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Pour moi ca reste toujours un non problème..
ce st comme s inquieter de commencer la ligue des gentlemen car tu n auras pas toutes les references. je trouve que 90% des comics mettent ce qu il faut pour que le lecteur lambda comprenne.. le souci est que le lecteur lambda se pose trop de questions envers les renvoi.. Je prend toujours l exemple du captain America de Brubaker qui renvoyait pas mal de references.. et bien vu qu il n y avait pas de renvoi.. les lecteurs ne se posaient pas la question de s ils avaient loupé quelque chose... Je ne dis pas que ca n existe pas la difficulté mais que souvent elle est surestimé.. et que sur des titres qui renvoie à d autres références (je prend LOEG mais il y en a d autres) on se pose pas la question alors que ca existe... (bon apres Black dossier, je trouve justement que là c est plus du tout géré pour les newbie mais bien plus pour les connaisseurs et que si t as pas les refs ca devient pas toujours evident sans lire sur le sujet, ce qui montre que ce est décidément pas qu un souci superheroique) Je trouve d ailleurs que l exemple de moore est bon.. il a longtemps été trés pédagogue en ne laissant pas les non initiés au bord du chemin.. puis il a fait dans les années 2000 (les LOEG, les providence) des choses où là c etait moins evident pour qui n y connait pas grand chose (moi en l occurrence qui ne connaissait les perso de LOEG ou lovercraft pas directement mais par des adaptations sauf Mina Harker) Dernière modification par Fred le mallrat ; 15/05/2024 à 17h21. |
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Ultimate X-Men 3 :
Je retourne ma veste. C'est très sympa à lire MAIS je ne comprends pas ce que ça fait dans la gamme Ultimate. C'est une manga ! Et à 5$ l'épisode, c'est beaucoup, beaucoup trop cher !
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La blague qui tue de l'HOMME BANANE ! https://www.youtube.com/watch?v=sYc5E_7vwLA |
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Et oui, il y a des oeuvres dont l'accès est plus aisé que d'autres. Ca a toujours été le cas dans l'histoire de la littérature. Ce n'est pas du tout ce que je reproche à certains comics d'univers partagés de Marvel ou DC. Et le Captain America de Brubaker, ça se lit sans problème même si on ne connait rien à ce à quoi ça peut renvoyer. Le comic est passionnant et les références, on peut très bien s'ne foutre complètement. C'est un plus pour le connaisseur mais ça n'est nullement nécessaire. Je ne trouve malheureusement pas que ce soit très souvent le cas : parce que 1) souvent les références sont beaucoup plus plombantes 2) presque tout le temps, le comic est moins réussi et incite moins à passer au-dessus des références Je crois que bon nombre de lecteurs aguerris de comics superhéroïques en univers partagé ne se rendent tout simplement pas du tout compte à quel point ces univers sont devenus inextricables et un véritable repoussoir pour qui voudrait en lire.
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"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
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D'un coté on se plain de manque de continuité, de l'autre on se plains du trop de référence. Si une équipe X fait face à un danger on se demande ce que foutent les autres héros/équipes. Me semble pas que tu puisse lire one pièce 105 sans avoir lu les 104 précédent. Et même si spirou peut se lire indivuellement il reste que si tu tombes sur Zorglub ou Champignac va avoir des références qui vont te manqué. Marvel semble celui avec le plus de passif parce qu'il n'a eu qu'un évènement reboutant l'univers (Et encore léger après Secret wars de 2015, certain vont rappeler que le vrais reboot a eu lieu avec strange auparavent ou Infinty Gauntlet, mais franchement peu de héros s'en souvienne et c'était un peu une contuinité sans changement du passé précédent à l'événement. Ah si va-t-on me dire, et Heroes Reborn/Return. Bof ca ne concerne que quelque personnage). DC donc aurait eu divers point de lectures d'où un nouveau pourrez prendre le train en marche. J'entends, sauf