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Fallait mater la BA Hips, ça t'aurais épargné bien des désagréments.
Sinon, vu hier soir en DVD, Synecdoche, New York de Kaufman. J'en ressort avec une impression avec bizarre. En effet, le film est assez foisonnant, il y a plein de truc, de scène, de détail assez surréaliste et franchement sympa qui m'ont bien plu. En plus, la belle brochette d'acteur assure vraiment bien. C'est assez plaisant à regarder. Mais dans sa globalité, le film me pose un problème. Le truc, c'est que Kaufman, après un démarrage assez mou et très banale (pour bien marquer l'opposition au foutoir qui arrive après), part dans un trip assez fou, où il mélange surréalisme et vérité avec mise en abime, le tout en s'amusant à passer régulièrement des paquets d'années histoires d'arriver au bout de la trajectoire de son perso. Le personnage lui même finit par se perdre entre sa vie son œuvre et son œuvre sur la vie. Le problème, c'est qu'à un moment dans tout ce bordel assez amusant, j'ai l'impression que Kaufman lui même se perd (et son spectateur avec). Il y a une perte de fils conducteur à cette ensemble. Le truc, c'est que le film continue comme si il en avait un mais aux yeux du spectateur il s'efface (pour ne vraiment réapparaitre que sur les toutes dernières minutes). Le truc se perds tellement dans ses différentes couches de réalités/fiction/réalité dans la fiction et vice versa qu'à un moment, il en perds son propos. Bon, je ne suis pas sur de m'être clairement fait comprendre, mais bon, voilà, c'est un peu ça. Du coup, même si j'ai aimé le film, à un moment, ce manque m'a posé problème.
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" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman |
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Les BA, c'est du crottin du gnou. Si j'avais vu celles de "La graine et le mulet" ou du "New World" avant de voir les films, par ex, je serais passé à côté des films les plus magnifiques de ces dix dernières années
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En générale, ça me fait chier aussi les BA, car ça a tendance à tout raconter maintenant.
Mais dès fois, ça empêche aussi de voir de grosse bouse. Mais bon, de toute façon, c'est une espèce en voie de disparition, remplacée par les pubs pour les parfums et les appareils photos qui te disent que c'est trop rigolo de jouer à cache cache photos dans la foret.
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" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman |
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D'abord parce que je trouve que c'est une très bonne comédie populaire (les passages sur Audrey Dana qui devient juive, le running gag sur le statut d'Omar ou les passages sur Créteil - surtout quand on vient de là-bas-, Elbaz qui drague la Babysitter ben moi tout ça, ça me fait rire). Je suis assez d'accord sur la fin qui fait surtout dans le message "la famille en vrai, c'est trop génial" et qui manque sans doute de punch, mais c'est un truc qu'on retrouve dans tous les films de Toledano & Nakache (ils ont aussi fait "Nos jours heureux" que j'ai beaucoup aimé mais que donc je ne vais recommander à personne ici): ces mecs sont des foncièrement gentils . C'est pas de la comédie trash qu'ils font, c'est du grand public. Mais ok là dessus. c'est pas d'une inventivité folle dans la thématique, mais je trouve ça vraiment efficace parce que ça joue sur beaucoup de détails (parce que c'est pas facile de faire de l'humour avec "retirez vos chaussures avant d'entrer" - et oui, je vous vois venir: si c'est drôle). pour ce qui est de la caractérisation, j'aimerai mon cher Hips! que nous réfléchissions ensemble à une comédie populaire dont les personnages ne sont pas croqués en une scène d'exposition; donc en forçant le trait dès le départ. Moi j'avoue que j'aime bien: dans un film comme ça, c'est pour moi important dans l'écriture de pouvoir dire au spectateur à quel genre de gars il a affaire. Indépendamment de toute réussite de l'entreprise, ça me semble être un des principes de la comédie. les Sitcom US fonctionnent comme ça depuis la nuit des temps par exemple et personne n'a jamais rien trouvé à redire. Bref, tout ça pour dire que de mon côté, je ne vois pas de comédie populaire dont la caractérisation des personnages n'est pas martelée dès leur entrée en scène. et pour ce qui est du scénario, je vais refaire comme pour Twilight 2, mais je pense toujours qu'il s'agit d'une bonne histoire avec des trajectoires de personnages rigolotes et du rythme. j'aime beaucoup les interactions entre les personnages. Audrey Dana, François-Xavier Demaison... c'était pas simple d'en faire des comiques, mais j'aime bien ce qu'ils font ici. Elbaz est quant à lui un grand feignant: depuis "Quasimodo d'El Paris" je me suis toujours dit que ce type avait un vrai potentiel comique. C'est dommage qu'il soit si peu mis en valeur. Ici, je le trouve très bien. EDIT: je suis en train de penser à un truc... le mois de juin en comédie, c'était quand même rudement bien. y a eu les Beaux Gosses, Les Lascars et Tellement Proches. Et qu'est ce qui l'a emporté? "Very Bad Trip"... monde de merde. :smiley qui se tape le front:
