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c'est vrai que c'eait bon! |
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rebroff le titre n'a jamais été annoncé mensuel, la ligne all star c'est du six semaines entre chaque numéro, et franchement on s'en fou un peu que le "rendement" ne soit pas du xmen like. pour un numéro aussi génial que ça ben on apprend à attendre, on est grand, ou tout du moins on essaye de faire semblant, mais ça tu es très fort pour non?
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y'a comme une tention amoureuse homosexuelle entre vous, j'me gourre?^^
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si tu voyais sa gueule tu dirais pas ça, et je préfère les ptites blondes de toute façon.
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Je vais paraitre inculte mais Krakoa c'est qui?
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When I'm good, I'm good. When I'm bad, I'm better. |
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#37
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Merci, OK.
Doux Jesus....
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When I'm good, I'm good. When I'm bad, I'm better. |
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Back to discussion, please. Dernière modification par Ivan Rebroff ; 19/11/2005 à 22h26. Motif: Les femelles hétérosexuelles sont une émanation de mon esprit phallocrate |
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allez qui se cotise pour envoyer Rebrof et keats en week end amoureux a melun???? on lance un don anonyme??
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Dans le même registre que le tour que prend, un peu par ma faute, cette conservation, j'ai lu MK Spider-Man #20. Karas a raison. Il est même trop gentil. Ce comic-book est inepte. Ce comic-book est ridicule. Ce comic-book est chiant. Ce comic-book est laid. Ce comic-book n'a aucune vie, aucune âme, rien (alors que Peter est censé être en train de vivre ses derniers jours, merde!) Pourquoi, ô, cent fois pourquoi, suis-je un spider-geek??
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moi je serais pour donner du bonheur à certains, du gout, un cerveau, et tout ça dans le désordre.
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bon le meilleur comics de la semaine, à n'en pas douter, est bien Tomorrow Stories Special #1, par les efforts conjoints d'Alan et Steve Moore au scénario (Alan pour tout sauf Johnny Future), et Kevin Knowlan, Hilary Barta, Rick Veitch, Melinda Gebbie et Cameron Stewart aux dessins.
on commence avec une histoire longue de Jack B. Quick le gamin inventeur, dessiné de magnifique manière par le génial Kevin Knowlan, et qui sonne comme un tik tok de john sladek à mon oreille. ça se moque par le biais de l'intelligence artificielle du besoin de dépendance que peuvent avoir les êtres humains. délicieusement absurde et intelligent, avec plein de petits détails en arrière plan qui en rajoute au plaisir. deuxième histoire sur Splash Brannigan, le détective fait tout en encre, qui passe son temps à dégouliner de partout. mode narratif super original, splash narrant son histoire en même temps qu'il la vit, comme s'il naviguait dans son propre récit. là encore on a le petit fil rouge qui fait que ça ne se lit pas comme un vulgaire amazing spiderman (càd en trois minutes), le livre que transporte partout splash qui a un titre différent par cases, toujours en rapport avec la situation, drole et référenciel. le genre est le polar bien noir années trente américain, moore s'amusant avec le genre, le tournant en bourrique tout en lui faisant une déclaration d'amour en superposé. l'humour du tout est réhaussé par la qualité du trait d'hillary barta. attention comics drole et intelligent ici, vous aurez été prévenu! ensuite une histoire de cobweb qui pour moi est le truc le moins intéressant de l'anthologie, j'avoue avoir beaucoup de mal avec le graphisme de melinda gebbie, et même si l'histoire, ce revisitage de tous les avatars de cobweb au fil des siècles, est intéressante, j'ai eu bien du mal à accrocher. pour poursuivre dans cette exploration, nous avons droit à un court récit, comme toujours avec lui ou elle, sur Johnny Future, et non pas sa nièce la plantureuse Jonni, comme la menteuse couverture pouvait nous le faire croire. c'est donc l'oncle écrivain de pulps et comics que nous suivons, pour une petite histoire de paradoxe temporel bien sympa, rondement menée en quelques pages. pas d'arthur adams ici, quel dommage étant donné que tous les autres dessinateurs/créateurs sont présents pour leur personnage, mais un cameron stewart prothéiforme, qui s'essaie à un autre style, encore un, et qui y réussit aussi bien que dans les précédents, pour donner un coté old school qui ravira les vieux cons comme moi. conclusion géniale avec un hommage à mr Will Eisner sous forme d'abécédaire avec Greyshirt (avatar du spirit) et Rick Veitch. chaque lettre est un vibrant panégyrique au maitre décédé cette année, je dois avouer que personne ne l'avait fait aussi bien jusque là. dans ces quelques pages moore et veitch restitue tout ce qui faisait le charme du spirit et rappelle tout ce que Eisner a pu y apporter de créativité et de génie. ça clot un bien beau numéro, absolument indispensable selon moi, 64 pages sans pub, avec que du bon (ou presque) dedans. c'est plus que ce que je pourrais dire sur la quasi totalité des sorties de la semaine. (sinon ASS c'est génial mais ça vous l'aurez compris). |
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Un nouveau Super-Villain baptisé Chaudron, une bouteille de Dom Perrygone, des mules en forme de Hulk, un clone vengeur de Paris Hilton, une actrice en porte-jarretelles, des guest-stars en veux-tu en voilà ...
On trouve vraiment de tout (et surtout du meilleur) dans The Thing #1 (Et encore, j'en suis qu'à la moitiè, là. Oui, je savoure) Bref, Slott est en grande forme et DiVito étonne, avec des dessins exceptionellement détaillés (Je veux voir les crayonnés en grand format !) (Ah, et aussi une nouvelle Catchphrase pour notre béhémoth préféré. Sauras-tu la retrouver dans ce post, ami lecteur ? 8) ) |
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Damned j'ai fait l'impasse malgre les credits de Slott en cover...Je vais me petit suissider.
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When I'm good, I'm good. When I'm bad, I'm better. |
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Il me reste justement à lire le Cobweb (Steve Moore m'excitant peu, ça risque de traîner) et le Greyshirt. Le Jonni Future est crès joli (vu que Cameron Stewart) et crès chiant (vu que Steve Moore). Pour les deux premiers strips (ceux d'Alan), je trouve que ça fonctionne moins bien qu'en strip très court. La densité des trucs de Tomorrow Stories fait sans doute ça. Bwah.
Comme je suis un ouf malade, un punk qu'a peur de rien, je vais émettre une critique de centriste sur Surhomme Toute Etoile : bwah, je voulais du vrai stand-alone, moi. Je dois traverser une sale phase, moi. La dernière lecture d'illustrés qui m'ait vraiment fait quelque chose, c'est mon bouffage intégral d'Hitman il y a quelques semaines. Hitman, c'est de la balle dans la tête.
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Achète mon âme ! "Today a young man on acid realised that all matter is merely energy condensed to a slow vabration, that we are all one consciousness experiencing itself subjectively, there is no such thing as death, life is only a dream and we are the imagination of ourselves. Here's Tom with the weather!" |
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