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Je crois qu'ils parlaient plutôt de Hung, là, non ?
Mais après je ne peux qu'appuyer ce que tu dis : ces films sont à voir absolument.
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Fear not! I will make a fresh pot! |
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ah putain, c'est cool, on a enfin réussi à passer la page avec les trente six teasers.
Sinon, commencé Life and times of Tim. Les persos ont été dessiné par ma petite sœur, l'animation est encore plus moche que dans south park. Par contre, j'adore l'humour du truc.
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" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman |
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Hung et Eastbound & down, ce sont deux comédies qui correspondent bien à l'adage qui affirme que "l'humour est la politesse du désespoir".
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"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
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Des fois je fais des raccourcis dans ma tête
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Fille n°1 jouant à God of War : "Ouais tu vois, c'est le fils de Zeus là". Fille n°2 : "Ah ouais, c'est comme Percy Jackson ". |
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James Gandolfini reviendrait sur HBO.
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La liste des comics sur lesquels j'ai bossé chez MARVEL. |
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Ah oui c'est sur que Gandolfini de retour chez HBO, ça laisse rêveur.
Sinon, ayez, fini In Treatment saison 2. Encore une fois, ce fut plus que formidable. Une série admirablement bien écrite, une interprétation sans reproche. Donc, on prend le même docteur (Gabriel Byrne, énorme dans ce rôle) et c'est reparti pour 4 nouveaux cas et l'habituelle séance de fin de semaine avec Gina. Évidemment (pour moi en tout cas), tous les cas ne sont pas aussi accrocheur les uns que les autres (ou du moins, le spectateur n'a pas le même degrés d'empathie pour les différents patients). Mais même ceux qui de prime abord accrochent peu finissent par réussir à emporter le spectateur. Pour moi, les deux grands cas de cette saisons sont sans conteste April et Oliver. Impossible de ne pas se sentir secouer lors de cette séquence tout simplement bouleversante où elle annonce son problème. Et comment ne pas compatir avec ce pauvre Oliver, déchiré entre ses parents et subissant les pires outrages. Mais comme je le disais plus haut, les autres ne sont pas en reste. Mia permet aussi quelques belles séances (notamment sur la deuxième partie de la saison). Quand à Walter, malgré l'antipathie que l'on peut ressentir au départ pour le perso, dès que le mur craque, il devient très attachant. Beaucoup de changement pour Paul, et pas juste le cabinet. Une énorme tendance à rebalancer les questions qui lui sont posées à la tête du patient. Sans compter les épreuves qui l'attendent cette saison. Sinon, deux petits trucs quand même sur cette deuxième saison. Primo, la semaine 5 ou 6 (celle après une semaine de manquée). les réactions des patients à son retour sont un peu toute les mêmes. Si c'est intéressant de voir l'attachement qui se crée avec la relation thérapeute/patient, c'est un peu redondant sur toute une série de séance (surtout que le schéma reproche/dispute/aveux est à chaque fois le même). Deuxio, cette saison est plus courte de deux semaines (soit dix épisodes) que la première saison. Sur la fin, ça se sent un peu. Notamment, certaines fin de thérapie un peu soudaine. Même si l'air de rien, les derniers épisodes sont admirablement négociés (formidable particulièrement avec Gina). Sinon, c'est du tout bon, vraiment. Époustouflant dans son interprétation, très humain dans son écriture, cette saison d'In Treatment demande toujours autant à son spectateur de s'impliquer. Et l'effort le vaut largement. Une belle claque.
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Oh oui !
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Bon, terminé Hung.
Même s'il est vrai que dans la deuxième moitié de la saison, les scénaristes ne semblent plus trop quoi faire de la pimp (et que l'actrice a fort à faire pour défendre son perso), je ne vais pas pour autant modifier mon regard général sur la série. D'autres personnages par contre, comme l'ex-femme, ont largement gagné en nuances. J'attends avec intérêt la deuxième saison. Vu les deux premiers épisodes de "The life and times of Tim". Hilarant. Ca reprend le principe maintes fois utilisé du gars qui reste complètement stoique face aux énormes bricoles qui lui arrivent en rafales rapprochées, mais ça marche super bien. J'aime beaucoup.
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Ouais l'ex femme dans Hung, je l'aime bien aussi. C'est un de mes persos préféré du show, et puis, rien que pour la scène du coup de téléphone final, je veux.
Par contre, ouais, tu vois la pimp après, boum, elle ne sert plus à grand chose. Et sinon, t'en as pensé quoi de cette deuxième partie de saison avec la relation de Ray??
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Il y a une réelle douceur qui émane de cette série, en opposition totale avec la dureté du monde (cette opposition, c'est évidemment aussi l'opposition entre poétisation maladroite, l'axe Tanya, et marchandisation sans morale, l'axe Lenore).
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Ah ouais le coup du photographe, déception aussi. j'ai cru qu'il allait amené quelques choses d'intéressant, ou du moins une nouvelle dynamique au perso, mais non.
Sinon, oui, très bon traitement des clientes. Même quand Ray a à faire avec une femme au physique ingrat, ce n'est jamais moqueur et toujours assez subtile. Et pour Jemma, j'aime beaucoup ce plot de la saison, il apporte une nouvelle dynamique dans les relations avec les personnages (notamment l'ex femme et dans une moindre mesure la pimp). Et puis, ça amène un truc assez inattendu et plaisant.
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(on la retrouve actuellement dans justified et les tailleurs lui vont toujours aussi bien)
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Ah là, je ne peux qu'approuver!!
Sinon, 27juin pour la saison 2.
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how to make it in america ??
Qu'en pensez vous ?? Personnellement j'ai aimé les 2 3 premiers épisodes, et pis à force ça devient pénible ils leur arrivent des vieilles embrouilles et ça n'avance pas + le côté sentimental qui bien sur est là : je t'aime moi non plus mais reviens mais je pars mais je sais pas si tu veux cas je sais pas si je veux.... ça devient de moins en moins crédible à regarder.
Sinon Newyork est bien filmé, et la musique sympa, les acteurs sympas et personnages attachants sauf la décoratrice d'intérieur |
#240
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Ah bin c'est marrant, moi c'est tout l'inverse. Pas convaincu du tout par un début trop mollasson et des persos unidimensionnels.
Et puis ça part et boum, j'ai aimé.
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