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De toute manière avant les 3 je trouvais pas ça terrible et après le 4 je trouve pas ça terrible. Pour moi secret wars et mauvais. Une déception après Infinity. |
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DC
Catégorie « Excellent » RIEN Catégorie « Très bon » RIEN Catégorie « Bon » Secret six 9 Genre : Shoggoth Les six, toujours divisés dans leur volonté de sauver Black Alice prise d’une maladie magique qui la rend surpuissante en siphonnant toute l’énergie magique du monde DC, sont à deux doigts de réveiller les grands anciens de cet univers, à commencer par ce bon vieux M'Nagalah, toujours prisonnier de sa mine, que je n'avais pas revu depuis Swamp thing volume 1 n°8 (1974 quand même, mais il a fait quelques apparitions ici et là depuis apparemment si je me fie à sa fiche comic vine) Un bon numéro, qui fait avancer l’intrigue et bénéficie toujours de très bons dialogues et situations (comme les six en tenue fin 19è siècle à la fin du numéro). Petit regret de voir notre grand ancien aussi faible et ne déclenchant ni peur ni folie mais la résolution de la rencontre est assez originale pour être signalée. Un bon numéro malgré les dessins qui ne sont pas d’Eaglesham. Scénario : 14/20 Dialogues : 15/20 Dessins, encrage, couleur : 14/20 Note finale : 14/20 Catégorie « Sympa » Harley Quinn 23 Genre : Maigre bête de la nuit Harley affronte une ennemie ressuscitée, occasion de revoir le très oubliable espion parlant yiddish Sy Borgman puis fais pression sur l’administration pénitentiaire de New York pour sauver son cher et tendre d’une tentative de meurtre. Un numéro très oubliable, tant il est vrai que revoir les protagonistes de l’arc sur Sy Borgman et ses ennemis communistes n’était vraiment pas indispensable. La seconde partie, sur l’intrusion dans un quartier de haute sécurité est déjà plus intéressante et offre quelques moments d’humour noir réussi (la menace sur le chef du pénitencier traitée par l’absurde). Un petit numéro de la série. Scénario : 12/20 Dialogues : 13/20 Dessins, encrage, couleur : 15/20 Note finale : 12/20 Batgirl 46 Genre : Shantak Sous son identité de Barbara Gordon, Batgirl fait du porte à porte dans son voisinage pour lutter contre les expropriations de petits vieux faites par des gangs payés par des multinationales qui veulent les reconvertir en appartements de luxe (un sujet récurrent dans les comics depuis quelques années, cf le premier numéro du run actuel de Deadpool). Elle croise à nouveau la route de la justicière Spoiler, qu’elle a croisée pour la première fois dans l’oubliable Batgirl annual 3 ainsi que celle d’un mystérieux inconnu qui lui donne rendez-vous dans une rue déserte, comme dans les polars des années 30 (bonjour le cliché !). On découvre aussi que les implants neuronaux sont une réalité dans son monde et que les meilleures intentions ne suffisent pas. La série continue de me laisser sur ma faim. Il serait peut-être bon que je l’abandonne. Scénario : 12/20 Dialogues : 12/20 Dessins, encrage, couleur : 15/20 Note finale : 12/20 MARVEL Catégorie « Excellent » Genre : Nyarlathotep Weirdworld 1 Suite de l’excellente mini-série de Secret wars qui était dédiée aux malheurs du seigneur de la guerre Arkon. Cette fois-ci, nous suivons la seule survivante du crash d’un boeing attiré par un mage sur Weirdworld, qui semble désormais situé dans un lieu inconnu de la nouvelle terre Marvel post Secret wars En tant que simple humaine sans pouvoirs ni compétences martiales particulières sa survie ne serait qu’une question de minutes si elle n’avait pas très vite croisé la route d’une valyrie tueuse de mages et conduisant une étrange cadillac… On retrouve avec plaisir le monde de Weirdworld et ses somptueux dessins (époustouflant Del Mundo) pour une histoire qui fait une très bonne jonction avec