#16
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Jem and The Holograms #6
La fin du premier arc de Jem and The Holograms tient la route. Sophie Campbell nous en met encore une fois plein la vue avec des planches très dynamiques et colorées. Elle assure le show, c'est le cas de la dire. LA bonne nouvelle c'est qu'elle sera de retour dès le #10. Je serais présent au rendez vous.
En 6 numéros Kelly Thompson a donné vie à l'ensemble de ses personnages, ne laissant personne complètement de côté et les enjeux ont bien été construit. La guerre avec les Misfits fait rage, bien sur, mais les déconvenues multiples rythment le récit de manière convaincante. Loin d'avoir des protagonistes niais, Jem and The Holograms prouve que l'on peut écrire un récit dans l'air du temps, qui s'adresse à un public plus jeune sans pour autant le rabaisser et dénigrer ses capacités intellectuelles. Ce qui me manque dans Batgirl se trouve actuellement dans ce titre que je mets largement au dessus. |
#17
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Thors #3
THORS #3
Sur Thors le coupable peut être n'importe qui tant Aaron a verrouillé son récit. Assez déçu pour l'instant et il ne reste qu'un numéro. Aaron applique les codes des séries policières à son histoire. Il le fait bien, trop bien même car le scénariste n'arrive pas à lever de l'intérêt à ses lecteurs. Pour soupçonner quelqu'un et rentrer dans le jeu il faut avoir semé des indices, aussi minimes soit ils. Ce qui n'est pas le cas dans Thors où on s'ennuie quand même un peu. La qualité des dialogues de Aaron en arrive même à déservir la série (j'ai trouvé cela pompeux entre Loki et Thor malgré quelques répliques bien senties). Mais connaissant le scénariste j'attends la chute dans le prochain numéro car on est pas au bout d'une très bonne surprise. Avis mitigé aux 3/4 de la LS. |
#18
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Green arrow #44
Nouveau arc pour le Shadow Dancer de DC avec Green Arrow #44. Benjamin Percy continue de tracer sa route en mélangeant légende urbaine, surnaturel et horreur. Cela fonctionne. Ce numéro nous compte essentiellement les origines du nouvel ami canidé de Oliver Queen qui se pose également des questions quand à sa vie amoureuse. De nouveaux personnages font leur apparition en la personne de Tarentula qui vient prêter main forme à l'archer vert qui a fort affaire avec les Bone Hunters. Patrick Zircher se repose un peu laissant la moitié de l'épisode dessinée par un impeccable Fabrizio Fiorentino. Il y a des idées, de l'action et une ligne directrice dans la narration de Benjamin Percy. C'est fort appréciable.
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#19
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X-o manowar #40
X-O MANOWAR #40
Aric est entre le marteau et l'enclume et il a fort affaire avec les forces terriennes qui ont ouvert le feu sur les migrantsVines (c'est malheureusement d'actualité). Il doit en plus gérer son peuple qui désapprouve la défense par leur roi de leur anciens geôliers. En toile de fond on découvre qui intrigue (bonne surprise de la part du scénariste) et à interêt à ce que la guerre éclate. Confirmation que X-O MANOWAR reprend enfin des couleurs avec la deuxième partie de Exodus. Il aura fallu 1 an la série pour retrouver le niveau qu'elle avait atteint à l'époque de Armor Hunters. Robert Venditti est très inspiré sur cet arc qui fait mesurer aux lecteur le chemin parcouru depuis le premier numéro en utilisant ce qui a marqué la série ; une bonne synthèse en quelque sorte. Le bon Sandoval (Rafa) rend une bonne copie. Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 07/09/2015 à 09h06. |
#20
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#21
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Squadron Sinister #3
Je me mets, naïvement, à espérer que le dernier numéro va nous réserver des surprises et que tout n'a pas été dévoilé avec ce troisième épisode (de loin le meilleur d'ailleurs). On sent quand même une montée en puissance mais sur une LS en 4 c'est presque trop tard pour en faire un récit incontournable ou marquant. La lecture est néanmoins agréable et actuellement Nighthawk est quand même le personnage qui sort du lot en étant assez bien écrit. Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 07/09/2015 à 19h59. |
#22
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Pour moi rien ne diffère Nighthawk de Batman/Owlman et ça me gène parce que ça me semblait pas aussi grossier dans l'escadron suprême des années 80 (Pourtant traduit par Lug).
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#23
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C'est parce que ce n'est justement pas le Squadron Supreme (et encore moins la version de Gruenwald). C'est son pendant maléfique (comme la Justice League et le Syndicat du Crime).
