#1936
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Dans le one-shot, Red Richards explique que ce sont ses pouvoirs mystiques qui ont permis à Wanda d'intégrer Onslaught malgré le fait qu'elle soit mutante.
leonidas : quelles sont tes réserves quant à Day of Vengeance et Rann/Thanagar War ? |
#1937
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D'ailleurs c'est drôle car Namor y va alors qu'il est un mutant mais personne ne le relève et pour Wanda c'est l'inverse du coup elle y va "protégée" par ses pouvoirs sur les probabilités mais en fait c'est juste parce qu'elle n'était pas mutante. Du coup Vif-Argent aurait pu y aller ^^ |
#1938
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Wolverine's Revenge : comme quoi quand une histoire est bien écrite il n'y a aucun problème à la relire même si on connait la chute. Avec cet arc Aaron a réussi à justifier toute la violence du perso, de son passage aux enfers jusque son retour sur Terre. Là encore c'est bourrin, très mais en même temps c'est du griffu que l'on lit, et quand on connait la finalité de ce bain de sang on y trouve une certaine finesse. Le choix de Guedes au dessin est parfait, comme Ryp c'est le genre d'artiste qui mal utilisé peut paraître malsain, et quand on leur donne du caviar ils révèlent tout leur talent.
Et encore une fois, une énième fois, il y a ce rapport père/enfant(s) dans les thèmes de prédilections de Aaron, jusqu'où ira-t-il avec ce filon? En tout cas ici il l'a encore utilisé avec brio. |
#1939
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Oups, mauvais timing. J'ai voulu me relire Master of Kung Fu, plus précisément l'équivalent singles des récits publiés dans le Thor "Flash" d'Artima (#83-89), avec le retour de "Ku Namfu" aux affaires. Je ne m'attendais pas vraiment à ce que l'histoire traite du rassemblement de groupes terroristes sous la coupe d'un leader fanatique et s'achève au sommet d'une des tours du World Trade Center, avec la menace d'explosion d'une bombe et le crash de l'appareil de Fu Manchu....
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#1940
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Relire à bientôt 40 ans les mystères du meurtre écrit par Neil Gaiman et dessiné par P.Graig Russel. .... se dire que l'on fut bien ignorant à la moitié de cet âge et que vieillir a du bon.
Une envie, une folie de prendre ce bouquin, publié par Semic à l'époque, dans ma bibliothèque. La joie d'avoir ce choix. Deux jours que je suis dessus et la magnifique prose de Gaiman a accompagné mes actuelles journées difficiles. Vive le meurtre originel quand il est raconté de la sorte. Quelle poésie dans le verbe qui remonte à la source de façon si évidente que l'on reste subjugué par les conclusions d'une première enquête fondatrice et génératrice de l'univers. Et quand en plus c'est accompagné par les crayons magiques de P.Graig Russel ..... Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 15/09/2016 à 23h27. |
#1941
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X-O Manowar version Acclaim, les 14 premiers numéros (Waid et Augustyn / Sean Chen puis Scott Eaton).
Durant la Seconde Guerre Mondiale, les US récupèrent une armure utilisée par les nazis mais n'arrivent pas à l'activer. Seul un petit génie pacifiste, Donovan Wylie, parvient en 1996 à percer ses secrets, et l'armure - qui se lie de façon symbiotique et permanente à son utilisateur - est confié à un soldat à la gueule carrée, sans peur et sans reproche. Lors du baptême du feu de l'armure X-O, Wylie réalise cependant que l'armure réagit à l'instinct de préservation de son usager, mais trop tard pour prévenir le trompe-la-mort qui la porte. Donovan est lui-même obligé de fusionner avec l'armure à son tour pour échapper à la mort, et se retrouve donc à jongler entre ses préoccupation scientifique et la pression de l'armée. Bof. Un Iron Man avec une pincée de Venom/Spawn. Les premiers numéros sont assez sympa avec une pseudo science qui tient la route, mais la série dégringole assez vite avec un triangle amoureux entre le héros, sa compagne psychiatre et une biophysicienne excitée par le danger et plongeant dans l'action flingue à la main et sous tifs à la poitrine (elle se jettera entre autres sur Magnus et Woody). La lecture n'est pas désagréable mais c'est du recyclage d'idées. |
#1942
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Suicide Squad version Giffen et Paco Medina. Situé durant la présidence de Luthor, cette série suit une incarnation de la Task Force Omega (parce que "Le X est trop utilisé ces temps-ci") menée par le Sergent Rock et Bulldozer, néanmoins chapeauté par Waller en haut lieu.
