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C'est marrant, c'est la réflexion que je me faisais en le lisant hier soir (oui, je sais, je n'ai encore pu le lire que le soir après le boulot, mais là je n'étais pas trop crevé et j'ai tout bien lu... ). Je me disais "pu.., ça fait du bien d'ouvrir un Batman où l'on sait qu'on va prendre du plaisir à la lecture de l'histoire et profiter de dessins parfaitement maîtrisés en attendant impatiemment d'aller chercher le numéro suivant". Je retrouve un plaisir pur de gamin à lire mon Batounet tous les mois ; quelque chose que, malgré la qualité incontestable de certains numéros antérieurs, je n'ai pas ressenti depuis un paquet de temps.
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Drokk ! |
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Tu veux dire avec celui de Morrison
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#48
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Je rajouterai (outre ce côté "héros crédible" qui rend le personnage plus attachant et fait qu'on peut potentiellement s'identifier plus facilement) l'univers dark, les caves, les bas-fonds des ruelles de Gotham (elle-même sinistre). Tout ça contribue à une ambiance plus sombre que, par exemple, Superman où tout est beau et brillant. Personnellement, j'aime bien cet aspect ville sale, quotidien lugubre, vilains mi-moches mi-tarés. Il y a toujours un jeu malsain entre ombres et lumières (et les bons scénaristes savent jouer avec ça, cf. Snyder actuellement), qui densifie vraiment la "mythologie" Batman. C'est très perso, mais pour moi, LE héros comics c'est Batman. Ben, j'ai bien aimé le run de Morrison (désolé ). J'ai pas tout pigé, mais au moins ça a contribué à me réveiller de ma torpeur dans laquelle j'étais tombé à force de lire des histoires à la chaîne qui n'avaient pas vraiment de dynamique et/ou d'intérêt particulièrement notable.
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Drokk ! |
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NOn mais je te taquine, tout le monde sait très bien que Morrison n'a jamais écrit de Batman
Sur des démons inconnus mandatés par Darkseid pour exploser à la fin des temps , oui, mais du Batman, non |
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Ouah l'aut'! Comment y balance!
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Si ça continue faudra que ça cesse! |
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eh eh, ouais. A se demander qui est, objectivement, le plus taré, entre un homme qui se déguise en chauve-souris ou des "méchants" psychopathes défigurés.
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Drokk ! |
#53
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A se demander aussi s'ils seraient apparus sans lui.
Hugo Strange suggère cette idée trop rapidement dans Arkham City le jeu vidéo, mais j'ai déjà vu/lu ça en comics. Où, par contre, je ne sais plus. Sinon, je rejoins ce que disait Ransom sur la page d'avant : Fantastic Four (et FF) termine l'énoooorme intrigue de Hickman sur le titre et c'est génial. Tout se réunit, tout se rassemble et ça fonctionne aussi bien que je l'espérais. Quel vrai, grand plaisir de lire ça. |
#54
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quoi, tu veux dire que Batman est revenu de son passage dans le temps?? oh putain, je me suis fait spoilé!
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l'ultimatron "Batman n'a pas un physique de jouet Musclor!" Béhès. Voir Bendis sur Mon Petit Poney et puis mourir.Psycho Pirate. |
#55
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Justice League #6 : first step!
