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Peut être que dans l'histoire originale "Who is Adam Warlock?", le mec pendu par les pieds etait present et qu'au dernier moment Marvel s'est autocensuré en l'éclipsant de la version publiée.
Pour la version française dans le Étranges Aventures 54, Arédit a peut être publié cette version initiale ? C'est la seule explication qui me vient.
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Mille bombardes ! Les trésors de la flibuste c'est fait pour les vieux matelots et pas pour les espèces de canassons à tête hippopotame gaulés comme du purin ! |
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And the Winner is ...PSYCHO PIRATE !!!
La réponse :
L’explication nous est donnée parmi les (très nombreux) documents offerts en Annexe du Marvel Masterworks Warlock Number Two : Soit les remerciements (pas si fréquents que ça) envers Aredit/Artima*, car nous pouvons en conclure que l’Éditeur des Comics Pockets travaillait sur du matériel artistique qui outre Atlantique, n’avait pas encore franchi les stades successifs de l’autocensure et de la colorisation (CQFD). En cherchant un peu, y en a sans doute, d’autre exemples. PSYCHO ! With A Little Help From (Our Friend) SIM THEURY ( ), ne l'oublions pas. * Ou « Le CCA ne passait pas par nous ! » Dernière modification par Oromasès ; 17/08/2010 à 14h01. Motif: Complete sergent |
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Tout s'explique
Voila qui corrobore bien mon sentiment par rapport aux Traducteurs « fidèles » de chez Lug et « brouillons » de chez Semic. Que de dégâts en 18 ans ! Comme quoi il ne faut pas trop jeter la pierre à Panini, ils n’ont fait que poursuivre cette pente amorcée en descente. Pour les informations sur le « proto » Thanos, je pense que tu parles de ce passage là : Citation extraite du Document source : http://www.adelaidecomicsandbooks.com/starlin.html : (…) DANIEL BEST: Thanos would be the character that you’re best known for. When did you originally create him? JIM STARLIN: : Well I had him from a psyche class that I took. I went to college between the service and getting work in comics, and there was a psyche class and I came up with Thanos… and Drax the Destroyer, but I’m not sure how he fit into it, just anger management probably. So I came up to Marvel and Roy (Thomas) asked if I wanted to do a issue of Iron Man. I felt that this may be my only chance ever to do a character, not having the confidence that my career was going to last anything longer than a few weeks. So they got jammed into it. Thanos was a much thinner character and Roy suggested beefing him up, so he’s beefed up quite a bit from his original sketches from Iron Man, and later on I liked beefing him up so much that he continued to grow in size. (...) Dans une autre interview : http://twomorrows.com/comicbookartist/articles/18cosmic.html - on apprend toujours de la bouche de Starlin, qu’il avait même réalisé ce qui aurait du être le Iron Man N° 56, un épisode sans doute un peu trop "parodique" - notre Artiste le qualifie de « Silly », ce qui n’est pas surprenant vu que Steve Gerber était au script - à un tel point que Stan Lee l’a refusé (« This is Terrible ! ») et les a virés tous deux de son bureau (Starlin 's laughter, of course !). |
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Par contre je préfère les couleurs d'origine à celles de la remasterisation.
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When I'm good, I'm good. When I'm bad, I'm better. |
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D’ailleurs, cet aspect des choses n’aura pas attendu les ravages (plus ou moins dérangeants, donc) du phénomène de la remasterisation à tout crin, pour titiller nos yeux délicats. Déjà du temps de l’imprimerie « classique », on remarquait de graduelles différences - surtout question confort de lecture - entre une BD en pressage original et ses réimpressions successives au fil du temps. Par exemple, compare les albums Dargaud de Blueberry pressés fin années 60 ou début 70 avec leurs réimpressions au cours des deux décennies ultérieures et force est de constater que le plaisir n’est plus le même (grain du papier, contraste des encres, profondeur des coloris …et même l’odeur !*). J’irai même plus loin, concernant toujours le Héros des « Fort Navajo », l’histoire : Le Cheval De Fer en particulier, n’aura jamais aussi bien rendu que dans les pages des Pilotes Hebdo de 1966/67. Pour revenir aux Comics VF, je trouve notamment les planches du Surfer D’Argent aux Éditions Soleil bien fades par rapport aux Fantask ou même aux Strange 11 à 14. Mais celui qui ne peut s’offrir ces « objets » fort cotés va-t-il pour autant bouder les alternatives plus accessibles qui ont le (grand) mérite d’exister. * Ah ! Autre bonheur désormais enfoui aussi, que le délicieux et inoubliable parfum de Neuf propre aux « Lug » (Strange, Albums des Fantastiques). Qu’est ce qu’il a pu chatouiller nos jeunes narines ! |
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Bien sur mais je comprends pas trop la démarche. Il serait possible de remasteriser en depoussierant mais tout en reproduisant les couleurs d'origine. Âpres oui tu as raison c'est pas bien grave mais pourquoi ne pas aller jusqu'au bout en jouant a fond la carte de la nostalgie puisque le public visé par ces collec est justement les vieux ?
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Les vieux... Les vieux...
On est encore très loin de la retraite. Sinon, le souci avec Soleil, ce n'est pas tant les couleurs que le papier : les éditions comics sur papier pulp bouffaient l'encre, d'où des couleurs vives et pétantes... Avec le papier glacé, on a presque besoin de lunettes de... Soleil. Saluons quand même la première éditon intégrale du Surfer.
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Et même de plus en plus loin chaque année qui passe.... (votez Little Sark!)
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Et encore une terrible déception qui brise le cœur de Kamandi.