le deuxième volume (celui de Secret wars, donc). Ce premier numéro augure du meilleur. Scénario : 17/20 Dialogues : 17/20 Dessins, encrage, couleur : 18/20 Note finale : 17/20 Catégorie « Très bon » RIEN Catégorie « Bon » Deadpool 3.1 Genre : Byakhee Masacre est le Deapool mexicain : avec son costume rapiécé, les mots « affreux, sale et méchant » semblent bien le définir. On le voit ici lutter contre un parrain de la drogue au masque de crâne faisant penser à la fête de morts bien connue dans ce pays et qui est soutenu par la CIA. Il croise également un commissaire Gordon (si si !) local et, après avoir adopté un fauve récupéré chez son ennemi, enfourche sa harley pour aller rendre visite à Wade Wilson. C’est à peu près tout ce que j’ai pigé de ce numéro intégralement en Espagnol que ma simple connaissance du Français a bien aidé, n’ayant jamais étudié cette langue. L’intrigue restant simple, il n’est pas forcément obligatoire de la parler pour comprendre de quoi il en retourne. Une petite intro sympa mais dispensable aux futurs évènements qui vont agiter le titre pour notre plaisir. Scénario : 13/20 Dialogues : 14/20 Dessins, encrage, couleur : 14/20 Note finale : 13/20 Catégorie « Sympa » RIEN Catégorie "Moyen" RIEN Catégorie "Mauvais" Ultimate end 5 Genre : Serviteur de Glaaki Il est enfin là, le dernier numéro de cette purge ! Alors on comprend toujours pas grand-chose mais c’est un peu plus clair : les Thors débarquent pour défendre le statu quo pro Fatalis, tout le monde écoute Spider-man/Miles Morales et son discours messianique qui leur révèle la vérité sur Fatalis et son monde. Les héros ultimate comme 616 décident d’aller péter les gencives de Doom dans son château tandis que le Punisher (dont on ne sait toujours pas si c’est le 616 ou l’ultimate) décide de rester couvrir leur « fuite » en tirant sur les Thors au bazooka, semblant avoir « vu la lumière » après le discours de Miles. Comme on n’a pas encore le dernier numéro de Secret wars, on ne sait pas encore comment le tout se conclut si ce n’est qu’on voit les héros disparaitre un par un au combat au travers d’une mise en scène de feignasse : on a une double page avec les portraits de tous les personnages dans diverses cases qui s’estompent au fur et à mesure. Le coup de génie étant de réutiliser cette double page à plusieurs reprises avec très peu de modifications, sans compter la double page blanche pour montrer que le monde s’achève. Miles se réveille enfin dans un nouveau monde (que nous savons être celui post Secret wars, nous autres lecteurs), prêt à démarrer ses nouvelles aventures dans le titre qui lui est dédié…et le lecteur a surtout l’impression d’avoir lu un prologue de 5 numéros qui ne fait qu’introduire cette série, quelle arnaque ! Un numéro plus compréhensible que les précédents même si la réaction du Punisher est toujours aussi bizarre (pourquoi voulait il tuer les héros et pourquoi décide il finalement de tirer sur les Thors en apprenant la vérité sur battleworlds ?). Et un Bagley en mode automatique et flemmasse, qui se repose sur l’informatique pour créer des effets et dessiner moins. Facilement le plus mauvais titre de Secret wars. Même Old man Logan est meilleur… Scénario : 08/20 Dialogues : 12/20 Dessins, encrage, couleur : 14/20 Note finale : 08/20
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"Whatever knows fear burns at the man-thing's touch!" Chroniques VO 01/02/20 : Deadpool the end, la fin des New Defenders, Tarot 2, Epic collection X-cutionner's song, ravencroft 1, Doc Strange et Cap Marvel the end, Cap 18 |
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C'est clair que l'univers ultimate ne méritais pas cette fin. Ils auraient du finir avec Cataclysm.
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Je crois que c'est le pire truc que j'ai lu de Bendis, ce Ultimate end.
