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Mother Panic 8 (DC ; Scénariste Jody Houser ; Artiste John Paul Leon)
Je ne lit même plus la back up, gotham radio donc j'en parle pas. Pitch : Violet tente de remonter la piste de sa nouvelle cible (Ce dernier a tué les parents d'une jeune fille que l'héroïne avait libérer). Mais voilà que son corps la lâche de nouveau et son médecin lui interdit de jouer les justicière. Du coup elle va jouer les cibles. Avis : Couverture : J'aime Tommy Lee Edward. Et je trouve que l'image va bine avec l'intérieur même si on voit pas violet en Mother Panic dedans. 1/2 Scénario : Un peu difficile à suivre parfois, mais j'aime toujours beaucoup cette série dont je trouve on parle peu. C'est différent et c'est intéressant. Que demander de plus ? 3/3 Dessins : Leon est ma came. Franchement j'aime beaucoup ce qu'il propose. C'est moins impressionnant que son détective comics avec Percy, mais c'est un bon remplacement à Edwards. 3/3 Sentiment : Plus ça avance plus on apprend des choses. La le dessin de Percy permet de mettre le point sur un élément qui m'était passé au dessus (On voit toute les couture sur son corps et on comprend bien plus ce qu'elle avait souffert dans son école). 2/2 9/10 |
#62
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Ah, faut que ji li lise!
Bon, je me doute que presque personne ici ne lit Gwenpool (c'est normal, il sort au moins 200 comics/mois bien supérieurs), mais sachez que l'arc en cours (Beyond the 4th wall) est un enorme hommage à Scott McCloud. Cela devait être dit. |
#63
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Beautiful Canvas 1 (Black Mask ; Scénariste Ryan K. Lindsay ; Artist Sami Kivela)
Pitch : Lon Eisley est engagée pour tuer quelqu'un part un billionnaire. Mais Lon préfèrerais se trouver avec celle qu'elle aime (Qui semble enceinte). Une fois la mère tuer Lon fuis avec le gamin de cette dernière qui l'a remercie. (J'ai pas l'impression contrairement à comics vine qu'il soit la cible). En tout les cas elle est pris à part par une équipe qui eux désire vengeance. Quand à la billionnaire elle fait du "jardinage" en coupant le bras d'un garçon et mettant se bras en terre pour l'arrosé, tout en téléphonant à un photographe qui doit prendre la scène de crime et en faire de l'art. Avis : Couverture : Assez belle, pas très parlante, mais on voit bien que ça va finir mal ^^ 1/2 Scénario : Très étrange. J'ai pas compris ce qui se passait avec le gars dans manège de fête foraine. Est-ce qu'il se tue ou tue celui a qui il parlait. Et ça a quoi avoir avec. De plus a part que les personnages sont complètement barré (Même le môme), l'univers paraissait normal avant d'inclure des pouvoirs dans les membres de l'équipe s'en prenant à Lon. Dessins : J'aime beaucoup les dessins, c'est en voyant des pages ici dans les preview que j'ai voulu trouver ce numéro. Lon a un certain charisme panache et souvent je la trouve Sexy. Si je trouve le numéro compliqué pour moi ce n'est pas dû aux dessins. 3/3 Sentiment : Très noir (Surement trop pour me plaire), trop de chose non répondu. Mais ça me rend pas curieux, ça m'empêche d'avoir du plaisir à suivre ce que je lis. Rien que le fait que j'ai pas le même pitch que Comics Vine me pousse a me dire que ça prouve qu'il manque des choses. Et pourtant le cliffanger est vraiment intéressant 1/2. 6/10 |
#64
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Je crois que je vais prendre le 25 pour voir et après je stop ...
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Ma Wishlist Comics |
#65
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Le programme a changé, l'arc prévu ne démarre qu'au #26.
Après, c'est clair que ça fait pâle figure vis-à-vis des autres titres de groupes.
