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  #541  
Vieux 29/07/2016, 18h27
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http://www.bleedingcool.com/2016/04/...eaction-piece/

vs

http://womenwriteaboutcomics.com/2016/05/02/60805/

ROUND 1.
FIGHT!




DC

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »

RIEN

Catégorie « Bon »

Harley Quinn 30

Genre : Fin…du premier volume des new 52

Harley regarde un film au cinéma (Suicide squad à priori) avec ses amis et des cosplayeurs mais les bandes annonces et pubs sont interminables. Elle décide donc d’aller exiger un troisième remplissage gratuit de son seau de pop-corn au motif que son prix initial était prohibitif…et la réalité se distord soudain sous ses yeux.
Où est-elle ? Que se passe-il ? C’est ce que vous apprendrez à la lecture de ce dernier numéro d’Harley Quinn avant le 2ème reboot des new 52.

Un numéro fidèle au niveau habituel de la série, c’est-à-dire léger, énergique, avec une satire sociale sympathique (Harley lutte contre les petites mesquineries ou les habitudes des lourdauds envers les femmes).
Elsa Charretier livre une copie très propre, son style étant adapté à l’univers d’Harley et étant particulièrement efficace lors de sa crise de démence.

L’équipe rempile (sans Charretier) pour un nouveau volume dans les mois à venir. Ce sera la suite directe. Espérons que l’influence du film Suicide squad demeurera limitée au look de la belle.

Scénario : 14/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 14/20




MARVEL

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »

Steve Rogers: Captain America 3

Genre : Remplissage de trous

Ce numéro 3 reprend le fil du fameux évènement de la fin du 1, qui avait mis certains fans en ébullition.
A sa lecture, ils devraient regretter d’avoir hurlé au loup, tant le personnage


On continue de lire les intéressantes nouvelles origines réécrites du héros et son intervention dans le pays de Bagaglia, géré par des super-criminels, trouve une résolution simple et efficace dans ce numéro.
Tout juste peut-on reprocher à ce 3ème opus d’être un peu trop prévisible, mais il fallait bien terminer de relier les points entre le 1 et le 2.
Désormais, la situation est clairement posée et devrait avoir des répercussions fracassantes sur les évènements de Civil war II, si les auteurs font bien leur boulot.

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20



Civil war II n°4

Genre : Le vrai début!

Miracle! On entre enfin dans le vif du sujet!
Après les évènements du 3, She Hulk sort de son coma et a une discussion houleuse avec Captain marvel.
Le procès d’un personnage bien connu de l’univers Marvel connaît une issue surprenante qui divise les foules et chauffe les esprits à blanc.
C’est à cet instant qu’Iron man expose sa découverte

Il reste bien des zones d’ombre quant aux motivations des personnages mais ce numéro, qui comporte deux courtes séquences introductives pour l’instant inexploitées (la discussion She Hulk/Captain Marvel et l’issue du procès, hautement contestable) est enfin du niveau qu’on attend d’un crossover avec des enjeux importants.
Ce numéro est passionnant à lire dans le contexte actuel et on ne peut s’empêcher de penser à la guerre contre l’organisation Etat islamique qui touche l’Europe.
Si vous aviez une arme, même imparfaite, capable d’empêcher des victimes civiles, seriez-vous prêt à des compromis voire des compromissions pour parvenir à vos fins ?
Toutes proportions gardées, on pense aux « arguties constitutionnelles » évoquées par Sarkozy après le meurtre du prêtre ou aux appels à fonder un Guantanamo français au nom de la sécurité formulé par bien des ténors à droite et à l’extrême-droite.
Pour les Américains, cela renvoie aux propositions de Trump avec le mur de séparation avec le Mexique, l’arrêt des visas pour les musulmans « le temps qu’on y voit plus clair TM » et à diverses propositions contestées pour assurer la protection des Américains.

La guerre civile démarre enfin et on peut désormais pencher pour un camp ou l’autre, cela étant même plus facile à mon avis que pendant Civil war.
Et pour le coup, je suis pour la première fois de ma vie avec Iron man…

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20



Howard the duck 9

Genre : It’s your life

Howard reçoit la visite de Léa Thompson, l’actrice qui jouait notamment dans le film d’Howard the duck de Lucas, ce qui n’est pas le cas dans le marvelverse.
Elle a eu des flashs qui l’enjoignaient de se rapprocher du canard et mène l’enquête avec lui.

Ce numéro très bris du 4ème mur et références méta diverses avec un superbe cliffhanger final qui teint bien de la mise en abîme est encore une fois un régal et une très bonne exploitation du personnage de Gerber.

Les auteurs ont bien compris le charme des aventures du personnage. Dommage qu’il soit désormais lié aux gardiens de la galaxie…

Scénario : 15/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20



Catégorie « Bon »

Civil war II : choosing sides 3


Genre : L’opinion publique

2 nouvelles histoires sur des personnages différents réagissant aux évènements de Civil war II n°3…et un chapitre très mystérieux de Fury Jr.

Hawkeye II se pose plein de questions sur le titre qu’elle porte et sur l’image qu’a Hawkeye I dans l’opinion publique. Est-ce une bonne chose qu’elle soit mise de côté ? Pourquoi Hawkeye a-il agi ainsi ? Qui a raison ?

C’est un « a day in the life » simple et réussi avec un bon petit caméo final.

Dans la seconde histoire, nous suivons J.Jonah Jameson et les assistants de son show TV qui réagissent à cette affaire de Civil war II et nous découvrons le point de vue très ouvert et assez visionnaire de Jonah sur l’info tout comme les nouveaux éléments de journalisme avec lesquels il doit composer comme les micros-trottoirs.
Le meilleur épisode du numéro et celui qui interroge le plus le lecteur sur ses rapports aux médias et aux drames. C’est aussi la meilleure histoire depuis celle sur Night trasher dans le N°1 car celle qui laisse le plus de place à la réflexion.

Pour conclure, Shalvey continue à se faire plaisir et à montrer les facultés de la nouvelle tenue de Fury Jr dans un chapitre assez anecdotique où on ne comprend pas bien ce qui se passe.

J’ai été un peu déçu par Andrade sur les dessins du one shot de Jonah mais le reste est de très belle facture.

Scénario : 14/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 14/20



The totally awesome Hulk 9 (Civil war II)

Genre : Je te tiens tu me tiens par la barbichette

Ce numéro porte enfin bien son titre. Chronologiquement, il se situe après Civil war II n°4, voir même après le numéro 5 car les camps sont désormais formés, ce qui n’est pas encore le cas dans le 4.