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Catégorie « Excellent » Sam Wilson : Captain America 4 Genre : Vert La société des serpents a toujours été une organisation liée à l’argent, des super criminels partageant le même motif reptilien dans leurs costumes ou leur nom rassemblés en association destinée à multiplier les gains tout en minimisant les risques. C’est l’excellent Gruenwald qui les as mis en relation dans les années 80 et a ainsi crée un motif modernisé d’une équipe de super criminels. Spencer reprend le concept, dans ce qui s’annonce déjà au bout de 4 numéros comme un run mémorable et l’actualise à notre société à la morale vacillante et à la moralité grise qu’on trouve dans le monde des affaires aujourd’hui. Les criminels ont renommé leur association « Serpent solutions » et se proposent de voler et d’assassiner leur rivaux pour une somme substantielle, se cachant derrière un discours à toute épreuve : quand vous achetez un téléphone portable, vous vous fichez qu’il soit construit par des enfants chinois exploités du moment que vous ne le payez pas trop cher et que de nouveaux modèles sont régulièrement mis sur le marché… Captain America se lance sur leur piste avec l’aide d’une ancienne associée de Cap, elle-même membre repentie des serpents, Diamondback. Mais ce n’est pas simple car il est encore sous la forme d’un loup-garou suite aux expériences du docteur Malus dans le numéro 3. Spencer, avec des très beaux dessins de Paul Renaud, nous en met plein la vue avec ce numéro qui ne fait que confirmer tout le bien que je pense pour l’instant de ce run qui reprend ce qui fait l’essence de Captain America : des conflits moraux, un personnage au cœur des problèmes de son époque et un scénario excellent aux dialogues finement ciselés. Le meilleur numéro jusqu’ici. Scénario : 17/20 Dialogues : 17/20 Dessins, encrage, couleur : 18/20 Note finale : 17/20 Catégorie « Très bon » Deadpool 4 Genre : Bleu C’était pourtant évident, boudiou ! On avait tous les éléments sous le pif, il suffisait de rassembler les morceaux. On sait désormais qui pourrit la vie de Deadpool (sauf coup de théâtre de dernière minute dans le prochain numéro) et on ne peut qu’admirer comment ce volume post Secret wars des aventures du mercenaire intarissable est relié à ce qui s’est passé avant le crossover. On apprend en partie comment Deadpool est devenu aussi riche et populaire, les éléments commençant à se mettre en place. Et on s’amuse bien face à son idée de rhabiller les mercs for money avec les couleurs de l’arc en ciel pour éviter qu’on les confonde avec lui en cas d’autre meurtre sordide ! Scénario : 16/20 Dialogues : 16/20 Dessins, encrage, couleur : 16/20 Note finale : 16/20 Catégorie « Bon » RIEN Catégorie « Sympa » RIEN Catégorie "Moyen" RIEN AVATAR PRESS Catégorie « Excellent » Uber TPB 5 Genre : Noir Le HMS Churchill, surhumain le plus puissant et endurant ayant jamais existé est enfin déployé sur le terrain. Mais l’arme secrète des britanniques suffira elle à décourager les nazis, qui emploient désormais la politique de la terre brûlée en rasant méthodiquement les grandes villes européennes sous leur coup et en commençant par la Belgique, menaçant directement l’Angleterre ? C’est le moment d’un choix cornélien pour la couronne. En Russie, le seul surhumain soviétique est en train de changer la vie même au sein de l’URSS et Staline envisage de plus en plus de lui faire ce qu’il fait de mieux tandis que les surhommes japonais épuisés voient leurs forces décliner dans le Pacifique et qu’un assassinat politique menace de changer l’issue de la guerre… Uber continue à passionner et à surprendre, le scénario uchronique étant toujours plus noir. Les forces en présence, épuisées, deviennent de plus en plus inhumaines dans leurs actes et leurs décisions et la seule issue qui semble attendre nos personnages est funeste. Malgré des dessins assez laids, on évite pas mal la surenchère gore dans ce volume, plus épargné que les précédents par le syndrome Avatar press. On a même de beaux portraits d’hommes et de femmes comme la relation simple mais superbe entre les deux derniers bâtiments britanniques, l’un ayant combattu toute sa vie, y compris pendant la 1ère guerre Mondiale, l’autre ayant tout sacrifié à son pays mais conservant des peurs très humaines, comme celle de la chute. Un des meilleurs volumes jusqu’ici. Scénario : 17/20 Dialogues : 17/20 Dessins, encrage, couleur : 12/20 Note finale : 17/20 Catégorie « Très bon » RIEN Catégorie « Bon » RIEN Catégorie « Sympa » RIEN IMAGE Catégorie « Excellent » RIEN Catégorie « Très bon » The walking dead TPB 24 Genre : Rouge Deux styles de vie, l’un sédentaire et paisible, l’autre nomade et violent, s’affrontent ici pour la survie, l’alliance menée par Rick Grimes visant à retrouver le niveau de vie ayant precede l’apocalypse tandis que le clan des chuchoteurs embrasse le nouvel ordre naturel. Et comme dans toute bonne tragédie, il y’a un amour impossible entre les enfants des chefs de clan, le serpent dans l’Eden sous la forme de Negal, des décisions cachées au chef et le retour remarqué de la brutale Michonne. Un excellent volume mené tambour battant dont on a déjà hâte de lire la suite ! Scénario : 16/20 Dialogues : 16/20 Dessins, encrage, couleur : 16/20 Note finale : 16/20 Catégorie « Bon » RIEN Catégorie « Sympa » RIEN
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Je veux bien savoir qui en veut à deadpool moi ayant arrêter au 3
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Si tu as lu l'ensemble du run de Duggan et Posehn en Marvel now, la réponse coule de source et devrait même convaincre Doop de l'intérêt du tome 3 de la VF qui en est tirée :
C'est C'était sous notre nez pourtant!
