Comics et rouleaux de printemps en attendant John Keats (9.11.05)

qui ?

[mr nix]

Hum, voyons voir

[cytrash]

héhéhé ,et ce qui est excusable a l'un ne l'est pas à l'autre .8)

[cyclopebox]

	Citation:			Posté par cytrash
	héhéhé ,et ce qui est excusable a l'un ne l'est pas à l'autre .8)

Tu ne vas quand-même pas lui demander de se montrer objectif, tyran !

[KaRaS]

	Citation:			Posté par Cyclopebox
	Tu ne vas quand-même pas lui demander de se montrer objectif, tyran !

surtout que

	Citation:
	Par contre t'es fort pour eviter les sujets qui fachent avec tes phrases faussement provocantes avec non pas de l'ironie mais plutot du cynisme.

les sujets qui fachent, attention ! Lève ton petit poing, garçon, qu'ca balance.

[Ivan Rebroff]

	Citation:			Posté par John Keats
	ensuite, toujours donc chez vertigo, DMZ#1, par Brian Wood et Riccardo Burchielli. ce titre mérite notre plus grande attention selon moi, je le précise car je n'ai vu personne en parler pour l'instant ici, même si je sais que le pote nix l'a lu. pour l'instant le charme est à trouver dans l'atmosphère, on se croirait dans du Escape et donc du Carpenter, on s'attend à voir Snake Plissken surgir à chaque coin de rue. en effet l'histoire nous montre des Etats Unis en guerre, civile, car des Etats ont fait sécession, se déclarant Etats Libres, ceux à partir du New Jersey, laissant l'île de Manhattan domme zone démilitarisée tampon (Demilitarized Zone ou DMZ), un gros bordel en somme, un peu comme le film de carpenter donc où NYC était devenue une prison où régnait le chaos le plus total, mais aussi la plus grande liberté paradoxalement. Wood et Burchielli ont créé un graphisme très sympa et prennant, créant comme je le disais au début, une vraie ambiance dès ce premier épisode, qui accroche et donne envie de voir plus de cet univers. le seul bémol à cette histoire est qu'on aurait aimé en apprendre plus sur le personnage principal, un photographe de presse venu faire des photos dans Manhattan, île coupée de la terre où personne ne met plus les pieds. mais l'action est bien rythmée et le personnage féminin est intéressant. espérons que les promesses formulées seront tenues, à suivre donc.

Elle est où la caméra? Elle est où la caméra? Vous, oui, VOUS, vous n'avez pas acheté ce titre, vous ne l'avez pas lu, et VOUS AVEZ TORTS!! Le pitch vendeur me laissait présager le meilleur, mais là, je dois dire que je suis conquis, et plus encore. J'adore le concept très big johnesque, j'aime la façon dont l'histoire est retournée viscéralement au bout de quatre pages, la critique des médias en filigrane est toujours la bienvenue, je m'excite tout seul en pensant aux possibilités énormes d'une telle approche de la guerre, disséquée par Wood dans une ville qu'il adore - mais qui n'aime pas LA ville? Le dessin est nerveux, et colle plutôt bien à l'histoire. L'atmosphère, aaaaaah, l'atmosphère est superbement rendue. C'est simple, on croirait avoir sous les yeux une capitale d'un Etat du Moyen-Orient ou d'Afrique (j'ai pensé plusieurs fois à "La Chute du Faucon Noir") en guerre civile, avec l'Empire State Building au milieu.
Comme c'est assez rare de me voir faire dans l'effusion et le compliment, profitez, braves gens! S'il en reste à votre comic-shop, jetez-vous dessus! Sinon, menacez le chien de votre revendeur pour qu'il vous en recommande. Quoi, vous êtes encore là? Mais every day is 9/11, malheureux!!

[Virgule]

ahahaha déjà commandé ainsi que les 3 suivants... c'est du wood ça peut pas etre si mauvais que ça.

[John Keats]

merci mon cher rebroff de réorienter la discussion sur des choses intéressantes, parceque bon ça me gonfle un brin de ne savoir parler que de claremont et des xmen.