Cho reçoit une visite « surprise » de Captain Marvel et du SHIELD, le mettant en garde contre toute mauvaise utilisation de ses pouvoirs de Hulk après ce qui s’est passé dans Civil war II n°3. Cho étant jeune et facilement irritable bien que supérieurement intelligent, a bien du mal à ne pas lui lancer des piques.

Après cette rencontre et une discussion avec sa sœur, il se lâche dans le désert, semblant perdre le contrôle, la scène étant visionnée par Danvers…
Un numéro un peu trop léger dans lequel il ne se passe pas grand-chose.
J’ai par contre aimé cet affrontement psychologique entre les deux personnages, qui montre bien la psychologie de Captain Marvel (mieux vaut prévenir que guérir quitte à créer un prétexte pour agir et neutraliser un danger).

Graphiquement, Del Mundo n’est pas le choix idéal pour un titre aussi réaliste. Son Hulk ne m’a pas plu des masses.
A voir sur la suite.

Scénario : 13/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 14/20



Carnage 10

Genre : Final spécial baston

Les traqueurs contre le traqué, deuxième !
Cette fin d’arc est un numéro spécial baston réussi mais forcément moins bon que les numéros plus angoissants et liés à l’horreur pure. Je ne suis pas fan des numéros de grandes bastons, qui masquent souvent des faiblesses de scénario.

Quelques surprises, quelques réutilisations des mêmes artifices un peu faciles…je commence à espérer une série en 15 numéros car ça commence à devenir répétitif.

Scénario : 13/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 14/20




UDON

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »

RIEN

Catégorie « Bon »

Street Fighter unlimited 8

Genre : Le grand tournoi

Le grand tournoi organisé par Gill et sa société bat son plein.
Tandis qu’on découvre sa rivalité avec son frère Urien, très intéressé par les capacités martiales de Ryu, c’est l’occasion d’assister à quelques matchs rondement menés.

On assiste notamment à un duel Ryu vs Sodom, à un match assez comique entre Adon, le disciple de Sagat et l’orgueilleux Rufus et à un combat assez prenant entre Alex et le gigantesque Hugo Andorre, sous l’œil avisé de son maître et de Guile.

En back up, Dan défie Sagat pour venger son père, qu’il a assassiné voilà bien des années (cf Street Fighter legends : Chun Li)

Le scénario continue tranquillement son bonhomme de chemin en présentant les protagonistes et en retranscrivant bien les caractères personnages que nous connaissons.
Les dessins sont en légère hausse, notamment pendant le combat Alex/Hugo mais la qualité demeure très inférieure au niveau habituel des artistes de chez Udon.

La back up est bien plus belle et offre un duel assez surréaliste qui montre bien le nouveau statu quo de Sagat, devenu une sorte de Ryu bis.

Scénario : 14/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 14/20



Street Fighter legends : Cammy 1

Genre : la vie après Shadaloo

Ce titre semble situé après les évènements de Street Fighter unlimited ou immédiatement avant.
Cammy y mène une nouvelle escouade, Delta blue, composée de spécialistes comme le Français Abel, les allemandes Juli et Juni (ex dolls de Shadaloo) et Ginzu, le geek d’informatique qui est le seul rescapé des Delta red avec Cammy dans cette nouvelle incarnation de l’équipe. Bon, avec le Brexit, je suis pas sûr qu’ils vont pouvoir continuer de bosser pour l’armée anglaise, mais bon.

Tout commence lorsque Juni se comporte bizarrement et semble réagir à nouveau à son conditionnement de doll, menant Cammy dans une embuscade.

Dans la back up qui annonce une nouvelle mini-série en 8 numéros, Street Fighter vs Darkstalkers, Chun Li découvre un cadavre qui semble avoir été vidé de toute force vitale…

L’histoire principale est dans la droite lignée de ce qu’ont fait Omar Dogan et le studio Udon dans Street Fighter legends Sakura : une petite histoire sans prétentions mais bien fichue qui recentre le personnage titre sur son univers immédiat et son supporting cast habituel.
Ça démarre pas trop mal pour une intro même s’il ne se passe presque rien.
J’ai apprécié de retrouver Juni et Juli et de voir ce qui leur arrive après les évènements de Street Fighter Alpha (principalement relatés dans l’arc Street Fighter des comics Udon, centré sur Cammy)

La back up est également une intro légère et intrigante.
Par contre, je pense que la mini devrait être très agréable à lire, d’autant plus que les Darkstalkers sont inutilisés depuis la mini-série en 6 numéros et celle en 3 qui l’a suivie quelques années plus tard.

Scénario : 12/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 14/20

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  #542  
Vieux 12/08/2016, 18h50
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DC

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »

RIEN

Catégorie « Bon »

Harley Quinn 1

Genre : On continue dans la bonne humeur

Voici donc enfin ce premier numéro de Harley Quinn version DC rebirth !
Foin ici de nouveauté : on reprend les mêmes et on recommence. On retrouve donc l’équipe habituelle (Palmiotti et Conner au scénario et Hardin au dessin) avec un numéro 1 chargé de résume la situation à ceux qui n’ont rien lu du personnage dans sa version anti-héroïne des new 2.
Face à deux personnages tout d’abord mystérieux (dont l’un n’est apparu jusque-là que dans le numéro inédit trouvable dans une pochette surprise Loot crate que je n’ai pas lu, réimprimé dans le TPB que je n’achèterai pas…), Harley présente tous les personnages secondaires et le supporting cast qui l’entourent depuis son arrivée à New York avec des dialogues souvent amusants.
L’histoire proprement dite commence dans la deuxième moitié du numéro avec ce qui ressemble à une parodie de Skrull kill crew : un E.T débarque aux USA, à la cambrousse et croit que les vaches sont la forme dominante. Il se métamorphose en l’une d’elles pour plus de discrétion mais…

Ce premier numéro fait très bien son boulot : C’est toujours aussi amusant, enlevé et un peu référentiel. Du film, Harley ne retient que son look étrenné dans les derniers numéros de la version pré rebirth. Bref, vous pouvez y aller les yeux fermés. 0 surprise et qualité conservée.