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MARVEL
Catégorie « Excellent » Doctor Strange 4 Genre : Enorme! Le doc annonce à ses confrères magiciens la nouvelle du meurtre de centaines de sorciers suprêmes à travers les dimensions, pense à son entraînement magique avec l’ancien (dans un traitement jusqu’ici inédit dans la série), voit ses livres se vider de leur puissance et enquête sur un lieu de pouvoir, tout ça en un numéro réjouissant ! Ce nouveau Doctor Strange est bien moins puissant que celui de Ditko et ses successeurs (il n’y a qu’à voir le prix à payer pour lancer ses sorts), bien plus torturé mais particulièrement bien écrit. Si le film pouvait s’inspirer de cette BD, on aurait tous à y gagner ! Scénario : 17/20 Dialogues : 17/20 Dessins, encrage, couleur : 17/20 Note finale : 17/20 Deadpool 5 Genre : Grand! Ce final du premier arc narratif est réjouissant et le meilleur numéro jusqu’ici. L’ennemi qu’affronte Deadpool a toutes les raisons de la jalouser, l’ayant même précédé dans l’histoire des comics avec des pouvoirs très similaires mais sans jamais avoir connu le succès ! On comprend très bien sa monstruosité, étant devenu plus dangereux et haineux que jamais. Dialogues excellents et affrontement parfaitement mis en scène qui justifie un des annuals les plus décriés de la série pré Secret wars, avec un cliffhanger alléchant, parfaitement dans le ton de ce à quoi Duggan et Posehn nous ont habitués (sauf que là, il n’y a plus Posehn !). Scénario : 16/20 Dialogues : 17/20 Dessins, encrage, couleur : 16/20 Note finale : 17/20 Catégorie « Très bon » Howard the duck 3 Genre : Très bon mais ras le bol des gardiens Les wagons se raccrochent avec le numéro 2 : les deux inversées rencontrent Howard, dans une situation bien inconfortable. Comme ne le dit pas la couverture, qui annonce une situation future, Howard a gagné ses premiers supers pouvoirs d’un nature très…gerberienne. Il se retrouve la proie de la plupart des grandes puissances de l’univers et notamment l’étranger, le surpuissant scientifique cosmique… En back up, fin de la première apparition de Gwenpool, qui s’allie à Howard contre l’Hydra pour la possession d’un virus mortel. Sympathique clap de fin, meilleur que les deux chapitres qui l’ont précédé. Ce numéro est très classique mais rattrape considérablement le numéro 2 un peu inutile (sauf en TPB, en back up). Il développe une situation inédite pour Howard mais du coup, Man-thing perd un peu sa raison d’être. Les interactions avec les deux clones sont très bonnes (dialogues de très bonne facture, drôles et vifs) et on déplorera le retour d’Howard dans l’espace pour faire encore une fois écho au film des gardiens de la galaxie, mais bon. Scénario : 16/20 Dialogues : 16/20 Dessins, encrage, couleur : 16/20 Note finale : 16/20 The totally awesome Hulk 2 Genre : Défouloir Le nouveau Hulk affronte une nouvelle venue, Lady Hellbender, qui règne sur un peuple d’humanoïdes musculeux. Quel lien a elle avec les kaijus que pourchassent Cho et sa sœur ? On ne va pas se mentir. Le scénario est léger mais efficace. On apprend les motivations de la nouvelle, il y’a un dinosaure, de l’humour et on commence à comprendre ce qu’est devenu Bruce Banner. Un bon numéro, simple et efficace, avec de très beaux dessins, comme d’hab. Scénario : 14/20 Dialogues : 15/20 Dessins, encrage, couleur : 17/20 Note finale : 16/20 Catégorie « Bon » Weirdworld 2 Genre : Cliché, loin des aventures d'Aarkon Ça démarrait si bien au numéro 1, pourtant ! Là on se retrouve avec un numéro certes joli graphiquement, avec des couleurs et un rendu qui me font un penser à du Bisley des années 80 en moins bien mais le scénario est d’un cliché achevé, sans aucune surprise. On est loin du très beau run de Secret wars! Tout ce qu’on avait imaginé à la lecture du premier numéro se produit en moins bien. Le cliffhanger redonne un peu d’espoir, ceci dit. Scénario : 13/20 Dialogues : 14/20 Dessins, encrage, couleur : 16/20 Note finale : 14/20 Catégorie « Sympa » RIEN Catégorie "Moyen" Carnage 3 Genre : Numéro surnuméraire Carnage vs Man-Wolf dans une cave, avec les militaires à la poursuite du tueur et une menace plus obscure qui a de grands desseins pour lui. Un numéro pur baston et très oubliable qui vaut seulement pour ses dessins et son cliffhanger certes attendu. On aurait pu le résumer en 3 pages dans le numéro suivant. Allez, cinq et on aurait pas perdu de temps. Espérons que Conway va redresser la barre parce que ça fait peur dans le mauvais sens du terme, là ! Scénario : 10/20 Dialogues : 12/20 Dessins, encrage, couleur : 15/20 Note finale : 10/20
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Et il lui est arriver quoi à Banner ?