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"Ces trois films sont des merdes même s'il y en a deux que je n'ai pas vu..." Dernière modification par Deroxat (Expert en Potins) ; 15/12/2009 à 12h07. |
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On va dire que nous avons les comédies où l'un des personnages est totalement décalé par rapport au reste de ses partenaires, c'est le grand blond, la chèvre, en gros les persos à la francis weber ou encore le peter sellers de la party. Bien sûr d'autres autour de lui sont délirants mais on va dire qu'il est le pivot, les gags se concentrent sur lui et les autres sont des satellites de ses mésaventures. Un personnage anormal et fort dans un monde sinon "normal" dont l'utilité est de faire ressortir le décalage du héros. Les de Funès sont conçus sur ce principe également. A côté de ça, nous avons les comédies légères, le décalage n'est pas tant dans les personnages mais dans la concentration de situations drôles que nous pouvons tous vivre dans une vie, juste qu'ici elles sont concentrées sur une heure et demie. Mon modèle en ce genre ce sont "les apprentis" pour rester dans la comédie française. C'est plus mieux que le genre ci-dessus quand on veut faire passer des sentiments et s'aventurer sur le terrain de la comédie dramatique. Le summum c'est "la garçonnière" et quand c'est subtil c'est mieux. Mais, quand ça ne l'est pas tant que ça, ça peut quand même être réussi ex: un éléphant ça trompe et nous irons tous au paradis. Hop,ensuite nous passons dans le registre parodique des comédies à la ZAZ. Délire tous azimuts, tout le monde est fou, le monde est fou. Tu rigoles bien mais va mettre de l'émotion là dedans...dur dur. En France, on ne sait pas trop faire ce genre là. L'exemple le plus calamiteux de récente mémoire que je connaisse étant Brice de Nice où un personnage à la weber évolue dans un monde à la zaz où il y est reconnu et adulé alors que normalement on devrait lui jeter des cailloux pointus. Où se trouve "Tellement proches"là dedans? La scène du repas est limite de Funès. En tout cas, dépasse le cadre weber ou salvadori. Le coup de foudre de la soeur envers Omar avec le transtrav qui dure une bonne demi-minute, les engueulades carré-elbaz et en miroir inversé, la perfection qu'on sent d'emblée totalement artificielle dana-demaison. En gros, tout le monde sont des abrutis finis (sauf le noir évidemment) qui font des sous-entendus gros comme les nibards à ma soeur mais que personne ne comprend (désolé, mais ça ne marche absolument pas (dans ce registre là de comédies) de dire si fort et de manière si outrancière à ta belle soeur que ton gosse est insupportable et chiant et ce, au moins cinq fois en l'espace d'un 1/4 d'h) et que je mets une giroflée au gamin et que tu te prends en retour un coup de poële en fonte dans la gueule. Mouarf arf arf. Pouet Pouet. En plus, tout ça prend d'emblée les atours d'une comédie chorale. Tous les persos sont traités à peu près également. Où est le point de vue dans ce pandémonium de banlieue? Ca ne transparait pas une seconde que les vrais persos de l'histoire sont elbaz et son fils que c'est leur parcours que le film nous raconte avec, en satellites les autres membres de cette drôle de famille. Pourtant, c'est ce que nous force à croire la fin. Une fin comédie dramatique alors que le ton général était plutôt de l'ordre des De Funès. Juste un mot sur la caractérisation des persos. Ca sert à quoi au juste de caractériser des persos quand c'est pour le faire de manière aussi grossière et appuyée? Que Elbaz soit un grand gamin, on le comprend en une scène, pas besoin de dix. Pareil pour le caractère psychorigide limite psychotique de Dana. C'est la progression de l'intrigue qui doit caractériser les personnages pas du surplace sur des gags répétés dix fois. Dernière modification par HiPs! ; 15/12/2009 à 19h44. Motif: pinceaux emmêlés |