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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#66
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Clue 1 (IDW ; Scénario Paul Allor ; Artiste Nelson Daniel)
Pitch : Upton est le majordome de la demeure de Mr. Boddy. Il nous invite en bon narrateur omniscient à suivre les événements de la nuit et le crime à venir. Avis : Couverture - Franchement j'aime beaucoup cette couverture ! 2/2 Scénario - Assez original et pas désagréable. Loin du désastre que j'imaginé. Malin les auteurs on fait deux page de fin qui a trois version différente (Forçant à acheter trois fois le comics donc ^^ ). Les personnages sont un peu étrange et stéréotypé mais le mystère qui apparait en milieu d'histoire n'est pas le seul. Un petite gout des 10 petits nègre loin d'être désagréable. 2/3 Dessins : Certes un peu juste sur certain visage, certes beaucoup de case un peu vide rempli par la couleur. Mais ça fait le travail sans avoir un rejet complet. 2/3. Sentiment : Belle surprise, sans être convaincu complètement. Je garderais un oeil sur le TPB que je prendrais s'il n'est pas cher. 1/2 7/10 |
#67
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Kamandi Challenge #6
Kamandi Challenge #6
W : Steve Orlando P : Philip Tan I : Norm Rapmund Je jette l'éponge. Décidément cette maxi en hommage au dernier garçon sur Terre du King Kirby n'en finit plus de décevoir. D'entrée de jeu Steve Orlando doit faire avec l'ignoble cliffhanger de son prédécesseur (et c'est endormant). Et ensuite .... ensuite Orlando est à l'image de la plus grande majorité des scénaristes actuels (bien aidés par les dessinateurs) : il est incapable de raconter une histoire auto contenue (ou presque), en rythme, sans ellipse sur une vingtaine de pages ce que savait faire Jack Kirby. Cela donne des histoires bancales au service d'illustrateurs tremblant à l'idée de dessiner plus de 3 cases par planche. Orlando aurait pu insérer quelques pavés de textes comme "plus tard" ou "deux jour après" ou encore "ailleurs" mais non en 2017 on est au dessus de ces procédés d'un autre temps (celui où on savait raconter une histoire). Donc à part une cité bolchévique qui prend vie rien à se mettre sous la dent (et encore vous n'y arriverez peut être même pas, assommé par des dialogues pompeux). Cerise sur le gâteau on a en plus droit à la crème des coloristes : Dean White. La coupe est donc pleine. Bye bye héritage royal et bon triste anniversaire. |
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Letter 44 #34
LETTER 44 #34
W : Charles Soule P : Alberto Alburquerque I : Alberto Alburquerque Avant dernier numéro .... ennuyeux comme du Charles Soule qui pourtant n'avait jamais déçu sur son creator owned. Fin du monde au programme vu à travers les réflexions prétentieuses et ennuyeuses d'un écrivain (Soules lui même) sur la vie (l'amour, les vaches). Aucun lien avec la série. Il est pas beau le nombril de Soule. En plus Alberto Alburquerque ne se foule pas. Bref il ne reste plus qu'à espérer que le final (plus qu'un numéro) soit à la hauteur et qu'il y ait la place de conclure sinon nous pourrons affirmer que nous sommes devant une belle boulette. |
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Renato jones season two #2
RENATO JONES SEASON TWO #2 (OF 5)
par Kaare Andrews 23 pages de BD, 3 fausses pubs et Renato qui fait une rencontre inattendue avec une revenante (voir le premier numéro de la saison 1) à un bal masqué. Mais le sommet de ce numéro est cette planche : terriblement d'actualité Bref l'histoire avance (la quête de Jones, les intrigues de Bliss, les magouilles politiques de son père président) dans un délire graphique comme Kaare Andrews sait si bien faire, rappelant encore une fois le Frank Miller de Sin City et le tout est raconté de manière assez classique mais avec un ton irrévérencieux (attention ce n'est pas du Ennis non plus) marque de fabrique de la série. choke on this |
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Effectivement, c'est bien vu avec cette différence que Trump me semble trop fou pour être totalement contrôlable.
On sent qu'Andrews a été marqué par Dark knight returns dans ses BD. Je pense par exemple à son très bon Spider-man : reign.
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"Whatever knows fear burns at the man-thing's touch!" Chroniques VO 01/02/20 : Deadpool the end, la fin des New Defenders, Tarot 2, Epic collection X-cutionner's song, ravencroft 1, Doc Strange et Cap Marvel the end, Cap 18 |
#71
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C'est peu de le dire! Un Miller de gauche, quoi. (winkwink).
Bon, aussi incroyable que cela puisse paraitre à l'immense majorité d'entre vous (en gros tous sauf peut-être le Zen), Avatar est LE leader des parutions indés en terme de qualité ce mois-ci. Si si. Et juste avec 2 titres : le Cinema purgatorio 11, où à la fois Moore et Ennis sortent leur meilleur épisode (somehow self-contained) dans cette excellente et pourtant déjà ancienne anthologie, où les accompagnent de fort corrects Gage et Gillen! (Le Moore s'appelle My fair Dahlia, ce qui vous indique de quoi il s'agit). Et Gillen alone (enfin, avec le (très?) bon Daniel Gete) sur l' Über invasion # 7 , un pur chef-d'oeuvre de War comic superhéroïque, qui renvoie les plus beaux combats de supes' que vous ayez jamais vus au rang d'éructations préhistoriques. Bref, c'est comme du Straczynski qui se hisserait à un niveau moorien. °° Et il s'agit donc de Comment tuer un Battleship nazi avec un petit bataillon de simple-enhanced black troopers, mais des speedsters (oui, je spoile un chouia). 22 pages hallucinantes. Dernière modification par gillesC ; 04/08/2017 à 10h43. |
#72
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Comme le film de 1985 et ses trois fins différentes, donc.
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