que ces événements deviennent elle aussi des références passé et que certain changement se mélange à tel point qu'un personnage devient un bordel monstre (Power Girl pour le pas la cité jusqu'à Infinity Crisis, quoi que le New 52 en avait remis une couche avec Earth 1 et earth 2 et deux Huntress (Dont Helena Wayne prenant l'identité d'Helena Bertinelli qui ont le découvre plus tard existe bien aussi dans cet univers). Donc, oui, le numéro de Outsider 7 peut faire peur, et pourtant perso je suis avec délice la déscription qu'en fait Ben dans ses lignes et ils me donne envie d'acheter le TPB. Et puis on a tous commencer à un moment de l'histoire du comics avec un passif, parfois en plein dans un arc narratif sans internet, ni wikipédia (pour les plus ancien comme moi) et on en est pas mort. Les fiche du Strange Origine nous donnait envie d'en découvrir plus, et non peur de pas tout comprendre. J'ai découvert le comics avec Archangel, Iceman, Storm, Colossus, et Jean face à Bishop. J'ai vite trouvé des spidey avec Jean et Angel. Il me manquait un océan d'histoire entre les deux. Mais j'en suis pas mort. J'ai apprécier continuer les X-men qui sortait de mois en moi et lire les quelque épisode de Factor X que j'avais. Et Factor X faisait plus qu'évoquer DarK Phoenix, et j'en suis pas mort. Est-ce que les auteurs prenait plus leur temps avec des bulles à lire qui semble aujourd'hui interminable ? Je n'en sais rien. Faisaient-ils mieux leur travail ? Je ne pense pas, il le faisait avec passion et je vibrais pour les aventures offertes. Le sentiment de découverte à t-il jouer ? Surement. A-t-il été remplacer par une sorte d'effet blassé (Je sais ou il va. Oh ça encore ?!) Surement aussi et pourtant certain auteur m'embarque toujours. j'ai accepté les bons et mauvais coté des comics, sinon fallait passer, pour moi, à autre choses. Vraiment je pense que parfois on se met nous même les barrières. Si l'auteur me parait ennuyer qu'il face ou non réfèrence au passé, ça ne me plaira pas. Si au contraire je sens sa passion et l'envie qui en découle, qu'il face référence ou non au passé va m'enthousiasmer, et je concéderais de 1 de ne pas accepter de tout comprendre, de 2 si j'ai la flamme de creuser pour aller lire ce qui manque, voir plus. Le meilleurs exemple que j'ai est Geoff Johns. Oui son arc sur Green Lantern près NEW52 est superbe. Mais moi perso à la base j'en voulait pas. Il m'a fait , même. J'aimais Kyle et d'un coup paf à la trappe. Il a fallut sinestro Wars pour me remettre sur le titre. Et diable Johns fut bon car il m'a fait suivre un personnage que je déteste (Parce que vraiment je n'aime pas Jordan). De l'autre coté tombé en plein milieu d'un arc de JSA ou Mr Terrific rencontre Mr Terrific il a su me donner envie. Pas seulement de trouver le numéro d'avant et d'après, mais aussi de trouver les TPB commencer avec Goyer et de lire la série. Et aussi me resseigner sur le Mr Terrific et la JSA d'origine (Même si je l'avais déjà croisé sur 2 numéro VF présentant les début d'infinité Inc). Quand je lis les demandes catastrophé "J'aime X où dois commencer" perso ce qui me met en panique c'est voir le nombre de réponses avec des références certes de qualité mais énorme. Perso je serais toujours aussi perdu, et pas sur qu'en prenant le plus cité cela aurait été une réussite. Je répond toujours la même chose. Lance-toi, fait toi confiance et découvre ce qui te plait, puis après creuse a ton rythme et selon tes envies. Comme beaucoup de lecture, il n'y a pas qu'une lecture, un parcours de lecture, une vérité. On est tous différents, venu pour des raison différentes à tel ou tel lecture, rester ou non pour telle ou telle raison. Désolé ! Dernière modification par Slobo ; 16/05/2024 à 11h41. |
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X-Men: Forever #4