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Sont sympa la Warner. Ils vont enfin sortir la trilogie du Seigneur des anneaux en Blu Ray, mais ça sera les versions cinés, pas les versions longues... :hum2:
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mes ventes comics et TPBs |
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Fatalement, je ne te suivrai pas là-dessus dans le sens où là où tu vois un patchwork de type de comédie, je vois quand même une certaine unité d'écriture et de ton. Oui, sauf le dénouement, on est d'accord. M'enfin ça commence quand même avec le môme qui vide toute la piscine à boules d'Ikéa, alors même qu'avec toute la bonne volonté du monde, ça reste pas très simple à faire. c'est comme accepter un paquet de réfugiés ou de juifs chez soi, c'est pas non plus de la petite blague légère. On est évidemment pas dans l'outrancier ZAZ hein, mais pour moi, ce sont des situations qui au vu du départ, restent dans la même approche. c'est pas comme si d'un coup, ils faisaient une parodie d'un film de ninja quand même! Ensuite, j'ai pas revu le film depuis sa sortie salle, mais dans mes souvenirs, Audrey Dana ne dit pas à Vincent Elbaz texto que leur fils est insupportable, si? Dans ma tête c'était plus des trucs genre "ah... vous avez pas pu le faire garder." Ce qui est une façon plus biaisée de dire les choses, un peu comme dans une famille quoi (en tout cas dans la mienne on aime bien se dire les choses comme ça, mais c'est une autre histoire). Bon si je me trompe, mon argument n'a évidemment aucune valeur. Mais quoi qu'il en soit, le coup de la poele, je trouve ça assez imparable. Après pour la fausse perfection Dana/Demaison, évidemment qu'on sent dès le départ qu'elle est fausse. Mais je vois pas en quoi c'est gênant dans le sens où c'est présenté tel quel. je crois me souvenir qu'il y a un dialogue sur les disputes du couple-qui-ne-se-dispute-jamais. Je crois que c'est pour choisir la nounou de la gamine, un truc comme ça. tu vois d'emblée qu'ils cherchent à conserver les apparences alors qu'il y a des points de tension entre eux. Mais là encore, le souvenir est assez vague, donc je me trompe peut-être. Donc pour l'instant pour moi, ça reste quand même très cohérent.
c'est marrant parce que moi ce qui m'a surtout gêné dans le dénouement c'est que le message du film se transforme en "ouais mais la famille, qu'est ce que c'est cool" alors que ça commençait vraiment en "la famille, quelle purge". c'est davantage ce changement d'optique qui m'a gêné, surtout qu'il manque un peu de paliers de progression à mon sens. Donc oui, c'est un film choral, mais oui, c'est la relation Elbaz/son fils qui permet de boucler le film. Je trouve pas que l'artifice soit gênant encore une fois (putain si je touchais un peu de blé à chaque fois que j'utilise cet adjectif...). Je trouve qu'elle constitue le vrai fil directeur du film. c'est quand même au tour du fils qu'il arrive les moments les plus marquants du film et les plus gros pivots dans mes souvenirs. Le film s'ouvre d'ailleurs sur les galères du môme à Ikea dans mes souvenirs. Alors je suis d'accord que les autres personnages prennent aussi de la place, ce qui rajoute en intrigues secondaires, et finit par donner au film un aspect choral, mais en même temps: c'est un film sur la famille. Encore une fois, ça me semble cohérent. je réponds pas au dernier paragraphe parce qu'il me faudrait un nouveau visionnage du film pour faire une réponse un peu plus argumentée qu'un vague souvenir.
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Ainsi, en en faisant le spectateur des aventures famililales, de manière subtile, pas tout à sa hauteur quand même, les passages d'humour que j'estime over too much auraient beaucoup mieux été acceptés je pense, ne serait-ce qu'inconsciemment. Montrer certaines situations par ses yeux, le coup de la poële par ex, aurait légitimé ces scènes car cela les aurait rendu subjectives, vus et forcément déformés par un gosse de 10 ans. Mais peut-être me goure-je. Peut-être qu'au contraire tout ça est finement pensé et que la fin voulait être ressentie par les réals comme une surprise. Ta daaa, le film que vous venez de voir, en vrai, c'est un one-man show du petit truc que vous avez vu vibrionner pendant une heure et demie en arrière-plan... Sauf que pour moi, ça ne marche pas. Mais il est vrai qu'un tel choix d'angle de point de vue aurait nécessité que le gamin soit présent dans beaucoup plus de scènes or il est absent de la moitié. Mais, bon, faire l'impasse sur les scènes de la soeur hystéro totalement improbable, surtout dans ses rapports avec Omar, ça ne m'aurait pas gêné...
