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Par contre Eternals 6 est une "tuerie"
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Hank Howard, Pizza Detective in Caligula's Safe
sous ce nom très long (et un peu grandiloquent) se trouve un One-Shot de Bad-Idea (l'un des 2 seuls titres de l'éditeur que j'ai récup) et un one-shot à moins de 1$ !!! (avec une couverture en Card Stock) donc Hank Howard est une histoire courte de 8 pagse écrite par Robert Venditti et dessinée par David Lapham Caligula's safe fonctionne comme un récit d'introduction au monde de Hank Howard, detective privé qui travail pour le compte de la chaine de restaurant Caligula Sa première affaire, trouver qui a détourné la recette du week end..ente le jeune ado débutant qui a fermé la boutique et ... c'est une lecture plaisante, et retrouver Lapham est toujours un plaisir. mais on aimerait en savoir plus sur ces detective, traité comme du roman noir, qui travaille pour une chaine de Pizzerias. ce one-shot est complété par Save Now autre récit court (8 pages), écrit par Matt Kindt et dessiné par Thomas Giorello Un récit de SF/ Super-Héros avec un pitch qui donne envie de voir plus loin, d'ailleurs l'histoire se termine par un = To be Continued. Dans un futur quelconque une bande de héros (Deep Fake, Spear, Numb et Saver) sont la pour sauver le monde, Spear et Numb sont tués, et c'est la qu Saver intervient.. il peut éffacer le temps et revenir en arrière sur l'une de ses "sauvegarde", après plus de 20 reboots il va trouver le moyen de gagner le combat. avancée rapide, le monde est détruit, Deep Fake, Spear et Numb cherchent Saver pour le forcer a rebooter le temps.. il leur dit que ca fait 1 an qu'il n fait que ca et que tous ses essais de reboot mènent au même résultat. Il me semble que l'on aura pas de suite à aucune de ses 2 séries (en tout cas pas chez Bad Idea)
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Shoot Shoot don't talk |
#664
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Batman #111
Au #110, je commençais à me demander si, au-delà des qualités réelles du run, ce dernier est vraiment pour moi. J'ai maintenant ma réponse : non. Oh, j'aimerais vraiment être "à fond" dans cette saga, ce Fear State plutôt bien préparé. James Tynion IV fait les choses sérieusement, il fait bien monter les événements ; tout est bien huilé, c'est une belle mécanique. Ses apports, et notamment l'Unsanity Collective, sont plutôt bons, et son Ghost-Maker a le potentiel pour "exister", au moins un moment dans la Batfamily. Et Jorge Jimenez propose des planches très dynamiques et inventives, même si oui le style risque d'être "daté" assez vite. Mais... Mais ça ne me passionne pas. Mais Future State a trop "vidé" le suspense. Mais l'organisation Magistrate, ça m'emmerde. Mais Scarecrow, c'est long à se mettre en place. Mais tout ça fait trop redite avec Joker War, que j'ai bien aimé, et je m'emmerde. Je m'arrête là. C'est bien, c'est même très bien sur plein d'aspects, mais je ne suis pas dedans. Je suis content que la série soit bien tenue, et que ceux qui aiment aient de très bonnes choses à lire. Mais je n'en fais juste pas partie. Crime Syndicate #6 Bon final. Andy Schmidt précipite un peu sa conclusion, mais il retombe sur ses pattes et "ose" des choix pour son Crime Syndicate. On voit donc les super-vilains s'unir malgré les impératifs, avec donc Emerald Knight qui rejette Sinestro pour embrasser sa noirceur, tenté et poussé par Superwoman. Ultragirl repousse Ultraman et veut l'anéantir, car elle rejoint la justice de Lex Luthor, mais Je suis surpris de ce choix "fort" mais légitime ici, et Andy Schmidt est cohérent dans son approche et son univers. Tout ça se lit bien, c'est efficace et fluide, avec une histoire un peu "sale gosse" et divertissante. Kiern McKeown propose des planches efficaces, même