Indés rétros - Metallix #1 et Knights on Broadway #1

[Diablowagner]

On dirait bien que PaD a repris son idée d'agence de détectives complètement hétéroclites pour la mini-série Madrox, et X-Factor. :)

[sim theury]

C'est cool toutes ces trouvailles. Merci.

[JB]

[CENTER][B]Saint Germaine #1[/B]
[I] "Chapter one : Shadows fall"[/I]
Auteur : Gary Reed. Artiste : Vincent Locke
1997 - Caliber comics
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[SPOILER]
Résumé : Une série de suicides ouvre l'épisode. A chaque fois, la victime pense à ses erreurs, ses péchés et ses regrets. Sans qu'ils s'en rendent compte, leurs ombres s'animent et semblent même précéder leurs suicides. Une fois l'acte accompli, les ombres s'éloignent des cadavres.
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Le personnage titre, Saint Germaine, accueille un auteur spécialisé dans l'occulte, Manny Chanchu, afin qu'il lui serve de biographe. Saint Germaine est en effet un immortel las de sa propre existence, et propose à Chanchu de rédiger la véritable histoire de l'humanité.
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Les ombres se rassemblent auprès d'une femme alitée et aux traits tirés. Celle-ci, nommé Lilith, absorbe les souvenirs des suicidés.
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Saint Germaine explique à Chanchu son principe : l'univers repose sur un équilibre entre le bien et le mal, l'ordre et le chaos. Il se présente ainsi comme un être neutre, tentant d'empêcher les deux côtés de l'emporter. Saint Germaine évoque également un niveau de réalité où les rêves, cauchemars, fantasmes et chimères sont créés à partir de l'imagination des humains.
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Les ombres ont nourri Lilith. Celle-ci reprend les paroles de Saint Germaine et parle d'un équilibre : les ombres se nourrissent d'âmes désespérées, et elle se nourrit des ombres (pas vraiment un équilibre mais bon...), laissant entendre une connexion entre elle et Saint Germaine. Elle se délecte du dernier souvenir, le plus fort, d'un survivant d'Auschwitz qui, sous la pression du commandant du camp, dénonce la tentative d'évasion d'autres prisonniers, parmi lesquels son propre père. Lilith, totalement rétablie, , se jure de ne plus dépérir et de redevenir "une famille."
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Chanchu achève sa première interview avec Saint Germaine, qui révèle tout connaître de la vie de l'écrivain. En s'éloignant, Chanchu a l'impression de voir son ombre trembler.[/SPOILER]

Mon avis : Si l'on fait abstraction du nom "Saint Germaine" (le deuxième épisode souligne l'étrangeté de la féminisation), les deux histoires parallèles sont intéressantes. Les scènes entre Saint Germaine et Chanchu sont réminiscentes d'[I]Entretien avec un Vampire [/I]et promettent d'explorer ce personnage mystérieux ; le 4e de couverture mentionne l'avis de plusieurs figures historiques sur Saint Germaine (Marie Antoinette, Raspoutine, Aleister Crowley, etc.). L'autre partie du récit, Lilith et ses ombres, fournit à l'histoire un antagoniste qui fonctionne comme un négatif de Saint Germaine : tous deux se réclament d'un équilibre naturel, mais Lilith est définitivement du côté obscur de la force. La question ouverte et celle du rapport entre les deux personnages principaux. En bref, peu d'action mais beaucoup de promesses pour les chapitres suivants.

[Pistache]

Tu m'as bien donné envie avec Soulsearchers ! Il faut dire qu'avec Peter David, Amanda Conner et Jim Mooney, j'étais déjà bien convaincu, mais tu as bien fait ton boulot :D
Je me suis rapidement renseigné et je me suis rendu compte que la série comptait plus de 80 épisodes, de quoi se mettre sous la dent !

[Dhargo]

N'oublions pas Dave COKRUM qui a aussi œuvré sur cette série délirante !!

[EsseJi]

Du PaD que je ne connaissais pas! Merci pour la découverte et hop une ligne en plus sur mes wishlists!

[JB]

C'est aussi du PaD qu'on sent libéré pour la première fois des censures des éditions mainstream, et qui a tendance à gentiment se moquer ou à se défouler vigoureusement sur les maisons d'éditions concurrentes en parodiant le face à face Dream/Lucifer de Gaiman, les clichés des années 90 de Image, les couvs du Golden Age, les moyens fauchés des comics indés.