Voilà la conclusion du 1er arc qui en finit avec le flashback avant de propulser l'équipe dans le présent. Enfin, équipe est un bien grand mot : Geoff Johns explique bien à la fin que ce n'est pas parce que les héros se sont alliés (la nécessité faisant loi) qu'ils sont déjà une équipe, encore moins des amis. Ce genre de relations murit avec le temps mais l'avancée concerne surtout dans la défiance des gens à leur égard qui s'estompe avec la planète sauvée. Pas sûr que ce New DC Universe soit autant marqué par le côté iconique mais les héros ne sont pas blacklistés mais pas (encore?) révérés comme autrefois. A ce sujet, cet arc met en lumière Batman qui ne peut pas passer pour une légende urbaine pour le coup. D'ailleurs, je sens bien que beaucoup vont aimer revenir sur le personnage et le coup du masque enlevé le mois dernier qui fait une retour entre 2 pages sans explication (en fait seul Hal Jordan y a eu droit?) : il fallait garder une part de mystère ou c'est une erreur? Sinon, ce numéro contient ce qu'il faut de baston épique où chaque membre a droit à sa mise en valeur lors de l'opposition, opposition qui n'a pas débarqué sans motivation (ce qui sera certainement développé par la suite comme annoncé en interview). L'auteur n'oublie pas de glisser ce qu'il faut de pistes (le Multiverse va vite devenir incontournable) pour la suite. De ce côté-là, la back-up dédiée à Pandora fait très fort (et au passage il n'y a pas qu'elle qui "sait" laissant plus qu'une porte ouverte au cas où...) : je sens que la 2ème année (ou dès le 2ème arc) du titre va livrer certaines vérités (vite le Free Comic Bok Day!!) tandis que le mystérieux vilain introduit est juste mystérieux (bon lui c'est sûr, c'est pour le 2ème arc). Niveau dessin, Jim Lee a besoin de 4 encreurs (et on voit de suite les différences par rapport à Scott Williams) mais il réalise bien 23 pages (par contre il y a plus de splash que d'habitude dont 1 "honteuse" lardée de blanc) assez dynamiques. Néanmoins, Carlos D'Anda présent sur la back-up de nouveau dans plus pure filiation de Jim Lee est plus fluide (bon point pour le futur #8). Alors oui, ce 1er arc est un peu long d'1 épisode en trop mais cela a permis d'avoir un gros passage sur chaque membre. Mon seul regret reste le cas Cyborg : non pas que son origine soit foirée mais il y avait aussi de la place pour J'Onn J'Onzz. Bon 1er arc qui remplit son office.
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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#56
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Ça y est ? Déjà plié ? En un numéro batou revient de Apokolyps avec sup ?
Ça ma parait un peu maigre. Pour le coup du masque peut être que batou portait un masque de Bruce Wayne ? |
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Mille bombardes ! Les trésors de la flibuste c'est fait pour les vieux matelots et pas pour les espèces de canassons à tête hippopotame gaulés comme du purin ! |
#58
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Lu aussi le Justice League #6. J'ai trouvé la narration vraiment bien faite, ça conclu bien ce premier arc, les bases des persos ont été posés (origines, caractères, etc) tout comme les relations entres les différents héros et de nombreuses portes sont ouvertes pour la suite.
Bref contrat rempli pour ce premier arc servis par de très belles pages de Jim Lee. Après le point qui fera le plus débat c'est sûrement le passage où Batman enlève son masque. Etant un noob je ne peux pas en dire grand chose. Je comprend les critiques, maintenant moi je me dis que déjà c'est un reboot et surtout cette histoire se passe 5 ans avant que Batman devienne celui de Snyder et Capullo, il a eu le temps de mûrir et de devenir parano. En tout cas de mon point de vue de noob ce premier arc réussi parfaitement son objectif de nous présenter la Justice League avec ses membres tous plus classes les unEs que les autres, et de nous donner envie de lire la suite. |
#59
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J'ai à mon tour lu le Justice League #6. Le numéro est dans la continuité des cinq premiers chapitres : Geoff Johns propose un combat final classique, une union des pouvoirs dans une stratégie improvisée et une fin évidemment ouverte. Cyborg a bien le rôle que j'avais envisagé, et je n'apprécie pas son incorporation de force dans l'équipe.
Après, l'épisode est bon mais très vite lu. Finalement, la première histoire de la Justice League en fait une non-équipe, un groupe toujours improvisé qui ne s'assume pas. Je suis curieux de découvrir les histoires à venir, dans le passé, pour comprendre pourquoi et comment ces personnalités ont décidé de demeurer ensemble. Globalement, cette première histoire demeure très classique - trop, à mon avis. Geoff Johns livre un scénario déjà vu, qui n'a aucune originalité mais qui fait le boulot. Cette première saga a un manque flagrant d'ambition, et c'est bien dommage car c'était là l'occasion d'offrir un récit fondateur épique, important, qui poserait les bases de l'univers DC et du principe de la Justice League. Johns le fait, mais c'est trop timide à mon sens et ça a un arrière-goût trop présent de déjà-vu. Dommage, restent les dessins plutôt solides de Jim Lee, dont la meilleure période est derrière lui mais qui a encore de beaux restes. Je suis curieux de lire la suite, mais j'espérais plus pour cette origine. A voir ce que Johns a prévu, la back-up et la conclusion ouvrant des pistes elles aussi déjà-vues mais intéressantes. |
#60
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Dans la série "vendre des comics peut provoquer des retards de lecture graves", enfin j'ai lu les Wolvie & X 5 et 6.
Mon dieu, c'est toujours aussi drôle et crapapètant, tout en étant moins confus. J'approche les 4,78/5. |
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