si son Owlman est quand même assez moche. En back-up, l'origine d'Atomica est basique, "oublie" Ray Palmer pour ne parler que de Ryan Choi (et, fan de Ray, ça ne me plaît guère), mais ça se lit bien, surtout avec cette idée "sale gosse" où Atomica explique en fait son plaisir de faire souffrir à Une mini-série divertissante, donc, qui remplit bien son défi de proposer des histoires correctes, assez méchantes et efficaces sur le Crime Syndicate. Ca ne révolutionne rien, mais c'est cohérent et sérieux. C'est bien. Green Lantern #5 Pas mal, mais moins bien que les précédents. Geoffrey Thorne divise clairement ici son épisode, avec même un chapitrage entre chaque "camp". On commence avec Teen Lantern qui, enragée en pensant que l'attaque sur Oa vient de Sinestro, s'en prend violemment à Korugar et au Sinestro Corps. C'est intense, furieux, et assez superbe grâce à Marco Santucci et Andy MacDonald... mais c'est quand même très "léger", car ça ne reste qu'une bagarre. Une belle bagarre, mais "juste" une bagarre. D'autant que le suspense sur la Yellow Lantern qui aide Simon (désormais vêtu d'une armure, véritable Iron Lantern) est éventé par de futures couvertures, déjà révélées ; dommage. Et un autre chapitre sur John Stewart, qui amène ses copains qu'il a sauvés des esclavagistes vers les Green Lanterns survivants. C'est assez SF, mais assez long, trop bavard et donc un peu chiant. D'autant que le passage où on "reproche" à John ce qui est arrivé est facile, et bon Tom Raney est très léger, avec beaucoup de visages loupés. L'ensemble reste prenant, mais c'est un numéro faible dans le run. |
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Justice League #66
C'est une catastrophe. Vraiment, hein. Une pure catastrophe, où rien ne va - où rien ne fonctionne, hormis le plaisir de revoir Phil Hester, même fatigué, sur Green Arrow. Mais purée... je l'ai dit, hein, je voulais y croire. Et si j'ai longtemps critiqué les prestations de Brian Michael Bendis chez Marvel, je lui ai sincèrement donné une chance sur Superman, et j'ai énormément aimé son run. Mais là... Là, c'est juste de la merde. Rien ne va, en fait. Rien ! Que ça soit la menace, avec ce personnage Synmar qui n'était pas passionnant dans Superman mais avait une certaine aura, et qui ici est un bourrin proche du débile congénital, qui perd tout charisme pour devenir un danger générique et lourd. Mais aussi la dynamique de groupe, où cette Justice League ne fait qu'envoyer au casse-pipe personnage après personnage, dans des postures bêtes et méchantes. Et enfin les dialogues, l'ambiance générale, où Bendis ne semble réussir à écrire que Dinah et Ollie. Même ses récentes créatures sont loupées, comme Superman (qu'il écrivait si bien et qui devient ici lourd et pompeux) ou Naomi (qui souffre à mes yeux du "syndrome Pixie" : trop vite mise en avant, trop vite lancée comme super-solution miracle, et qui devient insupportable). C'est vraiment un désastre. Je voulais y croire, mais là... là, rien ne va. Et si Bendis est fautif, je considère aussi DC responsable, en le déplaçant de la franchise Superman pour je-ne-sais quelle raison, et le glisser ici. Alors qu'il est quand même "évident", avec son historique, que Bendis ne sait pas écrire les groupes. Une débâcle, qui déçoit mais énerve, surtout. Oh, et en parallèle, Ram V m'ennuie passablement sur Justice League Dark : cette foutue intrigue sur Merlin n'avance pas, l'auteur ne cesse de créer des rencontres pour "préparer" la guéguerre, mais c'est abominablement chiant. Je ne suis vraiment pas sûr de poursuivre longtemps ici. |
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Bendis n’a plus le feu sacré chez DC ? En plus il n’écrit plus que ça et Checkmate… Peut-être qu’il a besoin de vacances des big two et qu’il devrait se consacrer à des créations perso pendant un temps ?