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Ben justement on le découvre peu à peu dans chaque numéro mais on sait pas tout. En gros, il a utilisé sa force pour aider les vengeurs face à une catastrophe naturelle de nature souterraine et marine, dans une prouesse qui n'est pas sans rappeler la fois où il a retenu une montagne (Secret wars de 85) ou encore celle où il a lutté contre la fin d'une planète (Planet Hulk).
Mais on sait pas encore exactement où il est passé.
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Catégorie « Excellent » RIEN Catégorie « Très bon » RIEN Catégorie « Bon » RIEN Catégorie « Sympa » Gotham academy 14 Genre : Gentillet Olive et Maps feuillettent le yearbook de l’année écoulée et se remémorent des moments anecdotiques mais heureux, loin des complots qui ont parsemé leur vie. Des blagues de potache aux dépends des profs au complot de la chef de la chorale pour être adulée des foules, en passant par une interrogation orale sur la jeunesse d’une de leurs profs qui est évoquée dans une rêverie de celle-ci, ce numéro permet à différents dessinateurs de s’essayer au titre dans des styles très différents (assez réaliste ou carrément cartoon). Un numéro léger et anecdotique, qui détend bien mais souffre d’un défaut d’imagination et d’audace, mais aussi de dessinateurs guère impressionnants (à l’exception des jolies planches de N’Guyen sur la première historiette). Le tome 15 poursuivra cette anthologie. Scénario : 12/20 Dialogues : 14/20 Dessins, encrage, couleur : 14/20 Note finale : 12/20 MARVEL Catégorie « Excellent » Sam Wilson : Captain America 5 Genre : Du Cap comme on l'aime! Non, la couverture ne représente pas Femto de Berserk, n’insistez pas ! Il s’agit bien du nouveau faucon, appelé à remplacer l’ancien, devenu le nouveau Captain America ! Cap Wolf (lisez le mag et vous comprendrez) est en bien mauvaise posture, aux mains de la Serpent society, devenue quasi respectable sous le nom très corporate de « Serpent solutions ». Leur chef, la pipère, entreprend de lui expliquer que le groupe criminel a bien changé et qu’il entend faire du business de manière quasi légale, un peu à la manière des yakuzas japonais et de leurs sociétés ayant pignon sur rue, en tant que conseil d’entreprises et « solutionneur » (exécuteur de basses œuvres illégales). Pendant ce temps, le nouveau faucon se souvient de la façon dont il est arrivé à devenir un sujet d’expérience mi homme mi faucon, ce qui l’a pourvu d’ailes lui permettant de voler sans aide mécanique (au contraire de Captain America), d’une vue perçante et d’un lien empathique avec Cap et Redwing, son faucon. C’est un personnage pour l’instant très intéressant, jeune homme obsédé par la doctoresse qui le soigne et qui regrette que ce ne soit pas elle mais D-man qui veille sur lui. Spencer parle avec grande réussite de l’actualité réelle et interroge le lecteur à travers la mention assez osée et controversée des Mexicains traversant la frontière américaine en faisant de son héros aviaire un migrant ayant réussi à la traverser illégalement avec sa famille, devenu un humanitaire aidant ses compatriotes en leur distribuant des vivres et des produits de première nécessité, ce qui a conduit à sa capture par les fils du serpent, qui apparaissaient dans les numéros 1 et 2. Il évoque également, à travers le discours qui se veut logique, raisonnable et entreprenant de la vipère à Cap wolf, les travers de certaines entreprises américaines, prêtes à tout pour le profit, en évoquant le terrifiant exemple de la qualité de l’air, qui n’est pas garanti par la constitution américaine et qui devrait donc pouvoir faire l’objet de brevets…et de profits. Encore un grand numéro ! Scénario : 16/20 Dialogues : 17/20 Dessins, encrage, couleur : 17/20 Note finale : 17/20 Catégorie « Très bon » Secret wars 9 Genre : ça valait pas l'attente mais ça reste du costaud Avec des mois de retard, voici enfin la conclusion du magnifique crossover marvel, le