[John Keats]

s'il y a bien une chose que je ne recommande pas, plutot de le fuir comme la peste, c'est le dernier numéro d'action comics, rarement lu un truc aussi nul et moche à la fois (sauf la partie nelson normal quoi).

[gillesC]

Ah ben alors les gars, vous aviez laissé croire à Max Pharos...

..que Claremont était encore capable de faire un comic au moins moyen.
Ben non.

[Ben Wawe]

Hawkman #46 par Gray & Palmiotti et Randall & Thibert :


couverture par le nouveau cover artist Adam Kubert : jolie.

Ayant apprit par les dernières nouvelles DC que le titre sera appelé "Hawkgirl" dès le numéro 50, je profite des derniers (?) épisodes avec le héros masculin de la série pour prendre encore du plaisir à lire cet épisode, vu que l'équipe scénaristique (nooooooon ) et artistique change au prochain, ce qui ne me plaît guère personnellement.
L'épisode se passe donc avant Rann/Thangar War, la mini série prélude à Infinite Crisis que j'ai suivie et critiquée. Bon, autant le dire de suite : il se passe pas grand chose dans cet épisode, mais j'avoue que j'y ais pris du plaisir, comme dans chaque épisode de Hawkman.
Hawkman et Hawkgirl tentent donc d'arrêter les animaux mutés d'une méchante vue précédemment tandis qu'un flic se fait transformer par Brother Eye en OMAC (note : OMAC est un projet de Batman visant à arrêter TOUS les super héros au cas où, donc le Brother Eye, l'ordinateur du projet, connaît toutes les faiblesses des héros...et bien sûr, il devient fou et ça commence à partir en couilles, comme vu dans la mini OMAC Project) et commence alors un combat aérien entre les Hawks et le robot. Ils arrivent finalement à l'arrêter et l'emmènent à la JSA pour que Doc Midnight explique tout au flic et qu'il arrête ça.
Pendant la consultation, Hawkgirl demande des nouvelles d'Atom à Hawkman (note : Atom a salement mangé dans Identity Crisis, et vu que Hawkman et lui sont respectivement leurs meilleurs amis, ils sont très proches), on apprend que Atom était allé faire une visite à son ami et qu'ils ont ensemble parler de la vie d'Atom et du fait qu'il en a un peu marre de sa double vie. Carter (Hawkman) jure à Ray (Atom) de ne pas dire qu'il l'a vu tandis que celui-ci se fait oublier.
Hawkman revient à la réalité dès que le flic redevient un OMAC et qu'il attaque le Doc Midnight. Les Hawks se battent et le Doc reprend son souffle pour poser un appareil qui a dissipé ce qui rendait le flic un OMAC. Tout est bien qui finit bien, les Hawks rentrent chez eux où les attendent une sorte de statue d'un aigle qui se transforme en Phénix. Ils tentent alors de l'arrêter, tandis que Adam Strange se prépare à aller chercher de l'aide sur Rann, et FadeawayMan (celui qui a envoyé le Phénix et un des gros méchants du dernier story arc) récupère alors la Cape de Cagliostro, signe que c'est lui qui a envoyé le Phénix pour récupérer sa cape.

Bon, comme dit, y a pas grand chose qui se passe, mais c'est plaisant et ça laisse entrevoir des portes en introduisant Rann/Thanagar War, en retard je l'avoue. Mais bon, je vais pas bouder mon plaisir, c'est bien mené, bien écrit, les personnages sont bien pensés et c'est du bon vieux comics old school comme on en fait trop peu maintenant. Du très bon, comme toujours, même si ça fait un pincement au coeur en pensant qu'il n'y a plus que trois épisodes de la série sous ce titre et ces auteurs...

[Ben Wawe]

simple méprise éditée...

[Preacher 59]

	Citation:			Posté par Gbasik
	Imcomprehensible Crossover ?

Non il suffit juste de lire le N°28)

[mr nix]

Je comprendrai decidement jamais rien a l'Hypertime