Mais celle ci c'est la première qu'on a pu lire en couleur. C'est la fête ! Kamandi en couleur et en grand format avec Année Zéro numéro 1 dans tous les kiosques !
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Moi, c'était la tronche défoncée du gangster robot qui m'avait impressionné...
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Oui, cette évocation des « Roaring Twenties & Thirties » est d’ailleurs l'un des (nombreux) péchés mignons de Kirby - tout comme celle du King Kong contemporain de Cooper & Shoedsack, d’ailleurs– la plus mémorable reste sans doute ces épisodes des Fantastiques …ou plutôt de la Chose - car ses partenaires n’y feront qu’emploi de Deus ex Machina - qui montrent le célèbre Neveu de Tante Pétunia se faire kidnapper par un Skrull qui l’emmène sur une planète où tous ses congénères (polymorphes de nature) ont pris l’apparence de Al Capone, Franck Nitti, Elliott Ness* & consort (sans oublier leurs « Girls ») dans le Chicago des Années 30 reconstitué.
On peut y voir là, un aspect nostalgique (des plus touchants) de la part du King. Quand on sait en outre, que l’Artiste dans sa jeunesse avait un « look » à la James Cagney, acteur récurent des Gangters Movies …Tout se tient ! * Un générique composé par le fougueux Nelson Riddle, m’ayant aussi beaucoup marqué. |
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Il décrivait un parc d’attraction futuriste pour l’époque (on se projetait en 1983 !) ou des touristes (un peu crétins comme il se doit) pouvaient s’immiscer « in situ » - c'est-à-dire avec les fringues adéquates - dans la période historique de leurs rêves : décors, costumes, et personnages inclus, sauf que ces derniers n’étaient pas des intermittents du spectacle (et après on parlera du chômage !) …mais des Automates. Y avait de l’Antique, du Moyen-Âge (etc.) et bien entendu (American Movie !) du Western - d’où le titre - que choisiront les protagonistes « humains » principaux, deux Acteurs plutôt méconnus par rapport à notre Tête d’Affiche (sans jamais rien entre caillou et galure), laquelle incarne justement « le » Robot de la bobine. Il reprend pour l’occasion (grosso modo) sa défroque éprouvé d’ancien « Patron des Sept » (sans parachute doré, néanmoins), sauf que cette fois son laconisme légendaire sera porté vers le paroxysme …Pour sûr ! À sa carence capillaire (quoique volontaire), s’ajoutent désormais celles (virtually, natürlich !) de ses cordes vocales et du morceau de viande qui en principe, s’agite beaucoup dans toute cavité buccale lambda. Les deux Gugusses une fois s’être acquittés de leur tickets d’entrée, font vite mumuse en flinguant tout ce qui se présente devant eux …Jusqu’à ce qu’ils tombent sur Yul, qui lui (à l’instar du Bernardo de Don Diego) ne l’entendra pas du tout de cette oreille après qu’un grain de sable dans sa machine aura quelque peu mis le boxon dans les circuits dédiés aux trois lois Asimoviènes (Ta Ta Ta !!!). N’empêche ! Ici encore, on ne peut qu’admirer l’admirable façon dont Kirby réussit à tout intégrer dans son propre univers - lequel mi septantes, remontait déjà assez loin - sans que le procédé (assez courant) ne fasse jamais pièce rapportée ou rattrapage de Wagon.** De Scarface et King Kong à 2001 et La Planète des Singes, en passant par Le Prisonnier ou ce petit Film (en comparaison, s’entend) … l’empreinte du Génie, quoi ! & * Avant de s’épancher beaucoup trop dans la grosse « Dinosaurerie », Chrichton fut un Romancier et « Director » de SF assez inspiré - cf. La Variété Andromède, L’Homme Terminal (romans adaptés aussi en films mais pas par Lui) ou Morts Suspectes (Scénar original réalisé par l’auteur comme sur Mondwest), un très bon suspense hospitalier avec une (mignonne tout plein) Geneviève Bujold fort haletante et (l’insurpassable) Richard Widmark, l’un de ses derniers rôles - sa retraite sera néanmoins aussi longue que définitive, Merci Mon Dieu ! – où digne revenant des Carrefours de la Mort, il renouait d’ailleurs avec l’emploi « antipathique » de ses débuts (Insurpassable, j’insiste). ** Dans cette dernière formule, y a un encore rapport avec Chrichton, lequel ? (Mini Quizz, pas de prix …Mais on fait le Maximum ! ) Dernière modification par Oromasès ; 08/08/2011 à 16h28. Motif: réactualisation du lien |
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Note : Kirby a réalisé des BD de gangsters (Days of the mob) et adressait déjà un clin d'œil à cet univers et aux incorruptibles dans les FF (la planète Skrull imitant l'Amérique de la prohibition.) Note-bis : Chrichton a réalisé Runaway avec Tom Selleck (polar futuriste sympatoche et fauché.) Note-ter (de cravate) : Dans Jurassic Park, il ne fait que reprendre son idée de Mondwest mais avec des dinos. (Mais sans de Laurentiis) "A Disneyland, lorsque les pirates des Caraïbes se déréglaient, ils ne mangeaient pas les touristes" (J. "Brundle-mouche" Goldblum) Ultima note : il y a eu une suite à Mondwest avec Peter Fonda (fondit ?) - le fils de l'autre qu'à un si beau regard et un bel harmonica (moi, j'aime Fonda, surtout en rousse) - Futureworld/les Rescapés du Futur où Yul - le roi - refait une apparition muette dans son numéro de trigger happy pré-Terminator... Moins marquant le film (New-Yul ne répond plus... de rien.)
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