meilleur selon moi depuis Civil war. Fatalis affronte enfin les opposants n’ayant pas connu la création du monde dont il est le dieu, au premier chef les rois Namor et Black panther (qui est particulièrement puissant et intelligent dans ce volume) mais aussi et surtout son ennemi juré, Mister Fantastic, dans un duel qui a pour enjeu la nature même de l’univers Marvel. Sur de très belles planches de Ribic, nous assistons à un très beau final, classique mais bien mené, dans la continuité logique des évènements de ce qui l’a précédé. Mister Fantastic et sa famille y sont particulièrement à l’honneur, se partageant la vedette en termes de place et d’importance dans le récit avec Fatalis et Black Panther. L’épilogue qui est consacré à ce dernier est assez mystérieux pour moi et annonce peut-être les évènements qui se déroulent actuellement dans le titre post secret wars « The Ultimates », que je ne lis pas. Les Fantastic four, à l’exception notable de The Thing, qui rejoint les gardiens de galaxie -snif- et de la torche humaine, qui est désormais dans l’entourage des Inhumains de Medusa, se mettent en congé de l’univers Marvel, leur titre étant pour la première fois arrêté pour méventes (Deadpool leur a même piqué leur sous-titre historique « The World’s greatest comic magazine » !!!) En attendant leur inévitable retour un jour, ce dernier numéro de secret wars leur fait honneur en tant que première famille, dans tous les sens du terme… Scénario : 16/20 Dialogues : 16/20 Dessins, encrage, couleur : 17/20 Note finale : 16/20 Catégorie « Bon » RIEN Catégorie « Sympa » RIEN Catégorie "Moyen" RIEN IDW Catégorie « Excellent » Empire Uprising TPB 1 Genre : La suite! La suite! La suite! Après bien des années de parution du tome 1, auto contenu et qui vient de sortir dans une nouvelle édition VF chez Delcourt sous le titre « Golgoth le dernier empereur » (Achetez ! Achetez !), Waid et Kitson donnent enfin une suite à leur petit bijou. L’histoire ? Dans un monde où les super-héros et les super criminels existent, le génial Golgoth, maître du mal qui n’est pas sans faire penser au docteur Fatalis, est parvenu à vaincre les troupes de son ennemi juré, Endymion, le Superman local, et à conquérir le monde. Dans un monde presque unifié sous sa bannière, ses compagnons, devenus ministres à l’échelle mondiale, appliquent sa volonté et épanchent leurs désirs, complotant pour lui ravir sa place mais étant tenus en laisse par l’Eucharistie, la drogue qui leur est distribuée par Golgoth et qui leur donne leurs fabuleux pouvoirs. Dans cette suite, Golgoth honore la mémoire d’un être qui lui est cher mais doit vite faire face à une insurrection montée contre lui par un groupe de résistants à son oppression. De plus, un pays africain richissime ayant jusqu’ici bénéficié de ses largesses semble vouloir le défier. Mais Golgoth a-t-il vraiment encore envie de diriger le monde ? Ses alliés se posent de plus en plus de questions à son sujet à mesure qu’ils perçoivent ses silences, perçus comme de la faiblesse. Waid continue la description de son terrifiant monde dystopique et régi d’une main de fer, introduisant des menaces extérieures à l’empire tout en développant les complots intérieurs, de plus en plus audacieux. Vivement le tome 2 car celui-ci pose des questions passionnantes sur la solitude du monarque, sur la liberté de conscience et sur l’ambition. Les surprises développant le scénario sont nombreuses et on retrouve très vite tout ce qui rendait le premier tome si passionnant. Petit bémol sur certaines planches de Kitson, pas en grande forme par moments. Scénario : 18/20 Dialogues : 18/20 Dessins, encrage, couleur : 16/20 Note finale : 18/20 Catégorie « Très bon » RIEN Catégorie « Bon » RIEN Catégorie « Sympa » RIEN
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Je sais pas toi mais je pense que s'il devait avoir un nouvelle série Exiles, se serait le Richard et le reste de la future fondation qui est avec eux ...
