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#451
22/01/2016, 23h04
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J'ai beaucoup aimé également le numéro du Silver Surfer. Les thèmes utilisés par Dan Slott sortent de l'ordinaire et le scénariste arrive à nous surprendre. La fin promet beaucoup. Une excellente lecture en effet.
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#452
29/01/2016, 14h22
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C'est clair que Batgirl est clairement retombé après un démarrage sympa quand la nouvelle équipe est arrivée.
C'est mon dernier titre Marvel et DC et il ne survivra pas le relaunchbootbirth de juin dans ma pull list.
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#453
30/01/2016, 14h22
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X men epic collection 12 : the gift
Dans ces 500 pages, nous revivons les années 1985 et 1986 et inutile de dire que c'est du désormais classique, ayant merveilleusement bien vieilli! Dans ce volume qui fait une grande part à Rachel Summers, la fille de Cyclope issue d'un futur dystopique, on assiste à l'infiltration du club des damnés pour empêcher l'avènement de la sorcière immortelle Selene de Nova Roma, une Rome fondée en Amazonie par des anciens Romains dans le plus grand des secrets, de devenir reine noire mais aussi aux débuts de Nimrod, la sentinelle sur évoluée venue du futur pour s'assurer que rien n'empêche leur avènement. On a également le retour du sorcier Kulan Gath, servant de Shuma Gorath et ennemi de Conan le barbare, qui transforme Manhattan en cité hyboréenne et affronte les X men et les vengeurs, la venue sur Terre de Magus, le père de Warlock des nouveaux mutants, qui veut tuer ce dernier à l'aide de son corps de robot polymorphe, l'arrivée de Warpath/James Proudstar qui veut venger son frère Thunderbird dont il pense les X men responsables, le retour du Fléau... Sans oublier l'enlèvement des enfants de Powerpack par les Morlocks, une tentative de meurtre raciste perpétrée par des étudiants contre un célèbre mutant, un duel étrange entre Fatalis et Arcade, la rencontre avec un Beyonder en train d'expérimenter son corps humain dans le cadre de Secret Wars II et Tornade qui retrouve ses racines en Afrique! Et ça, c'est entre les numéros 189 et 198, tous compris ici. C'est dire qu'il s'en passe des choses. Ce volume franchement grandiose ne serait pourtant rien sans la présence des deux numéros spéciaux X men and Alpha Flight 1 et 2 : the gift qui lui donnent son titre. Dans cette histoire mémorable embringuant les deux équipes dans une aventure au Québec, Loki offre un don incroyable aux survivants humains et mutants d'un vol emmené par Scott Summers et Madelyne Pryor, devenue sa femme à l'époque et appelée à un rôle très marquant quelques années plus tard. Ceux-ci peuvent désormais pousser leurs capacités à leurs limites théoriques : Cyclope n'a plus besoin de lunettes pour contenir ses rayons destructeurs, Madelyne peut guérir toutes les maladies et handicaps (y compris le nanisme de Puck), le cultivé responsable des caisses et colis devient virtuellement une fontaine de savoir et le passager architecte devient capable d'édifier des cités parfaites en toute simplicité.Face à ces dons qui pourraient éradiquer la faim dans le monde et abolir toute pauvreté et tout racisme, que vont faire la division et les X men à qui la possibilité d'atteindre tout leur potentiel est offerte? Ces deux numéros spéciaux sont absolument parfaits et une lecture indispensable pour tous. Ce volume d'Epic collection m'a permis de lire pour la première fois l'annual des X men n°8, une histoire racontée au coin du feu par Ilyana Raspoutine et contant les aventures fictives de Kitty Pryde et son dragon Lockeed dans l'espace, parodiant certains personnages célèbres qui entourent les mutants. Un peu anecdotique, ce numéro permet toute de même la réconciliation post Secret Wars I (le crossover de 84-85 bien sûr) de Shadowcat et Colossus. Enfin, j'ai aussi pu lire pour la première fois les 4 numéros de la mini-série Nightcrawler écrite