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enfin comme pour moi ça reste plus que lisible
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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Ouais, disons que malgre mes standards extremements bas pour du comics de slip, j'ai quand meme du mal quand sur certaines planches je ne sais meme pas dans quel ordre lire certaines cases. Encore une fois, ca n'est rien contre le scenar qui bien que d'une connerie sans nom a des idees funs par ci par la, mais qui aurait pu etre presente de facon un peu plus fun.
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When I'm good, I'm good. When I'm bad, I'm better. |
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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Scarlet Needle est le meilleur. Mais ne votez pas trop pour lui.
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La liste des comics sur lesquels j'ai bossé chez MARVEL. |
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enfin du moment que ça ne dévisse pas
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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All Star Superman 6.
Titre : Funeral in Smallville. Bon. Que dire sur cet épisode ? Après tout, ça fait depuis le début de cette série qu'à chaque critique que je fais, je vous dis que c'est très bien, excellent, drôle, fun, prenant et qu'en clair, je voudrais du All Star Superman plus souvent. Donc que dire sur cet épisode qui est vraiment magnifique, superbe, poignant et sans faute ? Rien, à part qu'il faut le lire, et le relire, encore et encore. En fait, dès le titre et les premières pages, on comprend déjà ce qu'il va se passer. La fin de l'adolescence de Clark, la vision de Smallville par Morrison mais surtout la disparition d'un des êtres les plus importants de Superman malgré sa longue absence, finalement...ça se voit dès le début. Et déjà, ça, c'est bien. Déjà, on sent que le récit va être poignant, que Superman sera plus "man" que "super", et qu'on le verra vraiment comme un humain. Et ça, encore une fois, c'est bien. Mais en plus de ce récit dur, humain et finalement banal sur la disparition d'un proche et le changement que ça peut faire sur un être comme Clark Kent et son alter ego, Morrison réussit aussi à glisser de nouvelles références au Silver Age dont il fait l'éloge à chaque épisode (ah, le numéro 2 !). En effet, ce bon vieux Grant nous ressort à nouveau l'histoire des Supermen du futur (déjà vue, d'ailleurs, dans All Star Superman 2, il me semble), en y impliquant la dose de fun et d'humour au second degré voulu. C'est encore une fois assez drôle et nostalgique de voir ces types venus du futur, ça m'a, personnellement, rappelé les vieux épisodes que j'ai trouvé avec difficulté sur les anciennes histoires de Superman, avec les voyages dans le temps et tout. Je pense que Morrison aimait ça, et tente de nous communiquer ça par l'utilisation de tels concepts et personnages. Et ça me plaît. Morrison nous livre donc à la fois un récit triste, intimiste et poignant, mais en même temps assez fun par les Supermen. Il y a des passages finalement assez drôles, mais d'autres beaucoup plus prenants, comme la discussion de Jonathan Kent avant l'événement et le discours de Clark à la fin. Au final, ça donne un épisode dans la lignée des précédents, c'est à dire magnifique, fun, poignant, brûlant d'amour pour le Silver Age et le personnage, et en plus superbement dessiné par un Quitely au sommet de son art. Que demander de plus, au fond ? Rien, à part la suite, en espérant pour qu'elle soit encore une fois à la hauteur. |
#23
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52 Week 36