[gillesC]

Ah, St Germaine, me souviens qu'on en avait commandé un au pif au premier magasin, et qu'on avait été impressionnés par le graphisme... :)

[JB]

J'avais trouvé quelques similitudes dans le style avec le Guy Davis du Marquis, avant de voir que Vincent Locke y avait contribué :oups:

[JB]

[CENTER][B]Aztec Ace #1[/B]
[I] "The Mexica Serpent"[/I]
Auteur : Doug Moench ; Artiste : Michael Hernandez ; Encreur : Nestor Rendondo.
1984 - Eclipse Comics

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[spoiler]Le héros, Caza, dit Ace, approche d'une cité Aztèque, Tenochtitlan, en l'année 1518. Les aztèques s’affairent aux préparatifs d'une cérémonie pour le dieu Quetzalcoatl. Ace rentre chez lui, mais ses pensées trahissent le fait qu'il n'est pas à sa place : il pense à sa compagne Bridget, et lorsqu'il entre dans son temple, il est propulsé 12 secondes plus tôt et se croise lui-même, avant de corriger ce paradoxe. Il songe à Bridget, tirée de son époque, pendant que celle-ci est baignée par des femmes aztèques, qui proposent de lui teindre les cheveux avec le sang de Tatli. Bridget, femme des années 40, apprend avec horreur que Tatli est l'architecte de la pyramide dans laquelle elle se trouve, et qu'il s'est sacrifié de son plein gré aux dieux. Devant le dégoût de la jeune femme, les aztèques lui proposent une alternative : une large sélection de joyaux.
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[LEFT][IMG]http://imageshack.us/a/img809/4059/0z7w.jpg[/IMG]Dans l'Azure-express, la machine à voyager dans le temps, le héros profite d'un moment de détente en écoutant de la musique des années 1950. Bridget se promène dans l'Azure Express, découvrant Tempus Fugit, une entité consciente surnommée "Head" animant le vaisseau sous la forme d'une tête désincarnée. Bridget panique et file auprès d'Ace qui la rassure en lui faisant découvrir les chanteurs des années 60.
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Ace se rappelle des circonstances qui l'ont conduit auprès de Bridget : dans le futur des années 1940, Aceest un détective privé du nom de T.A. Zeck lorsqu'un homme armée, Rinaldo, fait irruption dans son bureau à la recherche du "Serpent", Quetzaclcoatl.
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Un démon déchirant le mur de la réalité apparaît derrière Rinaldo, ce qui détourne son attention et permet à Ace de se saisir de son arme. Ace révèle qu'un bibelot apparemment sans valeur était en fait l'objet qu'il cherchait, caché derrière un voile de peinture. Des policiers arrêtent Rinaldo après avoir entendu sa confession. Une fois seul, Ace fait disparaître le mobilier de son bureau, son seul regret étant d'abandonner Bridget, qui l'a aider à arrêter Rinaldo et à récupérer la statue de Quetzalcoatl. Il observe dans l'ombre Bridget arriver à son ancien bureau pour le trouver abandonner, et retourne dans l'Azure-Express, mais revient sur sa décision et retourne sur ses pas pour proposer à Bridget de le rejoindre.
Retour au présent, c'est-à-dire dans le passé, où Ace donne une leçon à Bridget sur le danger d'un trop plein de savoir. La cérémonie pour Quetzalcoatl commence, et Bridget est outragée lorsqu'un homme est sacrifié. Ace explique que la statue avait disparu pendant la cérémonie et qu'il l'a replacé au moment de sa disparition. Sans la statue, les Aztèques auraient sacrifiés des milliers d'individus pour apaiser la colère de leur dieu, et avec une population diminuée, se seraient méfiés des conquistador au point de les repousser, changeant l'histoire et effaçant l'émergence de l'Amérique.
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Ace a choisi de préserver l'Histoire et de combattre ceux qui tentent de la modifier, tel l'ennemi de Caza, Nine Crocodile. Il cite par exemple Benjamin Franklin qu'il a dû sauver d'une tentative d'assassinat. Après réflexion, Bridget compare Ace à un justicier et lui propose d'être son Robin. Ils échangent un baiser interrompu par les cris des aztèques. un serpent géant, l'incarnation de Quetzalcoatl, semble emporter les habitants.