Giffen compose une série oscillant entre humour et violence : la première histoire massacre purement et simplement l'ex-Justice League of Antartica pour les connaisseurs, la mission suivante décime une équipe d'inconnus, et Giffen submerge l'île de Kooey Kooey Kooey et ses touristes. A côté de cela, on a un numéro assez baroque sur le recrutement de Deadshot. Par contre, un story arc assez long devient bavard au point que j'ai cru lire du Claremont (une scène bien fétichiste accentuant ce sentiment). Dans les derniers numéros, Giffen fait table rase en réintroduisant des antagonistes de la première série et en évacuant les persos créés pour la série |
#1943
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Du old school DC en version semic book : LEGENDS de Wein, Ostrander, Byrne et Kesel.
Très bien. Je ne m'en souvenais pas, et comme ma connaissance du DCU s'est affinée depuis 2004, j'ai découvert à nouveau cette relance se voulant au départ comme un nouveau COIE (idée finalement abandonnée même si un épisode tente le mimétisme en composition de pages). La montée en puissance de la création des nouveaux héros (qui conduira à la nouvelle Justice League) se fait progressivement et DC utilisera à nouveau le concept, quelques années plus tard, des héros qui font peur à l'Amérique (notamment dans Kingdom Come). Je n'ai pas lu l'édition Urban mais on sent bien quelques manques (les séries tie in). Dommage que Wonder Woman arrive comme un cheveux sur la soupe vers la fin. Byrne encré par Kesel, je dis oui. En fait cette relecture m'a été fortement suggérée suite à mon achat (puis lecture) du trop gros bouquin d'Urban sur la ligue Bwa Ha Ha (la Justice League de Giffen, De Matteis et Maguire). A part l'objet, ce fut une agréable lecture, qui a du en surprendre plus d'un à l'époque. Je serais de la suite. Du bon DC, comme j'aime. Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 25/09/2016 à 01h14. |
#1944
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FlashPoint, toujours aussi agréable à la relecture. Ce Dr Wayne est vraiment excellent en Batman
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#1945
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#1946
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Batman - Amère Victoire, que je n'avais pas vraiment aimé à la première lecture. A la seconde, c'est un peu mieux, mais ça fait beaucoup trop redite pour être vraiment plaisant à lire...
Vous avez aimé Long Halloween ? eh bien les auteurs sont de retour pour une suite ! Avec encore une fois un mystérieux assassin qui tue des cibles précises le jour d'une fête ! Avec encore une fois la guerre entre les criminels mafieux et les super-vilains ! Avec encore une fois l'intégralité des ennemis de Batman qui vont défiler au fil des épisodes ! Mais cette fois-ci, il y a Robin ! (pour quelques pages à la fin...) Ce comics, c'est l'équivalent en bouquin de SOS Fantômes 2... Outre l'impression de relire la même chose, il y a des choses qui n'auraient pas dû être présentes : le cas des mafieux aurait dû être réglé à la fin de Long Halloween, il n'y avait pas de raison d'en faire un élément principal de cette nouvelle histoire, par exemple. Le coup du mystérieux tueur est vraiment raté... Vu le lieux de certains meurtres (des égouts en pleine intervention de police contre des super-vilains, un commissariat DEUX fois !), le fait que cette personne ait pu s'y déplacer librement explose complètement notre suspension de l'incrédulité... Tout n'est pas raté, mais même les bons moments n'aboutissent pas à quelque chose : Batman est de plus en plus renfermé, il a des regrets vis-à-vis de Dent, et il commence à commettre des erreurs. L'arrivée de Robin est l'occasion de le remettre en selle, sauf que c'est juste ébauché. Comme Batman n'emmène pas Robin lors de la confrontation finale (il participe, mais c'est totalement par hasard...), on ne voit pas que sa présence est réellement bénéfique pour Bruce, et qu'il avait raison de s'ouvrir et de faire confiance à certaines personnes. Et franchement, sur 13 épisodes, il y avait quand même moyen de caser ça... Bref, une histoire qui n'avait pas de raison d'être vu que Long Halloween est pareil, en mieux...
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"My Lord, you have no space suit..." "Air is for cowards ! Do it !" mes ventes diverses et variées mes recherches diverses et variées les aventures d'Archibald Long-Jean |
#1947
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Haven: The Broken City de Ashley-Jayne Nicolaus, Matthew P. Schuster et Ariel Olivetti : une mini-série de 9 numéros réguliers et deux formats prestige servant d'intro et de conclusion.
