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  #61  
Vieux 28/03/2016, 23h44
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Nopoman Nopoman est déconnecté
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Nopoman change la caisse du Fauve
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Je reviens juste la dessus:
Ben, on sait exactement ce qu'il y a dans la mallette, c'est même le pitch de la série, non?
Un flingue, 100 balles et la preuve de celui qui a ruiner ta vie.
Non?

A moins que c'était de l'ironie?
Il parlait sans doute de l'exemple précis de Daw, puisque les preuves changent à chaque personne...
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  #62  
Vieux 28/03/2016, 23h52
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Mandrill Mandrill est déconnecté
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Mandrill joue à l'Homme-Taupe dans son jardinMandrill joue à l'Homme-Taupe dans son jardinMandrill joue à l'Homme-Taupe dans son jardinMandrill joue à l'Homme-Taupe dans son jardinMandrill joue à l'Homme-Taupe dans son jardinMandrill joue à l'Homme-Taupe dans son jardinMandrill joue à l'Homme-Taupe dans son jardinMandrill joue à l'Homme-Taupe dans son jardinMandrill joue à l'Homme-Taupe dans son jardinMandrill joue à l'Homme-Taupe dans son jardinMandrill joue à l'Homme-Taupe dans son jardin
Je n'ai lu qu'un tiers de la série, mais jusque là ce qu'on ne voit jamais vraiment ce sont les fameuses "preuves irréfutables" (que machin ou machine a ruiné ta vie, en général) et à mon avis ça n'est pas le propos de nous expliquer ces détails, à moins de vouloir développer le background de tous ces persos uniquement dans un but de réalisme. Savoir que les documents fournis dans la valise sont convaincant à 100% pour son possesseur suffit, c'est ce qu'il fait ensuite de l'info qui est au coeur de l'histoire.
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Je pense donc je signe.
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  #63  
Vieux 01/04/2016, 13h44
Fletcher Arrowsmith Fletcher Arrowsmith est déconnecté
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Fletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super Pépette
urban 100 bullets tome 4 : Le blues du prince rouge

100 BULLETS TOME 4 : LE BLUES DU PRINCE ROUGE


100 Bullets #23 à #30

Le blues du prince rouge (100 Bullets #23 à #25)
A ceux qui trouvait que Azzarello ne donnait pas beaucoup d'éléments de compréhension et bien avec ces épisodes on est servi. Clairement on sait désormais ce qu'est le trust, le rôle des minutemen, la signification du sigle XIII ainsi que les forces en présence avec leur buts désormais dans la vie. Bien sur il reste encore beaucoup de question et les intrigues sont loin d'être bouclées mais au moins à la fin de cet arc on a de véritables raisons de continuer ou d'arrêter de lire 100 bullets.
Cet arc met l'accent sur de fortes personnalités que l'on avait pu plus ou moins croiser ici ou là. On mesure également la virtuosité de Azzarello car mine de rien les pièces s'assemblent et le scénariste nous a préparé au grand déballage. A peine vu ou évoqué, Benito Medici et Megan Dietrich sont les deux grandes figures du blues du prince rouge. C'est fou comme ils nous semblent familier. Azzarello joue très bien sur leurs différences pour construire sa narration. Ils sont tellement différents et pourtant tout les attire. Benito est décrit comme un parvenu à la chance insolante mais qui finalement ne comprend pas grand chose à la gente féminine, grand mystère de la vie (et qui ici avec Megan revêt quand même une importance capitale). Fidèle à sa ligne directrice Azzarello met en scène un personnage quoi de plus banal, un nouveau loser dépassé par les enjeux qui ne maitrise et comprend pas (Hank Kowalski qui veut se refaire au dépend de Benito pour soigner sa femme). C'est également le temps d'un chassé croisé impressionnant mené de main de maitre avec la plupart des protagonistes qui vont chacun avancer leur pions dans cette partie d'échec géante. Azzarello aurait pu terminer sa série au #25 dans un bordel sans nom. Il y a une logique désordonnée dans la construction de cet arc dans une Atlantic City ville carrefour où on ne se croise pas ou peu et où on fait et défait des vies et des destins. Chaque intervention aussi minime soit elle (Cole Burns par exemple) trouve sa place de façon implacable.