Scénario : 14/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 14/20




MARVEL

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »

Deadpool 16 (Civil war II)

Genre : Le grand pardon


La Civil war II des mercs for money contre leur patron aura-elle lieu? Par un concours de circonstances que ne renierait pas le toonesque Slapstick, nous allons surtout enfin apprendre comment Deadpool est devenu une super star adulée de tous !

Un numéro réjouissant, aux très beaux dessins et qui fait avancer le schmilblick. Le cliffhanger promet du lourd.

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20




Doctor Strange 10

Genre : SCIENCE ! BAD !

Fin de l’arc « la fin de magie ». Docteur Strange contre le chef de l’empirikul dans un combat au finish !
Les secrets de la créature surpuissante aperçue dans le numéro précédent se dévoilent peu à peu et le moins qu’on puisse dire est qu’Aaron semble avoir des plans passionnants pour la suite. La fin du numéro en elle-même est très intéressante car elle ne retourne pas au statu quo du numéro 1. Et le meilleur est que Bacchalo, qui livre sûrement parmi les plus belles planches de sa carrière, est encore là au moins jusqu’au numéro 13.

Scénario : 15/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 16/20




Kingpin 2 (Civil war II)


Genre : On peut tromper une fois mille personnes…Non. On peut tromper mille fois…

Le Caïd et sa « solution » au problème posé par Ulysses avancent leurs pions en recrutant les différents parrains de la mafia qui souhaitent échapper aux forces quasi omniscientes de Captain Marvel.
Ce numéro est tout à l’honneur du Caïd, très bien écrit comme une sorte de Robin des bois maléfique, humain et faillible mais impitoyable et rusé.

Ne seraient les dessins un peu bruts, ce titre serait tout en haut de ma liste tant il est prenant et décrit bien le point de vue des super criminels avec une ambiance noire et prenante.

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 16/20



The Punisher 4

Genre : Road rage

Course-poursuite intense entre le Punisher, flanqué d’une petite fille d’une part et sa némésis actuelle d’autre part.
Un numéro riche en action, au découpage cinématographique impressionnant (du très bon Dillon) et aux dialogues très réussis et percutants (la relation entre Frank et la petite Juniper laisse entrevoir le père de famille qu’il a été).

Le titre continue à me convaincre et je me régale des dessins. Encore une bonne pioche.

Scénario : 14/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20



Vote Loki 3

Genre : Realpolitik

Loki est interrogé sur ses positions en matières de diplomatie et proclame qu’il est contre l’envoi de troupes, en présence notamment des deux autres gros candidats, non nommés mais qui font forcément penser à Donald Trump et Hillary Clinton. Ceux-ci sont d’ailleurs outrés des méthodes de son staff de campagne qui répand de nombreuses calomnies à leur sujet !

Eclate alors une crise dans la Latvérie du docteur Fatalis, sans leader actuellement (celui-ci faisant le kéké depuis la fin de Secret wars dans le titre Iron man). Une occasion en or pour Loki de mettre en pratique ses méthodes…différentes en matière d’interventionnisme et pour son ennemie journaliste qui a juré sa chute de décrocher un scoop en or !

Vote Loki 3 est facilement le meilleur numéro de la série jusqu’ici. Il parodie avec talent la politique étrangère américaine ainsi que les méthodes d’escrocs des comités de soutien en passant par le prisme du personnage fictif de Loki.
Marvel se garde bien d’égratigner directement les candidats républicains et démocrates mais parvient à faire passer un joli message sur les contradictions de ceux-ci.
La fin du numéro est particulièrement jouissive.

Le dessinateur est un peu plus en forme que précédemment (j’aime beaucoup la glace-repas américain).
Avec un peu de chance, ce titre va finir par nous épater, au final.

Scénario : 15/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 15/20



IDW

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »

Street Fighter x GI Joe 6

Genre : Final fight

Grand final du tournoi organisé par Bison et le comte Destro, avec un grand méchant surprise rendu si puissant par le psycho power qu’il faudra pas moins de 5 équipes combinées de Joes et de world warriors pour le faire tomber !

On retrouve l’enthousiasme habituel de l’équipe artistique qui joue toujours sur son habituel registre mi fan mi comique et met particulièrement en valeur le major Guile dans ce numéro.
La fin, ouverte, accroît encore la notion d’univers partagé appartenant à un monde parallèle et est très bien fichue.

L’un dans l’autre, la mini-série GI Joe x Street Fighter aura été une bonne surprise, bien orchestrée.

Scénario : 14/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 15/20




IMAGE

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »

Huck TPB 1

Genre : Super Forrest Gump

Ce TPB contient les 5 premiers numéros de la mini-série de Mark Millar et Rafael Albuquerque.
Première constatation : c’est beau. Et pourtant je ne suis pas fan du dessinateur d’habitude mais là, c’est très efficace, dans un style réaliste et partiellement plus cartoony (sur le héros, aux traits un peu plus caricaturaux que les autres).

L’histoire est du Millar dans sa veine pas provoc. Cela s’apparente bien plus à un conte, un peu comme Edward aux mains d’argent, sous un vernis super-héroïque.
Huck est un enfant trouvé et recueilli par une petite communauté. Bon géant un peu simple, il réalise mille petites choses grâce à ses super pouvoirs (qui s’apparentent à ceux du Superman des années 40, celui qui ne pouvait pas voler) et rend service, sauve des pêcheurs, fait plaisir aux gens, tout ça également grâce à un don pour retrouver les gens et les objets.

Un jour, une visiteuse dévoile son secret à la presse et la petite vie bien tranquille de notre protagoniste est bouleversée : un homme politique local compte sur lui pour être réélu tandis que le frère qu’il n’a jamais connu lui demande de chercher leur mère…

On a déjà lu cette histoire de personnage arraché à son milieu contre son gré et forcé de faire face au vaste monde et à sa méchanceté un million de fois, mais les auteurs parviennent pourtant à nous passionner pour ses héros et ses méchants relativement clichés, le tout grâce à leur don certain pour les cliffhangers bien amenés et surprenants et par leur narration très efficace, qui donne envie de tourner les pages.
Huck est un personnage très attachant, handicapé mental loin d’être stupide malgré sa simplicité et son innocence. Comme diraient certains, il a l’intelligence du cœur.
Car c’est une belle ode à la famille, sous quelque forme que ce soit mais aussi de l’entraide entre individus. Et par les temps qui courent c’est déjà beaucoup. Alors en plus quand ça vient de Mark « trash provoc’ » Millar, on ne peut qu’applaudir une œuvre simple mais très efficace.