et dessinée par Dave Cockrum. Une histoire pleine de pirates, de cités volantes, de fantaisie, de cape et épée mais aussi de Bamf (vous comprendrez à la lecture) et de parodies de personnages célèbres. Un récit enlevé et agréable qui met très bien en valeur un des mes mutants favoris et rien que pour ça, il est hautement appréciable même si un peu anecdotique pour ce qu'il apporte au titre. Du point de vue graphique, on se régale d'un Romita Jr en grande forme, avant sa période très carrée (sur le Punisher) que j'aime moins. Il assure l'essentiel des dessins du volume. Le 198 sur Tornade est réalisé par l'excellent Barry Windsor Smith. On a aussi du magnifique bon Paul Smith sur la mini X men et Alpha flight, du très bon Cockrum (comme d'hab) sur la mini Nightcrawler et un annual assuré par un assez convaincant Leihaloha. Claremont assure tous les scénarios (hormis la mini Nightcrawler, donc) et c'est celui qu'on aime. Bavard, mais à bonne escient, nous faisant entrer dans la psyché de tous les personnages pour permettre de les comprendre, ce qui amplifie l'empathie que nous avons pour eux et leurs problèmes, décrivant à merveille et avec réalisme la société de l'époque et donnant du corps au plus anodin des personnages (comme l'employé du musée qui vole l'amulette habitée par Kulan Gath), semant à merveille les éléments de scénario futurs pour donner envie de savoir ce qui va se passer ensuite et utiliser des évènements à priori mineurs quelques numéros plus tard pour nous en mettre plein les mirettes. Il écrit aussi très bien les personnages féminins, très nombreux dans l'équipe et tous plus humains et attachants les uns que les autres, très réalistes. C'est à mon avis son atout principal et une des raisons pour lesquelles la série a tant connu le succès à l'époque. Vous êtes encore là? Foncez acheter X men epic collection 12 : the gift, un des meilleurs trucs qu'ait sorti la BD américaine de super-héros des années 80! Scénario : 18/20 Dialogues : 18/20 Dessins, encrage, couleur : 18/20 Note finale : 18/20  Carnage 4 Les troupes militaires chargées de traquer Carnage sont ensevelies sous des éboulis,avec de nombreux morts. Face à cette situation catastrophique, un dialogue lourd de tension s'engage entre l'arme secrète de l'équipe et le dernier officier en charge encore en vie, dont le sujet est rien moins que leur vie ou leur mort mais pourrait impliquer des conséquences dramatiques. Pendant ce temps, Cletus Kasady en apprend plus sur ses nouveaux amis, qui lui font une offre qu'il ne peut pas refuser. Est ce la fin pour les Etats-Unis et le monde? Après un piteux numéro 3, on remonte au niveau des deux très bons premiers épisodes et leur ambiance de film d'horreur pour claustrophobes. On revoit avec plaisir le "supporting cast" du symbiote dégénéré,avec un hôte de marque qui entre en action dans une séquence mémorable, on tremble en assistant à la confrontation entre le tueur et ses dangereux hôtes et on apprécie énormément l'ambiance sombre et malsaine qui se dégage du titre. Le cliffhanger envoie du pâté et on a a hâte de lire la suite car Carnage a rarement été aussi bien employé dans un récit qui lui redonne tout son intérêt, sorte de Freddie Krueger de l'univers Marvel. Ses dialogues sont particulièrement réussis. Scénario : 15/20 Dialogues : 16/20 Dessins, encrage, couleur : 16/20 Note finale : 16/20 
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"Whatever knows fear burns at the man-thing's touch!" Chroniques VO 01/02/20 : Deadpool the end, la fin des New Defenders, Tarot 2, Epic collection X-cutionner's song, ravencroft 1, Doc Strange et Cap Marvel the end, Cap 18
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#454
31/01/2016, 10h54
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Belle critique de l'EPIC X-men, tu m'as convaincu de me le procurer rapidement.
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#456
31/01/2016, 17h47
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J'aurai quelques doublons, mais ce volume Epic des X-Men contient tellement du lourd qu'il est sur ma liste.