évocation : le trust, les minutemen, le signe XIII, Lono
protagonistes : Cole Burns, agent Graves, agent Shepherd les représentants du Trust, Augustus Medici, Benito Medici, Hank Kowalski, Mary Kowalski, Megan Dietrich, agent Shepherd, Daniel Perez
localisation : Atlantic City


L'arbre généalogique de M.Branch (100 Bullets #26)
Ce numéro spécial peut être vu comme l'épilogue à un premier cycle. Mister Branch s'épanche auprès d'une prostituée parisienne dans son taudis. A lire comme le résumé de l'intrigue principale à travers des planches croquées par un artiste différents (et c'est donc la première fois que quelqu'un d'autre que Risso travaille sur la série).
C'est beau (Eduardo Risso, Paul Pope, Joe Jusko, Mark Chiarello, Jim Lee, Lee Bermejo, Dave Gibbons, Tim Bradstreet, Jordi Bernet, Frank Miller, J.G. Jones)
Branch devrait être repoussant (comme sa turne) et pourtant il se dégage un certain attachement à se personnage, comme si il devait n'en rester qu'un à la fin et cela serait lui.

évocation : les minutemen, le trust, agent Graves, Megan Dietrich, Megan Dietrich, Augustus Medici, agent Shepherd, agent Shepherd, Cole Burns, Lono,
protagoniste : Mister Branch, Echo Memoria
localisation : Paris


La fosse aux idoles (100 Bullets #27)
Ce numéro me tenait à coeur car j'en avais proposé une case extraite lors d'un 10 cases sur JFK.
L'épisode est construit sur le don de deux mallettes par Graves. L'une dans un passé lointain l'autre dans l'hôpital même. Azzarello donne sa vision de l'assassinat de Kennedy en faisant appel à une figure historique. Il revient également sur le baseball l(voir les conversation entre Loop Hugues et son père) mais surtout date dans la trame historique les interventions des minutemen. Comme souvent la construction se fait sur plusieurs plans puisque le lecteur est invité à suivre les pérégrinations des occupants dans l'hôpital et la découverte de la mallette par un mystérieux personnage blessé et bandé à la tête. rien n'est donc du au hasard. Très bon numéro surtout pour la conversation avec le champion de baseball que fut Joe Dimaggio (et sa liaison sulfureuse )

évocation : JFK, Marilyn Monroe, l'assasinat de JFK
protagonistes : Agent Graves, Joe DiMaggio, Milo Garret


contrabandolero ! (100 Bullets #28 à #30)
Sentiments mitigés pour cet arc qui e passe prêt de la frontière mexicaine. Le protagoniste principal est Wylie Tymes, loser feignant embarqué dans une drôle et sombre histoire de contrebande au delà la frontière. On ne sait pas trop où le récit va surtout qu'ici il n'est pas question de mallette. C'est Shepherd et Dizzi qui mènent la danse. Tout semble programmé dans cette partie où les rebondissements et le hasard commandent. une preuve : les retrouvailles entre Eight-Ball et Dizzi, ou encore les liens entre Mik Kuchenko et Shepherd. L'intérêt semble être de savoir qui est réellement Wylie Tymes. On pense à un ancien minutemen qui ne s'en souviendrait plus comme pour Cole Burns. Shepherd recrute t il au nez et la barbe de Graves ? rien est moins sur.
Surprenant est le ton de ce récit, moins sombre que d'habitude, plus virevoltant comme dans un film des frères Coen.

protagonistes : Dizzy Cordova, agent Shepherd, Eight-Ball, Wylie Tymes, Doctor Dan, Mik Kuchenko (Coochie), Hopper, Angelina
localisation : Mexique, Texas ?