Scénario : 14/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20

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  #543  
Vieux 12/08/2016, 23h11
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Encore merci pour tes avis et on est en accord sur Huck ^^
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  #544  
Vieux 12/08/2016, 23h39
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Plus ça va, moins on lit les mêmes titres. ça n'aide pas.
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  #545  
Vieux 13/08/2016, 11h54
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Plus ça va, moins on lit les mêmes titres. ça n'aide pas.
Oui mais c'est aussi ce qui est intéressant d'avoir des titres que je fais pas.
Parfois du coup, je me lance sur le TPBs.
Bien sur j'aime des contre-avis sur des titres que je fais.
Mais déjà on est pas beaucoup a faire des avis, alors plus y'a de titre de traité plus c'est intéressant pour ceux qui nous lisent.
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  #546  
Vieux 18/08/2016, 21h20
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DC

Catégorie « Excellent »


RIEN

Catégorie « Très bon »

RIEN

Catégorie « Bon »


RIEN

Catégorie « Sympa »

Harley Quinn 2

Genre : Pitiééé ! Plus d’originalitééé ! Rien qu’un peeeu !


Suite directe et décevante du numéro précédent, ce numéro est une mêlée générale au cliffhanger soporifique.
Même Hardin semble en baisse.
Impossible d’en dire plus, je spoilerais le peu de scénario et d’intérêt de ce qui m’a énormément fait penser à une longue scène du film Suicide squad. Et c’est pas un compliment.
J’espère que l’équipe va laisser tomber cette intrigue vue et revue après le numéro 3.

Scénario : 11/20
Dialogues : 13/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 12/20




MARVEL

Catégorie « Excellent »

Sam Wilson : Captain America 12 (Civil war II)


Genre : Problèmes de société


Sam décide de s’interposer entre les forces privées des Americops, soutenues par un sénateur texan et les habitants d’un quartier pauvre victimes de leurs violences policières et soutenus par l’ancien vengeur et new warrior Rage.
La violence ne lui semblant pas la meilleure solution, il entame un difficile dialogue avec les deux camps.
Pendant ce temps, US Agent, aux vues de droite bien connues, est approché par les hommes derrière les Americops pour s’opposer à Falcap et « reprendre le bouclier », selon le hashtag populaire, de celui qui n’en est pas digne à leurs yeux, même si Steve Rogers s’est déjà prononcé sur ce sujet.

Encore un numéro de haute volée. Spencer fait siens les thèmes du moment aux USA (campagne présidentielle, violences policières et frontière avec le Mexique) pour servir avec classe son personnage, dont l’acolyte, le nouveau faucon, est un peu trop réduit au rôle de faire-valoir boute-en-train.
Ce qui me plaît énormément, c’est la subtilité de son approche, avec un Captain America qui favorise toujours le dialogue et un US Agent loin d’être réduit à un simple bourrin du sud profond.
Les dialogues sont toujours aussi savoureux, particulièrement ceux des politiciens conservateurs qui tentent d’embobiner US Agent sans savoir à qui ils ont à faire.
Et on apprend enfin le lien entre la « milice » et celui à qui elle doit son nom, décédé durant le Dark reign dans un numéro mémorable de Thunderbolts.

Scénario : 16/20
Dialogues : 17/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 17/20



Catégorie « Très bon »

Civil war II : the amazing Spider-man 3

Genre : Le meilleur choix

Clash rencontre Robot master au sujet de son offre de se venger de Parker industries et de Spidey, qui le soupçonne d’être à deux doigts de commettre un crime à cause d’une vision qu’Ulysses a partagé avec lui.
Quelle sera sa réponse ?

Ce numéro pourrait être d’une simplicité biblique vu son sujet mais Gage maîtrise parfaitement son sujet. Il montre très bien que les conséquences de certaines actions ne sont pas toujours celles espérées par le locuteur, malgré toutes les précautions oratoires et les calculs imaginables.
En cela, ce numéro est réjouissant, opposant un Spidey qui agit en se laissant guider par le bien général et la logique à un Clash qui agit surtout dans son intérêt propre et ne veut renoncer à rien, même si c’est pour son bien.

Foreman est très convaincant dans les scènes avec les pantins de Robot master, moins sur le reste.
Encore un très bon numéro d’une mini qui a tout pigé aux dilemmes moraux posés par Civil war II.

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 16/20



Catégorie « Bon »

RIEN

Catégorie « Sympa »

Civil war II : choosing sides 4

Genre : Tristounet

Ce numéro comporte trois histoires dont une seule est plutôt compréhensible.

La première est consacrée à des voleurs de technologie qui tombent dans les griffes du Punisher, qui les tue un à un sans que les autres s’en rendent compte. La civil war II est brièvement évoquée et, selon les dialogues de Pupu, on en déduit, avec un peu d’imagination, qu’il est plutôt dans le camp de Captain Marvel. Mais on est pas sûr.
Dessins assez moches et scénario bien cliché. Que du bonheur.

La seconde histoire est consacrée à trois des membres de Power pack, qui visitent un campus d’université pour une raison un peu artificielle. Disons que Julie Powers a hâte d’être à la fac et n’en parlons plus.
Entre deux dialogues typiques de la bande et plutôt bien écrits, les héros parlent de la Civil war II mais leur avis n’est pas tranché sur le sujet.
Graphiquement, c’est assez réaliste et très différent du style de Gurihiru, qui dessine leurs aventures depuis les années 2000.
Une histoire anecdotique mais c’est pourtant la meilleure du numéro. C’est dire.

La dernière histoire est totalement muette. Shalvey oppose Fury Jr à Black widow mais on ne sait pas pourquoi.
C’est très beau graphiquement mais ça s’oublie sitôt lu.

En bref, le numéro le plus décevant de la série jusqu’ici.

Scénario : 12/20
Dialogues : 13/20
Dessins, encrage, couleur : 13/20
Note finale : 12/20




Civil war II : Gods of war 3

Genre : décevant, mais décevant !

Hercules, pris d’une rage meurtrière à cause de l’action des nouveaux dieux, affronte ses alliés.
C’est tout. Un numéro de baston peu inspiré et ennuyeux, avec un changement peu heureux de dessinateur en prime.
La résolution de l’intrigue est un peu trop simpliste. Le cliffhanger annonce une fin bâclée par manque de place. C’est triste, tout ça.

