|
#16
17/03/2009, 20h04
|
||||
|
||||
|
I Kill giant c'est quel format Doop? Du digest comme les minx ou tp normal?
__________________
" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman 
|
|
#17
17/03/2009, 23h03
|
||||
|
||||
|
Pour Iron Man, autant j'apprécie le scénario, autant je n'aime pas les dessins.
Les FF ? Ce que j'attendais : beaucoup de bruit pour rien. C'est hélas une des caractéristiques de Millar, mais là, elle est en plus exacerbée.
__________________
Des pépites ? Des bonnes histoires ? Des curiosités ? Des souvenirs ? Ne manquez pas de visiter la section rétro !
|
|
#19
18/03/2009, 09h25
|
||||
|
||||
|
Je trouve que les filles de la couverture de uncannyx x-men font putes.
|
|
#20
18/03/2009, 09h37
|
||||
|
||||
|
Certes, mais des filles de joie capitalistes distinguées. Et elles ressemblent vraiment à des femmes, pas comme les gueuses de la Prom'. Tandis que les hommes de la couv' restent des aberrations génétiques lovés dans leurs latex serrés. Et on les voit péripapéticer, certains en volant.
|
|
#21
18/03/2009, 09h47
|
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
__________________
" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman
|
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
#22
18/03/2009, 13h53
|
|||||||||||||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||||||||||||
|
#23
18/03/2009, 14h21
|
||||
|
||||
|
Et diets que vous venez de la part de Stacy-X et Joe Casey.
|
|
#25
19/03/2009, 08h01
|
||||
|
||||
|
Blue hoteeeellll....
__________________
Il est impossible de faire comprendre quelque chose à quelqu'un
si son niveau de vie dépend directement du fait qu'il ne la comprenne pas.
|
|
#26
19/03/2009, 20h16
|
||||
|
||||
|
Belle salve cette semaine Doop!
Avengers/Invaders, j'avais vu les warnings sur buzz, et je l'ai donc zappé! Tu confirmes! Après, moi j'avais bien aimé Justice... Pour Sadowski par contre, ses JSA étaient deja moyens... Je tue des Geants à l'air pas mal. Par contre Kelly, a part ses Deadpool, j'ai lu peu de choses de lui (et ses X-Men étaient assez bof bof...) Pour les X-men, tu me fais saliver comme un dingue!!! Tout comme X-Factor, qui est je le trouve la meilleure serie d'asto pour le moment! Pour Icons, pas encore lu, mais effectivement, Larroca n'est pas si désagréable sur cet épisode, a l'inverse d'un Hytch super décevant! Pour Tan par contre, je dois etre un des seuls a trouver que ce dessinateur est surcoté! Franchement c'est vite fait ce qu'il fait, sans vie... Meme sa Shanna, dont j'ai lu monts et merveilles sur Buzz, bah je l'ai pas trouvé géniale... je prefere celle de Kubert par exemple...
|
|
#27
20/03/2009, 21h29
|
|||||||||||||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||||||||||||
Totalement d'accord avec toi..... c'est euh, ben soit c'est pas euh....
|
|||||||||||||||||||||||||||
|
#28
21/03/2009, 13h00
|
||||
|
||||
|
Bon, tout d'accord avec Doop sur les Uncanny
 , X-Factor  et I kill Giants... 
__________________
Il est impossible de faire comprendre quelque chose à quelqu'un
si son niveau de vie dépend directement du fait qu'il ne la comprenne pas.