Comme d'habitude l'autre attraction reste les dessins de Eduardo Risso avec leurs multitudes de détails et les nombreuses variations de points de vu sous différents plans. Ce n'est jamais surchargé et pourtant il s'en passe des choses (les tribulations du personnel hospitalier sont un superbe exemple dans le #28).
Et puis il faut voir comment il croque la gente féminine : Dizzy, Angelina, Echo Memoria et Megan Dietrich (dont la présentation dans le #23 fait monter le kiki)
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Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 18/04/2016 à 23h53.
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Vieux 18/04/2016, 23h52
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Fletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super Pépette
urban 100 bullets tome 5 : 100 balles pour un prive

100 BULLETS TOME 5 : 100 BALLES POUR UN PRIVE


100 Bullets #31 à #36

100 balles pour un privé (100 Bullets #31 à #36)
Premier faux pas de Azzarello ? Ce cinquième tome qui contient un arc unique, le plus long à ce jour (6 épisodes) ne m'a pas convaincu. Pourtant cela part bien avec une momie vivante en la personne de Milo, à qui Graves à proposé sa fameuse mallette à l'hôpital dans le #27. On croise nombre de personnages de premier plan comme Megan Dietrich, Echo ou l'inévitable Lono. Même Cole Burns vient mettre son grain de sable provoquant le doute chez Milo mais malheureusement chez le lecteur également. Cela part comme un polar noir pur jus, avec de usuriers, un tueur à gage, des femmes fatales, un détectives privé, des protagonistes importants qui viennent tranquillement s'incruster dans une équation trop simple à résoudre à l'arrivée. Tout cela pour cela ? Car c'est quand même 6 épisodes et il me tardait que cela se termine (trop de fausses pistes). Je n'ai pas compris où Azzarello voulait en venir. Peut être que la suite me donnera tord et que l'on va découvrir comment cette pièce du puzzle s'insère.

protagonistes : Cole Burns, agent Graves, le Trust, Megan Dietrich, Milo Garret, Milo, Echo Memoria, Benito Medici
localisation : Los Angeles
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  #65  
Vieux 19/04/2016, 17h09
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100 BULLETS TOME 5 : 100 BALLES POUR UN PRIVE


100 Bullets #31 à #36

100 balles pour un privé (100 Bullets #31 à #36)
Premier faux pas de Azzarello ? Ce cinquième tome qui contient un arc unique, le plus long à ce jour (6 épisodes) ne m'a pas convaincu. Pourtant cela part bien avec une momie vivante en la personne de Milo, à qui Graves à proposé sa fameuse mallette à l'hôpital dans le #27. On croise nombre de personnages de premier plan comme Megan Dietrich, Echo ou l'inévitable Lono. Même Cole Burns vient mettre son grain de sable provoquant le doute chez Milo mais malheureusement chez le lecteur également. Cela part comme un polar noir pur jus, avec de usuriers, un tueur à gage, des femmes fatales, un détectives privé, des protagonistes importants qui viennent tranquillement s'incruster dans une équation trop simple à résoudre à l'arrivée. Tout cela pour cela ? Car c'est quand même 6 épisodes et il me tardait que cela se termine (trop de fausses pistes). Je n'ai pas compris où Azzarello voulait en venir. Peut être que la suite me donnera tord et que l'on va découvrir comment cette pièce du puzzle s'insère.

protagonistes : Cole Burns, agent Graves, le Trust, Megan Dietrich, Milo Garret, Milo, Echo Memoria, Benito Medici
localisation : Los Angeles
Ah ben moi c'est mon passage préféré.
Mais j'ai vraiment l'impression que tu ne l'as vu que comme une pièce d'un tout, alors qu'il me semble que c'est peut être l'un des seuls arcs qui peut se lire pratiquement seul, à coté du reste. J'avais vraiment bien aimé l'ambiance polar hard boiled. Et je crois que c'est le coté "stand alone" de l'arc qui m'avait bien plu aussi.
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100 bullets, azzarello, risso, urban comics

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