Scénario : 12/20
Dialogues : 13/20
Dessins, encrage, couleur : 13/20
Note finale : 12/20



IDW

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »

Deviations TPB

Genre : belle collection de What if

Ce TPB rassemble les one shots éponymes qu’IDW a édité autour de ses séries phares.
Dans un principe proche des What if de Marvel ou des Elseworlds de DC, chaque numéro décrit ce qui se passerait dans un monde où un point de divergence à créee une ligne temporelle qui a dévié de celle que nous connaissons.

5 numéros composent ce volume. Ne connaissant ni les scénaristes ni les dessinateurs, je ne m’appesantirai pas plus que ça sur leur travail mais celui-ci est de manière général d’une grande qualité.
Chaque numéro débute par une planche expliquant ce qui s’est passé dans la vraie continuité, idée bien pratique pour les lecteurs non familiers des séries présentées ou de leurs univers, ce qui est mon cas pour l’essentiel des histoires présentées :

X files (Deviations)

Je ne connais pas des masses cet univers, ayant peut être dû voir un ou deux épisodes de la série TV à l’époque de sa diffusion.
J’ai donc béni la page de présentation de l’épisode dans laquelle j’ai appris que Fox Mulder recherchait sa sœur enlevée par des petits gris.
Dans cet univers divergent, nous suivons l’agent Scully, fraîchement émoulue de l’école du FBI et affectée à une mystérieuse section chargée d’enquêter sur le paranormal et les cas non élucidés. Dans ce monde, c’est Fox Mulder qui a été enlevé par des E.T et sa sœur qui reçoit Scully.
Ensemble, elles vont former une équipe efficace et enquêter entre autres choses sur la disparition du frère de celle-ci.

C’est facilement le numéro le plus faible du TPB tant rien ne change « vraiment ». C’est juste un jeu de chaises musicales. Le cliffhanger est incompréhensible pour celui qui ne connait rien à X files. Ce doit sûrement être un clin d’œil aux initiés mais il m’a échappé (Mulder est vivant et espionne sa sœur et Scully suite à l’autorisation de l’homme à la cigarette, qui est son chef. Il possède des facultés physiques dignes d’un marathonien)
Les dessins, très réalistes, sont vraiment convaincants.

Ghostbusters (Deviations)

Un des numéros les plus accessibles du volume, tout le monde ayant au moins vu le film Ghostbusters 1. Le résumé de début est donc un peu inutile mais part d’un bon sentiment.
Dans ce monde, les Ghostbusters n’ont pas croisé les flux de leurs armes, obéissant à la mesure de précaution d’Egon Spengler.
Gozer est donc resté sur Terre sous la forme de Stay Puft (le bibendum chamallow en VF) et ravage le monde…lentement, sa forme étant tout sauf pratique et très lente.
Des armées de petits chamallows animés et agressifs abondent dans les rues et constituent le travail de « dératisation » n°1 des Ghostbusters (renommés Ghostloosers par la foule en colère).
Un jour, Gozer leur demande leur aide. Il veut aller dans une autre dimension et partir avec une forme plus pratique et terrifiante.

Ce one shot est un des meilleurs numéros du volume, reprenant très bien l’ambiance du premier film.
La fin est excellente et ce numéro est de manière générale foisonnant de bonnes idées et de comique de bon aloi.
Les dessins sont un peu basiques pour les personnages humains mais les créatures très cartoonesques sont vraiment réussies.

Transformers (Deviations)

Un des numéros les moins accessibles du volume, car il fait allusion à un évènement qui semble important (la mort d’Optimus prime avant son retour d’entre les morts) mais que le lecteur lambda ignore, assez paumé devant le jargon des autobots et la découverte de leur univers.
Plus clairement, ce what if dévie du premier film d’animation des transformers, que je n’ai jamais vu.
La page introductive est vitale pour comprendre le changement et exploite une morale bien connue liée à la jeunesse et à son intrépidité d’assez belle manière.
Dans cet univers, un jeune autobot, Hot rod, est empêché d’intervenir dans le duel entre les leaders des decepticons et des autobots. Prime abat Megatron et le « fidèle » lieutenant de ce dernier, Starscream prend la tête des robots à emblème violet.
Vaniteux et manquant de l’intelligence et du charisme de son prédécesseur, Starscream se fait complètement balader par la surpuissante entité Unicron, sorte de Galactus de l’univers des Transformers et va manquer de le laisser détruire la planète mère des decepticons puis la Terre.
Heureusement, les autobots veillent et Hot rod va particulièrement briller.
Ce numéro est le plus beau du volume du point de vue graphique, avec de superbes couleurs.
C’est également celui qui souffre le plus du syndrome « retour au statu quo », calquant un peu trop la continuité officielle même si la fin est assez différente du film, de ce que j’ai lu sur Wikipedia.

GI Joe (Deviations)

Clairement c’est un de ceux que j’avais le plus envie de lire.
La page introductive nous est de peu de secours, rappelant juste que le Cobra Commander se tape défaite sur défaite. Dans cette histoire, il est devenu maître du monde grâce à une arme contrôlant le climat mondial. Ses lieutenants effectuent un travail remarquable et le monde, devenu une dictature unifiée, est pourtant remarquablement bien géré par des méchants devenus des caricatures d’eux-mêmes. Destro est à la fois ministre et père de famille modèle, le major Bludd est chef de la sécurité et s’ennuie…Cobra Commander doit se rendre à l’évidence : il aime la conquête, pas la gestion des territoires conquis.
Il entreprend alors de donner des informations cruciales aux derniers GI Joe restants pour leur permettre d’infiltrer son QG et retrouver le lustre de ses batailles d’antan…

Traité avec un graphisme volontairement caricatural et pas mal d’humour (les enfants de la baronne et de Destro qui jouent avec « Tonton Cobra »), ce one shot à la fin très réussie est clairement la pépite du volume.
On dirait une version parodique du Empire de Waid et Kitson.

Teenage mutant ninja turtles (Deviations)

Si l’univers des tortues m’est connu par le DA des années 90, ce numéro fait référence à un épisode apparemment assez récent du comic en cours d’édition, plus sombre et assez différent.
Dans cet univers divergent, les tortues ont subi un lavage de cerveau de la part de Kitsune, la mystérieuse nouvelle alliée de Shredder. Elles sont désormais persuadées d’appartenir au Foot clan et tuent les ennemis du trancheur éminceur. Alors qu’elles capturent leur ancien maître, le rat Splinter, le père de Casey Jones décide de se venger du chef du clan, qui a tué son fils, ne se doutant pas qu’il va faire partie d’une série d’évènements qui va changer bien des choses…

Cette histoire est la plus complexe du volume avec celle sur les transformers mais sa fin déçoit, l’histoire demeurant assez classique dans son déroulement.
Les dessins sont eux aussi parmi les plus réussis du numéro.