Un vaisseau/ville/prison alien nommé Haven s'écrase en Californie, provoquant la destruction d'une ville entière malgré l'intervention de la JLA et de l'Alliance, les gardiens de Haven. La cité-prison fuit le règne d'Anathema, une dictatrice qui a pris le pouvoir sur leur planète en offrant aux citoyens des pouvoirs en échange de leur obéissance. Luthor dépêche une ambassadrice méfiante auprès des aliens pendant que l'Alliance part en chasse de criminels ayant profité de la confusion pour s'échapper, alors que la menace d'une arrivée d'Anathema sur Terre se fait de plus en plus pressante. Au final, peu de choses arrivent : de nouveaux personnages au fonctionnement proche des Inhumains de Marvel arrivent, s'acclimatent avant la baston contre le dictateur intergalactique. Cependant, la série fait la part belle aux personnages, ceux-ci faisant découvrir progressivement leurs secrets et origines. Les auteurs jonglent entre caractères, diplomatie et menace croissante. L'appréciation ou le rejet de la série réside surtout dans le trait d'Olivetti. Je trouve qu'il reste ici très lisible bien que parfois lourd et trop statique. |
#1948
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Alpha Flight de Byrne parce que pas relus depuis la publication dans Strange. Bon un réel plaisir de retrouvé Byrne en forme.
Le constat c est mieux d avoir une histoire qui n ezt pas coupée et qui au fond est plus comprehensible mais la deception est plutot sur le plan graphique ou il y a pas assez de fonds et les couleurs, bon c'est les couleurs de l'époque. L'histoire par elle même et bienla surprise c'est que ce n'est ppas une équipe mais la somme detoutun tas de personage qui au final ne travaillent qu'une seule fois ensemble (contre Toundra) il y le drame d'Heather qui au finalest le personnage principal de la série, la relation entre Shaman et sa famille et entre les jumeaux Baubier puis Walter qui s' affirme en combatant le super-skrull, Marina et le maître sont une sous intrigue pas très intéressante mais voila que lafin s approche et que Puck, Aurora et Heather semblent aller vers un climaxplus intéressant. |
#1949
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FANTASTIC FOUR de John Byrne - Best of Panini comics
Malgré les erreurs, les fautes, les bulles inversées et le niveau de langage bas de gamme de la traduction signée Laurence BELINGARD, la quintessence des FF se trouve là, les plans diaboliques de torture psychologique de Fatalis dans Liddleville, le drame de Ben Grimm enfermé dans le corps de la Chose et l'amour d'Alicia, les sagas cosmiques dans les organes d'Ego, la planète vivante... et la délicieuse Tante Pétunia! Frankie Raye et ses problèmes d'hygiène et d'exhibitionnisme... Red Richards et Ben Grimm sont vraiment bien écrits et leurs émotions sont riches et variées, les Storm étant un peu plus effacés. Un régal! Quel dommage de ne pas avoir eu la fin! |
#1950
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Dr Fate de Messner-Loebs et divers artistes (principalement Scott Eaton). Ce run fait directement suite à celui de DeMatteis qui a rangé ses jouets et fait disparaître Nabu, Eric et Linda Strauss mais ramène Kent et Inza Nelson.
Messner continue dans cette voie en commençant son run par le départ des Lords of Order qui en ont assez de se faire massacrer les uns après les autres pour la Terre, à l'exception d'un qui décide d'aller se venger de ce qui reste de Fate. Ce dernier, depuis DeMatteis, s'avère être au zénith de son pouvoir lorsqu'il rassemble un hôte masculin et un hôte féminin. Cependant, lorsque Kent et Inza Nelson tentent de fusionner, cette dernière se retrouve seule aux commandes des pouvoirs de Fate mais parvient à le manier plus aisément que son époux et, peu à peu, étend son influence et sa protection à la banlieue défavorisée où ils habitent avec des méthodes de plus en plus radicales. Bon, le ton change radicalement, et l'on ne retrouve plus un Meher Baba flottant toutes les 4 pages. Messner-Loebs s'essaie à un Dr Fate urbain, Inza commençant son long glissement vers une sorte de dictature éclairée en réparant un feu rouge. Quelques clichés avec la foule des voisins venant soutenir le héros en difficulté devant un large monstre, mais la lecture est divertissante. |
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