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Ace explique que cette apparition est causée par un paradoxe qu'il a lui-même causé, et court vers l'Azure Express pour revenir dans les années 40. Le couple se remémore leur rencontre. Ace avait repris la statue de Quetzalcoatl aux hommes de Nine Crocodile et s'est réfugié dans le magasin d'antiquité tenu par Bridget, à laquelle il s'empresse de confier la statue dorée. Rinaldo, le petit ami de Bridget, qui lui propose une petite fortune pour l'objet, ce qu'elle accepte. Pendant qu'elle cherche un emballage pour la statue, Ace combat des ombres au service de Nine Crocodile, les Ebonati, dans une allée proche de la boutique. Son attention est détournée par une silhouette familière qui lui fait signe depuis l'intérieur de la boutique, et une ombre le met KO. Il revient à lui juste à temps pour voir Rinaldo emporter la statue, mais convainc Bridget de l'aider à la récupérer. Ace réalise que la statue n'avait pas encore été peinte, ce qui a conduit Rinaldo à la croire fausse et à faire irruption dans le bureau de Ace pour récupérer l'original. La personne qui a peint la statue pendant que Bridget cherchait un emballage et que Ace combattait les ombres est donc le futur Ace mais, n'ayant pas encore pris la peine de camoufler l'objet, Ace a créé un paradoxe. Il retourne donc dans les année 1940 avec un pot de peinture et corrige les évènements.
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De retour dans l'Azure Express, Ace est tombe sur un vaisseau Ebonati et tente de semer ses poursuivants en fuyant dans le temps et l'espace, atterrissant au sommet de Big Ben au moment de son inauguration. Les Ebonati arrêtent le mécanisme de l'horloge afin de pouvoir entendre Ace et Bridget, et les attaquent. Ace manque de tomber dans le vide, mais Bridget neutralise les assaillants à coup de karaté. Il reste à Ace de faire en sorte que Big Ben sonne à l'heure prévue et saute sur l'aiguille de l'horloge afin de déclencher les cloches. Le mécanisme éclate, mais Bridget envoie valser l'un des Ebonati contre la cloche au bon moment, ce qui maintient le continuum.
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Revenant dans le flux temporel, l'Azure Express est à nouveau attaqué par le vaisseau Ebonati mais, manoeuvrant plus aisément que le navire de guerre, parvient à le conduire à s'écraser. Histoire de se détendre, Caza va acheter un paquet de chips en 1996, où des prostitués proposent de le taillader, fait un détour pour s'assurer que Benjamin Franklin survit à l'éclair qui frappe son cerf-volant et revient à son temple aztèque où il pense retrouver Bridget. Un Benjamin Franklin nu l'y attend à sa place, un pistolet à la main et des cadavres d'aztèques à ses pieds.
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Mon avis : J'aime les histoires de voyage dans le temps, l'idée de corriger le passé et de changer le présent. Le concept d'Aztec Ace est sympathique et prenant, et le graphisme, bien qu'il ne soit pas exceptionnel, sert l'histoire en couvrant aussi bien la technologie avancée de l'Azure Express que la fantaisie des monstres créés par les paradoxes. MAIS l'écriture de Doug Moench est simplement illisible. Il rend inutilement complexes des notions simples, tente de construire son propre lexique (paradoxe = "doxie glitches"), et offre une narration franchement prétentieuse qui nuit au récit. Je peux comprendre qu'il tente de rendre hommage au style de roman noir, avec un personnage de détective temporel accompagné de son assistante, mais le héros n'arrête pas de palabrer dans un jargon fictif incompréhensible. Pourtant, la série offre des moments mémorables : par exemple, le fait d'avoir arraché Bridget aux années 1940 va créer un paradoxe, et Ace doit trouver un moyen de l'en empêcher. Pour cela, il renvoie Bridget au moment où il revient pour elle et lui propose de la rejoindre, et lui explique que lorsqu'il est intervenu, deux Bridget ont coexisté pendant un court moment, représentant son choix. Bridget doit tuer la version qui a refusé l'offre afin de se retirer officiellement de l'histoire sans se faire remarquer par la Bridget qui a accepté. Moench a des idées captivantes, inspirées de Doctor Who sans pour autant les copier, mais les noie dans son besoin de décrire et d'expliquer aux lecteurs ce qui se passe sous ses yeux.