Au final, ce recueil est de très bonne facture, avec une qualité globale assez impressionnante et des scénarios assez efficaces et plutôt bien expliqués aux néophytes.
Notez aussi la qualité du volume, bien rigide malgré son dos collé et avec un papier glacé très agréable au toucher.
Pour pinailler, j’aurais préféré des changements plus drastiques et que quelques histoires se terminent mal ou comportent plus de morts de premier plan, le format one shot et la nature hors continuité de l’ensemble le permettant mais dans l’ensemble on a affaire à du What if de très belle facture.

Scénario : 16/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20




IMAGE

Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »

Jupiter’s circle TPB 2

Genre : Les sixties de DC, sauce Millar

Suite directe des origines des héros de Jupiter’s legacy, ce tome 2 s’intéresse à leurs carrières durant les années 60.
Pour faire simple, le Batman local va se rallier au camp anti guerre du Vietnam et pro-droits des noirs, embrassant l’ensemble de la contre-culture, ce qui va l’amener à s’opposer à ses amis super-héros.

C’est à une très bonne analyse des sixties que Millar se livre, rendant aussi bien hommage à une époque mouvementée aux USA qu’à un hommage appuyé à son Superman local, qui remet de plus en plus en cause ce qu’il croit et est poussé à des choix moraux insolubles, comme cette proposition que lui fait Rockefeller d’adopter un enfant crée par insémination de son sperme afin d’avoir un héritier hors normes en échange du don de la moitié de sa fortune aux bonnes œuvres.
Par le biais de sa Wonder woman locale, Millar dresse également le portrait de l’inconfort et de la peur qu’elle provoque chez les hommes qui souhaiteraient la séduire, la condamnant à la solitude. Et les exemples de la qualité de l’écriture et de l’analyse que l’auteur a de l’époque et des héros iconiques de DC sont nombreux, comme ce qu’il fait de son Luthor maison, très « Gene Hackmanien ».

Au final, ce volume est supérieur au précédent, la lecture en TPB me semblant bien plus convaincante qu’en numéros simples, évitant les répétitions et permettant de se rendre compte que Millar a un plan en tête, ce volume appelant une suite.

Graphiquement, la qualité est au rendez-vous avec un style homogène des différents dessinateurs, qui font le boulot.


Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 16/20

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  #547  
Vieux 18/08/2016, 21h58
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Encore de très bon avis à ce mettre sous la dent
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  #548  
Vieux 25/08/2016, 20h27
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Catégorie « Excellent »

RIEN

Catégorie « Très bon »


RIEN

Catégorie « Bon »

Harley Quinn’s little black book 4

Genre : Harley s’en va en guerre

Harley a volé les boules de Superman ! Non, pas celles auxquelles vous pensez, des boules qui permettent de se déplacer dans le temps et l’espace. Elle l’a fait dans le numéro 5, pas encore paru donc nous n’en saurons pas plus sur le sujet.
Le fait est qu’elle se retrouve transportée en pleine Allemagne en guerre des années 40 et qu’elle va faire la rencontre des bombshells, un groupe de super héroïnes engagées dans l’armée américaine pour utiliser les préjugés sexistes de l’époque contre les ennemis de l’Amérique.
Dans un monde où les super héros masculins n’existent pas, Catwoman, Batgirl (experte en maniement de la batte, jeu de mots !), Big Barda et les autres sont un plus appréciable dans la lutte contre l’Axe.
Harley est confondue avec son alter égo de ce monde alternatif et va infiltrer un château pour libérer un général américain qui ne doit absolument pas parler sous la torture.
Il se dit qu’Hitler lui-même assistera à l’évènement…

Un numéro très classique mais réussi, avec une Harley survoltée qui manque faire capoter les plans des alliés et une séance d’explications musclée avec un nazi de haut rang pendant laquelle on apprend que la belle à une aïeule juive.
Ce numéro est tellement à la bourre qu’Harley a encore la coiffure pré film. Je regrette seulement que la sous-intrigue des 3 premiers numéros n’ait pas été remplacée par une autre. On a l’impression d’avoir affaire à un hors-série du coup.
Du point de vue du dessin, c’est très heureux avec un Tucci en forme et une séquence onirique amusante par un Linsner inspiré.
Cette dernière marque le bref retour de la version nuisette et capuche d’Arlequin de Mad love.


Scénario : 14/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 14/20




MARVEL


Catégorie « Excellent »

Steve Rogers : Captain America 4 (Civil war II)

Genre : C’est plus une intrigue à tiroirs, c’est une commode

Après le choc du n°1, le point de vue éclairant du Red Skull du n°2 et un n°3 qui enveloppait le tout de belle manière, ce n°4 était très attendu pour sa révélation finale assez déconcertante.
Ça tombe bien, le couverture ment et ne reflète pas du tout le crossover en cours (à peine une mention dans une case), préférant nous plonger dans les pensées du Steve Rogers.
Et quelles pensées ! Ce numéro est extrêmement riche en révélations sur son état mental actuel, bien plus complexe que ce que laissait présager les numéros précédents.
Même différent, le personnage conserve une grande partie de son essence bénéfique, qu’il exprime de manière très étonnante dans ses actes.
Plusieurs subplots continuent à avancer de belles manières, expliquant les menaces qui pèsent sur l’Amérique et ses agences gouvernementales (divisions, taupes, factions rivales…)

Bémol pour les dessins de l’équipe remplaçante, qui se débrouille bien mais sans génie, ce qui rabaisse la qualité globale de ce numéro pourtant excellent.

Scénario : 17/20
Dialogues : 17/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 17/20



Catégorie « Très bon »

Deadpool 17 (Civil war II)

Genre : Wade’s civil war

La Civil war II personnelle de Deadpool continue !
Ses mercs for money se rebellent, l’agent Preston le bat froid et il passe une journée atroce qui va trouver sa conclusion inévitable…

Alors, pour commencer, la couverture ment et n’a aucun rapport avec l’intérieur.
Pour le reste, c’est un numéro de baston bien exécuté et assez surprenant, avec des dialogues comiques réussis et une journée pourrie particulièrement mémorable.