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Oui, son imprint n'a pas fonctionné : hormis le succès Naomi, les titres Young Justice ou Wonder Twins n'ont pas plu et se sont arrêtés. Mais je trouve qu'il avait une approche intéressante sur l'Homme d'Acier, et son départ est clairement précipité, gâché. Et vu ce que la franchise Superman devient après son départ, on peut se demander pourquoi le bouger... |
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Suicide Squad #6
Pas mal, vraiment. Robbie Thompson tient bien sa série et son casting, et j'aime bien ce que j'y trouve. Le passage du Suicide Squad sur Terre-3 pour chercher Black Siren et récupérer Bloodshot face à Ultraman est bourrin mais efficace. Les interactions dans le Squad sont plutôt bonnes, les subplots avancent et les personnages se creusent un peu. On se concentre ici sur Amanda Waller et Superboy, notamment le "trouble" de Conner, complètement paumé et manipulé là-dedans. On comprend qu'il est téléguidé, il a besoin d'un "médicament" qui précipite leur retour mais qu'il refuse à son arrivée dans une ville russe anonyme. Sauf que les réponses vont arriver, car le Squad et sa prisonnière sont accueillis par Un cliffhanger surprenant, sûrement à mettre en lien avec Ultraman, qui scannait en Superboy et voyait "copies of copies". Amanda Waller est plutôt bien écrite aussi, et l'ensemble se lit agréablement. Ca reste bourrin et brut, ça se veut badass ; ça l'est un peu, mais c'est vraiment fluide et divertissant. Eduardo Pansica est aidé par Dexter Soy ici, les deux styles sont différents mais restent assez proches pour que la transition ne soit pas trop brutale. C'est graphiquement efficace et dynamique, avec quelques belles pages. Je reste bien intéressé et intrigué, c'est cool. The Immortal Hulk #49 L'avant-dernier épisode de cette formidable série livre un récit en prose, magnifiquement illustré par Joe Bennett. C'est encore une fois intense et puissant, et Al Ewing propose un texte touchant et fort, plein de mélancolie et de tristesse. Le parallèle entre le drame de Bruce Banner et les Fantastic Four est très bon, et les caractérisations sont encore superbes et réussies. Le graphisme est idéal, les images restent dynamiques malgré l'aspect de prose illustrée. Encore une réussite. Vivement la fin... notamment parce que je n'ai franchement aucune idée sur la solution d'Al Ewing pour achever sa superbe saga en un numéro ! |
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The Wrong Earth : Night & Day #5-6
J'avais loupé le #5, j'ai rattrapé en le dévorant avec le #6 ensuite. Belle fin. Tom Peyer prépare déjà une suite, car il révèle que Man-Dragonfly est autant une "super-version" de Dragonflyman et Dragonfly que Dragonfly, Dragonflyman, Stinger mais aussi l'autre Stinger (psychotique) et Lady Dragonflyman, qui étaient venus chercher "leur" héros, sont coincés sur cet autre monde. Les épilogues montrent Tom Peyer ne révolutionne pas son univers ici, et on sent que ce n'est qu'une étape. Ca fonctionne cependant très bien, avec de très bonnes caractérisations et des interactions vraiment bien fichues. Je reste bien pris par tout ça, ces ambiances, ces rebondissements. Jamal Igle continue d'assurer aux dessins, pour une atmosphère très réussie et efficace. Vivement la suite ! |
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Avengers #47
Bourrin mais efficace. Les Avengers attaquent discrètement l'endroit où la Winter Guard retient She-Hulk prisonnière, et où ils la torturent et manipulent. L'infiltration échoue, ça se bagarre fort, mais She-Hulk est libérée par Red Widow quand elle pense que tout fonctionne. Crimson Dynamo et Red Guardian sont violemment maltraités, l'androïde Vostok est détruit, Red Widow s'enfuie (en se coupant un bras) et répond à un mystérieux chef, mais... She-Hulk est bien transformée. Elle est désormais la Winter Hulk, à savoir Alors, le cliffhanger est quand même "spécial", avec ce relooking sorti de nulle part. Mais l'épisode est bon en soi, extrêmement bourrin et rapide, mais efficace. Ca se lit bien, la mission de sauvetage est dynamique et agréable, les interactions et bagarres fonctionnent. Jason Aaron ne révolutionne rien ici, tout est assez classique et attendu, mais j'ai ce que j'espérais en envisageant un tel numéro. Javi Garron propose aussi des planches efficaces, il se foire un peu sur quelques narrations mais ça reste fluide. Je suis circonspect sur le relooking, hein, mais l'épisode en soi se lit bien. Le subplot sur Red Widow laisse aussi envisager la "fin" de la Winter Guard, et donc une montée progressive vers le "boss final" du run, notamment après la chute du Squadron Supreme of America. Il ne reste bientôt plus que Namor et ses troupes, en opposants aux Avengers... |