|
|
#29
24/03/2009, 10h43
|
|||
|
|||
|
harley quinn ; marvels:eye of the camera, DCU, logan,daredevil
Critiques Doopiennes semaine 103 HARLEY QUINN: preludes and knock-knock jokes  (Karl Kesel / Terry Dodson/ Rachel Dodson) Dans les années 2000, DC avait tenté de lancer une série HAREY QUINN, qui n’a malheureusement pas duré très longtemps. HARLEY QUINN a la particularité d’être d’abord un personnage crée dans le dessin animé BATMAN qui a fait plus tard sa première apparition dans la bande dessinée, durant NO MAN’S LAND. Comme le succès du personnage a été quasi immédiat, et DC venant de piquer TERRY DODSON à MARVEL. (Ce dernier dessinait GENERATION X ) ; il semblait logique que les chemins de ce dessinateur plutôt doué pour les héroïnes pulpeuses et d’une des sidekick les plus sexy du monde se croisent. Au scénario, c’est KARL KESEL, un honnête faiseur, qui a toujours rendu des copies de qualité à défaut d’être particulièrement percutantes. HARLEY QUINN alias HARLYNN QUINZEL est une jeune psychiatre tombée amoureuse du JOKER lors de son passage à ARKHAM. Littéralement folle du personnage, elle a adopté un costume et le fait tout le temps libérer de prison ! Le JOKER, quant à lui, profite allégrement des faveurs de sa groupie jusqu’à un certain point. Disons que la jeune demoiselle voit son psychopathe avec les yeux de l’amour tandis que lui voit HARLEY avec les yeux du profiteur. Et au tout début de l’ouvrage, le Joker en a assez, HARLEY est un véritable boulet pour ce professionnel du crime, et il va donc essayer de s’en débarrasser. C’est la rupture et HARLEY va donc essayer de mener une carrière de criminelle solo, suivant les traces de son pygmalion, l’humour en plus ! C’est particulièrement réussi. HARLEY QUINN n’est à la base finalement qu’un personnage qui sert de relief comique, c’est l’amoureuse transie dont l’amant veut se débarrasser et qui revient toujours, tel PEPE LE PUTOIS. Pour étoffer son personnage et partir sur une série mensuelle, il faut donc couper les ponts entre la fan #1 et son idole, et c’est le but du premier épisode, plutôt bien fait et assez amusant. Mais c’est une fois la rupture consommée que l’on rentre véritablement dans le vif du sujet et le meilleur de la série. Difficile de nous raconter l’histoire d’une criminelle assez farfelue sans copier CATWOMAN, par exemple, KESEL s’y prend bien en gardant la naïveté, la fraîcheur et l’enthousiasme d’HARLEY et en la mélangeant à une histoire assez comique, où tout ce qu’elle fait à pour but de montrer à son JOKER qu’elle peut se débrouiller sans lui. Elle va donc essayer de s’associer avec l’autre grand criminel de la ville, TWO FACE (échec cuisant ! ) ; puis recruter ses propres hommes de main, les QUINNTETS pour finalement décider d’aller piller l’homme le plus riche de la ville, un certain milliardaire connu sous le nom de BRUCE WAYNE. Le grand moment, c’est lorsque HARLEY invite toutes les autres criminelles à une petite pendaison de crémaillère avec des résultats catastrophiques. Ca pourrait être une farce assez lourde sur la longueur, pas du tout. KESEL arrive à mener un plot tout à fait solide et n’abuse pas des situations assez pénibles et finalement pas drôle qui ont tendance à me hérisser le poil avec des gimmicks harassants (qui a dit BENDIS ou KIRKMAN ? ) . C’est juste drôle, et si j’osais la comparaison, je dirais que HARLEY est traitée un peu à la manière d’une HARMONY dans BUFFY, quelqu’un qui voudrait bien, mais qui ne peut point. Et dieu sait qu’elle se force à être une grande criminelle, notre HARLEY, c’est juste que bon… c’est pas son truc. Un petit peu de pathos en filigrane mais cela ne vient pas du tout alourdir l’intrigue principale ni le personnage. C’est très distrayant, amusant, on sourit beaucoup , on rit parfois (la rencontre HARLEY / BIG BARDA