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Mes ventes: Kiosque Marvel et D.C. (Panini et Urban Comics), un peu de librairie, un soupçon de V.O pour du Marvel, du D.C....
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#458
05/02/2016, 17h12
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DC
Catégorie « Excellent » RIEN Catégorie « Très bon » RIEN Catégorie « Bon » Batgirl 48 Genre : ça redécolle ! Batgirl et son amie Black canary enquêtent sur un criminel qui semble en savoir énormément sur la fille chauve-souris…et pensent à cet adversaire étonnant qu’elle a eu bien du mal à vaincre lors du premier arc de la nouvelle équipe créative… Aux dessins, le retour de Babs Tarr fait bien plaisir après un piteux artiste bouche-trou même si l’allusion à des ennemis affrontés dans un numéro FCBD que je n’ai pas lu m’agace un peu. Un numéro qui semble annoncer le renouveau de la série. Semble… Scénario : 14/20 Dialogues : 15/20 Dessins, encrage, couleur : 15/20 Note finale : 14/20  Catégorie « Sympa » RIEN MARVEL Catégorie « Excellent » Sam Wilson : Captain America 6 Genre : Conclusion en fanfare du premier arc ! Sam Wilson et son nouvel allié affrontent Serpent solutions puis se confrontent à leurs employeurs, d’honnêtes hommes d’affaires bien propres sûr eux qui ont le culte du profit… Encore un numéro mémorable qui renouvelle avec talent le personnage, le plaçant face aux maux du monde moderne. Malgré un dessinateur efficace mais qui ne m’a guère enthousiasmé on apprécie la cohérence graphique de ce premier arc aux 3 dessinateurs différents (mais pourquoi ?) et son final original et réaliste, dans lequel des grands patrons américains échappent partiellement à la sanction par le chantage économique. C’est assez inédit pour être signalé. J’ai hâte de lire la suite ! Scénario : 17/20 Dialogues : 17/20 Dessins, encrage, couleur : 15/20 Note finale : 17/20  Catégorie « Très bon » Doctor Strange 5 Genre : « Fin » de premier arc narratif Strange affronte enfin directement la menace qui vise tous les mages de la Terre (et même du multivers) et semble l’emporter. A son insu, son fidèle Wong l’aide en secret afin d’épargner sa mort au prix de celles d’autres personnes… Ce numéro continue d’assombrir la condition de sorcier suprême. Après le poids de la magie sur son corps qui le prive de facultés sensorielles, on découvre que les sorts qu’il lance sont si puissants qu’il a besoin d’aide pour encaisser leur contrecoup. Doctor Strange n’a jamais été aussi faible et faillible que sous Aaron mais ce parti-pris de réalisme et de complots très post onze septembre est suffisamment bien mis en scène pour passionner le lecteur. On apprécie les nombreuses très bonnes idées du scénariste pour moderniser le personnage mais on regrette la noirceur qui se dégage désormais du titre, Strange étant bien loin désormais de sa version Lee/Ditko. Le mystère de la hache reste à peu près entier à la fin de cette première partie de run. Scénario : 15/20 Dialogues : 16/20 Dessins, encrage, couleur : 16/20 Note finale : 16/20  Howard the duck 4 Genre : Howard est le jouet de puissances cosmiques Howard est prisonnier de l’étranger, un doyen de l’univers qui souhaite utiliser ses nouveaux dons à ses fins d’expérimentation. Mais les gardiens de la galaxie et la groupie ultime de Galactus ne l’entendent pas de cette oreille… Suite de ce premier arc post Secret wars d’Howard, qui revient à ses nouvelles racines de la scène post générique du film « les gardiens de la galaxie » Inutile de dire que ce n’est pas le versant d’Howard que j’aime le plus (même les trois numéros de la série d’origine de Gerber parodiant entre autres Star wars sont loin d’être mes favoris). Ceci dit, c’est suffisamment bien mis en scène et raconté (y compris du point de vue graphique) pour prendre le lecteur au jeu. J’ai bien ri sur l’origine des pouvoirs cosmiques de Scout, la groupie, et admiré la connaissance bien employée du mémorable run Lee/Kirby sur les Fantastiques. Je vous ai mis une des variant covers pour changer, parce que je la trouve géniale! Scénario : 15/20 Dialogues : 16/20 Dessins, encrage, couleur : 16/20 Note finale : 16/20  Catégorie « Bon » RIEN Catégorie « Sympa » RIEN
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"Whatever knows fear burns at the man-thing's touch!" Chroniques VO 01/02/20 : Deadpool the end, la fin des New Defenders, Tarot 2, Epic collection X-cutionner's song, ravencroft 1, Doc Strange et Cap Marvel the end, Cap 18
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#459
05/02/2016, 21h13
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La hache à part dans 1 épisode n'a pas été utiliser pour l'instant contrairement au couverture ^^
Mes avis à venir quand je serais libre, cette semaine j'accueil pour un cour temps mon meilleur ami venant du japon.