Cet arc est pour l’instant assez réussi.

Scénario : 15/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 15/20

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  #549  
Vieux 26/08/2016, 09h45
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Tu me donnes envie de lire Captain America, avec tes histoires de twists bien écrits !
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  #550  
Vieux 29/08/2016, 15h53
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Civil war II : the amazing Spider-man 3

Genre : Le meilleur choix

Clash rencontre Robot master au sujet de son offre de se venger de Parker industries et de Spidey, qui le soupçonne d’être à deux doigts de commettre un crime à cause d’une vision qu’Ulysses a partagé avec lui.
Quelle sera sa réponse ?

Ce numéro pourrait être d’une simplicité biblique vu son sujet mais Gage maîtrise parfaitement son sujet. Il montre très bien que les conséquences de certaines actions ne sont pas toujours celles espérées par le locuteur, malgré toutes les précautions oratoires et les calculs imaginables.
En cela, ce numéro est réjouissant, opposant un Spidey qui agit en se laissant guider par le bien général et la logique à un Clash qui agit surtout dans son intérêt propre et ne veut renoncer à rien, même si c’est pour son bien.

Foreman est très convaincant dans les scènes avec les pantins de Robot master, moins sur le reste.
Encore un très bon numéro d’une mini qui a tout pigé aux dilemmes moraux posés par Civil war II.

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 16/20


Bonjour à tous,

Un numéro effectivement très bien mené, même si je trouve que Spidey appuie trop longtemps sur la plaie. Pour tout dire, j'avais envie de lui dire stop ! Bref, à suivre car cette mini ne sera a priori pas sans conséquence sur la série mére.
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  #551  
Vieux 01/09/2016, 20h00
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MARVEL

Catégorie « Excellent »

Silver surfer 6

Genre : Du bon comic comme on aime

Le surfer retrouve la mère perdue de vue de Dawn et provoque les conditions de leur retrouvailles, au grand dam de celles-ci.
Pendant ce temps, un certain Peter Parker découvre d’étranges créatures marines dans son labo de Californie…

Un numéro longuement attendu et comme d’habitude, vraiment réussi, surtout du point de vue graphique.
Les créatures qui sont les stars de ce numéro permettent un who’s who des adversaires du surfeur d’argent qui est réussi comme hommage aux 199 numéros précédents.
La relation entre Dawn et lui est toujours aussi intéressante et le nouveau personnage est bien mis en valeur.
Toujours une des meilleures séries actuelles.

Scénario : 17/20
Dialogues : 17/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 17/20



Catégorie « Très bon »

Civil war II : choosing sides 5

Genre : Justin Trudeau superstar

Comme d’habitude, 3 petites histoires bien troussées se partagent le volume.

La première et de loin la plus intéressante, est faussement centrée sur Puck, Aurora et Sasquatch, les alliés canadiens de la division Alpha ralliés au camp de Captain Marvel car travaillant sous ses ordres au sein de SWORD, pour protéger la Terre des menaces extra-terrestres.
Faussement, car le vrai protagoniste de cette très bonne histoire est l’actuel premier ministre Justin Trudeau, qui se pose en garant moral de la nouvelle guerre civile des super héros.
Je ne connais pas assez son homologue réel pour savoir si celui de la BD lui rend justice mais il est décrit ici comme un apôtre du libre arbitre, de la tempérance et de la démocratie, renvoyant dos à dos les positions des Alphans et d’Iron man d’une façon que n’aurait pas renié Yang Wen Li dans la légende des héros de la galaxie.

Les dessins sont plutôt corrects à défaut d’être géniaux et cette histoire remonte à elle seule l’intérêt du numéro.

La seconde histoire raconte comment Misty Knight est amenée à prêter main forte aux howling commandos du SHIELD, pour convoyer un mage que son amie Collen Wing (soi-disant protagoniste de l’histoire selon les crédits) souhaite libérer, en opposition à la position du camp de Captain Marvel.
J’ai beaucoup aimé la façon dont l’artiste a croqué Man-thing, particulièrement impressionnant puisque l’on revoit la version rugissante de sa première apparition dans Savage tales 1 de 1971.
Je me suis toujours demandé comment il pouvait émettre des sons sans bouche ni cordes vocales mais bon. Il est clairement plus impressionnant comme ça que dans sa version muette habituelle.
L’histoire en elle-même est sobre mais efficace.

La dernière histoire est un nouveau chapitre de la traque que mène Nick Fury Jr pour appréhender celui qui a voulu le faire tuer.
La révélation ne surprendra guère mais est suffisamment bien amenée et expliquée pour convaincre, les dialogues étant efficaces.
Fin de cette histoire suivie (et de Choosing sides) au prochain numéro.

Le point commun entre ces 3 Bd ? Les faux semblants.

Scénario : 15/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 15/20



Catégorie « Bon »

Carnage 11

Genre : Carnage pulp

Carnage s’est enfui sur une île paradisiaque, toujours poursuivi par ses habituels traqueurs.
Ceux-ci découvrent des restes humains qui semblent remonter à loin et un journal de bord que ne renierait pas Lovecraft…

La série continue son bonhomme de chemin, s’intéressant surtout ce coup-ci à la nouvelle symbiote et à sa condition.
Conway et son acolyte distillent assez bien les informations et rendent ce numéro angoissant malgré certains clichés.
La mise en page est très efficace et rappelle bien des classiques de l’horreur.
Malgré la simplicité du propos, l’exécution est suffisamment marquante pour espérer une reprise vers le haut du scénario.

Scénario : 13/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 14/20



Howard the duck 10

Genre : Tout le monde n’est pas Steve Gerber


A un numéro de la fin de la série, les auteurs osent un propose métatextuel que n’aurait pas renié le créateur d’Howard, Steve Gerber.
En effet, ils se mettent en scène sous forme de deux E.T dont l’espèce est chargée d’observer des personnages de Marvel, super-héros ou non et de les faire évoluer vers le meilleur, que ce soit la renommée, le succès ou simplement les sortir de l’oubli et pour cela, tous les moyens sont bons, comme le montre le cliffhanger.

Le problème, c’est qu’ils le font mal. Contrairement à Gerber, l’écriture est ici assez lourde et les dialogues relativement ratés, souvent redondants. Surtout, le lecteur n’est pas passionné par la lecture des pages, dont il attendrait plus de choses, plus d’implication des auteurs, dont on peine à saisir le véritable propos dans ces pages somme toutes très consensuelles.
Il faudra sûrement attendre le dernier numéro pour y voir clair et c’est dommage.