vaut son pesant de cacahuètes) et si ce n’est jamais génial, on lit ce TPB avec beaucoup de plaisir. Surtout que les dessins de TERRY DODSON sont absolument impeccables. Je pense que HARLEY est le personnage qui lui convient le mieux, avec ce petit côté léger et bondissant. Graphiquement, c’est réellement un de ses meilleurs boulots aux USA. On a donc au final un TPB assez dense (huit épisodes dont un double) , qui ne se lit pas en dix minutes (comme quoi, même si l’intrigue est souvent légère il y a de la matière) et graphiquement réussi. Un petit bonheur que je vous conseille si vous avez envie de lire un truc frais et amusant, sans être lourd !  ben oui, j’ai vraiment bien aimé, ca vole pas haut mais ca sait rester à sa place, et puis voir sur une même page HARLEY QUINN, les femmes de LUTHOR, CATWOMAN, POISON IVY et les autres dessinées par DODSON, ca fait toujours remonter une impression générale ! Pour de la bande dessinée de super héros sexy et humoristique, c’est impeccable ! DAREDEVIL #111-115 : LADY BULLSEYE  (Ed Brubaker / Clay Mann & Michael Lark / Stefano Gaudiano) DAREDEVIL s’endormait un peu sur ses lauriers, depuis l’arrivée de BRUBAKER et la résolution de l’intrigue lancée par BENDIS. Quelques bonnes idées mais la prolifération des arcs assez longs commençait à nuire un peu au rythme de la série, qui ronronnait jusqu’à l’arc précédent, véritable petit bijou que BRUBAKER a signé avec ses potes RUCKA et LARK. Ce nouvel arc de cinq épisodes s’annonçait plutôt bien puisqu’il nous proposait un nouveau personnage : LADY BULLSEYE (je vous rassure tout de suite, il n’y a pas grand lien avec BULLSEYE). Le premier épisode partait vraiment bien, car BRUBAKER a repris l’une des constantes de MATT MURDOCK, à savoir son côté indécis avec les femmes, à base de « je couche puis je réfléchis aux conséquences avant de sombrer dans une morosité terne… ». L’heureuse élue est cette fois ci S’enchaînent des scènes de bagarre entre LADY BULLSEYE et tous ces protagonistes pour arriver à la révélation finale : le but de ces différents tests, que je ne révèlerait pas mais qui m’a beaucoup déçu. On s’attend à ce que le récit monte en puissance, BRUBAKER tue des personnages secondaires et nous fait une fin « à la BENDIS », à savoir où l’explication est donnée dans une séquence de dialogues sans qu’il y ait une réelle résolution. En fait, cet arc est terriblement long pour le final qu’il nous propose, et s’il se passe réellement des choses (avec MILLA, avec DAKOTA NORTH, WHITE TIGER ou BLACK TARENTULA) c’est relégué plutôt au second plan. Le personnage de LADY BULLSEYE est à mes yeux raté dans la mesure où c’est juste un effet d’annonce. Elle n’a quasiment aucun lien avec BULLSEYE et surtout ; elle n’a aucune autre utilité autre que de jouer la guerrière ninja de base. Le personnage ne me plaît pas beaucoup et c’est quand même assez rare que BRUBAKER « rate » un nouveau perso. De plus, il y a quelques redites, car au départ, pour occuper MURDOCK, LADY BULLSEYE le fait suspecter de meurtre. On a donc une scène où MATT prend son journal au pas de sa porte avec DAREDEVIL : CRIMINEL ? écrit en gros-titres. On a une impression de déjà vu. De la même manière, pourquoi ne pas avoir complètement ressorti STICK plutôt que MASTER IZO, qui tombe un peu comme un cheveu sur la soupe. On voit aussi beaucoup IRON FIST, ce qui n’est pas déplaisant, mais qui rajoute quand même des pages au récit un peu pour rien. Le côté positif, c’est qu’effectivement, le récit avance un peu quand même, la vie de MATT MURDOCK change petit à petit et recommence à devenir compliquée, et ce n’est absolument pas sur ce point là que je fais un reproche, c’est sur l’intrigue principale avec sa fin sortie de je ne sais où . Les dessins sont assurés par MICHAEL LARK, toujours aussi bon et par CLAY MANN