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#460
12/02/2016, 18h36
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DC
Catégorie « Excellent » RIEN Catégorie « Très bon » Harley's little black book 2 Genre : Un titre team up convaincant pour l'instant Harley achète une bien étrange bague sur Ebay, liée aux terribles red lanterns mais aussi au macabres black lanterns, menaçant New York sous l’effet de son changement de personnalité. Pendant que Green Lantern enquête, les amis justiciers anglais d’Harley débarquent à New Yorj, à sa recherche. Encore un très bon numéro du little Black book ! Ces premières rencontres sont pour l’instant de meilleure facture que la série principale, notamment grâce à des dessinateurs très convaincants et des histoires suffisamment efficaces et divertissantes pour un titre de team up. Surtout, l’idée d’avoir gardé un fil conducteur à travers les justiciers anglais apparus dans le numéro 1 est gagnante et donne du corps à ce qui pourrait n’être qu’une succession de gags et de combats. Ah oui, si Green Lantern s’était permis ce qu’Harley lui fait subir en toute grivoiserie, je suis pas sûr qu’il s’en sortirait avec un simple procès… Scénario : 14/20 Dialogues : 15/20 Dessins, encrage, couleur : 15/20 Note finale : 16/20  Catégorie « Bon » RIEN Catégorie « Sympa » Gotham academy 15 Genre : Une série qui s'essouffle de plus en plus Suite du yearbook, avec des histoires aux styles graphiques variés mais qui partagent une certaine qualité graphique et un côté anecdotique certain. Encore un numéro dispensable d’une série qui l’est depuis assez longtemps, le problème étant le manque total d’attachement que l’on a pour les personnages en dehors de Maps et Olive. Scénario : 12/20 Dialogues : 12/20 Dessins, encrage, couleur : 15/20 Note finale : 12/20  MARVEL Catégorie « Excellent » RIEN Catégorie « Très bon » Deadpool 7 Genre : Une série qui n'en finit pas d'être passionnante Numéro anniversaire imposant dédié à la 25 ème année d’existence du mercenaire intarissable. Dans la première histoire de ce pavé, Deadpool nous présente le QG des Uncanny avengers (qu’il finance en lieu et place de Stark) sur une magnifique double page, s’offre une virée en voiture meurtrière avec ses mercs for hire et consulte son journal consacré aux torts à son endroit qu’il s’est juré de réparer. Sa mémoire est défaillante et il va donc rosser aussi bien la Main, comme tous les ans, que le type qui lui avait spoilé le tome 5 d’Harry Potter à sa sortie. Mais il y’a ce mystérieux message à propose de Dents de sabre qu’il ne parvient pas à déchiffrer… Les 5 autres histoires sont consacrées aux mercs for hire de Deadpool et toutes réalisées par des équipes créatives différentes. On y apprend ce qui les a motivés à rejoindre son équipe (pour 3 d’entre eux) ou des aventures solo et bizarres (pour les trois plus fêlés). La qualité de ce pavé de près de dix dollars (3ème numéro anniversaire maousse de l’ère Duggan/Posehn si je ne m’abuse) les vaut largement. Il fait avancer la trame de fond (en lien direct avec le secret révélé pendant le crossover Original sin), divertit en amusant (les vengeances de Deadpool sont très bien mises en scène et en paroles) et nous permet enfin de nous attacher aux mercs for hire en les humanisant, la meilleure histoire étant celle de Terror, qui est un de personal favorites depuis bien des années, suivie par celle des pères de famille plus (Manta) ou moins (Solo) sérieuses. Enfin viennent selon moi celles de cinglés de service, plus dispensables, qu’il