En cela le concept est intéressant sauf que Guggenheim manque un peu de finesse (et de temps pour développer). |
#24
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IMPERIUM #7 et #8
IMPERIUM #7 et #8
Tout comme son collègue Fred Van Lente sur Ivar, timewalker , Joshua Dysart propose une belle variation sur la répétition du temps à travers l'affrontement entre Harada et Divinity. Le scénario est assez malin pour mêler passé et futur et nous faire revivre plusieurs fois des évènements sans que le lecteur ressente une lassitude quelconque. Au contraire le champs des possible aperçue est passionnant. Mais c'est surtout que le face à face tient toutes ses promesses avec deux être aux pouvoirs presque divins et à la vision du monde bien opposée. Harada en sort grandi dans ce qu'il souhaite proposer. D'ailleurs Dysart n'oublie pas, à la fin de l'épisode, de revenir sur la situation de ce dernier et la fondation zone. Cet arc m'a quand même semblé un peu long car on avait parfois l'impression que Dysart hésitait quand à la ligne directrice à adopter (et Scott Eaton pioche parfois côté dessins). Pourtant les 8 épisodes (les deux arcs donc) forment un tout cohérent et le scénariste a pu ainsi un peu plus façonner l'environnement qu'il a crée. La suite avec les Vines s'annonce palpitante. |
#25
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Secret Wars 2099 #5 Fin de l'autre mini scénarisée par Peter David, pas *géniale* mais plus concluante que celle mentionnée ci-dessus. Les différentes intrigues sont closes (même celle concernant Black Widow !) et si je ne suis toujours pas fan de Will Sliney, les planches avec le grand ennemi de ce numéro (grand dans tous les sens du terme) sont impressionnantes. Après, d'un côté ça fait plaisir de savoir qu'on va retrouver la Captain America de cette série dans Spider-Man 2099, d'un autre... c'est frustrant ! On sent que le scénariste à des plans à long terme pour ses intrigues et ses personnages, mais on n'est plus à l'époque de son précédent run sur X-Factor où on pouvait se permettre de suivre la même série pendant des années et des années. A présent il faut sauter d'une série à l'autre, ce qui signifie être exposé à de plus en plus de personnages souvent très bien écrits mais qui disparaissent dès qu'on commence à s'y attacher. Ce dernier chapitre va chercher dans les peurs de notre Iron Man du futur, met en scène une Dr Strange bien badass et une Black Widow intrigante... qu'on reverra un jour peut-être, tout comme Danger, Polaris, Warlock et autres seconds couteaux qui n'intéressent sans doute pas beaucoup de scénaristes mais que Peter David a su rendre fascinants l'espace de quelques chapitres, et qui mériteraient d'être développés sur beaucoup plus. Mais la tâche a l'air difficile étant donné la réalité des ventes et le changement du paysage des comics, avec ses relaunches de plus en plus rapprochés. Bref, une mini un peu hybride pour un résultat mitigé : elle aurait mieux fonctionné en tant que premier arc en appelant un deuxième, un troisième etc. et reste un peu frustrante en l'état des choses car elle regorge de potentiel non exploité. Ça arrivera peut-être par la suite~
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"It's not about adding diversity for the sake of diversity, it's about subtracting homogeneity for the sake of realism." une cacahuète dans la nuit. |
#26
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Outcast #12
OUTCAST #12 ou la confirmation que cette série est taillée pour du TP et des lecteurs patients.
Robert Kirkman se moque quand même un peu de nous avec un véritable cliffhanger mais qui ne fait pas avancer son récit qui se traine en longueur. C'est très énervant. Pour ma part c'est le dernier numéro que je fais en single. Direction les recueils désormais ou le petit écran car la série sera sur Cinemax en 2016. Outcast un comics taillé pour des spectateurs, les lecteurs passant après. |
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Silver surfer #14
SILVER SURFER #14
Autant Dan Slott me semble parfois être surestimé sur Spider-Man (dans le sens encensé à tord à mon avis) autant son Silver Surfer est un petit bijoux narratif. Au vu du ton et des thèmes pas étonnant que le public américain n'est pas répondu présent. On est loin d'un personnage fondu dans le (Jean-) moule des blockbuster. Non son Silver Surfer a une approche très fine qui rappelle celui de Starlin ou De Matteis. Deuxième Last Day et la preuve que l'on peut s'accommoder d'un event et produire un récit intéressant malgré la contrainte qui ici est très forte : l'univers n'est plus. Pendant une vingtaine de page on va suivre le Silver Surfer et Dawn remodeler l'univers à travers leurs choix et leurs doutes ce qui va déboucher sur de véritables moments introspectifs. Ils sont pour cela aidés du Shaper of the Worlds (Glorian), de Zee (les deux intéressés) et de Mike Allred. L'épisode peut sembler un peu long mais c'es beau, onirique et cela ouvre des pistes de réflexions intéressantes (que feriez vous, que ramèneriez vous en priorité, sur quels souvenirs ? et changeriez vous pour le meilleur ou pour le pire quelque chose ?). Cette série va nous manquer après Secret Wars. |
#28
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Secret Wars 2099 #5
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#29
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Amazing spider-man : Renew your vows #5
AMAZING SPIDER-MAN : RENEW YOUR VOWS #5
Le plaisir d'avoir lu cette LS est bien présent à la conclusion de ce cinquième et dernier numéro mais je reste quand même un peu sur ma faim à cause de quelques lacunes scénaristiques. Regent le vilain de service n'est pas charismatique pour deux sous. On a du mal à croire qu'il a conquis son bout de battleworld et la réaction de la population lors de sa chute me semble en désaccord avec ce qu'il est sensé représenter. On aurait en savoir plus sur la résistance menée par Clint (manque de temps). La dernière page laisse une impression très bizarre. MJ semble signaler qu'elle n'est pas au courant de l'existence de Doom ni Peter d'ailleurs. Cela m'a gêné. On est donc dans un monde où les gens de voyage pas ? N'ont pas d'info ? Réduit à une seule ville ? Je trouve que c'est les limites du concept du Secret Wars d'Hickman. Il manque le liant pour assembler tout cela. Pour finir les derniers mots de Dan Slott sont bien énigmatique : se laisse t il la possibilité de poursuivre cette histoire après Secret Wars ? Va t il en emprunter des éléments ? Pas de Iron MJ Man mais une utilisation à bon escient d'une armure (c'est quand même un peu tiré par les cheveux). Pas grand chose à signaler sur la prestation de Adam Kubert au contraire des autres épisodes. L'encrage de Scott Hanna ne lui convient toujours pas mais j'ai trouvé que c'était son meilleur numéro. Carton rouge à Marvel qui insère ses previews en plein milieu d'une double page. Minable comme procédé. Cela vaut les twix de DC. |
#30
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Vis-à-vis des lecteurs, ce n'est pas sympa.
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