrai que certaines chansons ont des moments fascinants, la fin instrumentale de "Perth", une envolée dans "Holocene", une sonnette de tricycle sur "Michicant". Surtout, il y a une véritable sincérité qui court tout au long cet album, un amour non feint de ces sons cheapos et horriblement datés qui forcent l'admiration. J'ai malheureusement peur que la date de péremption soit sans commune mesure avec celle de "For Emma..." qui n'a pas pris une ride ni perdu de sa force en quatre ans. On ne ramène pas impunément des années 80 une vieille tablette de galak sans trouver, après trois carreaux, que c'est vraiment un chocolat de merde. [maintenant j'attends la réaction d'oncle Gumby] |
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Et un bon petit Madcap Laughs de Syd Barrett pour nettoyer tout ça après...
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La boutique de Louis la Brocante : http://www.buzzcomics.net/showthread.php?t=30218 |
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Tout pour la street credibility |
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J'ai découvert le combo électro New yorkais Ratatat et c'est vraiment du bon!
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Après une bonne première impression suivie de plusieurs réécoutes sans se forcer, le Bon Iver m'a un peu déçu quand même. Ce n'est pas tant la petergabrielisation du bonhomme qui me gène. J'ai même trouvé ça gonflé et fait avec classe et sincérité. Non, ce qui me chagrine, c'est que je trouve sa façon d'utiser sa voix hyper monocorde sur l'album. Ceci dit, ça reste pour moi un bon album et cette impression n'est peut-être que passagère. On verra. Sinon à ma grande surprise, je me retrouve à écouter de la pop à synthés 80's labellisée Magic pur porc. Le gros coup de coeur du moment, ce sont les belges d'Applause, Where it all began. Leur premier album est plein de petites perles, parfois un peu grandiloquent, mais varié et sexy en diable. Et quelle pochette ! J'aime aussi beaucoup le second opus de Memory tapes, player piano. C'est surement moins imposant que le précédent mais c'est frais et joyeusement mélancolique comme il faut. Enfin, le Dark dark dark, sans rien révolutionner aux figures indy-folk du moment, ne cesse de me ravir davantage à chaque écoute.
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L'opportuniste reboot de la revue de pile : février Dark Horse, Menu des chroniques Les aventures spacialo-copocléphiliques du Captain Zenzible : Ep 7
Dernière modification par Mr Gumby ; 11/07/2011 à 12h42. Motif: Il aime pas les pochettes avec ses gens toute nute chez imagehack. |
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Ne sois pas triste tonton et fais comme moi: quelqu'un me console bougrement du départ de Bon Iver pour le soleil pailleté eighties et les plages de synthés et c'est Timber Timbre.
Quatrième album déjà avec "Creep on Creepin'on" et c'est de la très belle ouvrage. (En vérité, je découvre le groupe ces jours-ci et ça me plaît tellement que j'ai investi illico dans toute la disco...) Un peu Donovan, un peu Nick Cave, des accents d'un Sussurin'Jay Hawkins, le phrasé d'un Elvis, ce folk-rock hanté a une allure dingue. Et quelles chansons! (en plus, y a mon poulain de l'année dessus Colin Stetson (cf #4062)) -Autrement, le dernier Idaho "You were a dick" contient au moins deux chansons exceptionnelles. -Je ne pige pas l'engouement pour le premier album des Cults. C'est bien beau d'avoir la foi Shangri-Las et une ambition Supremes mais ce serait encore mieux avec des chansons qui ne s'épuisent pas comme un vieux chewing après deux machouillages. De la pop bubblegum dans le mauvais sens du terme. -Un qui ne s'épuise pas c'est le premier album de Nicolas Jaar "Space Is Only Noise". On pourrait regretter que l'électro-dub de ce jeune homme soit moins immédiatement addictive que celle de ses premiers Eps mais ce serait de la chipote. -Je crois que le dernier Joseph Arthur "The Graduation Ceremony" est un bon cru mais je manque encore de recul. -Je ne sais toujours pas si j'aime ou pas le premier album de WU LYF "Go Tell Fire To The Mountain". C'est original quand on n'a jamais écouté les Foals ou du post-rock, y a de bonnes idées et c'est clairement un truc à expérimenter en live, mais la voix du leader n'est pas supportable tous les jours. Le dimanche par ex, c'est inécoutable. |
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Ha Timber Timbre ! j'allais t'en causer par rapport à ce que ça s'accorde bien avec le Sombre Sombre Sombre et que je suis très vénère de l'avoir louper en concert dans une chapelle à la dernière Route du Rock hiver. Je suis tombé dedans avec l'album précédent et à peine le temps de s'extasier que sort un successeur encore meilleur. Ils sont comment les deux premiers ? J'ai cru comprendre que ça montait en puissance ?
Comme toi, je suis moyennement convaincu par le Wu Lyf (et le Battles aussi d'ailleurs). Ce sont certainement deux bons albums mais qui finissent tout deux par me gonfler sur la longueur.
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L'opportuniste reboot de la revue de pile : février Dark Horse, Menu des chroniques Les aventures spacialo-copocléphiliques du Captain Zenzible : Ep 7
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Ils sont bons les deux premiers. Pas encore dégagé de leurs influences, un hommage direct à Twist and Shout sur je ne sais plus quel morceau du premier "Medicinals", la progression d'accords de Sunshine Superman au détour d'un morceau du 2è "Cedar Shakes" (It's only Dark), mais déjà une forte et belle personnalité. Peut-être que ça monte en puissance effectivement mais ce n'est pas une raison pour en faire l'économie, il y a des pépites.
Pour ceusses ignorants de quoi qu'on cause: Timber Timbre, live sur Canal. |
#4093
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Comme je viens de vendre un rein à cause de vos derniers messages et que je ne suis plus à un organe de plus, de moins ; auriez-vous laissé vaguer votre oreille sur le dernier Danger Mouse et ainsi me dire si je dois prendre appointement chez mon dissecteur pour qu'il m'ôte un autre poids du corps ou non ?
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Ça resitue les merguez dans un contexte littéraire et intellectuel qui est le bienvenu. Viens découvrir la saison des animes qui fleurissent. |
#4094
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Tu parles de Rome? Je ne l'ai écouté qu'en streaming. Belle ambiance morriconienne mais un peu trop appliquée et propre sur elle je trouve, et qui ne m'a pas donné envie d'aller au delà.
(bon et sinon alors, Colin Stetson, quoi toi en penser?) |
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Le Rome de Danger Mouse est sympa mais assez répétitif.
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" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman |
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