que je ne connaissais pas et qui s’en sort plutôt bien à mi chemin entre LARK et MALEEV, l’encrage de GAUDIANO gommant les différences entre les deux dessinateurs. C’est pas mal, mais à mon sens l’intrigue principale est trop longue et mal fichue, certains éléments tombant un peu à plat. Et LADY BULLSEYE n’est pas intéressante. Au dessus de la moyenne mais rien de comparable avec l’arc précédent. MARVELS: EYE OF THE CAMERA #1-3  (Kurt Busiek / Jay Anacleto) Ce MARVELS : EYE OF THE CAMERA avait tout pour se planter. Imaginez, la suite de MARVELS, par BUSIEK et JAY ANACLETO , dessinateur à la carrière de feu follet , ca pouvait être une grosse plantade. Je m’attendais nettement à un ratage total, une resucée de cette série mythique. Il fallait que BUSIEK ait encore des choses à dire quinze ans après et surtout qu’ANACLETO puisse assumer l’héritage d’ALEX ROSS. Dur. Eh bien pas du tout. J’ai trouvé ces trois premiers épisodes tout à fait divertissants. Sans être une réussite totale, c’est beaucoup plus positif que ce que j’attendais, et c’est finalement, un joli complément à MARVELS. On reprend les mêmes et on suit à nouveau les traces de PHIL SHELDON, qui essaye de faire son deuxième livre après le succès du premier. Tout le monde lui demande de faire un livre sur les super vilains, mais lui refuse, il préfère redorer l’image de ces super héros que tout le monde commence à critiquer et qui ont parfois des méthodes un peu limites. Ce qui est marrant, c’est de voir que le principe est un petit peu, pour le moment, celui de KINGDOM COME ; à savoir retrouver le merveilleux des héros d’antan. Pourquoi pas, et c’est plutôt bien fait. Tout est entrecoupé de flashbacks qui rajoutent un peu à la mythologie de MARVELS, et qui semblent parfois un peu poussifs, il faut l’admettre. Mais c’est plutôt bien fait et on se prend même d’empathie pour ce PHIL SHELDON, qui est malade et à la fin de sa carrière, et qui voudrait que son héritage, la magie des premières années reste après son départ. Bien vu, et les scènes de SHELDON à l’hôpital sont réussies et assez émouvantes. On sent que BUSIEK a vécu des choses assez semblables et ça tape juste. Il reste donc les dessins, et là aussi , bonne surprise. On pouvait s’attendre, au vu des previews à des dessins assez statiques et un peu trop photo-réalistes, en dépit de la fluidité, du mouvement et de la narration. Pas du tout ! C’est statique parfois mais beaucoup moins que ce que j’attendais et ça fonctionne là aussi plutôt pas mal. ANACLETO ne nous ressort évidemment pas les mêmes prestations que celles qui m’avaient absolument enflammées sur ARIA à l’époque, mais c’est très correct. Je vais même dire que j’aime bien. Pour le moment (nous ne sommes qu’à la moitié de la série), MARVELS : EYE OF THE CAMERA réussit parfaitement son pari, tout en traînant quand même le boulet de la comparaison à l’œuvre originale, ce qui n’est pas facile. Même si c’est un peu creux parfois (surtout sur les scènes de flash back), je trouve que c’est une suite digne de ce nom, qui arrive pour l’instant à éviter les travers qu’on pouvait craindre. Espérons que BUSIEK réussira quand même à tenir son histoire jusqu’au bout car je ne regrette pas l’achat. LOGAN  (Brian K.Vaughan / Eduardo Risso) J’ai longtemps hésité avant de prendre cette BD. Parce que déjà, WOLVERINE n’est pas franchement ma tasse de thé et qu’en plus, la plupart des one-shots (ou des mini séries) qui lui sont consacrées sont toujours du même acabit, on renoue avec le passé de LOGAN qui affronte un méchant et qui s’en sort parce qu’il est le meilleur. L’équipe prévue m’a fait franchir le pas. En effet, BRIAN VAUGHAN a toujours livré de très bons scénarios, même sur des franchises comme X-MEN (voir son CHAMBER qui était très bon) et EDUARDO RISSO pouvait définitivement apporter