[JB]

[CENTER][B]Psychoblast #1[/B]
[I] "Coming back"[/I]
Auteur : Steven Grant ; Artiste : Robb Phipps ; Encreur Al Vey

1987 - First Comics

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[spoiler]Un avion est pris dans des turbulences. A l'intérieur, une jeune fille nommée Arrabella panique et sa mère doit la forcer à s'asseoir et boucler sa ceinture. Par le hublot, Arrabella voit une main gigantesque émerger des nuages, saisir l'avion et le broyer.
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Taryn St. Jude se réveille en sursaut et, tentant d'oublier ce rêve, conduit jusqu'à une église. Choisissant une carte de visite parmi plusieurs, elle adopte l'identité d'une employée des services sociaux et interroge le prêtre local sur son employé, un jeune homme aux cheveux blanc, Brian, qui correspond au signalement d'un individu qu'elle recherche : Taryn est en effet une détective engagée par un certain Colonel Blicero. Ayant identifié sa cible, elle appelle Blicero mais, au lieu de révéler la localisation de Brian, Taryn tente de convaincre son client que son enquête est un échec. Si Blicero croit son histoire, son employeur, une silhouette racornie et informe, devine que Taryn a retrouvé Brian et envoie Blicero et ses troupes après eux.
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Brian, voyant Taryn troublée par son manque de sommeil, tente de l'inviter, mais la jeune femme continue à voir une main géante prête à saisir l'avion de ses rêves. Bien qu'elle se rapproche de Brian et accepte qu'il lui offre un verre, Taryn continue à enquêter sur le jeune homme et fouille son appartement. Elle y trouve des coupures de journaux dont l'une parle d'un désastre aérien inexpliqué, le nom des victimes correspondant à l'un des personnages de son rêve, dont elle apprend qu'il s'agit de la sœur de Brian. Celui-ci revient chez lui avec une conquête entreprenante et Taryn doit se cacher.
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Blicero prépare ses troupes, une petite armée munie de jeeps et de 3 hélicoptères en demandant à son employeur si ce déploiement de force n'est pas un tantinet exagéré. Son employeur, toujours caché mais révélé comme étant une femme, s'emporte : leur cible n'est pas un homme, c'est un Psychoblast, un pur esprit. Blicero abandonne la discussion et mène sa milice au combat, incrédule sur les délires d'une infirme et décidé à détruire sa cible.
Brian enfin endormi, Taryn sort de sa cachette et sort discrètement de l'appartement, sans voir que Brian entre en transe, son œil s'illuminant. Dans la rue, elle voit soudain une main géante se diriger vers elle, panique et ouvre le feu. Les balles n'ont aucun effet et la main la saisit.
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Brian se réveille et court dans la rue pour découvrir une Taryn secouée mais en vie. Il lui explique qu'il a vue en rêve une main géante la saisir et que la dernière fois qu'il a fait ce type de rêve, sa famille est morte. Taryn révèle à Brain qu'il est recherché par Blicero, et promet de l'aider. Au petit matin, Taryn et Brian s'enfuit en jeep, mais une explosion endommage le véhicule et assomme Brian. Taryn le sort de la jeep, au moment où le missile d'un hélicoptère la détruit. Taryn tente de réveiller Brian afin qu'ils puissent fuir plus rapidement et finit par le gifler. Sans qu'elle le voit, Brian se réveille, une étrange lueur émanant de son oeil.
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Les trois hélicoptères ouvre le feu simultanément sur le duo. Brian et Taryn sont pris dans une explosion. Blicero célèbre quelques instants sa victoire, mais voit bientôt Brian émerger des flammes, comme transfiguré et prêt à combattre Blicero.
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Mon avis :
Un premier numéro intrigant. On a l'impression d'une influence Hulk à la lecture : le "héros", Brian, ne semble pas maitriser ses capacités et agit inconsciemment, après avoir été bousculé par Taryn. Il est poursuivi dans le désert par un militaire et attaqué par une petite armée. L'auteur laisse entendre des origines tragiques : Brian a-t-il tué sa propre famille par accident ? Qui est la silhouette qui a envoyé Blicero à sa recherche ?
Mention spéciale pour l'édito placé au début du numéro, qui décide de révéler au lecteur plus que n'en dit le comic : on y apprend que le héros va affronter, en plus de Blicero, un certain D.S.X Machina et qu'Arrabella est 1) la sœur morte de Brian et 2) va tenter de posséder le corps de son frère. Publier autant de spoiler avant la première page alors que l'histoire joue sur la découverte des secrets de Brian et le mystère entourant ses ennemis, chapeau bas.

[gillesC]

Honnêtement, je n'aurais jamais pu acheter un comic avec une cover pareille. :huhu:

Ça fait très pré- Image ou Valiant... quand j'ai arrêté les comics hors-vrais-indės... :(

[JB]

[QUOTE=gillesC;1425861]Honnêtement, je n'aurais jamais pu acheter un comic avec une cover pareille. :huhu:

Ça fait très pré- Image ou Valiant... quand j'ai arrêté les comics hors-vrais-indės... :([/QUOTE]

Laquelle des deux ? :D L'une est un collage un tantinet maladroit des personnages de toute une série (façon affiche de film de série B), l'autre la reprise d'une case du comic.
Je dois avouer que le prochain comic "indépendant" que je pensais faire est [I]Journey [/I]par l'éditeur de Cerebus et même avec moins de moyens, la couverture est plus réfléchie que ces deux là.

[Crisax]

En tout cas excellent topic. :clap:
Merci.

[gillesC]

Ah, [b]Journey[/b], excellent! (Je n'en ai lu que deux mais néanmoins...)

Ça arriverait peut-être a réconcilier Cyclopebox avec le mot Wolverine! :D