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ça serait sympa, oui.
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Catégorie « Excellent » RIEN Catégorie « Très bon » RIEN Catégorie « Bon » Harley Quinn 24 Genre : Final de qualité Confrontation finale entre le maire ripou de New York et Harley Quinn : les mercenaires envoyés pour la tuer elle et ses étranges amis vont en être pour leurs frais, tant l’accueil qui leur est réservé est mortel et inventif ! Un bon numéro bouclant l’arc en cours de façon efficace et déjantée. On a le plaisir de faire le tour des alliés de la superbe, de leurs capacités martiales très variées et de leurs façons encore plus différentes de résoudre les problèmes. Le cliffhanger…retourne aux sources dirons-nous. Un bon numéro d’un comic désormais bien installé dans le paysage. Juste, si on pouvait éviter Sy Borgman et ses vannes incompréhensibles, ce serait pas du luxe. Scénario : 14/20 Dialogues : 16/20 Dessins, encrage, couleur : 15/20 Note finale : 14/20 Secret six 10 Genre : Final réussi Une jolie conclusion de la « crise Black Alice » dont l’existence menace l’existence même de tous les individus liés à la magie et réveille les grands anciens du monde DC ! Dans ce numéro, outre la présence remarquée et plutôt bien utilisée de Superman, on relève avec intérêt la première utilisation par Porcelain de son dangereux pouvoir et le cliffhanger digne d’un film d’horreur bien troussé. Oh ! Et Eaglesham revient aux dessins, même s’il est pas tout seul. Peut-être le meilleur numéro de cet arc un rien décevant vu les enjeux, ce qui est bien car la conclusion du récit est ce qui reste dans la tête du lecteur… Scénario : 14/20 Dialogues : 15/20 Dessins, encrage, couleur : 15/20 Note finale : 14/20 Catégorie « Sympa » Batgirl 47 Genre : Sitôt lu, sitôt oublié Toujours afin de démasquer ceux qui utilisent les gangs et les paumés de Burnside pour exproprier les habitants dans le cadre d’une opération immobilière très louche, Batgirl continue son alliance avec la jeune Spoiler et rencontre son alliée dont le costume fait beaucoup penser à celui de Nightwing, Batgirl et Spoiler en viennent à infiltrer la police en se déguisant en policières… Un numéro de transition sans grandes qualités. Un peu ennuyeux, avec un dessineux en petite forme et une narration trop légère et peu crédible (l’infiltration est traitée par-dessus la jambe). Vivement que le titre se relève parce que là, il est à genoux. Scénario : 12/20 Dialogues : 12/20 Dessins, encrage, couleur : 12/20 Note finale : 12/20 MARVEL Catégorie « Excellent » Silver surfer 1 Genre : Démarrage en trombe C’est donc le retour du surfeur post Secret wars, avec la même équipe aux commandes et c’est donc une bien bonne nouvelle, vu que c’est une des meilleures exploitations jamais faites du personnage et le meilleur titre cosmique actuel de Marvel ! Je me faisais la réflexion que c’est la première fois que je lis en même temps tous les titres des membres fondateurs des Défenseurs (Hulk, Silver surfer, Docteur Strange) à l’exception notable de Namor qui n’a pas de titre propre (et ne risque pas d’en avoir un si j’en crois les échos de ce qui lui est arrivé dans le titre Squadron Supreme en cours de parution) Sans surprise, c’est du bon, beau et inventif, avec un retour du Surfer sur Terre, une invasion extraterrestre de nature originale et inventive, des camées en veux-tu en voilà à la culture pop de ces dernières années (Kill Bill, Star wars…) qu’on glane au fil de pages superbement dessinées et mises en couleurs des Allred. Le cliffhanger me fait penser à l’intrigue en cours dans les titres Hercules et Doctor Strange, comme si les auteurs s’étaient donné le mot. En effet, dans les titres en cours, Docteur Strange affronte une mystérieuse et nouvelle organisation qui s’en prend à la magie du monde, l’essence même du plus grand des magiciens. Dans Hercules, une force mystérieuse et nouvelle menace l’existence même des personnages issus des mythes, comme Hercules. Et dans Silver surfer, une force mystérieuse et