quelque chose à notre mutant poilu, un peu de rage et de violence. J’ai été passablement déçu. En fait, il s’agit d’une histoire qui se passe dans la présent, mais qui a des rapports avec certains personnages et certains évènements du passé (personnages et évènements crées pour l’occasion) . On retombe donc dans la routine et la redondance d’une histoire de WOLVERINE lamdba. Comment faire quelque chose de neuf avec ce personnage usé jusqu’à la corde ? VAUGHAN n’y arrive pas vraiment. Comme c’était peut être le seul point de l’histoire de Wolverine qui n’avait pas été traité dans les comics, il nous offre le dépucelage de WOLVIE (véridique) et situe les évènements du passé dans un contexte historique bien particulier, mais qui n’apporte finalement pas grand chose. On ne sait pas pourquoi LOGAN revient là bas, ni comment le méchant a survécu tout ce temps et pourquoi il est encore là, 50 ans plus tard, à attendre LOGAN. C’est complètement anecdotique et laisse une impression de déjà vu et de déjà lu terrible. Pour résumer, WOLVERINE se retrouve au JAPON où il doit affronter un ancien ennemi. Ce voyage fait remonter des souvenirs en lui et lui font repenser à un de ses anciens amours… Sérieusement, combien de fois nous l’a t’on déjà servi ? L’histoire est donc tout à fait quelconque et surtout pas originale. VAUGHAN écrit bien, le scénario se tient, mais il n’est pas trop développé non plus et on lit les trois épisodes en cinq minutes montre en main. (On les oublie aussi cinq minutes plus tard…) Reste alors le dessin. Mais même RISSO m’a un peu déçu. Forcément, on retrouve son style très particulier et on aurait pu s’attendre à ce que ça fonctionne sur WOLVERINE ; mais peut être parce que je suis trop habitué à le voir sur des ambiances plus urbaines dans 100 BULLETS, je trouve que ça ne colle pas trop. La colorisation n’aide pas non plus, elle lisse beaucoup les traits de RISSO et les personnages. En gros, un scénario anecdotique et de jolis dessins, soit, mais qui me déçoivent un peu. Pour le prix (14 €) , je vous conseille nettement de passer votre chemin sauf si vous êtes méga fan de RISSO. et demi car les dessins ne rattrapent pas un scénario vu et revu, limite sans intérêt !DC UNIVERSE #44  Contient JUSTICE SOCIETY OF AMERICA #13 (Johns & Ross / Pasarin / Friend ) On reprend après la pause du mois dernier la suite de l’arc THY KINGDOM COME qui voit le retour du SUPERMAN de l’univers crée par WAID et ROSS. L’intrigue avance un petit peu (c’est quand même la quatrième partie de l’histoire), on en apprend un petit peu plus sur GOG et MAGOG, mais disons que j’ai toujours un gros problème au niveau du scénario. Tout compte fait, j’ai vraiment du mal avec cette version de la JSA, qui finalement ne correspond pas vraiment à ce qui avait fait de l’ancienne version une de mes séries préférées. Il y a clairement un gros problème de rythme que la lecture mois après mois accentue… En effet, JOHNS passe un numéro complet à nous introduire des nouveaux personnages le mois dernier, abandonnant totalement son intrigue principale et revient à son propos initial ce mois ci, mais sans qu’on entende parler des personnages introduits le mois précédent ! Avec un casting d’à peu près 20 personnes, on s’attendrait à ce que le scénariste nous offre des moments de caractérisation (franchement, certains personnages n’ont pas du tout été à l’affiche , comme DR MIDNITE , ou FLASH ou MR TERRIFIC) , et non, là on a droit à de longues pages de discours entre SUPERMAN KINGDOM COME et.. SUPERMAN (qui ne fait pas partie de la JSA. ). Ce qui faisait la force de la série JSA précédente, c’est à dire la notion d’héritage et les personnages avant tout, je ne la retrouve pas depuis le début, c’est peut être à cause de ce casting trop étoffé et pas assez développé, formé pour la plupart