Bref, des bons points pour l’ambition qui sont annulés par la mauvaise exécution. Eh oui, c’est la rentrée des classes !


Scénario : 14/20
Dialogues : 13/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 13/20



UDON

Street Fighter unlimited 9

Genre : Le début de la fin

Nécro et son amie Effie, aidés des androïdes métamorphes Twelve affrontent Alex.
De plus, Urien, frère d’armes du messie Gill, refuse de vivre plus longtemps dans son ombre.
Pendant ce temps, ce dernier commence à mettre en œuvre son sinistre plan pour créer l’utopie dont il rêve et Ryu affronte un dangereux ennemi en finale du tournoi.

En back up, Sagat affronte une nouvelle fois son élève, Adon. Mais les deux combattants ont bien changé depuis leurs débuts…

Un des meilleurs numéros jusque-là ! Malgré des dessins pas au niveau de ce qu’on attend du studio Udon, le mélange de combats bien mis en scène et de révélations sur Gill et sa Secret society est harmonieux et on ne s’ennuie pas une seconde.
Le cliffhanger est assez inédit et promet de bonnes choses.

La back up est de haute volée et continue à développer le personnage de Sagat, très loin de son arrogance des débuts. Plus étonnamment, Adon bénéficie également de ce traitement dans une petite histoire de très bonne tenue.

Scénario : 15/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 15/20



Street Fighter legends : Cammy 2

Genre : Mystères en série

Cammy se retrouve au centre d’un combat entre, d’une part, Juri et Crimson Viper, en mission, et d’autre part les dolls de Shadaloo Decapre et Juni, subordonnée de Cammy dont le conditionnement mental a rejailli pour une raison mystérieuse.

Les mystères s’amoncellent et annoncent une intéressante enquête qui semble liée au scénario de Street Fighter V à priori.

En back up annonçant le crossover Street Fighter x Darkstalkers, Akuma rencontre le moine Donovan, bien décidé à le rayer de la carte.

Un numéro lus intéressant que le premier, avec un scénario simple mais réussi, des mystères et un déroulement réussi des évènements, les combats étant toujours très bien mis en scène par un Dogan inspiré.

Comme la précédente, la back up n’est pas désagréable mais pas folichonne non plus, la faute aux dessins toujours pas au niveau habituel du studio.
Le combat en lui-même est par contre intéressant dans ses retombées.

Scénario : 15/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 14/20

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  #552  
Vieux 05/09/2016, 23h45
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Pour le numéro du Silver Surfer, il m'a fait penser à celui de Avengers #400 où Waid et Wieringo utilisent un procédé similaire pour ramener tout les ennemis de l'équipe (on peut également citer Fantastic Four #416 de DeFalco et Pacheco).
J'ai apprécié la double page avec toutes les covers (même si elles sont un peu petites) des différentes séries.
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  #553  
Vieux 06/09/2016, 18h01
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Civil war II n°3

Au final, encore un numéro décevant malgré quelques qualités. Je crois que j'éviterai de lire du Bendis s'il s'attaque à un prochain crossover. Il a plus le feu sacré de ses débuts.
Je vois que tu t'es réconcilié avec Bendis à l'occasion du #4, mais je trouve que ce que tu dis là caractérise trés bien cet Event: "décevant malgré quelques qualités", et je crois que je vais sérieusement arréter de lire du Bendis (tout court, pas seulement pour les crossovers) ^ ^

Je suis sidéré par le manque de subtilité de ses personnages. Carol est prete à arréter n'importe qui du moment qu'Ulysses le pointe du doigt, Tony dit qu'il ne faut surtout rien faire, même pas empecher Thanos de récupérer un cube cosmique, et Steve quant à lui ne dit rien du tout, il fait tapisserie.
Pareil pour les autres personnages, ils ne pensent rien, ils se contentent de suivre leurs équipes respectives (tous les ANAD Avengers avec Tony, tous les Ultimates avec Carole, etc...)
Et quand un personnage sort enfin du lot, je comprends rien à ses réactions (She-Hulk, Hawkeye).

Bon, il reste encore 3 épisodes, peut etre que Bendis va enfin faire agir normalement un de ses personnages. Par exemple, Luke Cage pourrait donner l'idée d'utiliser Ulysses comme un indic: on se sert de ses tuyaux pour choper les gars la main dans le sac.

En tout cas pour l'instant les persos ont des avis trop tranchés et des positions trop extrèmes pour que leur bisbille soit intéressante. Bendis a chaussé ses gros sabots et c'est une lecture particulièrement indigeste.
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  #554  
Vieux 06/09/2016, 18h55
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michel lave ses slips au Baxter Buildingmichel lave ses slips au Baxter Buildingmichel lave ses slips au Baxter Buildingmichel lave ses slips au Baxter Buildingmichel lave ses slips au Baxter Buildingmichel lave ses slips au Baxter Buildingmichel lave ses slips au Baxter Buildingmichel lave ses slips au Baxter Buildingmichel lave ses slips au Baxter Buildingmichel lave ses slips au Baxter Buildingmichel lave ses slips au Baxter Building
Ce n'est pas la faute de Bendis à mon sens mais plutôt au format des events Marvel : les faits bruts dans la mini principale, les justifications sur le comportement des persos dans les tie-ins. Tu comprends beaucoup mieux Carol si tu lis la série Captain Marvel.
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Les récaps (rigolotes) de Game of Thrones Saison 5

Stannis à Davos : On n'a rien pu faire, ils étaient au moins genre vingt-deux et puis y en avait un torse nu.
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  #555  
Vieux 06/09/2016, 20h33
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Jeaph trinque avec Frank MillerJeaph trinque avec Frank MillerJeaph trinque avec Frank MillerJeaph trinque avec Frank MillerJeaph trinque avec Frank MillerJeaph trinque avec Frank MillerJeaph trinque avec Frank MillerJeaph trinque avec Frank MillerJeaph trinque avec Frank MillerJeaph trinque avec Frank MillerJeaph trinque avec Frank Miller
Visiblement j'ai pas de bol parce qu'effectivement je fais pas Captain Marvel, à la place je fais Invincible et International Iron Man avec leur pub mensongère comme quoi c'est lié à Civil War ^ ^
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dc comics, man-thing, marvel comics, udon

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