nouvelle s’en prend à ce qui est la plus cher au surfer, le libre arbitre. Du très lourd comme d’habitude. Scénario : 17/20 Dialogues : 17/20 Dessins, encrage, couleur : 18/20 Note finale : 17/20 Catégorie « Très bon » Hercules 3 Genre : Très bonne utilisation du mythe Hercules affronte des centaures bien remontés et visite le prophète Tirésias, bien mal en point. Gilgamesh commence un peu à sortir de sa léthargie dépressive. Pour le meilleur ? Ce titre continue à enfoncer le clou avec une des meilleures utilisations d’Hercules (déjà bien gâté par Layton puis Pak et Van Lente) dans une intrigue qui fait un peu penser à celle d’Highlander. On ne peut que pester à la fin de la lecture de ce numéro bien trop court, au cliffhanger très intriguant. Scénario : 16/20 Dialogues : 16/20 Dessins, encrage, couleur : 16/20 Note finale : 16/20 Deadpool 6 Genre : Intrigante intro! Pour débuter le nouvel arc et dans la grande tradition des « Marvel then » pré Secret wars du titre, voici une aventure de Deadpool qui se déroule…en 2099, dans le futur dystopique et cyberpunk qui cartonnait au début des années 90 et est de retour depuis peu dans le monde Marvel. On y fait la rencontre du nouveau (ou plutôt de la nouvelle) Deadpool, qui n’est pas Wade Wilson mais qui a maille à partir avec les autorités locales. Comme d’hab avec Duggan (sans Posehn, mais pourquoi ?), on sait que cet épisode n’est ni gratuit ni anecdotique et que ce qui s’y passe se retrouvera un jour dans la série principale, peut-être même dans ce nouvel arc. Une incursion réussie dans le futur et un premier jalon alléchant par ses révélations. Comme d’hab ! Scénario : 16/20 Dialogues : 16/20 Dessins, encrage, couleur : 14/20 Note finale : 16/20 Catégorie « Bon » RIEN Catégorie « Sympa » RIEN UDON Catégorie « Excellent » RIEN Catégorie « Très bon » RIEN Catégorie « Bon » Street Fighter unlimited 2 Genre : Départ réussi Le maître de secte Gill, le grand méchant du jeu Street Fighter III et apparu dans le comic Udon dans les deux Graphic novels Super Street Fighter II (suivez un peu !) constate que les étoiles sont alignées et que son ère est venue, à lui qui est à la fois créateur et destructeur. Il active ses fidèles infiltrés dans les grandes organisations mondiales et recherche activement la source d’énergie qui va lui permettre d’activer sa machine à changer le monde. Oui, c’est super original, sachant qu’il vise Ryu et Akuma/Gouki. C’est pas comme si ça avait bien marché pour Bison avant…Bref. Pendant ce temps, Guile et Cammy ont pris conscience de l’influence de la secte de Gill et décident d’opérer en petit comité, en marge de leurs organisations respectives. Avec la complicité de Ken Masters, qu’on découvre plein aux as, ils rendent une petite visite à Balrog, devenu un « respectable » homme d’affaires afin de comprendre les liens qui unissent Shadaloo et la société secrète de Gill… Un numéro bien plus convaincant que le premier, principalement parce qu’il lance vraiment l’intrigue et fait le lien avec les évènements développés auparavant. L’histoire bonus qui conclut le volume développe le personnage de Necro de manière sympathique. Sinon, je viens enfin de percuter que Gill est très inspiré par le look de Kars, l’un des hommes du pilier dans Jojo’s bizarre adventures Battle tendency, comme Rose est inspirée de Lisa Lisa du même arc Scénario : 14/20 Dialogues : 14/20 Dessins, encrage, couleur : 16/20 Note finale : 14/20 Catégorie « Sympa » RIEN
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"Whatever knows fear burns at the man-thing's touch!" Chroniques VO 01/02/20 : Deadpool the end, la fin des New Defenders, Tarot 2, Epic collection X-cutionner's song, ravencroft 1, Doc Strange et Cap Marvel the end, Cap 18 |
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Quand je vois la couv d'hercule pour avril ça donne envie ...
Merci pour tes avis toujours intéressant. |
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dc comics, man-thing, marvel comics, udon |
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