s’agisse de celle de Foolkiller III, Slapstick ou Masacre (toute en espagnol de cuisine comme il se doit). Un grand numéro ! Scénario : 16/20 Dialogues : 17/20 Dessins, encrage, couleur : 16/20 Note finale : 16/20  The totally awesome Hulk 3 Genre : Toujours une bonne tranche de fun à défaut d'être révolutionnaire Le nouveau Hulk aide la chasseuse de monstres Lady Hellbender à capturer le titanesque Fin Fang Foom lors d’un duel homérique. On en apprend encore plus sur le destin de Bruce Banner…et au numéro suivant, on saura enfin comment Cho est devenu Hulk ! Encore un numéro très fun, avec des planches superbes de Franck Cho, qui manie toujours aussi bien l’humour et le sexy; Le scénario est léger et agréable, distillant ses informations au compte-gouttes mais de manière équilibrée. Fin Fang Foom est magnifiquement bien mis en scène. Scénario : 15/20 Dialogues : 16/20 Dessins, encrage, couleur : 17/20 Note finale : 15/20  Catégorie « Bon » Weirdworld 3 Genre : On ne s'attache toujours pas au trio d'aventuriers Toujours en panne de voiture, nos deux héroïnes et leur compagnon ailé sollicitent l’aide de la grande ingénieure mais la terrienne pète un câble. On apprend enfin les raisons de la rage meurtrière de sa compagne barbare à l’égard des mages qu’elle veut tous exterminer, Morgan Le Fay révèle une alliée et une arme cachées et notre héroïne fait enfin ses preuves. Un numéro plus convaincant que le précédent mais c’est surtout le cliffhanger qui donne envie de lire la suite de cet Oz inégal et bien loin de son grandiose préquel de Secret wars avec Arkon aux manettes. Les dessins restent très agréables dans le genre peint façon eighties. Dommage qu’on ait pas des protagonistes plus originaux et charismatiques… Scénario : 14/20 Dialogues : 14/20 Dessins, encrage, couleur : 16/20 Note finale : 14/20  Catégorie « Sympa » RIEN UDON Catégorie "Excellent" RIEN Catégorie "Très bon" Street Fighter unlimited 3 Genre : "Handsome fighters never lose a battle." Guile continue à mener l’enquête sur les restes de l’empire de Bison et ses liens avec la secret society de Gill en compagnie de Cammy. Après avoir rendu visite à un Balrog censé être rangé des voitures, c’est le psychopathe et narcissique Vega qui l’accueille e Espagne. Devenu célèbre pour les fêtes dépravées et sanglantes qu’il donne en l’honneur de son art du meurtre, le ninja espagnol fait l’admiration de riches désoeuvrés. Pendant ce temps, Ryu rend visite à Retsu un vieil ami de son maître décédé (et un combattant oublié du premier Street Fighter) et est confronté à une surprise de taille. La back up chronique le duel qu’impose la délicieuse Karin Kanzuki à la ninja Ibuki afin de la contraindre à reconnaître sa supériorité martiale, le tout mis en images par un Omar Dogan très inspiré comme d’habitude avec le petit univers de Sakura Kasugano. Encore un très bon numéro de Street Fighter unlimited malgré le manque de charisme des troupes de la secret society. Heureusement, Vega est impérial. Scénario : 16/20 Dialogues : 16/20 Dessins, encrage, couleur : 16/20 Note finale : 16/20 
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#462
13/02/2016, 20h44
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Là, on apprend surtout que
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#464
14/02/2016, 08h57
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https://en.wikipedia.org/wiki/Monica_Rappaccini
Un personnage de Van Lente très utilisé en conjugaison avec Cho.
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Mode linéaire
