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When I'm good, I'm good. When I'm bad, I'm better. |
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PS a voir en binome si tu peux avec "The Caddy", qui est un autre grand film du binome. Et qui contient le plus gros hit de Dean Martin; "That's Amore".
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When I'm good, I'm good. When I'm bad, I'm better. |
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La luuumiere revient déjà J'ai une envie de pisser Je bouscule mon voisin Qui a fini de gerber... |
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Ca passait a la teve bien avant La Derniere seance. Dans les annees 60 ils passaient meme des extraits de ses films regulierement dans "la sequence du jeune telespectateur" presentee par une marionnette.
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When I'm good, I'm good. When I'm bad, I'm better. |
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Ah ben vu que c'est de 55, forcément... ^^
Curieusement, la Seule chose dont je me souvenais, c'est l'affiche qui fume... donc, je l'avais vu avant de découvrir les comics. Y' a quand même des trucs autres. Le Jerry hurlant "Ma chauve-souris"... aahh, Bat-Lady... Quand on pense qu'il ont du arracher des covers de vrais comics pour coller les leurs dessus... C'est quand même fou les gags neuneus qu'on pouvait encaisser à l'époque. |
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Je vais faire mon jeune ignorant : j'ai pas aimé. J'ai pas tenu plus d'une heure.
C'est hyper inventif mais les gags cartoonys me laissaient bien froid. Donc bon forcément, avec un gag toutes les 5 minutes, j'ai craqué.
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Auto-promo de moi-même vers moi-même : Dizaine Anti-Rengaine #1, Le dernier des templiers, The Stuff of Legend |
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Non, mais pas de problème et ce n'est pas une question d'ignorance. Je t'avouerais que je me suis un peu emm... aussi aux deux flims. Seul m'a tenu éveillé la nostalgie et le plaisir de voir les pitreries et cabotinages de Jack Lemmon et de Jerry Lewis. Pour le reste, oui, dans les deux cas, c'est un peu laborieux, pas super bien réalisé, les bagarres font un peu pitié, ça traine pas mal en longueur, surtout le Blake Edwards. Clairement pas, à mes yeux, le meilleur des comédies des 50's et 60's. D'ailleurs, je n'avais plus aucun souvenir de "la folle course...". A me demander si je ne confondais pas avec "ces merveilleux fous volants dans leurs drôles de machines".
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C'est ici le thread gériatrie ?
Bon, heureusement que je suis trop court de 5 ans pour avoir été exposé à ces films… Y'a aussi certainement le facteur "jeunesse & innocence" qui fait qu'on apprécie certaines œuvres à une époque parce qu'on n'a pas encore été exposé massivement à d'autre trucs, alors que quand on les revoit plus tard… Ne pouvant pas les suivre en direct je m'étais arrangé autrement, mais là, du coup, vu les retours, je ne sais plus trop si je dois essayer de m'y coller. Quant à la marionnette de la Séquence du jeune téléspectateur, je ne crois pas être tombé sur un truc aussi flippant depuis Chico the rain maker. Nix, tu me paieras ça.
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"Bats ta femme tous les matins... Si tu sais pas pourquoi, elle, elle sait." |
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damn!! je me sens moins seul d'un coup! je pensais être le seul a m'en souvenir!
http://www.youtube.com/watch?v=R-9GYBIpe8k
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☆☆VENTE VO/VF!☆☆Maj 02/10/2017http://www.buzzcomics.net/showthread.php?t=22416 |
#85
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Mais sinon, le film a conservé un charme fou : les changements de tenues de Natalie Wood à chaque scène, Lemmon qui en fait des caisses, Peter Falk poilant en laquais, Tony Curtis tout de blanc vêtu... Et puis, je vais faire mon vieux con, mais j'aime aussi ces films parce qu'ils sont authentiques : il n'y a pas des figurants numériques, de faux décors générés par ordinateur, c'est pas comme toutes ces m$£µ# genre Seigneur des anneaux, Avatar, qui durent des plombes, où rien n'est vrai. Là, c'est des vrais décors, des beaux costumes, des acteurs qui s'amusent, un réalisateur inventif, c'est marrant, il y a un plaisir enfantin là-dedans qui n'existe plus aujourd'hui. C'est euphorisant. Si un remake était fait, on aurait droit à Ben Stiller, Cameron Diaz, Will Ferrell et les frères Farelly ou Judd Appatow pour la réal' - rien que d'y penser, ça fait peur. Hollywood a perdu la recette, cette magie, cette fantaisie. |
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Le point commun que je vois en fait à ces deux comédies c'est qu'elles commencent très bien. Les séquences s'enchaînent agréablement, les persos sont très bien définis et campés. Très vite, les enjeux nous apparaissent. Ils sont clairs. Ils promettent.
Seulement, assez vite, au bout de 20/30mn, je trouve que ça s'enlise, ça patine sec. L'écriture n'est pas assez solide et est incapable de renouveler et de relancer l'intérêt. Surtout pour le Edwards. Pour le Tashlin, c'est plus un manque de rigueur (dans le jeu des 2nd et 3è rôles, dans le rythme) qui plombe le truc. Attention, ça m'a fait plaisir de les voir. Mais, je ne les reverrai pas. En revanche ça m'a donné envie de voir d'autres Martin/Lewis parce qu'ils le font bien tous les deux. Je connaissais Jerry tout seul. J'ai découvert son chouette duo avec Dino. Ils ont clairement un truc ensemble. |
#88
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Le duo Martin-Lewis : il y a tant à dire sur ce sujet.
Lewis a vraiment torpillé leur affaire en tirant la couverture à lui, et Martin lui en a méchamment voulu (pas tellement pour la gloriole mais pour le manque de respect, la grosse tête, etc) ; ça s'est très mal terminé entre eux. Perso, j'aimai beaucoup Lewis, mais quand je revois un de ses films, j'ai du mal à le supporter maintenant. Alors que Dean Martin, j'en suis devenu un inconditionnel : j'adore le chanteur (que je préfère même à Sinatra) et le comédien était épatant (ah, Bama dans Comme un torrent de Minnelli !). Il a cette nonchalance très classe du mec à qui on la fait pas, qui regarde tout ça comme une farce dérisoire. C'était une attitude qu'il tenait de ses origines italiennes, où dans la région de ses parents tous les hommes se comportaient comme ça. Il faut lire la biographie de Nick Tosches, Dino, pour tout savoir de ce personnage. A côté, n'importe quel mec déglingo d'aujourd'hui passerait pour un minet. Tous les membres du Rat Pack (et leurs copines, comme Shirley MacLaine) étaient quand même de sacrés numéros. |
#89
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Me demande si ce n'est pas le seul Edwards qui me déçoit... Quand à Ces merveilleux...., je l'avais adoré à 9 ans, et revu il y a quelques années j'ai un peu déchanté...
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Il est impossible de faire comprendre quelque chose à quelqu'un
si son niveau de vie dépend directement du fait qu'il ne la comprenne pas. |
#90
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Chaque Mardi, sur France Ô, depuis hier soir, la série Lost est rediffusée à raison de 3 épisodes par semaine. J'ai donc revu ça et ça commençait bien (même si, rétrospectivement, on sentait bien que, malgré les déclarations des auteurs, toutes les promesses ne seraient pas tenues - trop de pistes, de personnages, de subplots...). L'interprétation est aussi très inégale mais Terry O'Quinn dans le rôle de John Locke est toujours aussi magnétique. Par ailleurs, tout ça m'a quand même fait un drôle d'effet quand j'ai remarqué dans le générique de fin que ça datait de 2004 (déjà 9 ans !)... |
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