Il faut le dire : sans les titres de Kieron Gillen, Fall of X me serait beaucoup moins agréable. Je ne suis pas énormément passionné par cette fin de règne de l'ère Krakoa, prévisible et longue, mais ce sont ses travaux qui me rendent le tout plus intéressant, et surtout plus prenant. Ce numéro confirme encore mon sentiment positif, avec des avancées et des choix pertinents. On a ainsi Mr Sinistre qui "pousse" Destinée à aller de l'avant et à ne pas se laisser bloquer par ses visions de l'avenir, où Mystique meurt trop régulièrement. Irène ose tenter le diable, retrouve sa femme pour qu'elles aillent chez Orchis pour que Charles Xavier "débloque" l'esprit de Destinée, qui "retrouve" son amour pour Kurt. Elles fuient ensuite, retrouvent Kurt qui... récupère désormais l'épée Espoir, incarnant Légion. Parce que, dans la White Hot Room, Hope "attire" le Phénix à elle, pour le raviver. Sauf qu'Enigma le sait et, via son omniscience, retourne dans le passé pour convaincre la mère de Hope de faire de lui son père, en contrepartie d'une proposition qu'il la sauve au moment de sa mort. Cela fonctionne (Hope a le symbole Enigma sur le front, au présent), mais l'essence de Jean, liée au Phénix, retourne dans le passé et convainc la mère de ne pas faire ce choix. Enigma est repoussé, Hope est sauvée mais elle C'est bien, oui. J'aime beaucoup ce que fait Kieron Gillen, notamment sur les doutes de Destinée et la "conclusion" du retcon un peu bourrin mais pertinent sur Kurt et ses parent(e)s. Le coeur du récit se concentre sur Hope, avec la tentative fine d'Enigma de changer tout ça, et Jean qui convainc sa mère de ne pas agir ainsi (avec la présomption que Définitivement les épisodes les plus passionnants de Fall of X. |
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Les productions visent ainsi plus à jouer et flatter la continuité, qu'à tenter des coups éditoriaux ou le pari créatif. Notamment parce que les comics vendent peu, très peu, et que les deux éditeurs sont la propriété de grands groupes. Donc leur survie ne tient plus qu'à eux.
Ca ne m'a pas passionné, mais je ne suis pas fan du Tisseur. |
#442
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Ms. Marvel: Mutant Menace #3
Sympathique. Sabir Pirzada & Iman Vellani enchaînent intelligemment, en renouant avec la continuité de la série et en abordant de front une problématique de l'ensemble. Ici, Kamala renoue avec Red Dagger, venu aux nouvelles en découvrant qu'elle a ressuscité alors qu'il l'a pleurée. Il n'a pas été atteint par les changements psy des Mutants, et veut révéler à Kamala ses sentiments, qu'elle semble partager même si les troubles actuels gênent ce rapprochement. Ils sont cependant attaqués par des corps morts de X-Men récupérés par la scientifique d'Orchis et réanimés en zombies agressifs. Ils les battent, mais les revenants sont bloqués par... Medusa et Karnak, qui veulent aborder des sujets graves avec Kamala. C'est bien, oui. Bon, c'est du romantisme ado facile, mais j'aime bien et je trouve que les scénaristes gèrent bien la réunion de la Ms. Marvel actuellement Mutante avec son passé, de Red Dagger aux Inhumains. Je suis curieux de ce que ça va donner, c'est une bonne idée et Scott Godlewski livre des dessins solides et efficaces. Pertinent et plaisant. |
#443
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La franchise X relancée par Hickman en est un exemple : elle est pensée pour celles et ceux qui la lisent depuis des décennies. Non pas pour ces clins d’œil mais pour sa structure même et ce dès Power of X : mettez les deux mini entre les mains de quelqu'un ne connaissant pas les X-Men et il n'y trouvera aucun intérêt (le twist autour de Moira, l'inversion du rêve d'inclusion, la foultitude de persos qui passent par ci par là). Pour autant je me dis que l'on peut produire des runs sur des franchises ayant plus de 60 ans sans pour autant aliéner le lecteur (s'il le prend à ses débuts évidemment). Je pense (de tête) au Batman de Snyder, au GL de JOhns pour lesquels connaître la continuité est un plus mais ne constitue pas un prérequis (un peu comme le Cap de Brubaker) |
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Il faut dire que Gillen est le seul à proposer quelque chose qui ne soit pas totalement convenu. Il est dans une approche assez similaire à celle d'Hickman : ambitieuse. Percy, Duggan, c'est pas la même... |
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