How To Win A War In Space Writers : Geoff Johns, Grant Morrison, Greg Rucka, Mark Waid Breakdowns : Keith Giffen Penciller : Jamal Igle Inker : Keith Champagne Colorist : David Baron Diantre! Après la « conclusion » de l’acte 2 de 52 dans le chaos de la semaine dernière, je m’attendais à un épisode plus calme mais c’est avec perte et fracas que les auteurs ont décidé de commencer la dernière partie du triptyque. C’est bien simple, c’est l’un des meilleurs numéros de 52 depuis le début en termes de rebondissements, de révélations et de supputations : il n’y a même pas le métagène, non pas qu’il me manque mais il commençait à me chatouiller la paix intérieure. Il faut dire que les scénaristes ont voulu frapper fort : un trépas (un de plus…), du Supernova, du Rip Hunter (vraiment à marquer d’une pierre blanche), Question et des questions et un petit détour par le Kahndaq (par ces temps un peu plus frais, c’est bon le soleil). Je n’oublie pas le petit retour de la back-up sacrément gonflée avec une certaine Power Girl par Adam Hughes (retenez Fredeur et Gilles… ). Rahhhh, que c’est bon !! Une fois ces 4 pages passées, le reste, c’est du bonheur à tartiner… Indispensable ! Entre la mort programmée et avérée d’un personnage, le destin d’un autre remis en question ou le clifhanger, le ratio intensité/pages est explosé cette semaine !!! Les auteurs ont lâché les chevaux dès le début (voir un Lobo en action, cool !) et ont fait parler la poudre : certains seront plus émus que d’autres au milieu de l'histoire… Si certaines intrigues connaissent donc une fin ou plutôt une parenthèse, c’est surtout l’arrivée de Rip Hunter qui fait rebondir le scénario car elle ouvre le champ à beaucoup de questions dont certaines vont peut-être trouver des réponses dès la semaine prochaine (clifhanger + couverture… ) : cette arrivée participe au mystère Supernova qui n’en finit plus de me faire triturer les méninges en cherchant des relations là où il y en a certainement et d’autres pas ! Franchement, 52 me gâte de plus en plus et si elle s’est éloignée de son but d’origine, j’en ai pour mon argent : autant d’événements sur 36 semaines (avec certaines assez vides néanmoins), c’est royal ! La dernière partie de la série commence on ne peut mieux ! Cette semaine, c’est Jamal Igle qui s’y colle : libéré de Firestorm (bonne série au passage), son style colle à l’ambiance car, ayant dessiné Animal Man dans Firestorm lors d’Infinite Crisis, il a des repères. Montoya ressemble énormément à Gehenna : il y a des nez qui ne trompent pas ! Je suis bien content de le voir aussi vite sur une série. Par contre face à la couverture de Jones, i n’y a rien à faire, personne ne peut lutter : Lobo en action… SI jamais une série sur le Czarnian devait se faire, il faut le choisir !!! Pour terminer, la back-up de power Girl dessinée par Hughes. Par tous les saints, les gros plans sur le haut du corps sont de rigueur (Gilles et Fredeur, vraiment calmez-vous ) mais Mark Waid n’oublie de bien resituer l’histoire de la belle dans la nouvelle continuité. Dommage qu’une page de publicité vienne séparer les 2 pages de la back-up : pour les maquettistes DC !!!! Jetez-vous sur ce numéro !!!! Bilan : (pas loin du jackpot)
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quand je pense que je vais avoir aussi la chance de lire tout ça ce soir! et ouais, les comics le mercredi soir à Nice!
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Demain je dirai tout le bien que je pense de Justice Society Of America 2
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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et à paris tu crois quoi ?
non mais je ah ah moi...
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Daenerys à Tyrion: Je suis venue ici pour boire du Cacolac et casser des gueules. Et je viens de finir mon Cacolac ! Les recap' rigolotes |
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on nous caaaaache tout on nous dis rieeeeeeeeen.
hé oui tout le monde ne pas être jeune bohème et sans famille et avoir donc les moyens de passer à l'improviste un mercredi aprèm héhé. beaucoup aimé le jsa #2, Eaglesham a définitivement pris du niveau au dessin et Johns est pas mauvais il faut l'avouer pour nous raconter cette histoire intrigante de traque de héros masqué sur fond de refondation de l'équipe légendaire du dcu. je sais pas si c'est de l'excellent comicbook mais en tout cas ça passe tout seul et ça fait du bien, un vent de fraicheur en ce qui me concerne.
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Daenerys à Tyrion: Je suis venue ici pour boire du Cacolac et casser des gueules. Et je viens de finir mon Cacolac ! Les recap' rigolotes |
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ça t'en bouche un coin hein! comme quoi...
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