du temps de personnages que JOHNS n’est pas arrivé à me rendre intéressants ou attachants (que ce soit CYCLONE ou le fils de WILDCAT, même l’obscur STARMAN). C’est un problème de fond pour moi. Sinon sur cet épisode, en soi, il n’est pas si mal construit que ça et l’intrigue avance plutôt bien. Dommage qu’on ne voie personne de la JSA en fait ! Les dessins sont assurés par FERNANDO PASARIN, que je préfère à EAGLESHAM, sauf qu’il est encré cette fois ci par RICHARD FRIEND qui ne lui convient pas vraiment, ce qui donne des planches assez ratées au départ. Mais le niveau est correct. En fait, JSA n’est pas en soi une mauvaise série, c’est juste que JOHNS n’arrive absolument pas à m’intéresser à ses personnages. JUSTICE LEAGUE OF AMERICA 17 (Alan Burnett / Ed Benes / Benes & Hope) Cet épisode est composé de deux histoires courtes et indépendantes, comme le précédent d’ailleurs. Le premier est une véritable purge ! En effet, on a droit à une histoire ou des méchants, pourchassés par AMANDA WALLER qui veut les envoyer sur la planète prison de SALVATION RUN , se rendent à la JLA. Et c’est tout. Sauf que PANININ n’a pas publié SALVATION RUN. C’est donc une succession de bagarres sans intérêt entre des héros lambda et des vilains lambda, tous inconnus pour la plupart. Même quand on a lu comme moi SALVATION RUN , cela n’a aucun intérêt. C’est franchement nul et dessiné par ED BENES que je ne supporte plus ! Le scénariste m’est totalement inconnu aussi. Pauvre JLA, quelle horreur depuis son relaunch ! (Dwayne Mc Duffie / Jon Boy Meyers) Deuxième histoire qui voit VIXERN discuter de ses problèmes de pouvoirs avec ARSENAL, qui essaye de comprendre ce qui lui arrive. La aussi c’est superficiel, même si l’intrigue est un peu plus accrocheuse. Je n’aime pas les dessins mais c’est un peu mieux, mais enfin, six pages c’est un peu court…. Quelle horreur que cette série , que j’aurais déjà mille fois arrêtée si elle n’était heureusement publiée dans ce magasine. GREEN LANTERN #26 et 27 (Johns / Mc Kone / Lanning) PANINI nous offre deux épisodes qui constituent l’épilogue de l’excellente saga SINESTRO CORPS et les rebondissements et l’action chutent un peu pour laisser place à de la caractérisation. Le rythme est un peu plus lent et après autant de choses dans les numéros précédents, il faut avouer qu’on s’ennuie un peu. JOHNS délaye à fond les personnages, mais n’arrive pas non plus à faire en sorte qu’on s’y attache. Ca fonctionne quand même beaucoup mieux que sur JSA, soyons honnêtes. Maintenant, deux épisodes juste pour montrer que les gardiens ont besoin d’une nouvelle police pour faire régner l’ordre et la loi sur des GREEEN LANTERNS qui ont maintenant la faculté de tuer, c’est peut être un peu trop long. Mais on a droit à de bons moments (JOHN STEWART). C’est toujours largement satisfaisant. Aux dessins, c’est MIKE MC KONE qui nous raconte les aventures de JORDAN et compagnie et si c’est très lisible, c’est loin d’être son meilleur boulot, il y a quelques confusions par moment qui me gâchent un peu ma lecture. J’attends de voir ce que vont donner ces ALPHA LANTERNS , qui risquent de venir alourdir un panel de couleurs et de lanterns déjà bien surchargé. Cela reste quand même au dessus de panier et c’est incontestablement le (seul ? ) point fort d’un magazine que je pense à laisser tomber pour passer directement à du GREEN LANTERN en VO. Ce serait déjà fait si la politique de TPB de DC n’était pas aussi pourrie d’ailleurs. et demi
|
|
#30
24/03/2009, 10h50
|
||||
|
||||
|
Il faut préciser que les Alpha Lanterns sont une commande de Grant Morrison à Geoff Johns pour ne pas avoir à les présenter durant Final Crisis.
Sinon, très bon choix de Doop-case pour Harley Quinn... 
__________________
Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
|
 |
|
|
Mode linéaire
