Votre Michael Cimino préféré

[Sade Vicious]

1- Voyage au bout de l'enfer
2- L'année du dragon
3- La porte du paradis
4- Le canardeur
5- Desperate Hours - La maison des otages
6- Sunchaser
7- Le sicilien



à vous maintenant

[vortiris]

Voyage voyaaaaage

[Preacher 59]

"The Deer Hunt" !!!! y a pas photo !!

[Fin Fang Foom]

Les 3 premiers sont vraiment à voir : Voyage au bout de l'enfer, l'Année du dragon et La porte du Paradis.

[Deroxat (Expert en Potins)]

	Citation:			Posté par Fin Fang Foom
	Les 3 premiers sont vraiment à voir : Voyage au bout de l'enfer, l'Année du dragon et La porte du Paradis.

sauf le deuxième.

pardon, j'ai pas pu m'en empêcher.

[Steuf !]

L'année du dragon et Voyage au bout de l'enfer pour moi, j'ai pas vu les autres.

[Fin Fang Foom]

	Citation:			Posté par Deroxat (Expert en Potins)
	sauf le deuxième. pardon, j'ai pas pu m'en empêcher.

No problemo. Chacun ses goûts.

[wildcard]

Ah, Cimino... On peut dire qu'à défaut de franchir "Les portes du Paradis", il eest descendu en Enfer !

Je ne serai pas original en citant un top 3 :

1/ L'Année du dragon (pour Rourke au temps de sa gloire);
2/ Le Canardeur (pour Clint);
3/ Voyage au bout de l'enfer (pour la roulette russe).

L'archétype du cinéaste qui a causé sa propre perte (une tradition hollywoodienne : Von Stroheim, Von Sternberg, Dassin, Berry, Coppola, etc).

[HiPs!]

Je ne vois pas trop en quoi ces cinéastes ont causé leur propre perte. A moins que tu ne considères l'ambition (coppola), le caractère visionnaire (stroheim) et les opinions politiques (dassin, berry) comme des éléments nuisibles à la création. Si ces cinéastes se sont trouvés en butte avec Hollywood à un moment de leur parcours, c'est pour des raisons très différentes. Pour des raisons historiques, économiques, politiques, et oui humaines bien sûr mais c'est beaucoup plus complexe que de résumer ça à un tempérament de têtes de cochon.

[wildcard]

Ils ont causé leur propre perte en perdant le contrôle d'eux-même, en sombrant dans un délire mégalo... Qui les a conduit à réaliser des films impossibles à amortir, à se comporter comme des cinéastes ingérables, à maltraiter leurs collaborateurs, etc.

Comme pour les comics, les grands films se font aussi avec de grands producteurs. Si on laisse les artistes faire tout ce qu'ils veulent, ils finissent immanquablement par se casser la figure.
Et la plupart du temps, ils n s'en remettent jamais.

C'est pour ça qu'il ne faut pas confondre ambition et capacité à tenir le cahier des charges.
Quand à ceux que la politique a brisé, le défi est de rebondir ailleurs - parfois en parvenant à faire mieux qu'à Hollywood (comme c'est le cas de Dassin).

[HiPs!]

Encore une fois ton propos est réducteur et schématique et tend à tout mélanger. Aucun point commun entre la faillite de zootrope, où coppola était son propre producteur, et un réalisateur blacklisté pour des raisons qui n'avaient rien à voir avec son son tempérament d'artiste...
Combien de réalisateurs méprisants et qui traitent leurs équipes comme de la merde ont fait un parcours au long cours à Hollywood? Sûrement plus que ceux qui s'en sont échappés ou qu'on a contraint à s'en détacher. Et combien de mégalos sans talent mais totalement opportunistes sont parvenus à slalomer entre les délires des moguls des studios et à continuer à filmer?
Allons, allons...