Parce que bon, si on parle pas tout à fait du même film, c'est balot quand même... Tu reprends quelque chose? C'est ma tournée. Dernière modification par HiPs! ; 16/12/2009 à 10h17. |
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Alors qu'il s'agit juste d'une bete oubli d'un technicien comme quoi avec le seamless branching ils auraient pu coller les deux sur le même blu ray. ça ne m'etonnerait meme pas que cet étourdi oublient la totalité des bonus a mettre sur un autre blu ray d'ailleurs.
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On débarrasse HERE ! nouveau déstockage avril 2022 ! My dead Blog ! Mes critiques après tout le monde ! 600éme !!! TPB Waiter |
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Attends, j'en ai un souvenir super clair de cette scène. Bon je l'ai peut-être inventée (ça m'arrive quelque fois d'inventer des scènes dans des films ou des comics)... mais j'étais persuadé qu'elle existait. bon ben disons que tout ce que j'ai dit s'est mystérieusement et rétroactivement effacé de la mémoire de tous alors.
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Va nous faire douter de sa raison au Derox, c'est pas vrai ça C'est pas un "chef d'oeuvre" ce film, mais j'ai passé un bon moment quand même, et suis plutôt d'accord avec ce qu'en a pensé Derox dans l'ensemble. Etant fan comme Hips de Richard, Lautner et autres, suis assez étonné, que le père, ci avant , étrille ce film comme ça ? Pour certains Lautner ( notamment ceux tournés avec Bébel) et certains Richard (notamment ceux tournés par Zidi ) celà ne relevait quand même pas toujours d'une certaine "finesse" et d'un certain timing dans les situations comiques.
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Si ayant frappé ton prochain sur une joue, il te tend l'autre, frappe le sur la même, ça lui apprendra à faire le malin ! Cavanna |
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Maté Hier soir, Zatoïchi contre Yojimbo.
Je dois honteusement avouer que ce dvd traine depuis au moins deux ans (si ce n'est 3 ou 4) dans mes étagères mais que je n'avais jamais pris le temps de. Du coup, hop matage hier soir. C'est quand même bien fou comme truc. Le personnage de Zatoichi est un vieil aveugle, interprété avec un sacré tas de mimiques et de tics, il en est presque grotesque. Yojimbo passe son temps à picoler (il boit pendant quasi tout le film) et n'a qu'une envie, apparente, se faire la fille du coin. Quand il se croise c'est à chaque drôle (sauf vers la fin). Le film est comme ça, toujours décalé. Par contre, ç ne l'empêche pas d'être un pure chanbara, avec des combats au sabre, des alliances, des twists, des défis.... D'ailleurs, vu le nombre de traitres et d'identités secrètes, mieux vaut ne pas s'endormir pendant le film. Un bon film. Et le remaster est vraiment beau. Suis bien content de l'avoir enfin regardé. Sinon, j'ai réussi à récupérer les deux Musashi dont parlait l'autre jour Kerchak. J'y ai jeté un coup d'œil. Je ne sais pas si c'est la qualité du rip ou la version dvd US qui est comme ça, mais la qualité est à vomir. Apparemment, ce serait tiré d'une collection criterion sorti aux states. Qui n'aurait pas eu droit à un remaster. Qui manque beaucoup.
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" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman |
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Mais par contre j'avais maté celui où il affronte le Sabreur Manchot chinois, qui démontrait bien comment le manque de communication (les deux personnages ne parlent pas la même langue) peut entrainer des conséquences désastreuses. A priori c'était un peu comme celui que tu as vu, des rencontres plutôt amusantes entre les deux légendes, sauf vers la fin.
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Fille n°1 jouant à God of War : "Ouais tu vois, c'est le fils de Zeus là". Fille n°2 : "Ah ouais, c'est comme Percy Jackson ". |
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Parce que la fin du ZvsY, c'est un peu un gros carnage et même pas entre les deux persos du titre.
Sinon, j'en ai un autre qui doit trainer depuis encore plus longtemps, les bas fonds de Kurosawa. Là, il doit bien trainer depuis 6 ans minimum.
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" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman |
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cinéma |
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