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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A vrai dire, quand je dresse un bilan de Bendis chez DC, c'est pas fameux. J'ai juste adoré son Batman Universe avec Derington. Superman a bien démarré mais s'est enlisé, je n'ai même pas fini le dernier arc. Action Comics était pas mal aussi au début, puis ça a sombré. Event Leviathan a été une cata, et Checkmate m'a l'air parti pour l'imiter. Pour moi, il a perdu son mojo chez DC, il n'est pas fait pour cet univers. Ce n'est pas le Bendis que j'ai passionnément aimé et je pense que Marvel a fait une énorme connerie en ne lui confiant pas Fantastic Four avec Valerio Schiti, comme il semblait le teaser à la fin de son run sur GotG. De même, la fin abrupte de Defenders m'a laissé de gros regrets. Je ne pense pas qu'il reviendra chez Marvel (même si tout est possible) car je ne vois pas ce qu'il obtiendrait. Il a fait un peu le tour de la maison. A part Captain America. J'en suis à espérer que vu que Jinxworld va certainement prendre le chemin d'Image, Bendis lâche DC (puisqu'il n'est plus exclusif) et se refasse la cerise avec des creator-owned. J'attends de voir, surtout qu'il a ce projet avec Marquez, qu'il va certainement relancer Pearl, Cover. Mais pour moi, Bendis et DC, ça n'a pas fonctionné du tout. |
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Bon, sinon, The Nice House on the Lake, c'est absolument bluffant. Je suis dingue de cette histoire, fabuleusement dessinée. Vraiment, lisez ça, c'est magistral, c'est sublime, c'est flippant.
J'ai aussi beaucoup aimé Suicide Squad : Get Joker ! #1 par Azarello-Maleev. Le Black Label propose vraiment de chouettes choses hors continuité. C'est une histoire de la Task Force X comme j'avais envie d'en lire depuis des lustres (je n'ai pas encore vu le film de Gunn, mais ce n'est assurément pas la même chose que du Azzarello-Maleev). C'est tellement bien en fait que je ne me suis même pas rendu compte que ce premier épisode comptait 50 pages, ça se lit tout seul, c'est un vrai page-turner. |
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Donc oui, Bendis et DC, ça n'a pas fonctionné. Par contre, j'ai énormément aimé Bendis et Superman. Bendis avait clairement dit que Superman était la raison de son envie d'aller chez DC. Si tout n'a pas été bon, avec notamment la mini-série Man of Steel assez ratée, j'ai vraiment beaucoup aimé ses runs sur Superman et Action Comics. Ce n'est pas parfait, il y a des facilités, mais j'ai adhéré à sa vision des personnages, à l'approche de Clark et de Superman, mais aussi de Lois. J'y ai vraiment adhéré, et je suis vraiment déçu que Bendis ne soit plus sur ces titres. C'est un vrai gâchis. |
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J ai relu le Superman de Bendis... Ca se lit agréablement.. je les relirais mais c est au final très creux. Il aborde énormément de choses mais ne fait qu en effleurer la surface.
Je veux dire Lois qui laisse son fils avec son grand père psychopathe puis décidé de vivre séparer de Clark ?? L identité secrète dévoilée ? Le fils ado ?? Comme ces menaces il surfe sur ces idées sans les creuser ou enontrer réellement les conséquences... Il fallait creuser tout ça pour le rendre bien Un gros gâchis comme son passage chez Dc
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If Jack Bauer was in a room with Hitler, Stalin, and Nina Meyers, and he had a gun with 2 bullets, he'd shoot Nina twice. |
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